Avant d'écrire sur le
pourquoi de cette découverte fortuite de la réalité absolue du cosmos,
je me présente : Docteur Dang T. L. médecin et médium sélectif (je
peux converser directement et mentalement avec tous les esprits créateurs).
Je souffre comme tout être humain doté d'un corps et d'un esprit et
habitant de la Terre. J'ai pris conscience de cette notion de
"souffrance" à l'âge de 20 ans. Sans trop de moyens financiers
et matériels, j'ai pu finir les études médicales en France. Ma démarche
est bien simple ; je crois en moi, être humain, ayant un corps et un
esprit, en mes parents physiques car mon corps physique est issu de leurs
gènes associés ; et surtout en Dieu, le seul, le vrai et l'unique pour
tout esprit humain. Par contre, j'ai la chance de ne pas croire en des
personnes physiques se considérant comme maîtres spirituels ou élus
comme tels et dans n'importe quelle religion existante sur Terre. Je pense
que tout être humain, dès l'instant ou il se considère comme maître
spirituel devient, par lui même, esclave de son pouvoir. Il perd sa
liberté de penser et devient rigide avec une partie prise spirituelle
initiale, même toute petite s'il est tolérant. De là, je n'ai jamais
pratiqué une quelconque religion existante. Par contre, je crois en la
philosophie bouddhique car Bouddha est un être humain comme moi ;
seulement grâce à une recherche spirituelle et personnelle, il est arrivé
à un stade d'esprit ne souffrant plus du tout (Bouddha : titre d'esprit).
Je souffre comme tout le monde ; Bouddha ne souffrait plus, comment a-t-il
fait ? Les circonstances de la vie m'ont fait venir en France pour étudier
la médecine occidentale. A 20 ans, seul et débarquant dans un monde
civilisé, tout nouveau, j'ai beaucoup souffert pendant les 5 premières
années de ma timidité maladive. C'était une sensation très désagréable
à vivre. Depuis toujours, ce monde sensationnel m'a beaucoup perturbé .
De cette souffrance, j'arrive à une conclusion bien simple : j'ai un
corps et un esprit. Mon esprit, dès l'instant où j'arrive au monde
terrien, est enfermé dans un corps, il n'est donc plus libre, c'était
pour cela que je souffrais. Pour ne plus souffrir, c'était à moi de
trouver le ou les moyens de me libérer de cet état de claustration, c'était
arriver à créer une harmonie absolue entre mon corps et mon esprit dans
un espace fermé . Pour cela, je
ne vois que 2 solutions possibles :
- soit par le corps : c'est à dire par un entraînement physique
et corporel, c'est ce que font la plupart des gens. Etant jeune, je l'ai
pratiqué, même en France, pendant les 5 premières années. Seulement
cette méthode ne m'apportait que peu de résultat. Physiquement, on ne
peut se dépenser que 3-4 heures par jour au maximum . Malgré la pratique
de sport physique à grande échelle aux Etats-Unis, la souffrance mentale
continue à faire des ravages parmi les jeunes des pays civilisés. Pour
échapper à cette souffrance , ces jeunes physiquement sains se droguent,
se suicident , ou forment des clans pour casser et détruire autrui
(guerre des gangs dans les grandes villes) .
- soit par l'esprit : c'est une technique d'entraînement mental
actif; c'est plus difficile mais plus efficace et durable. Je peux la
pratiquer 24h sur 24. En effet, l'esprit de mon corps est à moi seul . A
moi de savoir le diriger, je ne suis pas un robot . A partir de là, j'ai
pensé diriger ma pensée en permanence, quotidiennement et à n'importe
quel endroit, toujours dans le sens du bien être.
