Livre I - chapitre 3
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LIVRE I - CHAPITRE 3

DIEU - LE PERE ANDROGYNE ( DIEU DE MISERICORDE ET D'AMOUR ) - LE SEIGNEUR ETERNEL ET LE PEUPLE CHRETIEN

L'an UN horizontal sur la planète Terre correspond à la rencontre intra cosmique entre Dieu, Le Père, Dieu de Miséricorde et d'Amour, le Créateur avec l'esprit pur du Christ , sa création humaine. De cette rencontre immémoriale, un événement miraculeux est survenu avec la naissance de Jésus-Christ en l'an 1 (ère chrétienne).
Selon les chrétiens, Jésus ou "Jésus-Christ" était le fils de Dieu et le Messie prédit par les prophètes juifs (Zacharie.). Sa vie et Son œuvre nous sont connues par les Evangiles. Jésus naquit à Bethléem vers l'an 749 de la fondation de Rome soit en l'an 4 ou 5 avant l'ère qui porte son nom. Menacé par la tyrannie ombrageuse d 'Hérode, représenté par son pion , Ponce Pilate , il échappa au massacre des nouveaux nés et fut emmené en Egypte par Joseph et Marie (Vierge Marie A, sa mère) et, à son retour, s'établit à Nazareth où il passa sa jeunesse. Il commença, à 30 ans, à prêcher sa doctrine en Galilée puis à Jérusalem où il fut en butte à l'hostilité croissante des juifs pharisiens.
Jésus ne se présentait pas comme le fondateur d'une nouvelle religion ; il portait la loi de Moïse et la prédication des prophètes à leur plénitude ; il n'annonçait pas un royaume charnel mais spirituel. Un de ses apôtres, Judas, le trahit pour trente pièces d'argent. Après avoir célébré la Cène (dernier repas du Christ) et institué l'eucharistie (le symbole de l'Amour partagé équitablement des deux mondes Ciel et Terre , au fond du cœur  du divin manifesté , de Yéoshua, l'Eternel Y.H.W.H., qui aima à égalité parfaite le monde des anges et celui des hommes) , Jésus comparut devant le grand prêtre des Juifs, Caïphe puis devant la justice romaine représentée par Ponce Pilate. Condamné par le premier, abandonné par le second, abreuvé d'outrage, il monta au calvaire où il mourut crucifié. Enseveli par les Saintes Femmes, il ressuscita trois jours plus tard et au bout de 40 jours, s'éleva au ciel tandis que les apôtres partaient répandre le christianisme dans le monde, dont Pierre, Celui qui a pourtant renié trois fois, en une seule journée, de ne pas reconnaître Jésus en tant que son Maître et son Frère de même bord. De cet acte lâche, nous apprenons ceci :
"Pierre marchait sur l'eau.
C'est ma réponse.
Lorsqu'il n'a plus eu confiance en lui,
il s'est enfoncé." (Dialogues avec l ’ Ange).
A l'inverse de Pierre, Judas n'a trahi Jésus qu'une seule fois et pas deux. En effet, suite à sa dénonciation pour désigner l'endroit où logeait Jésus aux hommes de main du Grand - Prêtre Caïphe, qui chercha à éliminer physiquement Jésus – l'hérétique, la Lumière faisant de l 'Ombre à notre homme, le Juge - corrupteur du Sanhédrin ; pris de remords, Judas s'est suicidé. De toute façon, que Judas le dénonça ou non, Jésus s'est jeté de son plein gré dans la gueule du loup, pour en finir une fois pour toutes, avec la prêtrise trop ritualiste et trop imbue de leur pouvoir sacerdotal, emmenant ainsi le peuple élu hors du sentier battu et tracé par Yahvé, l'Eternel. En effet, la haute hiérarchie du Sanhédrin n'a jamais pratiqué ce que Yahvé a dit à son peuple :
"Que m'importe la foison de vos sacrifices, déclaré Yahvé !
Je suis rassasié des holocaustes des béliers et de graisse des veaux.
Et le sang des taureaux, des agneaux et des boucs,
Je n'en veux plus !
Lorsque vous venez Me visiter,

Qui vous l'a demandé !
De fouler Mes parvis
Ne continuez point,
Ni d'apporter vos offrandes !
Vaines sont les fumigations :
Je les ai en horreur !
Les néoménies, les sabbats,
Les convocations d'assemblées,
Je ne puis plus les supporter,
Ni les jeûnes, ni les festivités !
Et les premiers de mois et de vos solennités,
Mon âme le déteste
Tout cela m'est à charge
Et j'en fais le fardeau !
Lorsque vous étendez vos paumes (pour prier)
Je ferme les yeux devant vous !
Vous avez beau multiplier les prières,
Je n'entends pas !
Vos mains sont pleines de sang !
Lavez-vous , purifiez-vous !
Ecartez le Mal de vos actes
Loin de Ma vue !
Détournez-vous de méfaire
Et apprenez à agir bien :
Poursuivez le droit,
Secourez les persécutés
Rendez justice aux orphelins.
Soyez les défenseurs des veuves ! " (Isaïe, I ,11-17)
(Honnêtement , quels chefs religieux monothéistes, au sommet de leur trône haut perché, tel le Pape catholique, l'ayatollah chiite et autre Rabbin intégriste juif, peuvent prétendre agir selon les vœux  de Yahvé ici réclamés . Tous, vous avez bien abusé de vos pouvoirs religieux ritualistes, d'une manie extrême confirmant ainsi ce qu'a dit Lao - Tseu :
"Le véritable homme de bien agit sans avoir de raisons de le faire .
L'homme de justice agit car il a des raisons de le faire .
L'homme qui se conforme aux rites agit et veut les imposer par la force .
Ainsi si l'on oublie le Tao, il reste la vertu .
Si l'on se détourne de la vertu, il reste la bonté.
Lorsque la bonté est perdue , il reste la justice.
Lorsqu'on abandonne la justice , on recourt aux rites.
Or, les rites ne sont que l'apparence de la vérité et de la sincérité.
Ils sont aussi l'amorce de la confusion
" ).
D'où la venue de Jésus-Christ en chair et en os en tant que  le "Verbe qui s'est fait chair" et "Fils de l 'Homme", pour dénoncer les Rites non-sens du Monothéisme originel, qui s'est écarté du chemin juste et droit de Yahvé (ou Son âme Transcendantale et Très - Haut placée) .
Les circonstances de la naissance de Jésus des Evangiles, fils de Vierge Marie, épouse non consommée charnellement du charpentier Joseph, restaient mystérieuses jusqu'à cet fin XXème siècle. Ceux et celles qui doutaient de l'existence de la virginité de Vierge Marie A Noire, la Mère de Jésus-Christ, qui l'accouchait à Bethléem, eurent bien tort par ignorance scientifique et métaphysique.
