«
Le temps est un seul corps, l'espace un livre unique », Sri
Aurobindo affirma avec force sa Pensée Sphérique cosmos planétaire en
plein courant du XX è siècle de l'ère chrétienne. Tous les grands
penseurs philosophes scientifiques ou non du monde ici bas, grâce à
leurs moyens de bord, observaient et étudiaient la nature environnante de
leur monde dans sa globalité. Ils cherchaient à connaître la place de
la nature humaine ou l'humanité dans le monde universel cosmos planétaire.
Le
Livre Unique et spatial reste ouvert pour tout homme, curieux d'esprit et
moralement libre . La lecture de ce livre spatio-naturel est à la porté
de tout le monde et pas uniquement à des soi disant initiés aux choses célesto-divines
(religieux, ascèses, etc.). A côté de ce Livre Unique et Spatial, il
existe des Livres Sacrés dont les textes écrits nous sont parvenus à
travers l'histoire antébiblique, biblique, et post biblique (coranique,
etc.) par des voies mystérieuses et écrites. Les auteurs historiques de
ces livres sacrés ne les ont jamais écrits (Jésus-Christ, Mahomet ...).
D'après
les sources historiques, biblique et coranique, le monde du Haut (Dieu Un
céleste) fit parvenir au monde du bas (humanité religieuse monothéiste
terrestre) des messages par des apparitions angéliques, par des songes,
par les paroles des prophètes... Il existait donc toujours des tierces
personnes entre Dieu céleste et l'homme. Ces tierces personnes étaient
toutes physiquement mortelles ici-bas. Avec le temps horizontal ici-bas,
le nombre des intermédiaires avec leurs interprétations théologiennes
des textes sacrés s'allonge. Du contenu de ces textes, il ne reste plus
grand chose en cette fin XX è siècle. Seule la carcasse de ces textes
reste avec des rites mortuaires, sacrificiels pénitentiaires non-sens. La
religion de Dieu de Miséricorde et d'Amour se transforme en celle d'un
dieu esclavagiste sadomasochiste mortel et diablement sanguinaire par Son
"Inhumanité" , suite aux fautes sans nombre des soi - disant
Serviteurs du Bon DIEU , diablement profiteurs de l 'ignorance de leur
communauté - fidèle en ce bas monde . L'éducation religieuse pure et
dure, dogmatique séparatrice à l'intérieur des différentes communautés
monothéistes judéo-chrétienne et islamiques confirme ce qu'a écrit
Erasme en son temps: «On ne naît pas homme, on le devient».
Malgré leur érudition, leur savoir philosophique, scientifique et théologique,
les hauts dignitaires dogmatiques, purs et durs, ultra nationalistes, se
comportent comme des «bêtes religieux moralement non libres», dont l
'origine fut plutôt diabolique que divine .Leur érudition interprétative
, diablement serpentine, confirme cette prophétie écrite dès le XI è
siècle, par Jean de Jérusalem (Livres des Prophéties ,Ed.J.C.Lattès,1994)
:
"Lorsque commencera l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L'homme se croira Dieu alors qu'il ne sera rien de plus qu'à sa naissance
Il frappera toujours vaincu par la colère et la jalousie
Mais son bras sera armé de la puissance dont il se sera emparé
Et Prométhée aveuglé il pourra tout détruire autour de lui
Il restera un nain de l'âme et il
aura la force d'un géant
Il avancera d'un pas immense mais il ignorera quel chemin prendre
Sa tête sera lourde de savoir
Mais il ne saura pas pourquoi il vit et il meurt
Il sera comme toujours le fou qui gesticule ou l'enfant qui geint"
Sans eaux et sans soleil, la vie terrienne donc l'homme n'existerait pas.
Pour simplifier, il existe deux sources d'eau, l'une salée des océans et
mers terrestres et l'autre l'eau douce venue du ciel ou mer céleste.
Avant de pouvoir fabriquer des usines pour dessaler l'eau de mer, l'homme
ne vit que grâce à l'eau douce d'origine céleste. L'eau coule toujours
vers sa source d'origine en suivant un circuit fermé, mais je vous
conseille de lire une encyclopédie sur le cycle de l'eau pour bien
comprendre.
Le
niveau d'eau salée le plus bas se trouve à la Mer Morte. C'était à cet
endroit que siégea la «Mère de l'Abîme» antébiblique bien décrite
dans des textes sacrés sumériens épars retrouvés à Assur concernant
la «Glorification de Marduk». Nous allons retrouver le nom de
Marduk (ou Mardouk) grâce à des témoignages parlant issus du «Technicien»
bien enregistrés sur bande magnétique par le couple Luxembourgeois H.F.
et amis de François Brune, théologien et auteur du livre «Les
Morts Nous Parlent» édition du Félin.
Comme
toute créature issue directement de l'immolation d 'Alla par les dieux
pour créer l'Homme, la Mère Abîme avait le pouvoir de créer. Il est écrit
(Lorsque Les Dieux Faisaient L'Homme, de Jean Bottero et S.N. Kramer, Ed.
Gallimard, 1989 ) :
« Pour machiner la guerre, la Mère
Abîme qui avait tout formé, s'accumula des armes irrésistibles: Elle
mit au monde des dragons géants, aux dents pointues, aux crocs
impitoyables, dont elle emplit le corps de venin en guise de sang; et des
léviathans féroces, qu'elle revêtît d'épouvante, et chargea d'éclat
surnaturel, les assimilant ainsi à des dieux «qui les voit tombe en défaillance
et qu'une fois lancés (dit-elle) ils ne reculent jamais!» Elle suscita
encore des hydres, des dragons formidables, des monstres marins, des lions
colossaux, des molosses enragés, des hommes-scorpions, des monstres
agressifs, des hommes-poissons, des bisons gigantesques: tous brandissent
des armes impitoyables et sans peur au combat. Leurs pouvoirs délégués
démesurés, et eux irrésistibles ! En vérité, ces onze là, c'est bien
tels qu'elle les fit ! »
La «Mère Abîme» , celle qui a tout formé ou «dame nature noire»
ici-bas, symbolise la puissance de l ‘Esprit de l ‘Obscurité taoïste
– Principe Féminin et Origine des racines du Ciel et de la Terre , qui
a perdu la raison d’être suite aux meurtres commis par le monde des
Dieux - « ceux qui ont immolés les deux Alla et le dieu Wê, ainsi que
Quingu , le Fils et époux unique de la Mère Abîme ». Le
sentiment de haine et vengeance aveugla complètement l ‘essence –
naturelle de la Mère Abîme . Elle représenta la reine maternelle de
toute les natures vivantes, visibles avec les traces squelettiques des
animaux préhistoriques de la planète Terre . Elle a suivi son instinct
amoureux maternel et féminin , vis à vis de Son Fils élu et Unique époux
,Quingu. Elle représenta aussi l ‘ Esprit - Mère des nations peuples
opprimés qui se révolta contre la tyrannie dogmatique du monde des
hommes «humanité bête religieuse ordonnée et moralement non libre».
Elle sera la "source-essence" de la vie de l'humanité salée
ultra nationaliste communautaire et révolutionnaire, qui se révolta
toujours contre les puissances étrangères,surtout celle céleste, d'où
des conflits perpétuels entre le Ciel et l'Abîme et par l'humanité
interposée, qui se laissa entraîner bêtement dans ses conflits
meurtriers et inhumains.
L'histoire parabolique sur la source originelle de l'eau ou H2O, symbole
du monde vivant humain d'ici bas, désigne l'existence de deux sortes
d'hommes: "Homme salé" et "Homme doux".
Par opposition extrême taoïste, je distingue deux extrêmes en l'homme :
homme salé pur et dur, d'une pureté saline absolue, bien tapissée au
fin fond de la mer morte et l'homme doux – pur , d'une pureté amour
absolu. Ces deux traits de caractères extrêmes étaient présents en
l'homme pur extrême qu'était Jésus-Christ.
L'homme salé pur de Jésus angélique s'emporta facilement. Il était
intransigeant et coléreux caractérisé par son emportement incompréhensible
vis à vis des marchands de colombes à l'intérieur du capharnaüm ( Mtt
, 21 , 12-17). Il prononça bien cette phrase évangélique: « Celui
qui n'est pas avec moi est contre moi ». L'amour salé pur passion de
Jésus était un amour passionnel terrestre et mortel. C'était un amour
possessif et salé à l'extrême. Ce trait de caractère était la source
de l'homme prophétique. Il annonça qu ' Il sera le diviseur du peuple -
enfants de David. Sa mort sera la source de la division du monde terrestre
(Mtt , 10 , 34 – 36 ; et Lc , 12 , 51 – 53 ) . Toute cette prophétie
est confirmée par la suite, elle ne s'arrêtera qu'à la fin des temps
avec la mise à mort de la Bête biblique 666 devant Dieu, l'Unique, Lui même
et par la femme elle même, «Celle qui a tout formé ici-bas et humain».
L'homme doux pur de Jésus pardonna à tout le monde. Il alla jusqu'à
donner sa joue droite si on Lui frappait celle de gauche. Il se sacrifia
pour ses amis, frères et sœurs . Il donna tout ce qu'il possédait aux
pauvres, c'est-à-dire Son Cœur , Son Âme et Son Esprit . Il condamna la
suffisance hautaine du clergé et le fonctionnariat des prêtres juifs
avec des dîmes, des rites, ... c'était un homme de cœur chevaleresque
sans arme. La seule qu'il avait était sa foi et son amour pour son Père
Céleste . Mais où se trouvait - IL, ce mystérieux Père ? Jésus ne le
savait pas exactement de son vivant ici-bas. Il savait simplement que ce Père
était en Lui et hors de Lui mais où ? Mystère, car c'était un esprit
saint "Vérité", pur, invisible, inaudible et impalpable mais réel.
Ce sera à nous de remuer nos méninges pour retrouver la trace de cet
esprit saint mystérieux.(le Paraclet), partout et nulle part.
Entre ces deux traits caractères extrêmes en l'homme Jésus , nous
pourrons imaginer toutes sortes degrés d'hommes différents avec chacun
son dosage «doux - salé» pour trouver la dose infinitésimale
harmonieusement diluée juste milieu taoïste. Ce sera au centre de ce
milieu infinitésimal pur d'esprit que se trouve la trace du vrai divin,
le bon dieu, l'unique Père céleste en l'homme et hors de l'homme selon
les paroles évangéliques de Jésus-Christ. Si vous êtes un mauvais
alchimiste spirituel, votre dosage sera explosif et mortel. Les mauvais
exemples abondent avec par exemple le suicide collectif (?) des templiers
du Soleil de Jean-Luc Jouret, le meurtre insensé à Hébron perpétré
par le Dr Baruch Goldstein, médecin juif new-yorkais intégriste
orthodoxe, à l'intérieur du caveau sanctuaire d'Abraham, etc.
Les philosophes modernes, jeunes, dynamiques en cette fin de siècle, des
pays dits civilisés, sont à court d'idées. Ils écrivent des livres à
succès avec synthèse et résumé de l'histoire de la philosophie depuis
l'Antiquité jusqu'à nos jours. Ces philosophes penseurs sans pensée précises,
prétentieux par imprudence intellectuelle considèrent les scientifiques
du monde de la parapsychologie comme des charlatans avides d'argent tel le
monde de l'astrologie, du spiritisme ou de la science des ovnis. Nos
philosophes penseurs sans pensée neuve prennent ainsi leurs désirs pour
des réalités. Joster Gaardner, avec son livre philosophique à succès
«Le Monde de Sophie» Edition du Seuil, fait parler son personnage
central Alberto, philosophe magicien qui répond à une question de
Sophie, son élève par courrier postal , lorsque celle-ci lui demande
s'il ne considère pas tout
ce qui se rattache à la parapsychologie comme «Ce n'est que de la blague»;
Alberto répond ainsi à Sophie: «Il
serait indigne d'un vrai philosophe de tout mettre sur le même plan.
Mais, d'après moi, tous ces grands sujets ne font qu'esquisser un paysage
qui n'existe pas. C'est en tout cas truffé de ces « fœtus de
l'imagination» que Hume aurait jetés au feu. Dans la plupart de ces
livres, on ne trouve au départ aucune expérience réelle».
Pour écrire de telles choses, notre philosophe devra être sûr du
trucage de ces « fœtus de
l'imagination ». Vous avez lu au moins ces livres et si oui lesquelles ?
Vous avez des preuves du trucage ? Pourquoi mentent-ils « Les
morts qui parlent » de F. Brune ? Et les identités cachées des témoignages
des personnes ayant fait l'expérience de Near Death Experience dans
« La vie après la vie
» du docteur Raymond Moody. De quoi ces témoins ont-ils peur ? Du
ridicule ? Vous ne posez même pas cette question : pourquoi parlent-ils
de leurs expériences personnelles ? Dans quel intérêt ? La plupart de
ces philosophes modernes et occidentaux sont de confession religieuse chrétienne
(catholique ou protestant) . Vous croyez bien en l'existence du
"Serpent qui parle" , en les paroles évangéliques de Jésus,
vous croyez en l'immortalité du Christ. Avez vous des preuves ? Vous
croyez en Thomas d'Aquin, Augustin, Martin Luther et la prédestination de
l'humanité pécheresse avant même d’être née . Ces théories théologiques
sont en train de se lézarder partout. Pourtant vous les croyez encore !
Vos écrits sans preuves tangibles avec de telles affirmations me
rappellent ceux de Thomas d'Aquin sur sa conception aristotélicienne de
la Genèse magique du monde avec les quatre éléments (eau, air, terre et
feu) et sa théorie de la génération spontanée de l’humanité pécheresse,
donc la 1ère Femme. Vous croyez en l'existence des anges avec
des ailes, avec ou sans sexe ? Vous cherchez le Savoir, la Vérité, en
tant que philosophe ; vous vous faites brûler vos méninges par la
"Fausse Lumière" de Lucifer, l'Egal du Très - Haut. Vous ne
savez pas que (Dialogues avec l'ange) :
"Croisée des chemins .
L'insensé court vers la lumière
et s'y brûle comme un papillon.
Le Sage , l'élu , demeure immobile dans l 'obscurité.
Il ne marche pas , il n'avance pas .
Il ne s'élance pas .
Et quand même la Lumière le trouve."
Savez-vous ce qu'en pensent les anges de vous tous , hommes savants -
ignorants ? Je vous livre leur message connu dès 1944 (Dialogues avec
l'ange) :
"Ne croyez plus !
Soyez Lui !
Que votre III è Œil
s'ouvre !
Etre Un avec Lui n'est encore qu'une possibilité.
Virtuellement seulement, le Très - Haut est Un avec vous."
Vous allez encore rigoler de ce foutu III è Œil , inconnu de vos méninges,
et le considérez encore comme un "fœtus de l'imagination". Athéistes,
et/ou agnostiques, vous croyez au Paradis communiste et fraternel de Karl
Marx, le résultat fut des centaines de millions de morts dans des camps
goulags psychiatriques ou autres ; monothéistes, vous croyez à la Sainte
Trinité (Le Père, le Fils et le Saint) de Jésus-Christ, Dieu d'Amour et
de Miséricorde, le résultat fut l'Apartheid sud-africain, le
colonialisme, l'esclavagisme des noirs africains, etc. perpétués par vos
rois et autres gouvernants soi-disant chrétiens socials démocrates et
pratiquants.