En temps normal, je fais en sorte que chaque geste de mon corps soit bien
vivant, c'est à dire que moi seul sais que c'est ma pensée consciente
qui dirige mes mouvements gestuels, comme sensoriels. Ce qui fait que mon
esprit vit et synchronise en permanence avec mon corps et sous la
direction volontaire de mon moi entier(= âme). De là, mon esprit vit
harmonieusement avec mon corps 24h sur 24 (en effet, si j'arrivais à
diriger mon esprit durant 16h conscientes de la journée, la nuit, pendant
les 8h de sommeil physique, mon esprit a assez de force pour travailler
tout seul dans la direction que je lui ai imposé le jour). Si la vie de
dehors va bien, mon esprit n'a pas à ralentir, il travaille au même
rythme normal. Il n'a qu'à absorber le "bien" de la vie du
moment et se renforce de lui même avec le même rythme quotidien de
toujours. Par contre, si la vie du dehors va "mal" (stress),
j'accepte intérieurement le mal tel qu'il est, j'accélère le rythme de
travail de mon esprit, car le moi entier considère le "mal" non
pas comme un obstacle de la vie, mais inversement mon esprit va utiliser
ce mal comme un outil d'entraînement. Ce mal - outil va être l'allié
conscient de mon esprit rythmant à une cadence plus soutenue, plus
consciente, permettant à mon moi entier d'accéder à un niveau spirituel
plus élevé en peu de temps, car mon esprit, en travaillant consciemment,
plus soutenu grâce à la présence de ce mal - outil (stress) va
augmenter d'un cran. La vie est pleine d'embûches, mais à chaque
obstacle volontaire ou non, mon moi entier va diriger mon esprit souple
mais ferme et, qui va utiliser cet obstacle - outil pour s'entraîner à
un rythme plus soutenu et plus conscient. L 'obstacle - outil va devenir
ainsi un stimulant conscient de mon esprit. L'esprit d'une personne
battante qui lutte pour rester en surface lorsque la vie va mal, on s'épuise
et on perd son énergie vitale propre à chaque lutte. A la longue, il
suffit d'un rien, la personne n'a plus de réserve vitale pour lutter et
ce sera la chute libre vers la dépression, suicidaire parfois. L'esprit
est à chacun, à chacun de le travailler pour ne pas souffrir.
De cet entraînement mental actif et quotidien durant 22 ans (de l'âge de
20 ans à 42 ans), j'ai pu acquérir un stade d'esprit clair en moi
(Bouddha). Ceci m'a permis d'accéder au monde réel invisible qui s'est
présenté devant moi dans la semaine du 21 au 27 mai 1991 à l'hôpital
Pierre Boucher à Longueuil (Canada - banlieue de Montréal). Voici le résumé
de ces 7 jours exceptionnels :
- le 21 mai 1991 : après 6 heures d'avion, j'arrivais à l'hôpital
P.Boucher pour assister aux dernières paroles de ma mère, Mme Pham –
Thi -. A 74 ans, cardiaque, infarctus au stade final selon les spécialistes
canadiens. J'avais l'impression que ma mère ne mourrait pas avant mon
arrivée au Canada. Dès mon entrée dans sa chambre (16h), j'ai une
sensation agréable, je savais déjà que ma mère allait sortir de cet état,
bien vivante. Avant mon arrivée, elle était mourante, dès l'instant où
elle m'a vu, l'éclair brillant de ses yeux parla en sa faveur. Le soir même,
elle ne souffrait plus d'aucune douleur précordiale, plus de crampes tétanisées
et généralisées des jours antérieurs. Elle a bien dormi cette nuit-là.
- le 22 mai 1991 : ce matin, je note une bradycardie importante aux
deux bras (20 pulsations/mn). Son état général s'améliore malgré
cette bradycardie. Je pense déjà à la mise en place d'un pacemaker. Mon
père pense que, peut-être, il n'y aura pas d'opérations car dans la
nuit, il a rêvé et a vu 5 anges gardiens (2 hommes et 3 femmes) autour
du lit avec une perfusion aux comptes gouttes et ma mère sera guérie.
L'après-midi, comme par miracle, sans aucun traitement, ses pulsations
remontaient à 60/mn et se maintenaient depuis. La cardiologue s'étonne
de la voir bien récupérer, elle ne l'avait jamais vu aussi bien depuis
10 ans qu'elle la suivait.