En cette année 1, le Père Céleste, Dieu de Miséricorde et d'Amour, retrouva la trace de l'esprit pur du Christ Alpha(ou Saint Esprit Alpha) ,qui fut emprisonné et totalement endormi sous - Terre. Le Seigneur ressuscita ou réveilla le Saint Esprit Alpha en pleine hibernation, qui porta ensuite son choix divin de Dieu Tout puissant sur la personne de Marie, une fille juive, vierge de tout rapport sexuel. Ensemble, à quatre, le Seigneur (le Père Céleste), le Saint Esprit Alpha - Christ androgyne, l'esprit androgyne de Vierge Marie A noir et l'âme – divino - masculine, transcendantale et Très - Haut placée de Yahvé Y.H.W.H., concentraient et fusionnaient leurs efforts communs , spirituels et purs ,déclenchant ainsi la naissance miraculeuse de Jésus-Christ. Concernant, la nature et l'essence d'androgyne profond de l 'Esprit Saint Alpha - Christ, le Maître Jésus des Visions Esséniennes (ou Son âme divino - lumineuse et masculine) nous le dit en ces termes : "En toute vérité, depuis l'aube des temps la conscience des maîtres engendre celle des esclaves et celles des esclaves appelle et renouvelle celle des maîtres .Depuis des générations et des générations la conscience de l'homme étouffe celle de la femme qui adore et nourrit celle de l'homme .Y- a-t-il de la place pour moi au milieu de tout ceci ? En moi le maître et le serviteur se confondent. Tantôt mon regard est homme, tantôt il est femme . L 'Esprit n'est ni mâle ni femelle et mon Père est en même temps ma Mère de toute éternité. Parfois ma Mère ouvre les bras et offre , parfois mon Père ouvre la bouche et souffle . Bientôt ma Mère écartera les bras( ...).Dans deux fois mille ans .....ainsi que tu l'as pressenti , Myriam....et c'est pour que son offrande soit plus pleinement accueillie qu'aujourd'hui je vous parle et que j'entretiens les germes ..."
Cette fécondation physico – spirito – et - surnaturelle est une réalité scientifiquement prouvée en cette fin  XX è siècle, de l 'E.C.. En effet, la science médicale grâce à des techniques sophistiquées peut désormais faire féconder une fille vierge sexuellement (aucun rapport sexuel physique) par fécondation in vitro de l'œuf  fécondé, androgyne , en éprouvette (prélèvement de l ' ovocyte – « XX » mature de la fille vierge d'âme féminine, identifié, personnifié et mis en contact avec les spermatozoïdes, XY, d'un donneur masculin d'âme anonyme) et réimplantation de cet œuf fécondé , androgyne , car ni mâle ni femelle , à l'intérieur utérin de la fille vierge. Ensuite ,ce sera la loterie nationale - universelle à l'intérieur de l'utérus maternel pour sortir le sexe de l'enfant – fœtus  , soit masculin (le gros lot tant espéré par les femmes hindous, chinois, arabes), soit féminin (le mauvais sort pour la plupart des femmes ignorantes et esclaves de leurs cultures ancestrales sociaux – économiques – et religieusement aberrantes), soit hermaphrodite (c'est la catastrophe pour les femmes de la civilisation européenne cartésienne, qui n'aime pas du tout cet état mi-figue, mi-raisin ; c'est  très rare heureusement). Scientifiquement, l'équipe médicale cartésienne n'aime pas trop les échecs , d'où leur tentation logique de mettre plusieurs lots "œufs fécondés androgynes" à l'intérieur de l'utérus féminine pour avoir au moins un gros lot à la sortie . Parfois, tous les lots sont sortis , nous avons ainsi des records de loto avec des sextuplés, des quintuplés, des quadruplés, etc.
Cette technique a réussi par une équipe de médecins spécialisés anglais chez une fille vierge désirant avoir un enfant pour elle seule. Physiquement, la fille resta vierge car son hymen n'est pas défloré ; par contre elle est enceinte  et a pu donner naissance à un enfant viable. Ceci prouve une évidence réelle importante, l'homme médecin, Dieu terrestre, spirituellement issu de Dieu céleste, a mis presque 2000 ans pour réaliser l'exploit médical de procréation que le Saint Esprit Alpha - Christ androgyne a déjà réalisé en l'an 1 sur Marie à Bethléem.
Après avoir été baptisé par Jean-Baptiste, un prophète ultérieurement mis à mort par le roi fantoche Hérode, Jésus se met à prêcher et à faire des miracles. Le Seigneur, Dieu le Père, a réalisé un seul miracle pour aider Jésus à convaincre l'humanité ignorante, païenne, de l'existence réelle de Dieu le Père. Le Seigneur a ressuscité un mort en la personne de Lazare. Les autres miracles de Jésus étaient l'œuvre de l'Ange Blanc Fantôme déchu (Jésus marchant sur l'eau, Jésus faisant couler du vin à flot avec une jarre d'eau lors d'un banquet de mariage dans un village, Jésus distribuant des poissons et du pain à des milliers de personnes avec seulement deux petits paniers de pêcheurs, etc.). Avec de tels pouvoirs, l'esprit alpha - christ de Jésus emprisonné par son corps matériel, physique impur, s’enorgueillit et se prenait pour le seul et vrai fils - ange élu de Yéoshua, l'Eternel, celui qui s'est sacrifié lors du 1er grand big bang universel (Cette auto - sélection divino - angélique et christique entraîne la jalousie des autres anges issus du sacrifice primordial par l'auto - suicide de Yéoshua, l'Eternel, qui abandonna son corps subtil angélo - humain à chacun de ses serviteurs, l'armée des anges). L'esprit fut comparé à l'air ; en effet il est écrit (Dialogues avec l'ange) :
"La flamme grandit. La lumière se répand.
La matière se purifie lorsqu'elle brûle.
L'air – l 'Esprit.
La flamme - l'Individualité.
L'air est invisible.
la matière est lourde, épaisse, aveugle.
La flamme est le lien.
Sans air - la matière ne brûlerait pas.
Sans matière - il n'y a pas d'Individualité libératrice."
Ainsi, emprisonné dans son Corps, "Matière lourde , épaisse et aveugle", l'Esprit – « air androgyne – angélique » de Jésus est pollué par son orgueil, l'a rendu homme simple avec ses émotions, ses passions, ses colères comme tout être humain normal, dont nous sommes tous . Il renversa les étalages des marchands de colombes à l'intérieur de la cour du temple (Mtt , 21,12-13), il ignorait que les pauvres gens – ses frères et sœurs avaient besoin de vendre leurs marchandises pour vivre. Flatté ensuite par l'idolâtrie de la foule humaine avide des scènes de miracles, Jésus se trompait ainsi de chemin. Il voulait fonder un royaume purement spirituel et non charnel sur Terre au nom de Dieu, le Père, le Fils et le Saint Esprit (ou la Trinité chrétienne). L'âme de Satan, bien caché au tréfonds de l'âme de chaque être humain, s'est manifesté en la personne physique de Jésus de Nazareth ; d'où ses actes de violence physique envers autrui. Bien que le christianisme passe pour une religion de la paix, il est probable que Jésus entretenait des rapports suspects avec les Zélotes, combattant juifs fondamentalistes, dont le but était de mettre fin à l'occupation romaine en Palestine. Ainsi à la fin de sa vie, Jésus redevint homme comme tout humain ; il voulait avoir du pouvoir comme tout être humain ambitieux. Il pensait être le "Fils de Dieu" alors qu'il était un simple homme comme nous tous.