Tels des poissons - philosophes, nos savants nagent bien en eaux troubles
à l'intérieur d'un aquarium minuscule universel terrestre. Ils
contemplent à la surface de cet aquarium l'immensité lumineuse cosmique
sans trop comprendre pourquoi cette immuabilité. De temps en temps une
quantité d'eau douce est déversée dans votre aquarium venue du ciel par
la main de qui (?) et pourquoi tant ici jusqu'à l'inondation et pas
ailleurs comme dans les déserts. La surface de l'aquarium ressemble à
celle de la Terre avec ses irrégularités géographiques non
uniformisés. Nous avions ainsi des poissons d'eau douce au sommet du toit
de l'Himalaya croyant au Bouddha et non en Dieu créateur qui tournaient
en rond leurs méninges à se faire réincarner ici bas cherchant à
échapper à leurs conditions de vie de poissons végétariens purs et
pêchés par des mains invisibles mortelles. Si nous descendions un peu
vers les océans et les mers terrestres nous rencontrions des poissons du
Nil croyant à Allah, Jésus... jusqu'au plus bas niveau de la Mer Morte
nous étions là en plein dans le mille avec les poissons
pieux juifs base du monothéisme qui croyaient en Yahvé El et
attendaient patiemment leur messie, dont l’« esprit saint planait
à la surface des eaux ».
Quant aux philosophes poissons agnostiques et nihilistes, ils ne croyaient
en aucune divinité. Erudits et savants, nos poissons philosophes se
sentaient suffisants dans leurs savoir . Ils étaient à la surface des
eaux douces et salés des « mers – océans », et autres cours d'eau
ici-bas. Ils se sentaient fiers et puissants en savoir. Ils écrivaient
plein de livres philosophiques tellement intellectuels que la masse des
autres poissons n'arrivaient pas à les comprendre. Même entre eux,
spécialistes des choses philosophiques, ils ne se comprenaient ni ne
s'entendaient sur ce qu'ils écrivaient, comment voulez vous que les
profanes les comprennent. Leur termes philosophiques savants n'étaient
pas à la portée de tout le monde. Pourquoi ? Parce qu'ils sont mauvais
enseignants et ne comprennent pas eux - mêmes ce qu 'ils disent.
Malheureusement, savant, érudits, idiots ou autres, tous les poissons de
cet aquarium devront passer à la casserole de Satan, l ' Enfant diable
invisible, bien nourri avec les milliards de carcasses poissons à tête
humaine. Lucifer la bête à tête humaine invisible manipule depuis
longtemps nos poissons religieux dogmatiques moralement non -
libre et autres poissons élites nihilistes communistes à
s'entre-tuer par leurs querelles philosophiques – théologiques, par
leur quête de la suprématie spirito – eugénique . A la fin de leurs
vies éphémères de poissons pieux ou pas, savants ou pas, ils ne
savaient même pas pourquoi ils étaient à l'intérieur de cet aquarium
minuscule. Etre l'égal du propriétaire, le divin Père Eternel Yéoshua,
fils d'Allah, Dieu humain et sage, le Créateur et collectionneur de
poissons philosophes savants à tête humaine, c'est bien mieux que
d'être poisson savant, être pêché par le garnement diable Satan, fils
de Lucifer créature Bête 666 à tête humaine de Dieu et être mangé
par lui. C'est vraiment affreux comme fin.
Le temps est un seul corps, la pensée sphérique cosmos planétaire de
Sri Aurobindo est bien plus vaste et plus profonde que celle des poissons
philosophes modernes agnostiques. La pensée sacrée et cosmique de
l'hindouisme se fond dans la conception d'un Suprême Universel sans
temps, sans nom et sans forme. Tout est un bloc divin l'humanité
terrienne fait ainsi partie intégrante de ce bloc d'essence divine.
Quelle preuve ? Seule l'observation et l'expérimentation avec un
entraînement assidu de notre 3è œil ou l'œil d'esprit pur pourra la
faire.
Le temps biblique judéo-chrétien et Coranique musulman arrive ainsi à
son terme en cette fin XX è siècle de notre ère. Le corps du Christ
martyrisé est bien mort. Jésus ressuscite à la fin de son temps
terrestre dans un nouveau corps de résurrection éternel à l'échelle
cosmo - planétaire. Le corps lumineux christique éternel se place au
centre infini petit de l'astre solaire. De ce corps de lumière, corps
doublure de chaque être humain, frère et sœur du «fils de l'homme»,
je livre ici le cas expérimental, fortuit et personnel de l'écrivain
William Gerhardi, cité dans le livre «Etranges révélations sur la vie
après la mort» de Martin Ebon.
Ce cas, raconté en détail, de «projection astrale» ou de
décorporation involontaire décrit dans son livre (Londres 1934), le cas
donc de Gerhardi, est rapporté et collectionné par le docteur Robert
Crookall, chimiste, botaniste, psychologue, chargé de cours botanique à
l'université d'Aberdeen en Ecosse.
Le Dr Crookall était un collectionneur d'histoires expérimentales,
paranormales. Il passa des décennies à ramasser des anamnèses de
«projections astrales». Il en a rassemblé des centaines et les a
publiées dans des livres tels « The study ans practice of astral
projections, More astral projection et The technics of astral projection
» (Moradabad, 1968) . Crookall pose cette question: « Le fait de ne pas
savoir qu'on a un deuxième corps ne veut pas dire qu'on n'en a qu'un ».A
sa propre question « Quelle importance », il répond: «Une grande
importance! Si un homme peut sortir de son corps physique temporairement
et continuer d'exister en tant qu'être conscient de son existence, on
pourrait en déduire qu'au moment de quitter pour de vrai son corps
physique, c'est à dire mourir, il continuera d'exister dans ce second
corps ».
Le cas personnel de Gerhardi nous permet de connaître l'existence du
« Cordon lumineux », « Cordon élastique », «Cordon de serpent»
ou encore « Corde d'argent », c'est à dire « lien entre le corps
physique et le corps non physique ». L'expérience de Gerhardi débuta de
la façon la plus banale. Il avait allongé le bras pour éteindre une
lampe, mais juste au moment de presser le bouton, il se trouva « suspendu
entre ciel et terre ». Il était, raconte-t-il, tout à fait éveillé
et, se dit «Voilà quelque chose à raconter». A ce moment là, il se
sentit empoigné et mis sur ses pieds . « Si le monde entier s'unissait
pour me dire que c'était un songe, je ne le croirais pas, dit Gerhardi
». Il poursuit : « J'étais dans le corps de ma résurrection. C'est
comme cela que c'était ! Tout à fait inattendu! Je me rendis à la porte
en chancelant. Je touchai la poignée mais je ne puis la tourner. Je me
tournais et découvris un étrange appendice. Il y avait un rouleau de
lumière. La face de l'oreiller s'en trouvait illuminée, comme si cette
lumière était attachée à la face du dormeur. Le dormeur c'était moi.
« Qui aurait pu me dire que j'avais un corps de rechange à ma
disposition, un corps adapté aux nouvelles conditions! Mais je n'étais
pas mort; mon corps physique dormait là, paisiblement, au moment où
j'étais apparemment sur mes pieds et en aussi bon état qu'auparavant.
Maintenant, comment vais-je sortir ? Je réfléchissais. A cet instant, la
porte passa au travers de mon corps, à moins que ce soit mon corps qui
soit passé au travers de la porte. Je me trouvai dans le corridor, noir,
mais illuminé d'une lumière douce émanant, semblait-il de mon corps.
L'instant suivant, j'étais entré dans ma salle de bains et comme
d'habitude, je fis le geste d'allumer la lumière, mais j'étais incapable
de presser le bouton. Il y avait cet étrange ruban de lumière entre
nous, comme le cordon ombilical par lequel le corps étendu sur le lit
respirait ...» « Maintenant, sois scientifique ! me dis-je, tu as
là une chance sur un million ! Tu dois te convaincre de manière à ce
que rien, plus tard, ne te fasse penser que ce n'était qu'un rêve ! »
Je me dis ces choses tout en me déplaçant et en prenant note
d'évidences telles que «la fenêtre est ouverte», «le rideau est
tiré», «voilà la nouvelle chaufferette». J ' aperçus dans le miroir
l'image familière de moi-même. «Qu'elle évidence ? Quelle autre
évidence ? me demandais-je en passant d'une chambre à l'autre. Ici, je
notai quelles fenêtres étaient fermées ; alors, j'essayai, sans succès
d'ouvrir le placard à serviettes. Après, je regardai l'heure ... puis je
volais au travers de la porte et je planais dans l'air, me sentant léger
de cœur. Maintenant, je pouvais voler vers la destination de mon choix,
New-York ou ailleurs, visiter un ami si je le voulais et cela ne prendrait
qu'un temps. Mais j'ai peur de couper le lien qui me retenait à mon corps
endormi.
"Que me fallait-il faire maintenant ? «preuve», me dis-je. Je
voulais une preuve irréfutable pour me convaincre et convaincre les
autres, «après mon retour dans mon corps» ... A qui pouvais-je rendre
visite ? Soudain, j'eus une idée, je vais rendre visite à mon ami Max
Fisher à Hasting. Encore une fois, je volais... Tout à coup, je marchais
sur le gazon... Puis une pensée m'effleura! «Comment sais-je que je ne
rêve pas?» Je me répondis: «Regarde le cordon de lumière derrière
toi» je me retournai et il était bien là, très fin.
"Soudain un sursaut m'ouvrit les yeux. J'étais dans ma chambre. Pas
un détail de mon expérience n'avait échappé à mon esprit; cette
expérience avait aussi une autre qualité, celle de la réalité qui n'a
rien à voir avec les rêves... Nous avons un double corps, tout entier,
là prêt pour l'usage, une copie conforme, ou presque, de notre corps
naturel. On aurait dit que pendant la première étape de la survie, nous
avions déjà un corps emmagasiné comme un costume de plongeur, mais
néanmoins bien plié dans nos corps de tous les jours, toujours à
portée de la main en cas de mort ou pour un usage spécial... Je me
levais et marchais dans les chambres, vérifiant les notes mentales que
j'avais prises au sujet des fenêtres ouvertes ou fermées, des rideaux
tirés ou pas; dans tous les cas, le tout était conforme.
Gerhardi raisonna comme suit : « Si mon corps de chair a pu projeter cet
autre corps plus ténu, pendant que je pouvais garder ma chair allongée
comme dans la mort, alors ce corps plus subtil, adapté à des usages plus
subtils d'un autre plan, n'était qu'un costume ou un véhicule bon pour
être à son tour rejeté ou remplacé par un autre... Fini la notion de
repos éternel dans la mort ! ... Fini la notion d'une âme en forme de
petit nuage laiteux! Ce corps jumeau était réel. Il serait peut-être
pénible de penser que les «conditions de la vie après la mort soient
différentes de ce qu'elles sont ici-bas; mais la surprise serait
peut-être de constater qu'elles sont les mêmes ».
Gerhardi a fait ainsi une «projection astrale» ou «voyage astral»
involontaire et extraordinaire grâce à son corps doublure lumineux
purement spirituel et conscient ou corps de résurrection éternel . Ce
corps astral est bien réel et invisible à nos yeux physiques . Ce corps
est bien relié à notre corps physique visible par un cordon d'argent ou
fil d'argent . Le monde populaire mondial clame souvent que « la vie ne
tient qu'à un fil » . Dans cette phrase proverbiale, le fil désigne
l'importance vitale du cordon d'argent . Tous les adeptes zen, initiés
aux voyages astraux connaissent le danger mortel lors de la coupure totale
de ce cordon, lien vital entre le corps astral et celui physique . A la
différence des philosophes théologiens et autres savants et érudits,
croyant tout savoir, bien remplis des vérités sacrées, écrites, le
docteur Crookall, homme de science et parapsychologue, établit sa
position : « Mon but n'est pas de convaincre les gens d'accepter des
propositions telles la décorporation et la survie après la mort, mais de
les amener à tirer eux-mêmes leurs propres conclusions, et plus
important encore, à vivre en conformité avec leurs opinions . Après
tout, notre exigence physique doit, pour une large part, déterminer la
manière de vivre de notre
autre corps dans l'au-delà ».
Pour Crookall, « la connaissance impose des responsabilités. Rejeter les
responsabilité, c'est s'exposer à en subir les conséquences ».
Il croit fermement et grâce à ses études sur les centaines de cas de
projection astrale que les gens « ne devraient pas tenter volontairement
de se projeter hors de leur corps. Si une telle expérience survient tout
naturellement, très bien ». Ici, il est catégorique : « Mais si elle
est en quelque sorte forcée, elle peut et je connais des cas de ce genre,
s'emballer. C'est une chose que d'ouvrir une porte sur l'inconnu mais une
toute autre chose que de la fermer » ( Pour ma part, je connais beaucoup
d'adeptes Zen, spirituellement peu élevés qui cherchent volontairement
à faire ce genre de voyage et qui en reviennent fous avec parfois la mort
au bout ).
Le monde dualiste extrême, celui des esprits vie – mort,
ne s'ouvre bénéfiquement qu'à des âmes humaines élevées,
purifiées ayant réussies le test du Grand Djihad, c’est-à-dire ayant
parvenues à dompter la force du Kundalini bien tapissée au tréfonds de
l ‘être profond non souillé par l 'Esprit de la Mort bien ancré en
chaque être humain ici-bas (homme salé pur et dur) . Crookall entreprit
ses travaux sur la communication avec les entités désincarnées à la
suggestion du philosophe français Henri Bergson (1859-1941) qui fut
déjà président de la Society for Psychical Research de Londres.
Crookall consigna le fruit de ces travaux dans son livre «The Supreme
Adventure» (Londres, 1975).
Selon Crookall, certains individus subissent des décorporations
particulièrement subtiles, tandis que d'autres n'en sont pas. «Ces
différences, dit-il, reflètent l'ensemble de leurs conditions
corporelles». «La plupart des gens, poursuit-il, sont dotés de corps
vitaux solidement immergés dans leurs corps physiques mais la majorité
d'entre eux, ne sont pas moralement ou spirituellement avancés. Leur âme
super physique n'est pas constituée en un instrument de connaissance,
d'où l'absence de projections satisfaisantes. Le petit nombre de
personnes dotées de corps vitaux solides et qui les ont organisés par
des sentiments, des pensées ou des actes moraux ou spirituels, ont
tendance à ne projeter que l'âme dans le but d'entrevoir le Paradis mais
comme il y a un grand fossé vibratoire entre leur âme immatérielle et
leur corps physique, souvent ils se rappellent peu de chose sauf un
sentiment de paix inexplicable ; de plus, ils n'ont pas connu les
expériences décrites par ceux qui sont dotés de corps vitaux vagues,
qu'ils projettent plus ou moins facilement, surtout s'ils sont malades ».
Il ajoute un détail important : «quelques personnes ont un corps
vital vague, ce qui leur permet de se projeter plus ou moins aisément,
particulièrement s'ils sont fatigués, malades, sous l'effet de sédatifs
ou d'influences semblables . Comme le corps vital constitue le pont entre
l'âme et sa contrepartie physique, le double qui en sort est de nature
composite : il consiste (a) en une partie du corps vital qui enveloppe (b)
l'âme super physique. Cependant, presque toujours ce double composite se
dépouille de son élément vital passe à travers la seconde «mort» et
l'âme est libérée ».
Crookall définit le «double» comme «le corps non physique»... qui est
«une réplique, un double physique». Il emploie le terme «âme» pour
décrire quelque chose d'une nature «super physique», tandis que «le
corps vital par lequel l'âme prend contact avec le corps physique est
semi-physique». Ces définitions et d'autres sont contenues dans son
livre «The Interpretation of Cosmic and Mystical Experiences» (Londres,
1969). Dans ce livre, il écrit également : «La
mort physique, crainte par tant de personnes, n'est qu'un incident dans un
procédé bien ordonné et bénéfique et n'a besoin que d'être comprise
pour être acceptée avec gratitude».