- le 23 mai 1991 : la sonde urinaire est enlevée. Ma mère mange
bien et va normalement à la selle. Cette nuit-là, dans la maison de mes
parents, j'ai reçu un ami d'école, notaire à Montréal, je lui montrais
les photos de ma famille. J'ai dû pour cela les sortir de mon
portefeuille. A minuit, je sens la présence d'un esprit, je me réveille
et suis attiré vers l'autel du Bouddha (il en existe dans chaque maison
asiatique) et où se trouve mon portefeuille. Soudain, je me mets à
pleurer en fixant la petite statue de Bouddha en bois. Je réalise enfin,
que grâce à mon entraînement mental actif depuis 22 ans, mon esprit
atteint le titre de Bouddha. Sur le moment, je croyais que c'était
l'esprit de Bouddha de cette statue de bois qui avait sauvé ma mère. En
réalité, c'est Dieu, le Père qui est à l'origine de tous ces événements.
- le 24 mai 1991 : ce matin maman se lève et marche seule. Le généraliste
n'en croyait pas ses yeux. Il me demande si je fais de l'imposition des
mains sur ma mère. Il me dit que ma mère va beaucoup mieux, elle pourra
sortir demain. Un déclic dans ma tête, je sais qu'un esprit Bouddha
s'est manifesté pour que je fasse sortir ma mère de l'hôpital demain.
Cette nuit-là, j'ai rencontré pour la première fois Quyên, un ami de Mê
(mon beau-frère). J'ai discuté avec Quyên sur les techniques d'entraînement
mental actif.
- le 25 mai : ce matin ma mère va nettement mieux, sa démarche
est légère comme une fée. En la regardant, je sais qu'elle a acquis le
titre de Bouddha comme moi, alors qu'elle ne savait ni lire ni écrire,
sauf beaucoup souffrir toute sa vie pour sa famille de 12 enfants encore
vivants ; je suis le 7ème (en réalité, je suis le 6ème car l'aîné, décédé
à l'âge de 15 ans d'une leucémie, est considéré comme le 2ème : frère
2). L'esprit de mon frère 2 m'a beaucoup aidé dans cette recherche
spirituelle. C'est lui qui s'est manifesté dans la nuit du 23 mai à
minuit en m'attirant vers la statue de Bouddha. Cette nuit-là, nous fêtions
le retour de ma mère dans le jardin. Me a un don, il est médium et sait
très bien lire les lignes de la main ; brusquement il est en transe et
parle joyeusement. Il me dit "C'est ton frère 2". A la fin de cette nuit inoubliable, Quyên
me dit que je suis déjà Bouddha Moyen. Il me donnait rendez-vous le
lendemain à 9h pour m'initier aux techniques zen pour un voyage astral
afin de devenir Bouddha Supérieur.
- le 26 mai : dès 9h du matin avec l'aide de Quyên, en 4h d'entraînement
aux techniques zen, j'ai le sentiment de pouvoir faire le voyage astral
pour devenir Bouddha Supérieur (esprit). A minuit (pour les initiés, le
moment propice pour les techniciens se situe entre minuit et 2h du matin),
j'ai pu faire 2 voyages astraux et accéder volontairement et consciemment
au monde spirituel, invisible et parallèle au monde terrestre. Je suis
devenu un vrai médecin, c'est à dire médium. J'ai pu par la suite
converser mentalement avec Mère 2 (Mère créatrice, unique de tous les
esprit existants sur Terre à l'intérieur ou à l'extérieur d'un espace
corporel). Mère 2 était aussi le maître spirituel de l'esprit de mon frère
2. En effet, depuis mon enfance, j'ai, à trois reprises assisté à des
scènes de médium où l'esprit de mon frère 2 parlait à travers le
corps de ma tante (4ème tante paternelle) à ma mère physique. Il a évoqué
souvent la présence de son maître spirituel. Il ne pouvait venir se
manifester que si son maître le lui autorisait .
- le 27 mai 1991 : retour en France via Londres.
Dernière mise à jour le mercredi 05 septembre 2001
|