Dieu, ou la Lumière Ayn-Soph (la Déité boëhmienne , pure Lumière Incréée, Incarnée en Adam – Kadmon ) et Dieu , le "Buisson Ardent" (ou Yéoshua, l'Eternel, la divinité manifestée, ou Celui qui Se Nomme par Jeu « Y.H.W.H., le Très – Haut » - Dieu d'Israël et des armées célestes) testèrent ainsi la perspicacité spirituelle de l'humanité terrienne , ses créatures et amis pour savoir si elle sera capable de parvenir seule jusqu'à Lui et/ou Elle, de façon directe et sans passer par la classe d'êtres intermédiaires, donc la prêtrise et autre gourou - homme savant et mortel, qui furent esclave de leur pouvoir spirituel, soi-disant intemporel. Il et/ou Elle a envoyé l'esprit du Christ androgyne sur Terre en la personne de Jésus de Nazareth pour faire passer un simple message à l'humanité terrienne de vivre en paix entre elle et d'être heureuse. Le Seigneur, Dieu de Miséricorde et d'Amour (ou Son âme transcendantale de Très - Haut) a mis tout Son Espoir sur l'humanité terrienne et Que la Vérité monte de la Terre ! C'est ce qui est écrit (Psaumes, LXXXV, 12) : "La Vérité germera de la Terre". Pour parvenir à ce stade, l'humanité terrestre, enfants d'Adam et Eve, devra combattre les descendants issus du Serpent, qui sont condamnés à ramper sur leurs ventres, à prosterner et à pratiquer d'autres rites initiatiques qui "ne sont que l'apparence de la vérité et de la sincérité", et qui "sont aussi l'amorce de la confusion" si on les pratique de façon trop maniaque et bêtement, sans en saisir le vrai sens symbolique.
Le canon chrétien a mis à peu près quatre siècles à se constituer. Il consiste dans les 27 écrits dits du Nouveau Testament (par opposition à la Tanakh judaïque ou Ancien Testament) :
- 4 Evangiles (Marc, Matthieu, Luc et Jean)
- les Actes des Apôtres (attribués au rédacteurs de l'Evangile selon Luc, qui serait disciple de l'Apôtre Paul)
- les Epîtres des Apôtres (4 attribués à Paul, une à Jacques, 2 à Pierre, 3 à Jean et une à Jude)
- et enfin l'Apocalypse (révélation) attribué à Jean.
Dans toute cette littérature, l'Ancien Testament est souvent interprété de manière allégorique comme prophétie de la venue du messie Jésus-Christ. Son inclusion dans le Canon chrétien s'est heurtée de bonne heure à la résistance du théologien Marcion de Sinope (vers 80-155 après J.-C.). Le problème a été reconsidéré plus tard par Martin Luther (1527-1537) et par l'évangélisme tardif allemand jusqu'au début du XX è siècle (Adolphe Von Harnack). L'authenticité des écrits du Nouveau Testament fait l'objet d'un débat qui se poursuit depuis 500 ans. Toute cette pagaille d'interprétation de la Bible (Ancien et Nouveau Testament) est due à l'aveuglement spirituel des 12 Apôtres devant le pouvoir surnaturel de l'Ange Blanc Fantôme déchu par le Seigneur sur la planète Terre. Cet Ange Blanc fantôme multiforme a déjà trompé Jésus-Christ par des scènes de miracles ; il a fait ressusciter Jésus-Christ en images holographiques pour tromper ensuite les 12 Apôtres et les Saintes Femmes assistant à la crucifixion de Jésus au mont Calvaire.
L'Evangile selon Marc, rédigé vers 70, est le plus ancien. Les deux autres (vers 80) suivant Marc et une seconde source appelée "Q" écrit peu avant l'an 100, l'Evangile dit de Jean est plus ésotérique et incorpore des éléments platoniciens très marqués, surtout dans l'assimilation du Christ au logos de Dieu, qui est le plan divin de l'Architecture du monde. D'autre part l'Evangile de Jean contient une opinion fort négative vis à vis du monde social (appelé "Ce Monde"), dominé par le Diable (ou Satan) qui apparaît comme adversaire plutôt que comme serviteur de Dieu. Ces conceptions approchaient du gnosticisme et de la littérature essénienne du Qumran.
Les Evangiles synoptiques (Marc, Matthieu et Luc) donnent souvent à Jésus le titre de "Fils de l'Homme" (utilisé par le prophète Daniel). Ses disciples l'appellent masiah (messie), c'est à dire consacré, en grec Christos. Il fut crucifié sous l'inscription "Jésus de Nazareth, roi des Juifs", on lui prêtait l'idée d'appartenir à la lignée royale davidique. Jésus Christ n'a jamais proclamé ouvertement son identité de messie. A l'époque où le christianisme n'était qu'une secte juive, des sectes comme celle des ébionites tenait Jésus pour un simple prophète et ne croyait pas à sa résurrection.
C'est Paul qui met la Résurrection au centre du message chrétien. Paul de Tarse, le génial idéologue du christianisme a mené le monde céleste à la perte. Il s'est fait piéger par la bête 666 en lui . De son vrai nom, il s'appelait Saul et provient d'une famille juive de la diaspora, assez riche, pour lui permettre une éducation classique à côté d'une solide instruction dans la Torah. Il est citoyen romain et pharisien. Il commence par persécuter les chrétiens, mais se convertit à la suite d'une vision du Christ ressuscité sur la route de Damas. (Nota : toutes les apparitions fantomatiques de l'image du Christ ou autres vues par les hommes, Paul ou autres masculin sur la planète Terre étaient l'œuvre  de l'Ange Blanc déchu par le Seigneur, le Père Céleste). Cet Ange androgyne de nature sado - masochiste a tout fait pour tromper et manipuler l'humanité terrestre , en la guidant à honorer, à ritualiser et à glorifier l'esprit de l'Ange de la Mort au nom du Seigneur, Dieu de Miséricorde et d'Amour, à travers des pratiques et autres politiques religieuses antiesprit/principe christique.
L'activité missionnaire de Paul commence peu après et consiste dans l'expansion du christianisme hors du judaïsme, parmi les gentils. Autour de l'an 48, Paul et ses collègues, après avoir passé deux ans en Asie Mineure, s'embarquent pour l'Europe. Ils fondent les églises de Philippe de Thessalonique, de Corinthe. Alors que le parti judaïsant de Jérusalem conçoit toujours le christianisme comme une branche du judaïsme et requiert la circoncision et le respect des prescriptions normatives de la Torah, Paul prend le parti audacieux d'émanciper le christianisme du judaïsme, en opposant le régime de la loi à la liberté dont jouit le chrétien sous le régime béni de la foi. Ce moment de crise et de tension entre Paul et l'église mère de Jérusalem, conduite par Jacques, frère de Jésus, et par Pierre, forme l'objet de l'Epître de Paul aux Galates d'Asie Mineure (vers 53 après J.-C.). L'activité de Paul se termine par son emprisonnement. Plus tard, on le retrouve à Corinthe où il préparera sa mission à Rome et en Espagne. Autour de 57, il visite Jérusalem et projette le voyage à Rome. Il s'arrête à Césarée où il est emprisonné pendant 2 ans ; il demande à être examiné par l'empereur en personne. Ainsi arrive-t-il autour de 60 à Rome. Deux ans plus tard, Paul sera exécuté sous Néron.