Notre «doublure lumineuse» ou «corps de résurrection incomplet» est
souvent entre aperçu par ceux ou celles qui ont connu l'expérience de la
mort imminente ( Near Death Experience ) . Le docteur Moody avec son livre
« La Vie Après La Vie » a recueilli des centaines de témoignages de
gens qui, après avoir été «cliniquement morts» ont pu être
réanimés. Ce qu'ils disent de leur expérience de « l'autre côté »
est stupéfiant. L'église catholique romaine, aidé par nos « poissons
philosophes modernes savants – ignorants » reste sourde devant ces
témoignages pourtant très précieux pour nous – « êtres –
humains – immortels » . Etant de toutes confessions religieuses,
les témoins du docteur Moody parlaient sous anonymat de peur d'être
considérés par leurs proches comme des fous aliénés.
Je cite ici trois extraits de ces témoins anonymes :
1/ « J'ai entendu les médecins dire que j'étais mort, et c'est à
ce moment là que je me suis senti dégringoler, ou plus exactement comme
si je flottais dans cette obscurité, qui était comme un endroit clos .
Je ne trouve pas de mots pour exprimer çà. Tout était très noir, sauf
que dans le lointain j'apercevais cette lumière. C'était une lumière
très, très brillante, mais pas très grande au début; elle augmentait
à mesure que je m'en approchais. Je faisais des efforts pour rejoindre
cette lumière parce que j'avais le sentiment que c'était le Christ, et
je voulais arriver jusqu'à Lui. Il n'y avait rien là d'effrayant
c'était même plutôt agréable. Parce que, comme chrétien, j'avais
naturellement établi une relation entre la lumière et le Christ qui
avait dit : « Je suis la Lumière du Monde ». Je me disais : Si c'est
vraiment la fin, si je dois mourir, alors je sais quel est celui qui
m'attend, là-bas, dans cette lumière ».
2/ « Je me suis levée et je suis sortie dans le couloir pour aller
boire quelque chose, et c'est à cet instant, on l'a su plus tard, que je
me suis fait une perforation de l'appendice. Mes forces m'ont lâchées et
je suis tombée sur le sol. Je me suis mise à dériver, je me sentais
comme si j'avais été tantôt dans mon corps et tantôt en dehors, et
j'entendais une musique très belle. Je flottais au long du couloir,
dépassant le seuil jusqu'au portique dont les battants étaient fermés.
Là, ce fut comme si des nuages, ou plutôt un brouillard rose,
s'amassaient autour de moi ; j'ai continué à flotter au travers des
battants du portique, comme s'ils n'avaient pas existé et de là vers
cette lumière de pur cristal, une lumière blanche qui rayonnait; une
lumière très belle, très brillante, irradiante. Mais elle ne faisait
pas mal aux yeux. On ne peut comparer cette lumière à rien de ce qui
existe sur Terre. Je ne peux pas dire que j'aie vu une personne dans cette
lumière, mais il m'a paru certain qu'elle possède une identité, c'est
indéniable. Imaginez une lumière faite de totale compréhension et de
parfait amour. Une pensée a été dirigée vers moi : «M'aimes-tu?»
Cela ne m'est pas venu sous la forme d'une question, mais je crois bien
que ce que la lumière voulait me dire était ceci: «Si tu m'aimes,
retourne sur tes pas, achèves ce que tu as commencé». Et pendant ce
temps, je me sentais tout enveloppé de compassion, et comme écrasé
d'amour... »
3/ « Je savais que j'allais mourir et que je n'y pouvais plus rien,
parce que personne ne pouvait plus m'entendre... J'étais sorti de mon
corps, j'en suis sûr, puisque je voyais ce corps étendu là, sur la
table d'opération. Mon âme l'avait quitté! J'ai été d'abord très
bouleversé, mais c'est alors qu'est intervenu cette lumière brillante.
Au début, elle m'a paru un peu pâle, mais tout à coup, il y a eu ce
rayon intense. La luminosité était prodigieuse, rien à voir avec un
éclair d'orage, une lumière insoutenable, voilà tout. Et cela
dégageait de la chaleur, je me suis senti tout chaud. C'était d'un blanc
étincelant, tirant un peu sur le jaune mais surtout blanc. Cela brillait
formidablement, je n'arrive pas à bien le décrire. Cela éclairait tout
alentour, mais cela ne m'empêchait absolument pas de voir tout le reste,
la salle d'opération, le docteur et les infirmiers. J'y voyais très
distinctement, sans être aveuglés. Au commencement quand la lumière est
arrivée, je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait;
mais après, la lumière m'a demandé enfin, c'était comme si elle me
demandait si j'étais prêt à mourir. C'était comme quand on parle à
quelqu'un, seulement il n'y avait personne. C'était la lumière qui me
parlait, elle avait une voix. J'imagine maintenant que cette voix qui me
parlait à dû constater que je n'étais pas du tout prêt à mourir. Elle
voulait simplement me mettre à l'épreuve sans plus. Et cependant, à
partir du moment où elle a commencé à me parler, je me suis senti
délicieusement bien protégé et aimé. L'amour qui émanait de la
lumière est inimaginable, indescriptible. Et par dessus le marché, elle
dégageait de la gaieté. Elle avait le sens de l'humour, je vous assure
! ».
A travers ces trois témoignages de « Near Death Experience »
collectionnés par le docteur Moody, nous sommes là devant une «lumière
blanche sans forme qui parle» (Buisson Ardent parlant de Moïse).
Contrairement à l'expérience de projection astrale involontaire de
Gerhardi, les corps physiques des trois témoins sont «cliniquement
morts», malades et sous sédatifs alors que celui de Gerhardi est sain.
L'Etre de Lumière, sans forme avec la voix n'était autre que le corps
vital vague purement spirituel (corps d'esprit) qui existait en nous et
hors de nous depuis le sacrifice rédempteur de Jésus . Selon nos
croyances religieuses, cet être de lumière prenait des formes auriques
de couleurs différentes . Les trois témoins du docteur Moody étaient de
confession chrétienne, dont ils ont entre aperçu la lumière avec la
voix, aura blanc, du Christ . Sri Aurobindo , grâce à son âme –
« Pensée sphérique » élevée , travaillée et
transcendante , a entendu la voix et entre aperçu la forme physique de
Sri Krishna autre forme humaine du Fils de Dieu ou Yéoshua - l'Eternel .
Spirituellement profane, pas trop élevé spirituellement, les trois
témoins de Moody , n'ont pas pu visualiser la forme humaine de l 'Etre de
Lumière Christ.
Grâce à ses recherches avec la sélection rigoureuse des centaines de
cas plausibles comparés et analytiquement disséqués, le docteur Moody
écrit ceci : « L'apparition initiale de l'être de lumière et ses
interrogations muettes constituent le prélude d'un épisode d'une
extrême intensité, pendant lequel l'entité présente au mourant une
vision panoramique embrassant toute sa vie passée. Il ressort de façon
évidente que l'entité elle-même possède déjà la connaissance de tous
les détails de cette vie et n'a nul besoin d'en recevoir l'information .
Son seul but est d'éveiller la réflexion » ; « car tout au long de
cette rétrospective, l'être ne cesse de souligner l'importance de
deux devoirs fondamentaux: apprendre à aimer le prochain et acquérir la
connaissance » . Pour appuyer cette réflexion personnelle et neutre
, le docteur Moody rapporte le témoignage d'une très jeune femme ayant
connu elle - aussi, pareille expérience avec des détails troublants : «
Dès qu'il m'est apparu, l'Etre de Lumière m'a tout de suite demandé :
« Montre moi ce que tu as fait de ta vie , ou quelque chose d'approchant.
Et aussitôt les retours en arrière ont commencé. Je me demandais ce
qu'il m'arrivait, parce que d'un seul coup, je me retrouvais toute petite,
et à partir de là je me suis mise à avancer à travers les premiers
temps de mon existence, année par année, jusqu'au moment présent ( ...)
"Toutes ces choses m'étaient apparues dans l'ordre où je les avais
vécues ; elles semblaient réelles. Les décors étaient comme quand on
sort de chez soi et qu'on voit les choses avec tout leur relief, et ses
couleurs . Et ça bougeait (...)
"Pendant le défilé des images, je ne voyais plus l'être de
lumière; il avait disparu tout de suite après m'avoir demandé ce que
j'avais fait, dès que les retours en arrière avaient commencé;
néanmoins je n'ai pas cessé de la savoir à mes côtés, je savais aussi
que c'était lui qui m'entraînait à travers mon passé; d'abord, parce
que je sentais sa présence, et en plus il lui arrivait de faire des
commentaires sur ce que j'avais fait, il le savait parfaitement; il
choisissait certains passages de mon existence et les faisait revivre
devant moi pour me les remettre en mémoire. Et durant tout ce temps, il
ne manquait pas une occasion de me faire remarquer l'importance de l'amour
(...)
"Il insistait aussi beaucoup sur l'importance de la connaissance. Il
me signalait sans arrêt tout ce qui a rapport avec «apprendre». Il m'a
dit que j'allais devoir continuer à apprendre, et que même lorsqu'il
reviendrait un jour me chercher (parce que, entre-temps, il m'avait
révélé que j'allais revivre), il y aurait toujours en moi un besoin de
savoir. Il m'a dit que c'est un besoin permanent, d'où j'ai conclu que
cela doit continuer après la mort. Je crois bien que son but, en me
faisant assister à tout mon passé, était de m'instruire. Tout cela
était vraiment très inattendu. J'étais là, je voyais réellement
toutes ces scènes; je les parcourais effectivement, et tout allait si
vite, en me laissant toutefois le temps nécessaire pour que je n'en perde
rien. Pourtant dans l'ensemble ça n'a pas duré très longtemps. Du
moins, je n'en ai pas eu l'impression. Il y a eu d'abord la lumière.
J'estime que ça a pris en tout moins de cinq minutes, et probablement
plus de trente secondes; mais je ne peux pas vous en dire davantage.
Le seul moment où j'ai eu vraiment peur, c'est quand j'ai cru que je
n'allais pas pouvoir achever ma vie sur terre. Mais j'ai beaucoup
apprécié l'évocation du passé, c'était plutôt amusant (...) ».
A travers cette expérience, les psychiatres et autres élèves de Freud
et de Lacan, ont bien tort d'affirmer que l'être humain ne pourra pas
s’auto psychanalyser. Cette femme involontairement certes, a pu le faire
grâce à son être de lumière en elle et hors d'elle. Dans son
expérience, son être de lumière est hors d'elle ou tout près d'elle.
Jésus-Christ - le Fils de
l'Homme, de son vivant, à force de jeûner ( 40 jours, seul dans le
désert ) , a eu la même expérience de projection astrale .
N'a-t-il pas dit ceci : « Le
Père et moi nous sommes Un » (Jean, 10 , 30) . Le corps astral pur
d’esprit androgyne du Père de Jésus – le reflet de l ‘âme –
paramâtma du Christ Universel a pu même projeter flottant ou marchant
sur l'eau pour accompagner la barque des apôtres lors de la traversée
d'un fleuve. Cette scène évangélique était bien réelle et vue avec l'œil
physique des apôtres. Même après sa mort, le corps de résurrection du
Christ s'est manifesté et apparu à Marie de Magdala (Jean, 20 , 11-18)
et aux disciples (Jean, 20, 19-29) dès les 1er jours de sa mort . Tous
l'ont bien vu apparaître au bord du lac de Tibériade. L'être de
lumière, d'essence divine était donc au courant de tous nos faits,
gestes et pensées d'enfants de l'Homme – Celui qui n’est pas encore
formé. Il était en chacun de nous dès notre naissance sur Terre, lors
de notre délivrance, à la sortie de la matrice maternelle. C'était
notre doublure purement spirituelle - « esprit androgyne » en pleine
transformation sexuelle. L'existence de l'être de lumière en l'homme et
hors de l'homme, celui qui connaît tout sur nous, êtres humains, rend
ainsi caduque la pratique confessionnelle rituelle de l'église catholique
romaine.
Nous (notre âme vivante incarnée en notre corps physique poussiéreux)
sommes observés et enregistrés depuis notre arrivée au monde terrestre
par notre « être doublure lumineux » - Fils de Lumière pur d'essence
« Ayn-Soph-Aur » christique, mystique , et androgyne
. De cet « Esprit – Etincelle de lumière
christique » en chaque être humain vivant, Jésus dit ceci (Marc,
13 , 11) : « Et quand on vous
emmènera pour vous livrer, ne vous préoccupez pas de ce que vous direz
mais dites ce qui vous sera donné sur le moment : car ce n ' est pas vous
qui parlerez, mais l ' esprit Saint »
. Ici, il faut comprendre que lors du jugement ultime, ce sera
notre être lumineux, Esprit Saint et androgyne - Rapporteur et
Dénonciateur, qui dévoilera tout sur nos vies incarnées terrestres
devant Dieu – d’essence pur « Ayn-Soph-Aur », le Nouvel
Eternel – Nouvel Enfant , le Maître de Justice et de l’Univers du
système solaire.
De son côté, Socrate avait raison à son époque de conseiller à ceux
qui l'écoutaient de « découvrir ce quelque chose de divin qui est en chacun de nous ».
Malheureusement, le dualisme extrême taoïste nous apprend, s'il y a du
divin en l'homme (lumière), il y aura aussi forcément en nous le diable
satanique ( l'obscurité ténébreuse). Le Coran islamique confirme cette
vérité dualiste, en mettant en garde les musulmans de neutraliser Satan,
de le pourchasser sans répit et réussir le Grand Djihad . Comment faire
pour discerner le divin (fils de lumière) et le satanique (fils des
ténèbres) en nous, êtres humains, profanes et mortels ? Lao Tseu nous
montre la solution. Il nous invite à suivre la voie du Tao (ch. I, Tao
Tö King) : « C'est au plus
profond de cette obscurité que se trouve la porte. La porte de l'Absolu,
du Merveilleux. Le Tao ».
En effet, la force du Tao est inépuisable et insondable, « Eternellement il émousse ce qui est aigu, dénoue le fil des
existences, fait jaillir la Lumière » ( ch. IV, Tao Tö King ). Nous
sommes venus au monde ici-bas par la grande porte (vulve de la femme) nous
devrons sortir de ce bas monde par la petite porte (notre âme et notre
esprit quittera notre corps physique par le point Mo, le bregma , la
grande fontanelle bien fermée – le plexus cervical ( le 7è Chacra –
le lotus aux milles pétales ).
De l'autre côté de la plaque cylindrique et tournante de la planète
Terre, des milliards d'entités spirituelles déjà incarnées ou non ici
bas, cherchaient depuis toujours à prendre contact et renseigner le monde
des vivants terrestre pensant et curieux d'esprit sur ce qu'ils ont connu
dans l'au-delà . Beaucoup de moyens techniques de communication avec
l'au-delà ont été réalisé grâce aux médiums (personnes
intermédiaires entre le monde des hommes et celui des esprits et âmes
errantes). Les médiums étaient souvent de sexe physique féminin. Grâce
à leurs corps physiques attractifs intermédiaires des deux mondes
ici-bas et l'au-delà, les médiums transmettent aux intéressés les
messages de l'au-delà par les paroles verbales des morts ou les
écritures automatiques.