Marcion de Sinope (80-155 après J.-C.), premier théologien biblique de l'histoire, conclut que le Nouveau Testament écrit par Paul et l'Ancien Testament ne sauraient prêcher le même Dieu. Il ne fait ainsi qu'accentuer la brèche entre judaïsme et christianisme entamée par Paul. Je note ici au passage que l'église de Rome à l'époque rejeta la doctrine et les dons de Marcion, riche armateur du Pont-Euxin. Par contre, actuellement, fin XXème siècle, cette même église accepte l'argent de la MAFIA italienne et des hommes politiques riches et pourris de la Démocratie chrétienne.
Le gnosticisme est chronologiquement le second grand adversaire du courant central du christianisme (Nouveau Testament). Une barrière infranchissable se dressa entre christianisme et gnosticisme. Le premier admet la vérité de la Genèse biblique et fait sien le Dieu de la Torah, alors que le gnosticisme transforme le Dieu de l'Ancien Testament (la Divinité manifestée de Yéoshua l'Eternel, Y.H.W.H) en Démiurge de ce monde, par contraste avec le vrai Dieu, premier et unique, isolé dans sa transcendance presque inaccessible (ou l'Ayn-Soph kabbale , ou la Déité boehmienne).
Acceptant aveuglément les termes de la Genèse, les chrétiens (Nouveau Testament) tiennent le monde pour bons mais de nouveau ils se rapprocheront des gnostiques dans la doctrine de la chute du couple humain primordial surtout dans l'interprétation que lui donnera le manichéen converti Augustin, évêque d 'Hippone. Manichéen pendant 9 ans, le jeune et ambitieux orateur africain qui s'établit à Milan (384) reconnaît que l'avenir est dans le christianisme. Il se sépare des manichéens et reçoit le baptême d'Ambroise (387). Ordonné prêtre à Hippone (hippo Régius aujourd'hui Annaba en Algérie) en 391. Il en devient évêque en 395. Deux ans plus tard, il écrit les confessions, s'adressant à tous, ce que la mondanité a dû servir à quelque chose dans la carrière de notre repenti, car il prend parti contre le rejet manichéen du monde et contre l'église dominante en Afrique du nord, celle des donatistes qui exigent de leurs prêtres la pureté morale. En effet, dans l'hérésiologie chrétienne "Donatisme" finira par désigner une catégorie (à laquelle appartiennent, par exemple, les Vaudois XII è siècle) qui refusent la validité du sacrifice ex opere operato c'est à dire par la seule force de l'action du prêtre ; c'est l'être moral de ce dernier qui influe sur le résultat de l'oblation, qui a donc lieu ex opere operantis. Enfermé dans une impitoyable doctrine autoritaire, Augustin n'hésitera devant aucun moyen pour l'emporter sur ses adversaires, qu'il réduira effectivement en poussière, utilisant sans scrupule la force de l'état contre eux. Mais le manichéisme continue de parler en lui et à travers lui, il devient en quelque sorte la doctrine officielle de l'église. Tout comme avec la doctrine de la grâce du moine Pélage (mort en 418) qui croit fermement au libre arbitre. Selon lui, comme selon de nombreux théologiens de l'époque, la nature humaine est foncièrement bonne et peut faire le bien même sans le secours de la grâce. Le clair obscur de l'expérience augustinienne du monde, avec la forte répudiation d'un passé de volupté et de frivolité dont cependant notre évêque devait être souvent nostalgique, ne correspond pas à la tranchante clarté de la position pélagienne. Ce n'est pas pour une église de Saints mais pour une église de pécheurs comme lui-même qu'Augustin formule sa doctrine antipélagienne, précisant que tout homme a hérité du pêché originel et, que par conséquent, il n'y a que la grâce qui puisse lui restituer la capacité de choisir, lui rendre cette même liberté qui, mal exercée, avait provoqué la chute des premiers représentants de l'humanité. Cela revient à dire que seuls Adam et Eve avaient été libres, et qu'ils avaient choisi le mal. Le pêché originel s'hérite ; chacun de nous venant au monde n'est libre que de choisir le mal, mais le secours de la grâce rend possible le choix du bien. Cependant, la grâce n'est pas accordée à n'importe qui, ni pour des raisons évidentes ; elle n'est accordée qu'à certains prédestinés (predestinati), selon une raison mystérieuse de Dieu. Qui plus est, le nombre des prédestinés est limité à celui des anges déchus dont les places célestes sont libres. Le reste des hommes appartient à la masse des rejetés (massa perditionis) qui n'auront pas part au salut ( donc les hindous, les bouddhistes ,etc..) . Devant le déclin de l'empire romain, Augustin (prêtre impie selon les Esséniens) établit dans la cité de Dieu (413-427) la totale indépendance de l'église par rapport à tout système politique. Même position chez son partisan Orose (418) ; l'empire disparaîtra, l'église subsistera sous ses conquérants. La course au pouvoir absolu éphémère entre les dirigeants rois, empereurs, papes ou autres hauts prélats du christianisme était telle que le pape réformateur Grégoire VII (1073-1085) se proclame supérieur à toute autorité temporelle et refuse à l'empire (désormais allemand) le droit d'accorder, l'investiture ecclésiastique, osant jusqu'à écrire en noir sur blanc dans son Dictatus Papae, qui comprend entre autres, les revendications suivantes :
- l'Eglise romaine est fondée par Dieu seul
- (le pape) seul peut utiliser les insignes impériaux
- du pape seul tous les princes baiseront les pieds
- une décision faite par lui ne peut être annulée par personne ; et lui seul peut l'annuler
- lui-même ne peut être jugé par personne
- l'Eglise romaine ne s'est jamais trompée et elle ne se trompera jamais, éternellement , l'Ecriture lui portant témoignage.
Ces affirmations rencontrèrent une réponse hostile de l 'empereur, le jeune Henri IV, qui avait repris la succession alors qu'il était encore mineur et qui commençait à affirmer ses propres droits vers 1070 . L'empereur Henri IV dépose le pape en 1076 ; le pape à son tour dépose et excommunie l'empereur, obligé par ses princes à mendier le pardon du pape à Canossa. Mais la lutte reprend de plus belle et ne trouvera de solution que par les armes. Henri IV nomme son propre pape (Clément I) et occupe Rome (1083) et se fait couronner par lui (1084).Les aventures à la quête de la suprématie européenne continueront pendant des siècles, dans un climat politique de plus en plus complexe entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel (royal ou autre humain).
Beaucoup de morts et pourquoi ? Tout simplement pour mourir en homme - esclave d'un pouvoir temporel et bien éphémère. En effet , selon le Maître Jésus des Visions Esséniennes : "La Liberté n'est pas un état de Pouvoir mais un état de Puissance , c'est-à-dire un état d ' Etre .Un souverain qui exerce son pouvoir croît sans doute gouverner , mais en réalité , il reste esclave de ce qu'il n'est pas. Il court sans cesse après une liberté qu'il ne possède guère , après un pouvoir qu'il ne maîtrise pas encore .L'homme qui exerce sa puissance est , quant à lui, souverain parmi les souverains . Son cœur et ses yeux ne connaissent pas de frontières parce qu'il est centré sur mon Père qui vit en lui .C'est ainsi que s'accomplissent les prodiges et que la fleur se révèle en l'épée".
Les papes et autres empereurs soi-disant chrétiens, hommes - esclaves de leurs pouvoirs, croyaient sans doute bien gouverner , mais en réalité, ils restaient esclaves de ce qu'ils n'étaient pas . D'où l'infiltration inévitable du Malin, Lucifer - le Porteur de Lumière , dans leur cœur et leurs yeux « d’Aveugles guidant d'autres aveugles », guidant ainsi leurs peuples - zombies, disciplinés au fin fond de la Fosse à la fin des temps bibliques , confirmant par la même occasion ,le sens donné à cette inscription déchiffrée sur le bas-relief d'un temple babylonien : "Les hommes ne sont que l'ombre de l'Homme, l'Homme n'est que l'ombre de Dieu"; ainsi que le sens prophétique de cette parole évangélique de Jésus-Christ : "C'est pour un Jugement que je suis venu en ce monde: Pour que voient ceux qui ne voient et pour que ceux qui voient deviennent aveugles", Jean, 9, 39 ).
La "Renaissance du XIIème siècle" (formulée par Charles Homer Haskins) provoqua une éclosion spectaculaire de l'histoire religieuse de l'occident. En 1085, les royaumes de Castilles et de Léon réunis conquirent sur les musulmans Tolède (l'ex capitale du royaume Wisigoth) ; en 1099, les croisés en Terre Sainte conquièrent Jérusalem sur les Turcs Seldjoukide proclamant en 1100 le royaume de Jérusalem sous Baudouin. Enfin, la présence de Bernard de Clairvaux (1091-1153) donne une lecture nouvelle à l'histoire de son temps et insuffle de nouveaux idéaux religieux, aussi bien dans le mouvement monastique réformé que dans la quête spirituelle des laïcs. Les conséquences de la prise de Tolède sont incalculables. Des moines y affluent de toutes parts, attirés surtout par l'aura exotique, de progrès et de mystère qui entoure la civilisation arabe. Sous la direction de l'archidiacre dominicain Gundisalinus, les traducteurs effectuent leur lent et monumental travail de transposition de la culture arabe et à travers elle, de l'Antiquité gréco-romaine en latin. Le plus grand parmi eux sera Gérard de Crémone (1114-1187). A travers l'activité des traducteurs, l'Europe chrétienne découvre et adopte la philosophie d 'Aristote qui deviendra le fondement de la nouvelle philosophie scolastique, propagée par Albert le Grand (1193-1280) et Thomas d'Aquin (1225-1274). Leurs précurseurs avaient été des penseurs comme Anselme d'Aoste (1033-1109), Pierre Lombard (mort 1160) auteur des fameuses Sentences et Pierre Abélard (1079-1142), intéressant pour ses conceptions sur la supériorité de la femme sur l'homme, qui semblent prévenir de l'amour courtois. Mais le nouvel âge est aussi marqué par une dévotion particulière à la Vierge, Mère de Dieu, qui est en fait, sinon de droit au moins de fait, l'égale des personnes trinitaires, vraie regina coeli, étoile salutaire qui intercède pour les humains. Les cathédrales, en général consacrée à NOTRE-DAME, qui surgissent dans le nord de la France vers 1150, sont le symbole visible de la nouvelle spiritualité (actuellement je note l'existence de deux vierges, la Vierge Noire A au Puy, France, et la Vierge Blanche B à Lourdes, France ; ailleurs à travers le monde c'est pareil).
L'idée de fonder l'Ordre du Temple vient à Hugues de Payen à Jérusalem et doit avoir quelque rapport avec l'ordre des Assassins ou Nizaris ismaélites fondé par Hassan i Sabbah dans les montagnes de l 'Elbourz en Iran. Les Templiers porteront une croix rouge sur un manteau blanc, et les chevaliers de l'Hôpital de Saint Jean de Jérusalem (1530 à 1798 chevaliers de Malte) qui inversent souvent le symbolisme des Templiers, finiront par adopter comme emblème une croix blanche sur fond rouge. En 1118, avec l'appui de Bernard de Clairvaux, qui fera adapter pour eux la sévère règle de Saint Benoît aux conditions de la vie militaire, les Templiers recevront la reconnaissance officielle et auront le droit de porter les armes pour défendre les pèlerins en Terre Sainte. En pratique, ils deviendront les spécialistes de la défense de Jérusalem et après que le pape leur eut accordé (ainsi qu'aux Hospitaliers) le privilège d'une dépendance directe du siège pontifical, sans avoir à passer à travers la filière de la bureaucratie ecclésiastiques, les Templiers et les Hospitaliers, seront les maîtres véritables de la Terre Sainte. Les Templiers assurent d'abord le transport de l'argent des pèlerins, ils transporteront l'argent en Europe et finiront par émettre des certificats d'échange. Banquiers des rois, n'ayant à rendre de compte de leurs activités à personne d'autre qu'au pape, les Templiers finiront par inquiéter par leur richesse et leur indépendance, le pouvoir de l'état en train de se consolider .Philippe le Bel, en 1307, fera arrêter tous les Templiers de France et exercera la pression sur le pape (Clément V, exilé à Poitiers puis à Avignon) pour qu'il se désolidarise d'eux. L'ordre des Templiers sera dissous en 1312, son grand maître Jacques de Molay sera en 1314 la dernière victime de la mise en scène de Philippe et de son Garde des Sceaux, Guillaume de Nogaret.
Dans la panorama de la "Renaissance du XII è siècle", les Cathares occupent une place particulière. Ils sont les fidèles de deux religions provenant de cet empire Byzantin dont l'église ne maintient plus de rapports avec l'église occidentale depuis 1054 (schisme d'orient). Une le Bogomilisme, a fait son apparition en Bulgarie et a gagné Constantinople au début du XI è ; elle est traitée comme une hérésie et persécutée par le feu et le glaive mais ses dogmes sont en réalité assez proches de l'orthodoxie. D'anciennes doctrines docètes s'y retrouvent qui veulent que le corps physique du Sauveur (et probablement de Marie) soit un fantasme trompeur. Anti judaïques, les bogomiles transforment Yahweh en Satan. La seconde doctrine des Cathares, qui remplace l'autre en Occitanie après 1167, date du concile cathare de Saint Félix de Lauragais, auquel participa l'évêque Byzantin Nicétas ; elle est ce qu'on appelle la "revitalisation" d'une ancienne hérésie, l'origénisme des Pères du désert de Nitrie au IVème . Les Cathares origénistes (les Albigeois) ou "radicaux" pour les distinguer des Bozomiles "mitigés" ont une doctrine plus élaborée. La doctrine des Cathares radicaux est réunie dans les 7 traités originaux en latin réunis sous le titre de "Liber de duobus principiis". Ils voient dans l'origénisme, professé par des ascètes et des intellectuels aux IVème et Vème siècle, surtout dans le désert égyptien et condamné au VIème, l'origine de la partie la plus importante de leurs croyances qui comprend :
- la métensomatose (préexistence de l'âme)
- la corporéité des anges
- la double création et l'existence des mondes parallèles
- l'idée de la multiplicité, des jugements des âmes
- l'existence de corps de résurrection qui ne sont pas les corps physiques ici bas
- la négation de l'omnipotence et du libre arbitre de Dieu, Y.H.W.H. (la Divinité manifestée).