Par les paroles verbales, les morts entrent en possession du corps du
médium et communiquent à leurs proches ou non. Ce phénomène
communicatif est trop subjectif. Beaucoup de médiums charlatans en
abusent pour faire passer des messages bidons aux proches du mort. Pour ma
part, j'avais la chance d'assister à ce phénomène grâce aux messages
de mon frère 2, décédé à l'âge de 13 ans qui les fit parvenir à ma
mère grâce au corps médiumnique de ma 4è tante, belle sœur de ma
mère. Pendant la séance médiumnique, souvent involontaire, ma tante
était en transe et transpirait beaucoup. Elle ne se rappelait pas de ce
qu'elle a dit ou révélé à ma mère à la fin de la séance. Elle
parlait à ma mère comme si c'était sa mère, son identité spirituelle
était réellement celle de mon frère 2 (mon frère aîné ici-bas).
Par les écritures automatiques, le médium écrit sous la dictée de
l'esprit du mort. L'écriture, prend des tournures, formes inquiétantes.
François Brune, dans son
livre « Les morts nous parlent
» écrit ceci concernant l'écriture automatique :
« D'abord, des formes spectaculaires: elles peut se faire à l'envers,
entièrement ou en intervertissant seulement un mot sur deux; elle peut
atteindre des vitesses incroyables ; enfin certaines personnes peuvent
aussi écrire des deux mains en même temps, deux textes différents. Pis
ou mieux encore, de même que le oui-dja (planchette ou verre peuvent
parfois continuer à désigner des lettres une fois qu'on les a lâchés
), le crayon peut parfois continuer à écrire tout seul sans qu'on le
tienne, c'est ce que l'on appelle l'écriture directe. ».
Autre technique de communication avec l'au-delà, bien connu des
caodaïstes, secte religieuse vietnamienne qui honore l'esprit de
Jésus-Christ, du Bouddha, de Victor Hugo ... est le oui-dja , appelé
aussi «planchette» qui peut connaître différentes variantes : sur une
planche d'assez grandes dimensions sont disposés les lettres de
l'alphabet, les chiffres de 0 à 9 et «oui» et «non», plus quelques
signes de ponctuation. Une petite «planchette» sur roulette ou un verre
renversé est placé sur la planche. Deux ou trois personnes posent à
peine un doigt sur la planchette ou le verre, qui va ainsi se déplacer de
lettre en lettre en formant des mots.
En cette fin de XX è siècle, plein d'ingéniosité, le monde médico
scientifico et philosophique de la parapsychologie, invente des moyens
modernes et les utilise pour enregistrer les voix des morts sur bandes
magnétiques, pour visualiser l'image des morts sur écran de
télévision, etc. Ces techniciens de la communication avec l'au –delà,
spirituellement libres et élevés, n'ont plus besoin de la présence
physique d'un médium pour communiquer avec les morts. Une bande
magnétique vierge ou un écran de télévision ne trichent pas. Un
médium charlatan peut utiliser des subterfuges avec des images –
techniques holographiques pour tricher mais pas une simple bande
magnétique et vierge en échos – bruits sonores.
Pour ma part,
fortuitement, je découvre que je possède un septième sens, c'est-à-dire
communiquer de mental à mental avec le monde de l'au-delà purement
spirituel et non aveuglé par le monde illusoire de Maya-prakriti
, en lutte constante pour ne pas être anéanti à jamais par la puissance
de l 'Esprit du Temps – « Alpha – Oméga – Oméga – Alpha »
, dont le chef de file fut Lucifer – le Malin Porteur de Lumière et l
‘Egal du Très – Haut. Grâce à mon E.M.A.Q., sur une durée de 23
ans, j'ai réussi à transpercer les différentes voiles matérielles du
monde illusoire de Maya-prakriti, parvenant finalement à observer et étudier de fond
en comble le tréfonds de mon âme profane d’être – humain – et –
authentique. De cette étude sur mon « Soi », j’ai pu réussir
seul le Grand Djihad, tout en restant éveillé, émerveillé,
non aveuglé et sans peur face à la Bête « 666 » - le
Kundalini en Moi et hors de Moi
- la « Dame Abîme », dont l’essence naturelle n’est autre
que l’Esprit de l’Obscurité taoïste – le Principe Féminin –
Origine des racines du Ciel et de la Terre ( = le « Néant
Primordial » - le « Chaos Primordial » ). De cette
rencontre harmonieuse au tréfonds
de mon être – humain – et – authentique, mon âme individuelle,
incarnée ( jivâtmâ) en
l‘homme microcosme, profane et sexué « XY » ( = masculin),
parvient à retrouver la trace de l ‘âme – conscience suprême,
cosmique et universelle ( = paramâtma
) de l ‘Homme Macrocosme, d’essence pur « Ayn-Soph-Aur »,
et entrer en fusion alchimiquement non explosive avec elle. Toute cette opération
se passe au centre du 3 è Chakra – « Nabhipadma-chakra » et
grâce à la médiation de mon grain d ’Esprit Buddh , qui n’est autre
que le reflet concentré de paramâtma , et qui se situe au carrefour où se rencontrent à l
‘état pur purusha et prakriti.
Ma propre recherche fondamentale du monde de l'esprit originel d'essence
divino - humaine débuta en mai 91 suite à mes sept jours d'initiations
à Montréal. Ensuite grâce à une médium parisienne, Claudine, qui, par
l‘intermédiaire de son contact de l‘au – delà, dont le Padre Pio,
m'a envoyé ces deux prières :
1/ « Dieu de Miséricorde et d'amour, lave ton fils de toutes ses
connaissances acquises du passé. Daigne lui accorder un esprit neuf et
pur afin de recevoir sa lumière et son amour, seuls véritables pouvoirs.
Libère - le des chaînes de l'orgueil et garde le humble dans ta lumière.
Qu'il rende aux ténèbres ce qui appartient aux Ténèbres et à Dieu ce
qui est à Dieu. Par le saint esprit et les Élohim, que la mer s'ouvre
devant lui. Paix sur l'humanité. Amen.».
2/ « Dieu Eternel, pardonne à ton fils égaré dans les ténèbres.
Donne lui la force de Te retrouver; redonne lui la foi en Toi et en lui. Mère
des dieux, écrase la bête avant que ses anneaux ne l'enserrent et ne l'étouffent.
Donne lui l'amour et la paix et de comprendre qu'en voulant la perfection
on finit par se perdre et sombrer dans l'abîme. Dissipe Dieu tout
puissant, les brumes qui l'entourent par ton fils, Jésus - sauveur des
hommes, Marie mère de Dieu et des hommes, Yéoshua - Père éternel.
Pardonne le de ne plus comprendre le chant de la sibylle ; garde son âme
dans Ta lumière. Amen».
Le contenu de ces deux prières énigmatiques et mystérieuses attira énormément
ma curiosité d'homme - médecin scientifique formé à l’école
occidentale cartésienne, de culture philosophique bouddhique, croyant
mais sans peur en Dieu Bon – céleste - et Unique. Profane et laïc, je
ne pratique aucun rite religieux. Ma femme est d'origine française et
vendéenne, de confession religieuse chrétienne – catholique, baptisée
et non pratiquante. Notre mariage s’est fait civilement et non devant un
homme soit – disant de Dieu.
Etant non initié aux rites religieux , profane et n'ayant jamais lu les
livres sacrés (Bible, Coran, Veda...) les termes de « Dieu d'amour et de
miséricorde », « Elohim », « sibylle », « Dieu éternel », «Yéoshua
», etc. n'étaient pour moi que du charabia. Poussé par une curiosité
scientifique bien saine, je poursuivis ma recherche pour essayer de
comprendre le sens profond des deux prières ci-dessus. Le résultat de ce
travail est bien là avec la réalisation de ce « Livre évident » sur
Dieu Eternel, le Très – Haut, Y.H.W.H., le « Sans – Nom »
- « Sans – Forme », grâce
au concours de personnes qui ont formé une chaîne pour que ce livre
puisse voir le jour. L'écriture fixe la pensée et la rend concrètement
vivante.
Parmi les nouveaux messagers de l'au-delà, je note beaucoup de messages
venus des morts chrétiens bien collectionnés et étudiés par F. Brune
dans son livre « Les Morts Nous Parlent ». La plupart de ces messages
d'outre-tombe nous sont parvenus par écriture automatique avec l'identité
réelle des morts.
Les messages de Pierre Monnier, mort le 8 janvier 1915 à 23 ans sur le
front de l'Argonne. Sa famille était protestante, très croyante et
pratiquante . Il parlait à sa mère par écriture automatique, de la
forme que pouvaient prendre nos sentiments et nos pensées : « Je t'ai
dit que vos pensées se prolongent en ondes vibrantes et animées, or ces
effluves ont une composition analogue à celle de la matière, elle aussi
vibrante et animée; ils agissent et se comportent de la même façon, ils
contiennent la vie immanente. De ceci résulte que vos pensées vivent et
propagent la vie. Il en est de même, je te l'ai dit, du regard ... du
rayon envoyé par vos yeux... ce rayon est vivant, physiologiquement
vivant, si je puis dire » . La pensée n'est pas seulement vie, mais
intelligence et vie: « En effet, si vous admettez que la pensée est
cette énergie vivante qui se transporte et se transmet, il ne peut plus
être question ici d'une force, mécanique ou servile du fait qu'elle
serait dépourvue de volonté, cette fois ,ce sont des décisions prises
par une volonté colorée par une opinion personnelle due à la réflexion.»
. Pierre Monnier explique à sa mère que les hommes sont des créatures
vraiment extraordinaires , qui ont le pouvoir non seulement de faire naître
d'autres âmes : «... mais aussi des "entités
spirituelles" (émanation de leurs forces psychiques), des "énergies",
qui prennent un corps, et peuvent être bonnes ou perverses... Il vous est
parfois donné de les apercevoir: lorsqu'elles naissent d'impulsions élevées
et pures, elles vous apparaissent sous forme d'étoiles, de flammes voire
même des fantômes, subjectifs et passagers, mais elles peuvent aussi
prendre l'aspect monstrueux de bêtes fantastiques, lorsqu'elles
proviennent d'un sentiment vicieux ou pas. Ces "larves" dont les
païens avaient fréquemment vérifié la positivité effrayante ne sont
ni un rêve ni une hallucination . D'ailleurs même les forces cosmiques
sont douées de vie et par conséquent, elles ont une mission (bien
difficile à vous prouver)... elles doivent la remplir, pour éviter des défaillances
solidaires qui pourraient avoir une importance capitale. Rien pourtant ne
les oblige à cette obéissance...»
Dans une communication de P. Monnier reçue personnellement par Jean
Prieur le 24 octobre 1968, la force du Mal - Satan, est évoquée en ces
termes : « Satan
ne peut-être une personne, mais un éggrégore
du mal ayant de la conscience. C'est un centre de désagrégation, de
destruction, un ventre intelligent . C'est pourquoi les hommes disent
souvent qu'il existe comme personnalité ; on peut le considérer comme
une personnalité, il peut même en prendre la forme . Plusieurs esprits
du mal peuvent revêtir cette forme vis-à-vis des hommes. C'est un éggrégore
humain. Ce sont des émanations du mental humain qui arrivent à condenser
cette force! Les hommes le créent, il n'a pas de vie concrète. Il n'y a
que Dieu qui vit et peut créer. Il n'y a que Dieu qui vit. Satan a une
vie éphémère que les hommes pourraient anéantir à l'instant même, si
seulement ils voulaient penser dans la pensée de Dieu. Le mal ne durera
pas toujours tandis que Dieu existera éternellement...»
J'arrive à penser dans la « Bulle –Pensée » de Dieu - le
« Sans – Nom » d‘essence pur « Ayn-Soph-Aur »
grâce à mon 7è sens. Satan ou son éggrégore humain - le produit
vibratoire, vivant , et réel, issu des pensées - enseignements dispensés
à tort et à travers par les hauts dignitaires religieux intégristes
dogmatiques – « Aveugles guidant d’autres aveugles » , est
cuit, après avoir pu faire un grand razzia démentiel à la surface de la
terre. Une quantité incalculable de sang humain est offert en holocauste
à Satan, grâce à l’œuvre des chefs dictateurs et tyranniques, qui déclenchent
la Grande Tribulation prophétique et poussent leurs sujets – peuples
moutons de Panurge à s’entre-tuer bêtement pour être martyrs de Dieu,
héros de la Nation, etc. L’humanité ultra – nationaliste et
religieusement intégriste, dont l ‘ « âme – conscience collective
» fonctionne à l’envers, est hypnotisée jusqu’à la moelle osseuse
par l‘éggrégore – conscience satanique, pour se comporter comme des
zombies meurtriers et inconscients de leurs actes criminels non – sens .
La puissance conscience de Satan n'est qu'un "Ventre
intelligent", vide de sens vital et auto - destructeur; elle n ‘a
survécu jusqu’à ce jour que grâce aux mensonges des hommes de pouvoir
tyrannique et dictatorial, qui abusaient grandement leur pouvoir absolu,
temporel et intemporel, qui imposaient leurs Secrets ( = d 'Etat , du
Vatican, de la Diplomatie, …) tout en affirmant leur volonté de
transparence politique chrétienne. A travers ces agissements
contradictoires et dualistes extrêmes , nos gouvernants ont commis en un
siècle et demi, des fautes sans nombre avec crimes contre l’humanité
et de façon impunie . Ils instituent des rites – cérémonies avec
cultes des morts, des martyrs, des statues, des symboles , des
idoles, des rites initiatiques sado - masochistes jusqu'à l'institution
du Sacrement de la Pénitence , etc. et entretiennent ainsi la haine et la
guerre dans le monde des éggrégores – celui de la Puissance Conscience
satanique, qui excelle dans l’art de manipuler les esprits , et les âmes
faibles, seules ou groupées en communautés d’armes d ‘une violence
surnaturelle.
P. Monnier l'avait dit d'ailleurs déjà à plusieurs reprises, bien des
années auparavant, dans des lettres qu'il inspirait à sa mère : « Le diable ! ... symbole », disent les esprits forts de votre siècle!
Oh non pas! ... Satan est une
entité spirituelle de haute puissance, que chacun de vos
manquements fait vivre : le résidu de vos fautes est sa nourriture et
c'est votre péché qui l'alimente ».
Les messages de Paqui Lamarque : c'était une jeune fille morte prématurément
comme P. Monnier. Elle est morte à Arcachon en 1925. Ces messages nous
sont adressés par Madame Yvonne Godefroy, catholique pratiquante qui ne
s'était jamais occupée de spiritisme ou de littérature. La rencontre de
Madame Godefroy, médium malgré elle et l'âme éternelle de P. Lamarque,
était vraiment bouleversante. A la mort de la jeune fille en 1925 et
pendant les deux années qui suivirent, ce fut d'abord un ami qui perçut
ses messages et les écrivit. Mais le plus curieux, c'est qu'à partir du
1er janvier 1928, ce fut une inconnue qui prit le relais . Au cours de l'été
1926, M. et Mme Godefroy, qui étaient en villégiature à Arcachon, se
rendirent au cimetière afin de prier sur la tombe de leur jeune hôtelier
qui venait de mourir. Ils furent attirés par une chapelle toute neuve,
style 1925, qui dominait parmi les pins toutes les autres sépultures.»
Impressionné par le portrait de la jeune fille, par les textes qui
l'entouraient, par les fleurs et par toute l'atmosphère de cette
chapelle, Mme Godefroy chercha à faire la connaissance de la famille
Lamarque. Une amitié se noua, au fil des séjours de plus en plus
nombreux que la famille Godefroy firent à Arcachon en partie pour des
raisons de santé. Le 1er janvier 1928, à onze heures du soir, à l'hôtel
où ils étaient descendus, Yvonne Godefroy ressentit l'urgence d'écrire
ce que lui dictait une voix intérieure impérieuse et douce qui venait du
monde invisible. Elle prit un crayon et se mit à tracer d'une très
grande écriture penchée, qui n'avait aucun rapport avec la sienne, des
mots qui venaient sans effort, sans rature, d'un seul jet, sous
l'influence d'une sorte de musique émanant de son cœur .