En 1209, une croisade est lancée contre les Albigeois conduite d'abord par un militaire, Simon de Montfort (=Satan ou fils des ténèbres), qui fera raser des villes et des villages sans se préoccuper de distinguer les hérétiques des bons catholiques. La lutte entre la couronne de France et les seigneurs occitans libres se poursuivra avec acharnement et des revers de fortune jusqu'à la prise de la principale forteresse cathare (Montségur) en mars 1244. L'instrument de l'inquisition royale sera crée lors de la croisade Albigeoise (1231) et confié à l'ordre des Frères Pêcheurs plus connu sous le nom d'ordre Dominicain, d'après son fondateur (1216) Dominique Guzman (ordo praedicatorum) qui copiaient le mode de vie des frères cathares missionnaires. Parmi ces O.P., je cite frère Gaillard de Pomiès qui participa avec conscience à toutes les enquêtes et répression qu'ordonna Jacques Fournier, évêque de Pamiers de 1317 à 1326. Ce prélat lucide dévoré d'un zèle inquisitorial appartient aux nouvelles élites occitanes qui vont prendre le contrôle de la papauté d'Avignon. Il sera pape sous le nom de Benoît XII. En 1326, le pape Jean XXII lui envoie ses félicitations pour les efforts, couronnés de succès, qu'il a déployés en zone "appaméenne" dans la chasse aux hérétiques. La manie policière, inquisitoriale de Jacques Fournier était telle qu'il a consigné tous ses mérites religieuses dans un registre inquisitorial. Celui-ci suivit ensuite Jacques Fournier, devenu Benoît XII jusqu'à sa résidence en Avignon. De là, il est passé dans la bibliothèque vaticane où il y séjourne encore ; parmi les manuscrits latins ; il est codé 4030. La publication intégrale de registre est due à Jacques Duvernoy (1965).
L'esprit scientifique chrétien avance avec le nominalisme dont le chef de file sera le franciscain John Duns Scot (mort en 1308), suivi de Guillaume d'Occam (1285-1349). Ce nouveau courant gagne l'université de Paris où il sera enseigné par de fameux professeur comme Jean Buridan (mort en 1358) et Nicolas d'Oresme (mort en 1382). Le mérite extraordinaire du nominalisme a été de secouer les prémisses théologiques de la scolastique, n'admettant pas que le monde soit limité à la manière d 'Aristote et de Ptolémée. Dans les milieux nominalistes, souvent persécutés, naissait la doctrine de l'infinité de l'univers et de la pluralité des mondes, ainsi que celle de la position arbitraire (c'est à dire non pas centrale) de la Terre dans l'univers. Ces deux doctrines seront exposées par le nominaliste allemand, le cardinal Nicolas de Cuse (1401-1464). Les Fils de Lumière dépassent ainsi les Fils des Ténèbres.
Les débuts de l'humanisme chrétien sont moins dépendants de l'idéal religieux du XIIIème siècle. Les intellectuels de XIVème, tels François Pétrarque (1304-1374) et Jean Boccace (1313-1375) sont les précurseurs des humanistes du XVème qui inventeront le concept de Moyen Age, l 'Age Fanatique et sombre qui s'interpose entre les temps nouveaux et l'Antiquité Gréco - latine, époque non pas seulement de splendeur intellectuelle mais aussi de vérité scientifique. L'époque de la Renaissance Italienne ou le syncrétisme platonicien est caractérisé par la traduction de l’œuvre de Platon, suivie par les Ennéades de Plotin et de nombreux ouvrages des philosophes néoplatoniciens. C'est le banquier et industriel Cosme de Médicis (mort en 1464) qui confie cette tâche énorme à Marsile Ficin (1435-1499). L'idée avancée par Augustin d'une révélation primordiale de Dieu aux premiers hommes qui peuplent la Terre, révélation dont on retrouve les traces dans toutes les anciennes religions et qui est interprétable en des termes platonicien (le bien et le mal). Pour Ficin et pour son émule Jean Pic de la Mirandole (1463-1494), cela revient à dire qu'Hermès Trismégiste, Zoroastre, Moïse et Orphée étaient au même titre dépositaires d'une seule et même vérité occulte. Cette vérité s'exprime dans la magie néoplatonicienne et arabe, ainsi que dans la kabbale juive, découverte par Jean Pic. De cette époque naît l'idée que l'avenir lumineux est à chercher dans le passé et que la connaissance d'autres cultures sert à découvrir des vérités cachées, importantes pour le salut de l'humanité.
Les premiers mouvements organisés de réforme qui se proposent de retourner à la pauvreté originelle de l'église surgissent au XIIème ; Les Vaudois (1173) de Lyon sont les plus importants. Jean Wyclif, professeur à Oxford est l'initiateur du mouvement des Lollards qui rejettent l'eucharistie, le célibat des prêtres et la hiérarchie ecclésiastique. Malgré ses protestations, le prêcheur Praguois, Jean Hus (brûlé à Constance en 1415) est pris pour un disciple de Wyclif. Les tentatives œcuméniques de cette époque semblent aboutir à une entente entre l'église occidentale et l'église orientale mais l'idylle prend fin après la chute de Constantinople. Les conflits entre elle et Rome étaient des conflits de pouvoir (entre prêtre impie). Le patriarcat grec annule le traité , signé en  1439 à Florence par l'empereur byzantin Jean VIII Paléologue.
Au début du XVIème, le schisme d'occident sépare le nord allemand du reste de l'Europe. Il est l 'œuvre  du moine Augustinien Martin Luther (1483-1546), professeur de théologie à l'université de Wittenberg, que ses méditations sur Paul et Augustin conduisent à la conclusion de :
- l'inutilité de l'intercession de l'église
- l'inefficacité des sacrements
- la condition pécheresse de l'humanité qui rend le célibat impossible et le mariage abominable mais nécessaire.
- la prédestination individuelle qui ne peut être modifiée par aucune œuvre humaine
- la justification par la foi, toute seule, sans la nécessité des bonnes œuvres.
Après avoir accroché ses 95 thèses (le 31 octobre 1517) à la porte de la cathédrale de Wittenberg, Luther défend ses idées devant le cardinal légat Cajetan. Sous l'influence de son ami l'humaniste Philippe Schwarzerd Melanchthon (1497-1560), Luther finira par transiger sur de nombreux points de doctrine de pratique religieuse, alors que son disciple français Jean Calvin (1504-1664), qui régnera sur Genève à partir de 1541, défendra un protestantisme gagnant du terrain chez les princes particularistes d'Allemagne et de Suisse qui n'acceptent pas de bon cœur  l'autorité papale. Une petite étincelle avec l'arrivée du protestant radical, Thomas Münzer qui alluma la guerre (guerre des paysans) en 1525.