Cela donna finalement six mille pages, dont cet extrait concernant le
monde des pensées invisibles : «Toutes
les pensées, bonnes ou mauvaises, forment des ondes qui s'en vont dans
l'espace. Selon leur nature, elles se rejoignent, s'assemblent et
constituent des légions qui se heurtent les unes contre les autres. Comme
dans toutes les batailles, l'issue de la rencontre dépend du plus fort. Si
l'élément mauvais triomphe de l'élément bon, c'est tout le mal qui
retombe sur la terre. Au contraire, si c'est la force bienfaisante, le
bonheur, la paix descendent sur les hommes. Les sentiments de jalousie, de
vengeance, d'orgueil, à plus forte raison de haine, créent des
tourbillons qui expliquent ce qui se passe en ce moment sur la terre...
Peuplez de pensées pures, de rayons charitables les champs de bataille
spirituels des troupes ailées ...».
Dans
ce même ordre d'idée, P. Monnier a dit à sa mère: «Les batailles formidables dont vous êtes témoins ne sont qu'une répercussion
de celles qui se livrent entre les esprits. Je n'entends pas
exclusivement les esprits des sphères extraterrestres ... Je parle aussi
des esprits qui vivent dans la chair humaine ... Les forces rivales et
ennemies de l'amour, qui avaient provoqué la bataille s'organisaient et
se comptaient. Ces forces émanaient des régions invisibles aussi bien
que des régions terrestres; les uns et les autres se dressaient dans les
deux camps. Chère maman, la victoire doit appartenir aux armées du
Christ.»
Messages de Roland de Jouvenel. Roland est le fils de Bertrand de
Jouvenel, philosophe, économiste, puissante personnalité un peu
marginale, et de Marcelle de Jouvenel, romancière et journaliste.
Beaucoup de célébrités côtoyaient ce couple: Maurice Leblanc, Jean
Rostand, Maurice Maeterlinck etc. La romancière décrivait un Paris
mondain un peu conventionné. La journaliste ne reculait pas devant des
enquêtes assez hardies: à la prison pour enfants de la Petite Roquette,
au Rio de Oro en pleine guerre de conquête espagnole, en Ethiopie peu
avant l'assaut final des troupes de Mussolini. De l'intelligence, du
courage, mais rien de mystique. Les Jouvenel ne pratiquaient aucune
religion. Le mariage avait été civil. Roland, leur fils, retrouva seul
le chemin de Dieu . Il pressentait sa fin prochaine. Plusieurs phrases lui
échappèrent qui le prouvent. Il allait prier dans les églises en
particulier à l'église Saint Roch à Paris, située près de chez sa mère.
En 1946, il tomba malade . On attendit le nouveau remède miracle (la
streptomycine) qui ne fut commercialiser que quelques années après sa
mort . Le 2 mai 1946, alors qu'il n'avait pas encore quinze ans, Roland,
émerveillé, voyait venir à lui sa grand-mère, morte deux ans
auparavant et qui venait l'emmener.
Bertrand et Marcelle étaient déjà séparés, Mme de Jouvenel se
retrouve complètement seule. Le désespoir, la révolte, la pensée du
suicide, puis une lente remontée. Elle fait dire une messe pour son fils
et y communie. Alors commencent les signes. Puis sur les conseils d'une
amie, elle finit par essayer de prendre, elle aussi, un crayon malgré ses
réticences. Un frisson parcourut sa main et les mots se formèrent sur le
papier. Comme pour Pierre Monnier, les messages, d'abord quotidiens vont
peu à peu s'espacer. Le tout dernier message date du 16 février 1969
avec cette simple phrase: « Maman, on se nourrit de ce qu'on donne aux
autres ». Roland le disait bien souvent à sa mère: « La
survie prend naissance dans les êtres dès leur naissance ; cette survie
est ce double qui vit dans le corps et qui éclôt à la mort ... C'est
parce que l'âme se développe
comme une plante que vous devez cultiver vos climats intérieurs »
« Tu ne te préoccupes pas assez de
ce deuxième personnage qui est pourtant attaché à toi aussi étroitement
que ton ombre. La construction
psychique de ton double, tu dois la façonner avec des doigts d'un
sculpteur. Jamais tu ne prendras assez de soins pour parfaire ton être
invisible » « Tu prends trop
à la légère les constructions de ton double. Pierre
à pierre, vous devez bâtir la demeure de votre éternité ...».
La construction de notre corps doublure pur d'esprit « Christique
– Buddhi » sera donc possible dans cette vie sur Terre. Grâce à
mon E.M.A.Q. sur une durée de 23 ans, j'arrive en cette fin XX è siècle
à réaliser la construction complète de mon corps lumineux aurique éternel
. Ce corps doublure fusionne à jamais en mon corps physique poussiéreux
temporel. D'où ma communication mentale à mentale avec le monde de pensées
conscientes de l'au-delà. Ce monde invisible – « vie éternelle »
ne s'ouvre qu'à des esprits dotés de corps lumineux auriques et éternels
. A l'intérieur de ce monde divino - humain, d'essence spirituelle pur,
les entités – « fils de lumière » se communiquent par télépathie
et s'entraident spirituellement. Leurs connaissances communes associées
à celles de l'humanité consciente de ses responsabilités pourront
transcender l 'ensemble de l 'univers du Grand Tout
jusqu'à Dieu le Très Haut, le « Bon Dieu » et non le Dieu -
Diable rempli de rites superstitieux sado - masochistes .
Roland de Jouvenel avait d'ailleurs annoncé à sa mère qu'un jour ce
genre de communication deviendrait possible entre Ciel et Terre. Mais
quand et par quels moyens techniques ? Il n'en savait pas trop. Il
laissait ce message daté du 3 novembre 1949 : « L'occultisme et la métapsychique deviendront une science expérimentale
basée sur le réel ;
une table qui se soulève est un phénomène d'ondes; des conversations médiumniques
sont des contacts avec des esprits encore voisins de la Terre. Là est le
phénomène d'interpénétration d'un plan dans un autre, mais cette zone
est incommensurablement éloignée du royaume. Ces incursions d'un plan
dans un autre deviendront par la suite aussi familières que l'aviation
est devenue courante . Pourtant ce n'est pas parce que les hommes se sont
construits des ailes qu'ils sont devenus des anges, ni parce qu'ils
atteignent de hautes altitudes qu'ils se rapprochaient de Dieu. Vous
arriverez à communiquer avec l'invisible, mais cet invisible est
aussi loin de la Divinité que vous l'êtes vous-mêmes d'une étoile. Ces
réservoirs d'esprits voisins de votre univers ont atteint un degré supérieur
au vôtre, mais ne sont encore qu'à la première des marches qui conduisent au septième
ciel. Un jour viendra où,
scientifiquement, ce monde sera en relation avec votre monde. Les
études dirigées vers ce plan ne peuvent en rien être une profanation
envers le Divin, car les rayons célestes ne pénètrent guère plus en
ces régions que dans la vôtre. Les êtres qui y circulent n'ont de plus
que vous-même qu'un sens: le sixième. Un jour viendra ou vous capterez
les vibrations de ce plan, comme vous avez capté l'électricité, et
elles vous seront perceptibles. Mais Dieu n'est toujours pas là ... L'expérience
mystique ou spirituelle est tout autre ...» ( Grâce au Septième
sens, l ‘homme trilogique et christique peut facilement communiquer avec
les êtres d’esprits – fils de lumière avec leur sixième sens, et
par télépathie instantanée, directe et sans intermédiaire, grâce au
fil du Tao pur d‘essence « Ayn-Soph-Aur »).
Autres messages révélés par des morts anonymes ou non :
* Un jeune soldat tué en 1942 par les Japonais ; il tombe en pleine
jungle en plein combat . Hors de son corps de chair, il essaie d'abord,
bien en vain, d'aider encore ses camarades . Devant l'inutilité de ses
efforts, il abandonne et se promène dans la forêt . En quelque pas, il
se trouve dans une paix merveilleuse, c'était bien toujours la jungle que
malgré les circonstances il avait appris à aimer mais dans une beauté
indescriptible que ses yeux de chair n'avaient jamais pu percevoir. Au
milieu de ce bonheur lui parait une forme brillante et belle qui l'invite
à venir avec elle à l'aide de ses compagnons mourants. Il hésite un peu
à quitter ce lieu merveilleux, « celui qui brille » ainsi nomme-t-il la
forme lui explique alors pour le rassurer qu'il «suffirait d'évoquer ce
lieu et d'y souhaiter retourner pour y revenir ». Il se décide donc à
le suivre : «C'est avec regret que je le suivis. Nous avons en quelque
sorte transité ou plutôt non, il n'y eut point de transit, notre
environnement s'effaçait et un autre prenait sa place . La jungle
bougeait et se dissolvait, et un autre type de jungle apparaissait,
celle-là remplie d'hommes criant des ordres et hurlant de douleur. Tout
d'abord, cela me parut insoutenable mais « Celui qui brille » me dit: «Viens
te mettre au côté de cet homme, il va venir à nous » . Une seconde après,
une balle déchirait son estomac, et il se recroquevillait à nos pieds en
geignant . «Celui qui brille» se pencha vers lui et toucha sa tête et
ses yeux . Ses gémissements se turent instantanément, et je
vis son esprit abandonner son corps torturé . Il nous rejoignit, pâle
et ahuri, dans la dense végétation de la jungle. Avant que je puisse
comprendre ce qui s'était passé, nous étions de retour dans la
merveilleuse jungle; ce fut magnifique » . Plus loin, l'auteur ajoute :
«Je comprends qu'il n'y a pas
d'endroits différents , tous correspondent à nos états d'esprits .
C'est comme ce que l'on nous avait appris quand nous étions enfants : le royaume de Dieu est en vous. Bonne nuit ».
*Un des naufragés du Titanic, en 1912: Il est arrivé à communiquer le récit
de ces aventures dans l'au-delà à sa fille, par l'intermédiaire d'un médium.
Le naufragé s'appelait William Sted. Il raconte d'abord sa stupéfaction
de trouver soudain prés de lui des gens qu'il savait morts depuis
longtemps : « A cela j'ai compris
pour la première fois le changement qui était survenu. Je compris
brusquement et j'eus peur. Après un moment de trouble, je cherchai à me
ressaisir. Mon désarroi ne dura qu'un instant et je réalisai avec émerveillement
que tout ce que j'avais appris était vrai. Oh ! Si j'avais eu un téléphone
à ce moment là pour envoyer des nouvelles à tous les journaux ! Ce fut
ma première pensée. Puis me vint une réaction d'inquiétude. Je pensais
aux miens. Ils ne l'avaient pas encore appris. Que dire à mon sujet?
Comment le communiquer ? Mon téléphone ne marchait plus. Je voyais tout
sur terre car j'étais encore très près de notre planète. Je voyais le
bateau coulé, les naufragés, et cela me donna de l'énergie; j'avais la
force d'aider ... et, de désespéré, je devins capable de secourir. En
peu de temps tout était joué et nous attendions seulement la fin de la
catastrophe. C'était comme si nous avions attendu un départ. Finalement
les sauvés furent sauvés et les noyés, vivants. Alors, ceux de la
seconde catégorie, c'est-à-dire nous, tous ensemble nous changeâmes de
scène et de direction. Pour nous tous alors commença un étrange voyage
et le groupe que nous formions était lui-même étrange: personne ne
savait où nous allions. Cette scène était d'un tragique indescriptible.
Beaucoup, comprenant ce qui était arrivé avaient une terrible inquiétude,
autant pour leur famille qu'ils avaient laissées qu'au sujet du sort qui
les attendait. «Qui veillera sur nous ? disaient-ils. Va-t-on nous
conduire auprès du Très Haut ? Et quelle décision va-t-il nous annoncer
?» D'autres paraissaient indifférents à tout, mentalement absents.
Vraiment une étrange troupe d'âmes humaines attendant leur
immatriculation dans le monde nouveau.
"Ce fut l'affaire seulement de quelques minutes, et voici des
centaines de corps, flottant dans l'eau morts; des centaines d'âmes
emportées à travers les airs, vivantes; et beaucoup d'entre elles même
très vivantes. Beaucoup, en effet, ayant réalisé qu'elles étaient
mortes, étaient furieuses de ne pas avoir la force de sauver leurs objets
précieux. Elles luttaient pour sauver les objets auxquels, sur terre,
elles avaient accordé de prix. Le spectacle du naufrage était effroyable. Mais ce n'était rien en
comparaison de celui des âmes arrachées à leurs corps bien malgré
elles . La scène était déchirante . Nous attendions d'être tous
rassemblés ... et quand tout fut prêt, nous nous ébranlâmes vers
d'autres horizons.
"Ce voyage fut curieux, bien plus que nous ne l'aurions imaginé. Nous
montions verticalement dans l'espace à très grande rapidité. Nous déplacions
en groupe comme si nous avions été sur une très vaste terrasse, projetée
en l'air avec une puissance et une vitesse gigantesques; et pourtant nous
n'avions aucune crainte pour notre sécurité. Nous avions un sentiment de
solidité. Je ne sais combien de temps dura notre voyage, ni à quelle
distance de la terre nous nous trouvions lorsque nous arrivâmes. Mais ce
fut une arrivée tout à fait merveilleuse. C'était comme lorsqu'on sort
de l'ennui d'un hiver britannique pour arriver dans l'éclat rayonnant
d'un ciel méridional. Nous l'avions vu de loin en nous approchant ; tous
ceux d'entre nous qui avaient quelques connaissances sur ce sujet pensèrent
que nous étions envoyés dans ce lieu d'accueil en raison de notre séparation
brutale d'avec la vie terrestre. Le malheureux néophyte était soulagé
en arrivant. Un certain sentiment de fierté nous remplissait, en trouvant
que tout était léger, resplendissant et, de plus, aussi matériel et
solide à tous égards que tout ce que nous venions de quitter dans ce
monde. Notre arrivée réjouit beaucoup d'amis et de parents qui nous étaient
très chers lorsque nous étions sur terre. A notre arrivée, nous tous
qui venions du naufrage, nous fûmes mis à part. Nous pouvions à nouveau
disposer librement de nos énergies, bien que chacun d'entre nous fut
accompagné d'un ami personnel, trépassé depuis des années ».
De ce voyage de retour à travers l'espace de l ‘instantanéité, Roland
de Jouvenel relate une expérience un peu semblable avec des analogies et
des différences : « Quand nous
quittons la Terre nous arrivons tout de suite dans une sorte de bulle close. Après notre dernier soupir humain, nous n'entendons
plus rien . Sans ligne de conduite, ayant perdu le sens de l'orientation,
nous volerons dans les nuées, toujours sans rien connaître. Ceci est
notre première étape. Puis peu à peu, nous apprenons à discerner les
courants divins; et des routes célestes s'ouvrent à nous . La première
couche, qui surplombe le monde et par laquelle nous devons passer, est
comme un ciel entier à parcourir. Cet espace est sillonné de comètes.
Nous sommes tout dépaysés dans l'inconnu de cet univers. Sans ailes ou
presque, nous voltigeons dans cet éther aussi maladroitement que
des oiseaux nouveau nés.
Enfin, des rayons de plus en plus clairs nous apparaissent, et nous
reconnaissons les voies triomphales qu'il s'agit d'emprunter pour arriver
jusqu'à Dieu » .