Le mouvement protestant lui même n'est pas unitaire, fondamentaliste en son essence, il contient néanmoins une frange libertine importante (anabaptistes, enthousiastes, etc.). Les plus radicaux étaient Ulrich Zwingli (1484-1531) et Jean Calvin (le Dieu des Suisses en ce moment  est un dieu argent – sale – et – voleur des pays sous – développés et exploités à mort et impunément par la classe dirigeante vampire aux cols blancs et noirs ). L'église catholique copie et organise à son tour sa propre réforme appelée "contre réforme". Elle se replie sur elle même tout en acceptant une partie de la critique protestante dont le héros sera la Compagnie de Jésus, un ordre fondé en 1534 par Ignace de Loyola (1491-1536) et dont les principes seront précisés par le concile de Trente (1545-1563). Comme la réforme catholique est un mouvement fondamentaliste, donc la morale austère et les nombreuses interdictions (par exemple celle de lire les ouvrages inscrits dans l'index librorum prohibitorum ou la censure littéraire). En 1534, une autre église nationale, l'église d'Angleterre se sépare de l'église de Rome. Les conflits religieux et la prise du pouvoir par les calvinistes puritains seront la cause de la révolution anglaise (1642).
L'histoire de l'expansion du christianisme est très riche en des scènes de misères et barbares. L'expansion territoriale européenne porte l'évangélisation de nombreux peuples. Par le concordat entre le pape et les rois d'Espagne et du Portugal, le christianisme s'établit solidement en Amérique du sud, accompagnant les conquêtes de Cortés (Mexique) et de Pizarro (Pérou). Les jésuites à côté des Dominicains et des Franciscains dépenseront le meilleur de leurs énergies dans l'activité missionnaire. Ordre nouveau et dynamique, il entend établir le modèle européen dans les sociétés indigènes en créant une élite locale éduquée. La masse de la population, surtout au Brésil, soustraite par les jésuites à la mort certaine qui attend les ouvriers dans les plantations et les autres entreprises européennes, est évangélisée dans les réserves soumises à un régime rigoureux de communisme religieux (l'exploit de la bête inhumaine). L'ordre des jésuites sera expulsé d'Amérique latine en 1767. Peu après (1808), l'église coloniale prenait elle même fin avec la libération des états de la tutelle européenne.
Les missions en Afrique noir, tant protestantes que catholiques, se développent qu'à partir de la première moitié du XIXème siècle avec un succès considérable. La pénétration du christianisme en Asie se révèle plus difficile. En Chine, des missionnaires arrivent à plusieurs reprises (635, 1294 et 1600) mais, ne réussissent pas à s'implanter solidement qu'après les Guerres de l'opium (1841-1842). La mission de François Xavier au Japon (1549) reçoit plus de succès et vers la fin du XVIème, on y trouve déjà 300000 chrétiens. Cette période fut suivie de persécutions qui durèrent jusqu'au 1858 où l'on découvrit l'existence de crypte chrétien des communautés qui avaient maintenu en secret leur foi chrétienne. En Asie du sud est, le catholicisme a pris pied aux Philippines avec la conquête espagnole (1538). Dans les pays bouddhistes, l'expansion du christianisme a rencontré beaucoup d'opposition.
En dépit de la date relativement ancienne de la fondation des premières églises chrétiennes sur la côte occidentale de l'Inde, le christianisme reste étranger au sous continent indien. Il ne fut majoritaire que dans la petite colonie portugaise de Goa (1510). Après la conquête britannique de l'Inde (1858), toutes sortes de missions y déployèrent une activité considérable sans parvenir à gagner au christianisme plus de 3% de la population (1980). L'Australie et la Nouvelle-Zélande furent au XIXème , le terrain d'expansion des anglicans (1788), des catholiques (1836) et des protestants (1840). Ainsi grâce à la concurrence effrénée de ces trois églises chrétiennes, les connaissances spirito - intellectuelles et scientifiques du monde européen s'ouvrent à l'humanité terrienne entière.
Malheureusement, ces mêmes connaissances politico - religieuses et scientifiques servent plutôt la classe des élites locales européanisées religieusement dogmatique qui les utilisent pour convertir la masse des indigènes locaux culturellement incompatibles avec le dogme du christianisme, et pour les maintenir en esclavage , d'où des conflits de rebellions antiesclavagistes (anticolonialistes indochinois, antiapartheid des noirs d'Afrique du Sud, etc..).Le Maître Jésus des Visions Esséniennes nous dénonce ici le mauvais chemin qu'ont pris les hauts responsables de telles politiques antiesprit christique . Il nous le dit en ces termes : « Le Principe de Rome est cousin du Principe Zélote . L'un et l'autre sont éternellement alliés puisque l'un se nourrit de l'autre et réciproquement . Le Tyran ,la Victime et le Révolté sont de la même façon étrangement complice. Ils vivent en chacun de vous à tour de rôle , s'offrant mutuellement des arguments et des excuses , tous en quête de pouvoir , tous en proie à leurs peurs ancestrales ...
"Le Principe de Rome est intemporel .Je pourrais l'appeler de tout autre nom, du nom p . ex. de chacun des dictateurs que cette Terre a portés et porte encore aujourd'hui .Je pourrais l'appeler même du nom du tyran qui s'agite subtilement en tout être humain et qui est à la racine de la souffrance .Dans l'histoire de votre humanité, ce principe s'est toujours exprimé à son point culminant de façon périodique ...et voici qu'à nouveau vous le portez à son paroxysme ...mais avec une démesure qui s'annonce à la hauteur de l'enjeu ...
"Il y a environ un siècle et demi que ce processus s'est engagé de façon radicale .C'est un mécanisme qui se base sur les moyens de la Pieuvre : une tête et de multiples bras capables de s'engager dans toutes les directions. Il s'agit d'une Organisation Tentaculaire prétendant régir tous les domaines de la vie , de l'intime au collectif. C'est une organisation qui fait de vos incohérences son terrain d'action .Elle vous a progressivement invités à entrer dans le jeu dont vous ignorez l'ampleur, les règles et le but. C'est elle qui fait de vous un numéro parmi d'autres, un anonyme de plus sur l'interminable liste des manipulés.
"Le Principe de Rome ne tolère le droit d'exister qu'à ceux qui coulent dans le moule du bon citoyen. Son trône est fait de dogmes. La Rome historique, voyez-vous, a toujours été la farouche adversaire du Principe christique, c'est-à-dire en d'autres termes , de la résurgence de "ce qui vient" en chacun. Après avoir tenté d'étouffer "sur le terrain" la force qui animait le Maître Jésus et Ses Frères Esséniens, elle a fait mine d'accepter cette dernière afin de l'englober, de la vicier et finalement de l'étouffer de l'intérieur ... jusqu'à ce que l'humanité ne bénéficie plus aujourd'hui que d'une image déformée et appauvrie de l'Enseignement christique .
"Ce faisant , cette même Rome historique qui s'est faite aujourd'hui Religieuse se révèle devenir une alliée de choix du Gouvernement de Domination mondiale ... Elle est devenue une pieuvre à l'intérieur de la pieuvre , purement politique au sens manipulateur du terme . Il est nécessaire qu'elle aille jusqu'au bout du chemin qu'elle a emprunté tout comme il est nécessaire que chaque homme et chaque femme expérimente l'impasse personnelle de son orgueil , de ses chapelets de mensonge et de ses pulsions de pouvoir.