Parlant de la mort de la lumière au crépuscule, Roland de Jouvenel
ajoute: «Cette agonie du jour dans
l'ombre est une réplique de ce que nous éprouvons au moment de la mort .
La terre devient ténèbres ; nous ne distinguons plus le créé , nous
traversons ensuite une région ténébreuse comparable à la nuit.
Nous sommes emportés dans l'espace comme des nuages dans l'ombre d'un
soir obscur, puis l'aube céleste se lève enfin pour nous; mais nous
sommes encore loin de Dieu, aussi loin que le soleil est loin de la Terre.
» « Pour ne pas avoir trop froid lorsque tu quitteras la Terre, il faut
que ta vie intérieure soit torride, les steppes
de glaces dans lesquelles tu seras prise fondront si ta ferveur est
chaude comme un brasier: ta ferveur dissoudra le gel ...»
Ainsi grâce à ses connaissances propres, Roland de Jouvenel, âme
humaine pure chrétienne et mystique de l'au-delà a passé sans dégâts
la zone de ténèbres célestes, le néant Is1 des bouddhistes non croyant
en Dieu créateur ou l'Enfer Céleste, le congélateur cosmo – planétaire
zone de froid glacial sans lumière « Ayn-Soph-Aur »
mystique (# - 3 K ) . Or malgré son âme chrétienne pure, grand mystique
de l'au-delà, Roland reste toujours encore loin de Dieu «Aussi loin que
le soleil est loin de la Terre» . Pourquoi ? Tout simplement parce que
Dieu – le « Sans – Nom » d‘essence pur « Ayn-Soph-Aur »
ou plutôt son esprit saint -
« Lumière Incréée » était en nous – « Homme
Trilogique et Christique » doté
d'un cœur, d'une âme et d'un esprit , depuis la mort sacrificielle de Jésus-Christ
.
La force des pensées créatrices et destructrices cosmiques, planétaires
et sphériques était telle qu'elle vibre et concentre tout autour de la
planète Terre . De ces entités d’Esprits lumineux avec Sixième Sens,
il est écrit : « Toutefois,
il existe aussi des esprits admirables des esprits lumineux, dont les vêtements
blancs resplendissent comme la neige sous le soleil, et qui ne sont pas
des anges, bien qu'ils n'aient jamais vécu dans la chair. Ils planent
au-dessus des nations comme un éléments protecteur, ils sont nés des
grandes pensées qui ont germé dans le cœur et le cerveau des peuples
... Dieu accorde le souffle de vie (je veux dire une âme) à cette énergie
sortie de l'humanité. Elle devient, en vérité, une force indépendante,
qui a pour personnalité celle de ses parents innombrables et elle est
chargée de veiller sur le lieu qui fut son berceau et sa patrie...»
( Dialogues avec l'Ange).
Toutes ces « entités – égrégores – esprits » lumineux
des peuples – grandes et petites nations hégémoniques ici-bas,
finissent par former d'immenses armés, d'amour ou de haine . C'est alors,
dans le monde invisible, une immense bataille qui se répercute forcément
sur l'humanité marionnette de pouvoir dictatorial pécheresse à l'extrême
et bien soutenue par les hauts dignitaires religieux monothéistes, panthéistes,
dogmatiques et ultra-nationalistes. Malgré leur intelligence, leur savoir
universel, leur érudition, tous ces hommes soi disant « représentant de
Dieu » se faisaient piéger spirituellement par les égrégores esprits
lumineux des nations prakritiennes – « Bêtes sanguinaires »
assoiffées de sacrifice, d’holocauste à base de sang animal mammifère
( donc l’espèce humain) et autres volatiles (= coq, poulet chez les
Vaudous). Ils évangélisent, ils coranisent leurs peuples, zombies et
autres soi - disant «infidèles» à Dieu par les armes et le sang,
nourrissant ainsi l 'éggrégore humain de SATAN.
François Brune nous donne ici son avis personnel sur le refus
intransigeant des dignitaires «spécialistes» ecclésiastiques de
reconnaître la réalité des témoignages des vivants (N.D.E.) et des
morts sur la question "La Vie après la Vie" ou "La vie après
la Mort": « Alors prudence et discernement, mais pas de refus absolu
. De même, je ne peux pas accepter les réserves du Père Jean Vernette
sur des communications comme les lettres de Pierre, les ouvrages de Roland
de Jouvenel ou même ceux de Jean Prieur. Je crois même que la critique
n'est pas entièrement honnête. L'auteur fait comme si les reproches
souvent faites à l'église par Jean Prieur, mais aussi par Pierre Monnier
et depuis par bien d'autres, de ne plus assez croire à la vie éternelle
ou d'en présenter trop souvent une vision ridicule, n'étaient pas
justifiées. Il prétend, à l'inverse, qu'à lire ces auteurs et "à
leur porter foi, on s'éloigne peu à peu du christianisme. Dieu y est étrangement
lointain, Jésus-sauveur n'apparaît guère". Jean Prieur a signalé
de nombreux ecclésiastiques, et non des moindres, qui n'étaient pas du
tout du même avis. Pour ma part, étant aussi un peu théologien, je dois
avouer que ce serait plutôt en lisant Saint Augustin et Saint Thomas d'Aquin,
sans parler d'un très grand nombre de "théologiens"
contemporains, que j'aurais pu perdre la foi. On aura déjà vu, au
contraire, et on le verra bientôt encore davantage, tout ce que je dois
à la lecture de ces grands "témoins de l'invisible", comme les
appelle Jean Prieur. Ce que dit ici le père Vernette d'un Dieu "étrangement
lointain", me paraît assez vrai et parfois même très juste de
toute la littérature du courant spirite. Mais il ne faut pas tout
confondre ! ».
Les religieux purs et durs, mauvais évangélistes, dogmatiques et
moralistes, considèrent les témoignages des rescapés de la mort et des
morts à âmes chrétiennes comme irrationnels et démoniaques. Or la
présence de Dieu est bien ressentie et décrite par ceux-ci. J-C Hampe
rapporte ici le témoignage de l'un des rescapés de la mort : « Depuis ce temps là, Dieu
représente pour moi une source fondamentale d'énergies, inépuisable,
intemporelle, elle rayonne sans cesse en énergies, absorbe aussi de
l'énergie dans une pulsation continuelle ... Elle est l'harmonie parfaite ... différents mondes se forment à
partir des différentes vibrations, les fréquences font les différences.
C'est pourquoi différents mondes peuvent exister en même temps, au même
endroit ...». Pierre Monier, de l'au-delà où il est parvenu, nous
dit la même chose : « Il y a en
toutes choses des parcelles de Dieu (que vous pourriez appeler plus
correctement des "énergies") ... Les énergies divines
répandues dans la création sont en réalité "l'influence" de
Dieu, qui s'exerce en vie, en pensée, en individualité …» ;
«Dieu vous a donné "son
influence", ce courant impondérable qui va de son "noyau
dynamique" jusqu'aux hommes. Ce que j'appelle de ce mot barbare,
appelez le, pour mieux comprendre la production d'amour, "un cœur",
le cœur de Dieu, foyer brûlant et lumineux qui anime tout l'univers ».
Ce "cœur de Dieu", Fils qui voulait être Père -"Yéoshua,
l'Eternel" était au centre du magma terrestre et symbolisait
l'esprit saint alpha, qui représente la première identité divine,
incarné en Jésus. C'était la descente en « Enfer
Souterrain » de l'esprit saint alpha – christ, pour parfaire son
expérience de Dieu vivant – le « Verbe – qui – s’est –
fait – chair » dans le royaume des morts . Jésus, d'esprit saint
- fils et père androgyne cherchait ainsi à parfaire sa mission
d'évangéliser le monde des morts ténébreux souterrains et sataniques,
ses "frères – anges déchus" pécheurs. Ses paroles
évangéliques restaient pourtant lettres mortes en ce monde infernal qui
arrive même à contaminer sournoisement en "mal" et
"bien" destructif, le monde des hommes à la surface de
la Terre bien paumés, sens dessus dessous.
Ce «cœur de Dieu» - producteur de sentiment d 'amour vient d'être
transféré à sa vraie place centrale, divine, cosmique, et universelle,
c'est-à-dire, au centre de l'astre solaire "foyer brûlant et
lumineux", qui anime tout l'univers du système solaire, selon J.
Képler. La puissance de l'amour sans aucun intérêt de l'esprit saint et
père androgyne de Jésus – le « Fils de l ‘Homme », se
répandra désormais à travers l'univers du système solaire tout entier.
Elle chassera et dissipera la force des ténèbres lucifériennes. Elle
sauvera le monde des hommes pensant et moralement libre – les
descendants de la Femme – Eve ( ou Celle – qui – a – croqué -
avec – raison – la pomme – de – la – Connaissance – pour –
que – ses – descendants – vivent – éternellement – et – ne
– meurent – pas – idiots – comme – des Saints – Mystères ) à
l'aube du III è millénaire.
Parmi les «morts qui nous parlent», il existait des messages venus des
morts à âmes chrétiennes dont Verro et son expérience spirituelle de
l'au-delà : « Il
faut évidemment méditer, mais vous pouvez méditer des années et ne
rien sentir . Il faut,
je crois, avant tout, aimer car c'est l'amour qui est la voie royale qui
conduit au divin. Il faut aimer et oublier tout le reste dans cet amour.
Il faut laisser de côté tout ce qui n'est pas l'adoration mystique et
incompréhensible que vous laisse justement sentir et percevoir le divin
en vous. Il faut sentir cet amour vibrer jusqu'à ce que la joie vous
inonde, vous identifier à cette joie et à cet amour, à tel point que
vous ne soyez plus qu'amour et joie et qu'amour et joie soient vous-mêmes
! » ; « Ce n'est qu'aux âmes déjà bien avancées qu'est donné d'aimer
l'impersonnel et l'incréé ». Pour être "bien
avancée" dans le vrai sens du terme ici bas, l'âme d'une vie
humaine ne pourra jamais visualiser jusqu'à aimer l'impersonnel et
l'incréé . Il faudra forcément plusieurs vies ici-bas à l'âme humaine
qui désire consciemment et librement aimer l'impersonnel et l'incréé
qui s'est incrusté au tréfonds de l'âme humaine, individuelle, et
éternelle.
Beaucoup de ces âmes chrétiennes peu avancées et issues des morts qui
ne croyaient pas à la réincarnation, erraient ainsi en ce bas monde
parmi leurs proches ou leurs objets fétiches ... De ce phénomène
existentialiste des âmes, Georges Morranier, un jeune homme qui après
une longue recherche intellectuelle et spirituelle, s'était aventuré
tout seul dans le yoga royal se
faisait piéger par le "feu serpent" – le Kundalini
et avait fini par se suicider, témoigna auprès de sa mère par
écriture automatique : « Dis toi
bien que nous ne vivons pas "là-haut" dans un endroit
indéterminé, mais que nous vivons avec vous, dans vos demeures » ;
« Je voudrais t'expliquer ce que
beaucoup de terrestres ne comprennent pas, c'est que nous vivons avec
vous. Vous avez tellement l'habitude de répondre aux enfants qui
s'inquiètent d'une personne décédée elle est dans le ciel, elle est
près de Dieu, que vous nous croyez flottant dans l'atmosphère au milieu
des nuages. Il faut revoir cette opinion. Nous vivons ici-bas et non
là-haut. Nous vivons dans vos appartements et vos maisons, nous nous
allongeons sur vos lits quand cela nous convient et quand vous n'y êtes
pas ... Nous asseyons dans vos fauteuils ou sur vos chaises, et nous
tenons de joyeux conciliabules surtout pendant que vous dormez, ce qui
nous laisse toute liberté d'agir ... Nous vous écoutons discuter, nous
vous regardons vivre avec une joie sans mélange ... Nous vous aidons par
la pensée, parfois par une intervention inaperçue de vous, mais
effective. C'est notre rôle, mais c'est aussi une véritable joie
...»
Malheureusement, à côté de ces bonnes âmes, il existe aussi beaucoup
d'âmes démoniaques issus des morts nazis, Khmers rouges, tueurs –
martyrs musulmans intégristes chiites khomeynistes , palestiniens ,
algériens ..., des chrétiens intégristes pétainistes
… Ces âmes tueuses
nées, bien ordonnées par l'âme suprême de leurs chefs diablement
dictateurs, tels Hitler, Staline, Pol Pot
Pinochet Khomeyni Mao –
Tse – Toung, etc. semaient ainsi des actes de tueries barbares parmi les
jeunes skinheads allemands les
jeunes tueurs suicidaires palestiniens du Hamas
etc. Individuellement, toutes ces âmes devront rendre leur compte
devant Dieu le Très Haut, surtout leurs chefs bien protégés ici-bas.
Car, il est dit et écrit : « Toute
âme ne fait des œuvres que pour son propre compte : aucune ne porte
le fardeau d’un autre. Vous retournerez à votre Seigneur , qui vous
déclarera ce sur quoi vous étiez en désaccord les uns avec les
autres » ( Le CORAN , Sourate II, v. 164).
Un détail intéressant à savoir sur l'âme fantôme, c'est que selon
Georges Morannier, si le corps spirituel : «... passe
à travers les murs, les portes et tous les objets du monde terrestre, par
contre et cela est curieux, il ne passe pas à travers les êtres vivants
de la terre ...» . Ce phénomène est bien simple à comprendre, dans
l'être vivant humain, il existe le troisième élément christique ou « l'esprit » . Le sanctuaire de cet esprit est le corps vivant de
l'être humain . Malgré sa faible puissance, celui-ci interdit l'accès
de son sanctuaire à l'âme fantôme. C'est une sorte de guerre de
tranchée invisible entre l'esprit incarné et l'âme fantôme externe.
Parfois cependant, si l'être vivant pense beaucoup au mort, l'âme
fantôme du mort est attirée ; et l'âme incarnée du vivant
fusionne alors l'âme du mort et souvent de façon dysharmonique et dont
le résultat devient irrespirable pour la personne hantée et ses proches.
Parfois la force commune de plusieurs âmes démoniaques arrive à chasser
l'esprit de l'être vivant pour prendre le sanctuaire corporel de celui-ci
. L'être vivant sans esprit sera fortement possédé (cas des personnes
possédées), les exorcistes exaltent, menacent et chassent les âmes des
démons à abandonner le combat et quitter le corps du possédé. Parfois,
les âmes démoniaques acceptent d'abandonner le combat et ce sera la
guérison avec le retour à l'état normal de la personne
possédée ; mais parfois, par leurs rituels sadiques, nos exorcistes
arrivent à vaincre les âmes démoniaques en commettant un acte meurtrier
sur le corps du possédé, c'est ce qu'on appelle « le malade possédé
est guéri mais mort ». A la mort de celui-ci, les âmes démoniaques se
séparent de ce corps tout en enchaînant l'âme du possédé guéri mais
mort à leur groupe. Leur force démoniaque augmente ainsi en intensité
spirituelle pour aller chercher d'autres victimes ici-bas . Pourquoi cet
enchaînement spirituel ? Tout simplement seule et isolée ,
l'âme errante souffrait énormément ; enchaînées ensemble ,
elles souffrent moins mais malheureusement, une fois enchaînées, ces
âmes errantes lourdement chargées et puissantes avaient besoin
d'exprimer leur existence à travers les phénomènes de la
"Possession".
Le phénomène de séparation de l'âme et de l'esprit du corps mort
pouvait être observé par certaines personnes dotées d'un don
médiumnique extralucide. Le docteur Robert Crookall dans son ouvrage
«Out of The body Experience» en donne une vingtaine d'exemples dont deux
sont cités par K. Ring . Estelle Roberts décrivit ainsi la transition de
son mari : « J'ai vu son esprit quitter le corps. Il est sorti par sa tête et s'est
peu à peu modelé en une réplique exacte de son corps terrestre. Il est
resté en suspension à environ trente centimètres au-dessus de son
corps, étendu dans la même position horizontale et relevé à la tête
par une corde. Puis la corde s'est brisée et la forme spirituelle s'est
éloignée en flottant et a traversé le mur ».
L'autre récit provient d'un médecin du XX è siècle le docteur R.B.
Hout qui nous décrit la mort de sa tante : « Mon attention fut attirée
... juste au-dessus de son corps physique, par quelque chose en suspension
dans l'atmosphère à peu près à une soixantaine de centimètres
au-dessus du lit. Je n'ai tout d'abord distingué rien de plus que le
vague contour d'une substance brumeuse semblable à du brouillard. Il
semblait n'y avoir là, en suspension, qu'une brume immobile. Mais comme
je regardais, peu à peu cette vapeur inexplicable prit du volume, devint
plus dense, compacte, et se condensa sous mes yeux. Puis je fus ahuri de
voir se dessiner des contours précis pendant que cette substance brumeuse
prenait une forme humaine. Je compris rapidement que je voyais un corps
ressemblant au corps physique de ma tante ... Le corps astral (le terme
est de Hout) restait en suspension horizontalement à moins d'un mètre
au-dessus de sa contre partie physique ... j'ai continué de regarder et
... le corps de l'esprit (ce terme est aussi de Hout) me sembla devenu
complet. Je distinguais nettement ses traits ils étaient similaires à
ceux du visage physique mais rayonnant de paix et exprimaient la vigueur
au lieu de la vieillesse et de la douleur. Les yeux étaient fermés comme
sur un sommeil paisible et une luminosité paraissait irradier du corps de
l'esprit .
"Tandis que j'observais le corps de l'esprit en suspension, mon
attention fut attirée, de nouveau intuitivement, par une substance
argentée qui ruisselait de la tête du corps physique vers celle de
l'esprit du double. Puis je vis la corde de liaison entre les deux corps.
Et, tout en regardant, je me disais intérieurement, la corde d'argent!
J'en comprenais la signification pour la première fois. Cette corde
d'argent était le lien de connexion entre les corps physique et
spirituel, de même que le cordon ombilical unit l'enfant à sa mère...
La corde était attachée après chacun des corps à la protubérance
occipitale, juste à la base du crâne. A son point de liaison avec le
corps physique, elle s'épanouissait en éventail et de nombreuses
brindilles séparées se rattachaient séparément à la base du crâne.
Mais, en dehors de ses points d'attache, la corde était ronde et d'un
diamètre d'environ deux centimètres et demi. Sa couleur était celle
d'un rayonnement lumineux translucide et argenté. Elle semblait vibrer
sous l'effet d'une énergie intense. Je voyais des pulsations lumineuses
la parcourir depuis le corps physique en direction de l'esprit du double.
A chaque pulsation, le corps de l'esprit prenait vigueur et densité
tandis que le corps physique paraissait plus apaisé et inerte ... A ce
moment, les traits devinrent très distincts. Toute la vie se trouvait
dans le corps astral ... les pulsations de la corde s'étaient arrêtées
... Je regardais les brindilles de la corde qui s'ouvraient en éventail
à la base du crâne. Chacune d'elles claqua ... la séparation finale
était imminente . Un double processus de mort et de naissance allait
s'ensuivre ... la dernière brindille de connexion de la corde d'argent
craqua et le corps de l'esprit fut libre.
"Le corps de l'esprit, qui se trouvait jusque là en lévitation
(étendu sur le dos) se redressa ... les yeux fermés s'ouvrirent et un
sourire éclaira les traits rayonnants, elle m'adressa un sourire d'adieu
et disparut. J'ai été témoin du phénomène ci-dessus comme d'une
réalité entièrement objective. J'ai vu les formes de l'esprit par mon
regard physique. »
Grâce à son « don » médiumnique extralucide ou le sixième sens, le
docteur Hout a pu voir avec ses yeux physiologiques le monde de l'esprit
frontière entre « vie incarnée » et « vie désincarnée ». Il
décrivit avec talent la reconstitution étape par étape « l'arbre de la
vie éternelle » échappant ainsi de la carcasse osseuse de sa tante tel
un papillon, sortant du cocon de soie de la chrysalide.
Techniquement parlant, comment faire pour communiquer avec le monde
inaudible de l'au-delà et le rendre audible. François Brune nous cite
les expériences de Jürgenson et Raudive (pionniers de l'enregistrement
de la voix des morts). L'histoire de Jürgenson, peintre et chanteur
nordique, a commencé le 12 juin 1959 dans les environs de Stockholm.
Ayant entrepris d'enregistrer des chants d'oiseaux, il a eu la surprise
d'entendre des voix qui voulaient lui parler (voix d'homme parlant
norvégien). Plus tard, il enregistra d'autres voix. Le sachant
polyglotte, les voix mêlaient dans la même phrase des mots de toutes les
langues, lors d'une émission de radio, elles cherchaient à se faire
reconnaître par tous les moyens. « Ce qui se produisait ici, se
répétait quotidiennement et se précisait lentement, écrit Jürgenson,
avait la force explosive de la pure vérité qui s'appuie sur des faits.
C'était la vérité, la réalité qui allait peut-être déchirer en
mille lambeaux le rideau de l'au-delà et, du même coup, réconcilier ce
monde ci avec l'autre en jetant un pont au-dessus de l'abîme. Il ne
s'agissait en aucun cas de sensationnel. J'étais seulement chargé de
cette tâche, grande mais difficile, de la construction de ce pont entre
l'ici-bas et l'au-delà . Si je me montrais à la hauteur, alors
peut-être, l'énigme de la mort serait résolue par la technique et la
physique.»
Pour se convaincre Jürgenson commença à s'entourer de témoins et de
collaborateurs pour continuer ses expériences. Ce furent d'abord le
parapsychologue suédois J. Björkhem et Arne Weisse de la radio suédoise
avec cinq autres observateurs, cette première en public fut en partie
enregistrée plus tard sur le disque qui accompagnait l'ouvrage de
Jürgenson . Dès 1963, il travaille avec l'institut de parapsychologie de
l'université de Fribourg, dirigé par Hans Bender; puis ensuite avec le
Deutsches institut für Feldphysik à Northeim et l'institut Max Planck à
Munich .
L'histoire de Constantin Raudive était aussi curieuse et fortuite que
celle de Jürgenson. Né en Lettonie en 1909, il quitte son pays à l'âge
de 21 ans. Après des études à Paris, Salamanque, Londres et un long
séjour en Espagne, il se fixa définitivement en 1944 à Upsal.
Polyglotte, grand traducteur de littérature espagnole en letton, c'était
aussi un romancier et un philosophe profondément spiritualiste. Il était
hanté par le drame du chaos tragique qui avait submergé l'Europe .Comme
Jürgenson, c'est tout à fait par hasard qu'il découvrit cette
possibilité fantastique de communiquer avec les trépassés. Vers la fin
de 1964, il fut obligé de sortir de chez lui à l'improviste ... quand il
fut de retour, il s'aperçut qu'il avait laissé son magnétophone en
marche. Il voulait écouter le début de la bande ... Soudain, il eut la
stupéfaction d'entendre: «Kosti, Kosti! ...» c'était la voix de sa
mère qui l'appelait en lui donnant, comme la mère de Jürgenson l'avait
fait pour son fils, le diminutif affectueux de jadis» Ayant entendu
parler des expériences de Jürgenson dès 1965, il l'invita aussitôt à
Upsal où ils purent confronter leurs résultats. Dès lors, jusqu'à sa
mort, en septembre 1974, Raudive ne cessa d'enregistrer. Jean Prieur nous
affirme qu'il capta ainsi plus de 70000 voix.
Mais Raudive eut toujours le souci d'améliorer ses méthodes et de faire
vérifier son travail. Il fut en relation avec le physicien Suisse Alex
Schneider, avec le théologien catholique Gebhard Frei, le prélat Ptleger,
les techniciens de radio et de télévision Théodor Rudolph et Norbert
Unger. En 1969, il publiait un livre intitulé «Unhörbares wird hörbar»
(L'inaudible devient audible).
François Brune, par ses recherches a pu entrer en contact avec des
nouveaux amis H.F. à Luxembourg . Avant d'accepter de le recevoir,
ceux-ci ont d'abord consulté leurs correspondants habituels dans
l'au-delà, à savoir Constantin Raudive, qui aujourd'hui, de l'autre
côté, il n'a pas abandonné sa vieille passion . "Raudive
mort" poursuit patiemment la même œuvre, dans le même dessein
spirituel, pensant que cette communication avec l'au-delà finira par
changer un peu nos cœurs et donc, notre ici-bas. Il soutient les
recherches de plusieurs groupes à travers le monde, et notamment de ce
couple J.F. luxembourgeois et de leur ami J-P S. ingénieur à Luxembourg.
Un autre interlocuteur intervient aussi régulièrement, quelqu'un qui
affirme n'avoir jamais vécu sur notre planète, n'avoir jamais été
incarné. Comme le couple H.F. l'avait un jour pressé de se présenter,
il refusa de leur donner un nom, mais leur dit, très poétiquement : « Je
suis comme l'un de ceux qui, invisibles, suivent les petits enfants quand
ils passent sur le pont » . Il ajouta : «Vous
pouvez m'appeler le Technicien,
le Bibliothécaire, l'Archiviste. Je suis un peu tout cela pour la planète Terre » .
De fait, c'est surtout le «Technicien» qui leur a donné les conseils
nécessaires pour améliorer la communication. Il fit peu à peu faire au
couple Luxembourgeois, une série d'appareils capables de fournir des
ondes de toutes les longueurs. Il les a aussi guidés pour la position de
ces appareils. Il précise parfois la place de chacun des participants
doit occuper dans une pièce consacrée aux communications. C'est un vrai
petit laboratoire aujourd'hui; avec des lampes à ultraviolet, un
clignotant, un appareil émettant des ondes à haute fréquence, un
téléviseur noir et blanc branché sur un écran blanc avec bruit de
fond, un petit poste de radio, très important ce poste car c'est par lui
que nous entendons les voix de l'au-delà en direct. Par ses conseils
techniques communicatifs, le «Technicien» spirituellement ressemble
énormément à Enki le Prince (un des trois grands dieux Sumériens
antiques, voir le chapitre précédent). Le «Technicien» dont l'âme
vibratoire parlante d'essence pure de l'au-delà devait être la doublure
de l'esprit du prince Enki ou son ombre doublure céleste jamais incarné
ici-bas. L'âme céleste du «Technicien» a été créée par les
prêtres et autres scriptes initiés de l'antique Sumer . Elle archivait
et enregistrait systématiquement toutes les pensées vibratoires actives
du monde des esprits incarnés – celui d’Alpha christ, etc. et ceux
désincarnées des différents mondes environnants proches ou lointain de
la terre, mais faisant partie intégrante de l ‘Univers du système
solaire.
En cette fin XX è siècle, le monde céleste et divin se met à la même
longueur d'onde vibratoire avec celui terrestre . F. Brune a pu ainsi
entendre la voix radiophonique du «Technicien» chez ses deux amis
Luxembourgeois. D'abord en allemand ; plus aiguë, plus rapide et plus
hachée groupant les mots. Soit enfin une longue citation de Saint Paul un
des grands textes de l'écriture sur la Résurrection «Première Epître
aux corinthiens, annonce le «Technicien», chapitre XV, verset 35-45 : «
Mais quelqu'un dira : comment les
morts ressuscitent-ils ? Et avec quels corps reviennent-ils ? Insensé !
Ce que tu sèmes ne reprend pas vie si d'abord il ne meurt ... Toute chair
n'est pas la même chair, mais autre est la chair des hommes, autre celle
des oiseaux, autre celle des poissons. Il y a aussi des corps célestes et
des corps terrestres. Mais l'éclat des corps célestes est différents de
celui des corps terrestres. Autre est l'éclat du soleil, autre l'éclat
de la lune, autre l'éclat des étoiles. Et même, une étoile diffère en
éclat avec une autre étoile. Il en est ainsi de la résurrection des
morts. Le corps sème dans la corruption, ressuscite dans l 'in
corruption. Il est semé dans le mépris, il ressuscite dans la gloire. Il
est semé dans l'infirmité, il ressuscite dans la force. Il est semé
corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il
ressuscite corps spirituel ». Puis le «Technicien» ajoute une
citation de l'Epître de Saint Jacques, ch. I, verset 12: «Heureux
l'homme qui endure la tentation, car, après qu'il aura été mis à
l'épreuve, il recevra la couronne de vie que Dieu a promise à ceux qui
L'adorent.» Enfin, la voix grave et lente de Raudive reprend : « Chers
amis, quelle preuve pourrions-nous vous donner que nous ne cherchons pas
à vous duper ? Aucune, sinon la certitude intime, absolue, d'un
rapprochement, d'un échange, d'un toucher de l'âme. Chers
amis, à moi-même, il m'a fallu de longues, voire de hautes luttes pour
consentir à me mettre à l'unisson de cette présence que je sentais aux
frontières de moi-même, à l'écoute de cette voix qui cherchait à
pénétrer jusqu'à ma conscience. Alors, j'ai appelé et il m'a été
répondu. Chers amis, vous entendez des voix. A vous d'en faire ce que
vous jugez nécessaire » .
Pourquoi ces entités de l'au-delà tricheraient-elles ? Ici-bas, tous les
chefs dictateurs, politiques, religieux, militaires ou civils, trichent
avec leur art rhétorique et leurs promesses non tenues.
Le 24 janvier 1967, le couple Luxembourgeois en présence d'autres
personnes, avait demandé au «Technicien» de prendre position sur la
question du « Péché Originel
». Voici sa réponse: « La
plus grande partie de ce que l'on raconte sur ce sujet ne correspond pas
à la vérité . Il n'est
pas vrai que l'homme doit regagner quelque chose qu'il aurait perdu. Les
hommes n'ont rien perdu. Ils sont sur la voie de l'évolution. Il n'y a pas de chute loin de "Dieu"; les hommes sont au
contraire en train de devenir ce qu'ils appellent des "dieux",
c'est-à-dire l'idéal qu'ils atteindront un jour ».
Cette réponse doit faire sursauter les hauts dignitaires dogmatiques purs
et durs de l'église catholique romaine. Leur verrou basal, Nouveau
Testament, et leur enseignement sur le Péché Originel d'Eve sont
explosés d'un coup. François Brune, théologien, par contre, admet avec
circonspection, en écrivant ceci : «
Je dois préciser en tant que théologien, ce texte n'a rien pour me
choquer. Dès le IV è siècle, Saint Grégoire de Nysse pensait que le
Paradis terrestre n'avait jamais vraiment existé; qu'il n'était que
l'expression imagée d'un état de bonheur que l'homme aurait pu atteindre
s'il ne s'était pas éloigné de Dieu. Mais le «Technicien» va ici plus
loin dans un sens très Teilhardien où je ne le suivrais pas. ».
Le 9 novembre 1989, nouveaux messages du «Technicien» : «Les hommes de la planète Terre sont venus d'un autre monde appelé
«Eden». Quand les hommes sur terre meurent, leur âme retourne sur
l'Eden (appelé aussi Mardouk) ». L'Eden ou le royaume de Mardouk se
situa au niveau du V è Ciel avec Adam et Eve Protoplasme. Ce royaume a
été mis sens dessus dessous avec le combat titanesque entre Satan et
Yéoshua - l’Eternel, l ' « Enfant Dieu » ou
« Mardouk », avec la victoire sans meurtre de celui-ci.