"Cette Rome historique est désormais Vaticane , mes amis , n'est qu'un aspect de la Force de l ' "anti Shamballa"... Ainsi , je le répète , la Rome Vaticane ne fait que se conformer à la Rome intérieure de chacun .Elle imite simplement et purement le modèle de fonctionnement de l'ensemble de l'humanité terrestre. Le principe de Rome est depuis toujours le principe d'agitation ; agitation matérielle et émotionnelle par le besoin de satisfaction de toutes les ambitions et agitation mentale, enfin, par le détournement de la conscience de son propre centre donc de son but. Il y a deux mille ans et plus, la Rome historique promettait à son peuple "du pain et des jeux". La Rome intérieure depuis le commencement des temps et jusqu'à nos jours , n'a pas d'autre slogan . La bannière de "l‘Ego exacerbé" demeure invariable. C'est une bannière totalitaire, contre-révolutionnaire, qui pratique l'étouffement de la conscience » .
A la fin de sa vie terrestre Jean-Paul II , tel Grégoire VII ose se prendre pour le Seigneur Eternel, Dieu Y.H.W.H., pour fabriquer une centaine de  saints esprits (C'est bien sous le pontificat du pape polonais ultranationaliste, que nous assistons à une centaine de séances de canonisation).Notre pape , et son curie romain ,très bien noyauté par l'Opus Dei , l'Organisation ténébreuse -"Pieuvre dans la Pieuvre", fut directement ou indirectement responsable des centaines de milliers de morts en Amérique Latine , en Asie du Sud - Est Asiatique, en Philippines , etc. De l'Opus Dei , Jean de Jérusalem l'a bien vu du haut de son monde mystique , dès le XIème siècle, pour nous le prophétiser en ces termes :
"Lorsque commencera l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
Un ordre noir et secret aura surgi
Sa loi sera de haine et son arme le poison
Il voudra toujours plus d'or et étendra son règne sur toute la terre
Et ses servants seront liés entre eux par un baiser de sang
Les hommes justes et les faibles subiront sa règle
Les puissants se mettront à son service
La seule loi sera celle qu'il dictera dans l'ombre
Il vendra le poison jusque dans les églises
Et le monde marchera avec ce scorpion sous son talon"
(L'Opus - Dei fut derrière les généraux - dictateurs d 'extrêmes droites, tel le Général Franco espagnol, le Général Pinochet argentin, le général Marcos etc.).
Traditionnellement, l'espoir chrétien le plus vif était la survie après la mort et la récompense céleste des mérites accumulés pendant la vie. Symétriquement, le démérite entraînait la punition en enfer. Le "jugement dernier" allait rendre éternels les châtiments et les faveurs transitoires. Après un petit détour sur l'histoire sanglante du christianisme, politiquement manipulateur , vous hommes d'église chrétiens, croyants en le Seigneur Dieu, que voyez vous après la mort de Jésus-Christ crucifié ? Vous êtes d'accord avec moi, nous ne voyons que du sang humain sur le passage des hommes de pouvoir religieux avides de pouvoir absolus intemporels. Leurs querelles théologiques entre orthodoxes, Vatican, protestants, anglicans,.induisent beaucoup de bûchers, de cadavres et tout ça au nom de Dieu le Père, Dieu d'Amour et de Miséricorde .Vous parlez d'amour mais je ne vois que l'esprit de l'Ange de la Mort. Vous parlez de saint esprit, or un esprit saint ne devait pas se tromper, or l'église du Saint Père ne faisait que se tromper en condamnant Galilée, etc.; actuellement vous condamnez sans preuve réelle les médecins qui aident les femmes, les filles violées enceintes, pauvres et qui pratiquent l'avortement antimisère. Ces médecins œuvrent   pour un monde terrestre paradisiaque; quant à vous, hommes d'églises dogmatiques, usurpant  le nom du Seigneur Dieu et de Jésus-Christ pour maintenir  l'humanité terrienne "Moutons de Panurge"  en fermage et en esclavage dans des enclos fermés, monde non - délivré et souffrant , Vous continuez à imposer vos diktats , à exalter vos ouailles à supporter le poids de la souffrance oblation non-sens ; à quoi ça sert alors le sacrifice de Jésus ? Vous auriez dû lire et bien analyser les messages des Dialogues avec l'ange, pour savoir que :
"C'est ACCOMPLI.
Le poids ne doit plus vous peser.
Le poids attire vers le bas
et il ne vous est plus permis de vous enfoncer.
Quiconque est juste par contrainte est esclave.
Ne soyez plus esclave !
Ne respirez que l'air de la Liberté !
Tranchez là où l'esclavage agit en vous !
Défense d'agir par contrainte !"
Vous êtes croyants, vous savez que vos âmes ne meurent pas. Selon vous, dans quelle direction partiront vos âmes après vos morts physiques ici-bas ? Je suis bien triste de vous dire ici "on ne peut pas tout avoir, le beurre et l'argent du beurre" ; si par malheur vos auras spirituelles virent au noir (= prêtre impie) ou au rouge (prêtres sanguinaires, fous de Dieu qui se cachent dans l'ombre des dictateurs d'extrêmes droites ,ayant commis directement ou indirectement des meurtres  sur les personnes , enfants , vieillards , veuves et autres faibles victimes du Principe de Rome ,qui fut adversaire depuis toujours de celui de Jésus-Christ) ; vous (ou vos âmes de formes humaines) passerez forcément au jugement ultime, devant le Seigneur Dieu, Y.H.W.H., Yéoshua l'Eternel, dont l'âme divino - éternelle n'a survécue jusqu'à cette fin des temps bibliques, que pour réaliser ce qui est écrit : "Justice ! Justice! Voilà ce que Tu poursuivras afin que Tu vives" (Deut , XXXIII, 26).
En conclusion , je suis bien désolé de vous  mettre devant vos faits accomplis. Hommes de pouvoirs dictatoriaux, aveuglés et bien esclaves de vos pouvoirs soi-disant intemporels , vous condamnez à mort les innocents , dont les âmes éternelles et errantes n'ont pu survivre de l'autre côté du miroir qu'avec l'espoir que justice soit faite ; désormais vous devrez rendre compte de vos actes politiquement antiprincipe christique et devant "Celui qui vient" en tant que "Maître de Justice et de l'Univers", ou le "Nouveau Eternel", "Nouvel Enfant". De ce Nouveau Maître Jésus , il fut écrit :
"LUI est le Nouvel Enfant.
Son corps est matière glorifiée, transparente, sensible.
Son âme est le rayon qui croit et se répand, et qui porte fruit.
Tout ce qui a poussé sauvagement jusqu'à présent sur la friche
n'est que litière.
L ' Enfant repose sur elle , Votre Enfant.
Au dessus de Lui plane l'armée des anges,
et elle L'adore.
C'est Lui que nourrissent toutes nos paroles.
C'est vers Lui que va toute notre adoration.
C'est un petit Enfant,
force toute-puissante, futur éternel incommensurable.
C'est Lui l'âme de "Celui qui mesure"
C ‘est Lui "Celui qui aide".
Sa voix est le Silence,
 et c'est Lui le Rayon Eternel
..."
(Dialogues avec l 'ange)

Dernière mise à jour le mercredi 05 septembre 2001
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Textes, dessins et photos restent la propriété de l'auteur, le docteur DANG T. L., être humain authentique et trilogique, profane, médecin, laïc, père de famille et croyant, sous l'inspiration de l'Esprit Saint de l'Eternel "Sans Nom", Y.H.W.H., le Très Haut (Mai 1991)