L'existence de Mardouk ( # Marduk) est confirmé dans «Mythes et Rites de
Babylone» (p. 113 - 162 ) sous le titre «
L'épopée de la Création ou les Hauts Faits de Marduk et son Sacre »,
des textes cunéiformes épars, retrouvés et exhumés à Assur sont
traduits par les assyriologues concernant la glorification de Marduk. De
lui, il est écrit : « Là même,
il établit sa chambre nuptiale, où Ea, avec Damkina, son épouse,
siégèrent en majesté, dans ce sanctuaire aux destins, cette chapelle
aux sorts, fut procréé le plus intelligent, le sage des Dieux, le
Seigneur: au milieu de l'Apsu le mit au monde Ea son père, et accoucha de
lui. Sa mère Damkin . Il ne téta jamais que mamelles divines : la
nourrice qui l'élevait le fit s'emplir d'une vitalité formidable. Sa
nature était débordante ; son regard fulgurant; il était homme fait de
naissance en pleine force dès l'origine. » Marduk était donc le
fils de Dieu Ea/Enki et la dame Damkina. Sa morphologie divino humaine
exalte le monde divin et céleste du niveau V è ciel : « Ses
formes sont inouïes, admirables : impossibles à regarder. Quatre sont
ses yeux, et quatre ses oreilles. Lorsqu'il remue les lèvres, le feu
flamboie ! Quatre oreilles lui ont poussé, et ses yeux, en pareil nombre,
inspectent l'univers ! C'est le plus haut des Dieux, suréminent par sa
stature : sa membrure est grandiose il est suréminent de naissance ! Mon
enfant est un Utu (soleil) !... Le vrai soleil des Dieux ! Il est enveloppé de l'état surnaturel
de dix dieux, il en est subliment couronné et cinquante rayonnements
terrifiants sont accumulés sur lui »
La poussière biblique a été créée par Marduk. Il est écrit : « Et
Marduk fabriqua la poussière qu'il fit emporter par la tempête; et,
ayant provoqué la houle, il troubla Tiamat.» Dans son royaume, il
exista le Haut et le Bas . Le monde créé du Haut perturba énormément
le monde du Bas supportant très mal les bruits incessants venus du Haut.
Les dieux fils de Tiamat supportaient très mal les coups de vent venus du
Haut. Il est écrit : «Nuit et jour
s'agitaient et ses dieux sans relâche supportant les coups de vent ayant
donc machiné du mal en leur esprit à Tiamat, leur mère: «Lorsqu'on a
mis à mort Apsu ton époux,
tu ne l'as pas assisté tu es resté muette! Et maintenant Anu ayant
produit ces quatre vents terribles ton intérieur est grandement troublé
et nous ne dormons plus ! » De ces quatre vents pour le Bas il est
écrit : « Anu produisit alors
et mit au jour les Quatre vents qu'il offrit à Marduk afin que mon enfant
s'en amuse ! »
Marduk s'en amuse avec de la poussière qu'il a fabriquée, d'où le monde
houleux instable de ce monde. Ce fait troublant provoqua la guerre entre
le Haut et le Bas. D'autres dieux comploteurs allaient mettre leurs
langues de vipères pour déclencher la guerre. Il est écrit : « Or,
d'autres dieux étaient venus là dedans qui avaient aussi conçu du mal
contre les dieux leur progéniture ! Dressés en cercle auprès de Tiamat,
furibonds, complotant sans relâche, nuit et jour, se poussant au combat
trépignant enragés, ils tinrent un conseil pour machiner la guerre. »
Pour être en paix, les dieux comploteurs meurtriers d 'Alla préparaient
la guerre avec Tiamat - la mère Abîme, il est écrit : « La
Mère Abîme, qui avait tout formé; s'accumula des armes irrésistibles
(...) Après quoi, parmi les dieux, ses rejetons, qui avaient tenu conseil
avec elle, elle exalta Quingu, lui conférant, entre eux, le plus haut
rang, la marche en tête de l'armée, la direction du conseil de guerre,
le lever d'arme pour l'engagement, la conduite de la bataille l'autorité
sur les combattants : Elle lui mit tout cela en main et elle l'installa
sur le siège d'honneur, disant «J'ai proféré pour toi la formule et je
t'ai fait prépondérant en l'Assemblée des dieux; je t'ai offert la
principauté sur eux tous! Sois le plus grand ! Sois
mon époux unique ! Qu'on exalte ton nom sur tous les Anunnaki !» Et
elle lui remit la tablette aux destins, qu'elle fixa sur sa poitrine:
«Qu'irrévocable soit ton ordre! Que ta parole se réalise ! » .
L'armée du Bas allait ainsi affronter celle du Haut, bien dirigée par
Marduk. Le pouvoir céleste de Marduk est résumé dans ce texte : « Ils
lui édifièrent l'estrade royale sur laquelle, face à ses pères, il
s'installa en monarque. Toi seul (lui disaient-ils) tu prédomines parmi
les grands dieux ! Ton destin est inégalé, ton commandement souverain !
O Marduk, seul, tu prédomines parmi les grands dieux ! (...) Dorénavant
irrévocables seront tes ordres ! Elever ou rabaisser sera en ton pouvoir
! Ce qui te sort de la bouche se réalisera, ton commandement ne sera
jamais trompeur ! Nul, parmi les dieux n'outrepassera tes bornes ! Et
comme nos lieux de culte ont besoin d'un curateur, tu auras la place
assignée en tous nos sanctuaires ! O Marduk, à toi seul, notre vengeur,
nous avons conféré la royauté sur la totalité de l'univers entier ! Ta
parole l'emportera lorsque tu siégeras en l'assemblée, et tes armes,
infailliblement, mettront tes ennemis en pièces ! O Seigneur sauve la vie
de ceux qui se confient à toi, mais de quiconque a conçu le mal, verse
le sang !» Ayant alors suscité au milieu d'eux une constellation unique,
ils adressèrent ces mots à Marduk, leur rejeton : «Si ton destin,
Seigneur, contrebalance en effet celui des autres dieux, ordonne que se
réalisent disparition puis réapparition ! Un mot de ta bouche, et que
cette constellation disparaisse; et derechef, un ordre, et qu'elle se
retrouve intacte !» D'un mot, il commanda, et la constellation disparut;
puis, il donna un nouvel ordre, et la constellation fut reformée !
Lorsque les dieux, ses pères, eurent constaté l'effet de ce qui lui
sortait de la bouche, ils le saluèrent allègrement: «Marduk, seul est
le roi ! Et lui remirent à la suite sceptre, trône et bâton royal. »
Un contraste conceptuel extrême séparait ainsi le monde de l'abîme où
la force brute, physique se prévalait avec Tiamat qui choisit au hasard
parmi ses rejetons, Quingu, celui qui avait du muscle pour diriger son
armée du Bas. Le monde du Haut a choisi et testé la capacité du
«Verbe» de Marduk, le roi céleste .
Un combat titanesque et féroce s'est déroulé entre les deux armées
Haut et Bas. Les hommes de ce monde n'étaient que des minus, peureux
serviteurs des grands et petits dieux. Ils étaient ahuris d'assister à
ce combat du monde des dieux jusqu'à oublier leur condition de vie
esclaves des dieux et rêver d'être forts comme eux. De ces rêves
humains, nous avons créé Superman, Batman, Hercule, Goldorak ou encore
les Power Rangers entre autres. Tous ces personnages existent réellement
en ce moment dans le Haut monde. Ils sont en train de casser les monstres
forces du mal venus du monde de l'abîme . Leurs combats titanesques se
répercutent jusqu'en ce Bas monde. D'où des conflits meurtriers d'hommes
marionnettes ici bas.
Comme dans toute histoire écrite sacrée ou non, la force du Bien gagne
toujours sur celle du Mal. La victoire finale revint à Marduk et à son
armée céleste. La gloire pacificatrice de Marduk se répandit partout à
travers l'univers. Ce fait historique est bien archivé par le
«Technicien», le correspondant de l'au-delà du couple Luxembourgeois.
Marduk a ramené ainsi la paix universelle dans son royaume. Il est
glorifié de partout. Il est écrit : « Qu'il soit seul notre dieu ! Epelons donc ses cinquante noms pour
démontrer la gloire de sa personne, et pareillement de ses œuvres ! ».
Ainsi pour éviter de perturber et bien aérer son royaume, Marduk
continua l'œuvre de son père Ea/Enki en créant l'humanité docile
occupant des tâches de ménage. Celle-ci a été créée pour travailler
et embellir la terre ou le Bas monde à la place des dieux contestataires
et comploteurs.
L'histoire écrite et sacrée de l'humanité continue avec Yahvé/El, Dieu
d'Israël et des Armées célestes anti - esclavagiste qui cherchait à
libérer l'humanité, peuple d'Abraham, du joug de l'esclavage des dieux
pharaoniques. Les textes sacrés nous racontent la Genèse de l'origine du
monde avec le couple Adam et Eve (voir chapitre correspondant ).
Par leur expérience spirituelle personnelle pure dans le monde dit de
l'au-delà, «les morts chrétiens qui parlent» nous interpellent et nous
incitent à «apprendre» et à «aimer autrui». Ils nous affirment que
«le royaume de Dieu est en nous humains». Le dualisme naturel et
taoïste nous enseigne de prendre et suivre la voie du Tao pour dompter et
harmoniser les deux forces extrêmes dualistes complémentaires en nous.
Cette voie du Tao amènera l'homme au monde de l'immortalité de l 'âme
humaine, incréée en le "Grand - Humain" que fut Adam - Kadmon,
l'"Homme célesto - primordial et Androgyne ", qui parvient
quand même à se scinder en deux "êtres - individus"
distincts, sexuellement opposés mais complémentaires, donc la Femme (ou
Eve ). De la "Femme de la Fin des temps", il est dit et écrit (
Le Livre des Prophéties, de Jean de Jérusalem , Ed. J-C
Lattès , 1994 ) :
"Lorsque ce sera le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L'homme
ne sera plus le seul suzerain
car la Femme viendra saisir le sceptre
Elle sera la grande maîtresse des temps futurs
Et ce qu 'elle pensera elle l 'imposera aux hommes
Elle sera la Mère de cet An Mille qui vient après l 'An Mille
Elle répandra la douceur tiède de la Mère après les jours du Diable
Elle sera la beauté après la laideur des temps barbares
L 'An Mille qui vient après l 'An Mille se changera en temps léger
On aimera et on partagera
On rêvera et on enfantera les rêves "
Quant à la naissance du "Grand Humain", l' "Homme Céleste
- Primordial et Androgyne" (Adam - Kadmon), Jean de Jérusalem
prophétise en ces termes :
"Lorsque ce sera le
plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
Les hommes auront enfin ouvert les yeux
Ils ne seront plus enfermés dans leurs têtes ou dans leurs cités
Ils se verront et s 'entendront d 'un point à l 'autre de la terre
Ils sauront que ce qui frappe l 'un blesse l 'autre
Les hommes formeront comme un grand corps unique
Dont chacun d 'eux sera une part infime
Et ils constitueront ensemble le cœur
Et il y aura une langue qui sera parlée par tous
Et il naîtra ainsi, enfin le Grand
Humain."
Concernant l'HOMME, le "Grand Humain", de la bouche de l'Ange
même, nous apprenons ceci ( Dialogues avec l'Ange) :
"La connaissance de l'homme - elle n'existe pas encore.
Car l'HOMME n'est pas encore.
L ' HOMME EST TELLEMENT GRAND
QUE MOI NON PLUS,
JE NE LE VOIS PAS ENCORE."
Les multitudes courants - fleuves de connaissances scientifiques,
spirituelles et universelles de l'humanité - « Grand Humain »
déversent et transcendent ainsi en une vibration houleuse continue
d'idées bien ordonnées, non chaotiques pour être harmonieusement
fusionnée à la source originelle de la pensée de Dieu Eternel, le Sans
Nom, pour former les contenus denses et définitifs du Livre Unique de
l'Espace Immanent et Eternel de l'univers cosmique et planétaire
incréés.
Tout comme Erasme qui écrit : « On
ne naît pas homme, on le devient », je peux affirmer sans risque de
me tromper : « On ne naît pas
homme et femme, on le devient ». Le Père Céleste de l 'humanité
(Adam- Kadmon) vient de naître intégralement à la fin de son ère,
c'est à dire à la fin des 6000 ans de l'ère adamique, en même temps
que sa part féminine en "Eve", la Mère de l'Humanité, la
"Grande Maîtresse des temps futurs". De cette Résurrection à
deux, en couple humain uni et amoureux, pour la vie éternelle, Drewermann
l 'a bien compris en écrivant ceci : « Seul l 'Amour croît en l 'Immortalité. Cela nous ne pouvons
l'apprendre qu'aux côtés d 'une personne qui nous aime comme nous
l'aimons. On ne peux accéder,
au ciel qu'à deux ( .....) " ( Sermon pour le temps
Pascal, p. 94 ).
Je vous livre ici, une petite conversation entre ces deux "êtres
humains divinement amoureux l 'un et l 'autre", le couple ancêtre de
l 'humanité terrienne, très jeune d'esprit , d 'âme et de cœur, grâce
à leur amour sans borne pour Yéoshua - l'ETERNEL, enfin libérés de
tous les péchés de leurs parents ascendants. La Femme (Eve) dit à l
'Homme (Adam) à la sortie de leur monde "Lumière incréée et sans
péché", mais "coffré" : « J'ai
voulu comme toi retourner tout simplement dans le mutisme et le calme de
notre monde d'autistes digne et pas hypocrite; c'est totalement fatiguant
dans le monde normal des personnes. Je ne peux pas vivre sans les gestes
sots habituels dans nos mondes des bêtises ; mais
j'ai l'espoir de devenir réellement comme un être normal parce que je ne
supporte plus la vie d'un être coffré. En ce moment, j'examine
toutes les possibilités pour savoir comment nous pouvons ressortir de
notre monde uniforme de valeurs et d'êtres.» ( Birger Sellin ).
Enfin, pour finir, en commun accord avec les Etres de Lumière –
pensants – et - vivants du monde d'en haut, c’est-à-dire de l’autre
côté du miroir – « Lumière sans ombre » pur d’esprit
« Ayn – Soph – Aur », celui de la Vie - Félicité
éternelle, j'affirme avec preuve écrite et expérimentale à l'appui ,
l'existence de la réincarnation spirituelle en ce bas monde. La Bible ne
nous a - t - elle pas dit que Noé a vécu 600 ans sur terre ? ( Son âme
fut bien incarnée Six fois sur terre ). De cette notion, "une âme
humaine et plusieurs vies incarnées terrestres" (ou la Métempsycose
des brahmanistes, des bouddhistes, des Pythagoriciens, des Cathares, des
Druses libanais, etc..), il fut dit et écrit par Jean de Jérusalem en
ces termes :
"Lorsque ce sera le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L ' homme saura que tous les vivants sont porteurs de lumière
Et qu'ils sont créatures à respecter
Il aura construire les nouvelles cités
Dans le ciel sur la terre et sur la mer
Il aura la mémoire de ce qui fut
Et il saura lire ce qui sera
Il n'aura plus peur de sa propre
mort
Car il aura dans sa vie vécu plusieurs vies
Et la Lumière, il le saura, ne sera jamais éteinte."
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Dernière mise à jour le mardi 15 février 2000
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