Livre I - chapitre 7
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LIVRE I - CHAPITRE 7

LE MONDE DE LA MORT DEMYSTIFIEE PAR LES TEMOIGNAGES DES ÊTRES ETERNELS - VIVANTS – PENSANTS – ET – MORALEMENT - LIBRES DES DEUX MONDES, CEUX D'EN BAS ET CEUX D'EN HAUT, BIEN INTEGRES DANS L'UNIVERS COSMIQUE, ET PLANETAIRE DE NATURE HUMAINE

« Le temps est un seul corps, l'espace un livre unique », Sri Aurobindo affirma avec force sa Pensée Sphérique cosmos planétaire en plein courant du XX è siècle de l'ère chrétienne. Tous les grands penseurs philosophes scientifiques ou non du monde ici bas, grâce à leurs moyens de bord, observaient et étudiaient la nature environnante de leur monde dans sa globalité. Ils cherchaient à connaître la place de la nature humaine ou l'humanité dans le monde universel cosmos planétaire.

Le Livre Unique et spatial reste ouvert pour tout homme, curieux d'esprit et moralement libre . La lecture de ce livre spatio-naturel est à la porté de tout le monde et pas uniquement à des soi disant initiés aux choses célesto-divines (religieux, ascèses, etc.). A côté de ce Livre Unique et Spatial, il existe des Livres Sacrés dont les textes écrits nous sont parvenus à travers l'histoire antébiblique, biblique, et post biblique (coranique, etc.) par des voies mystérieuses et écrites. Les auteurs historiques de ces livres sacrés ne les ont jamais écrits (Jésus-Christ, Mahomet ...).

D'après les sources historiques, biblique et coranique, le monde du Haut (Dieu Un céleste) fit parvenir au monde du bas (humanité religieuse monothéiste terrestre) des messages par des apparitions angéliques, par des songes, par les paroles des prophètes... Il existait donc toujours des tierces personnes entre Dieu céleste et l'homme. Ces tierces personnes étaient toutes physiquement mortelles ici-bas. Avec le temps horizontal ici-bas, le nombre des intermédiaires avec leurs interprétations théologiennes des textes sacrés s'allonge. Du contenu de ces textes, il ne reste plus grand chose en cette fin XX è siècle. Seule la carcasse de ces textes reste avec des rites mortuaires, sacrificiels pénitentiaires non-sens. La religion de Dieu de Miséricorde et d'Amour se transforme en celle d'un dieu esclavagiste sadomasochiste mortel et diablement sanguinaire par Son "Inhumanité" , suite aux fautes sans nombre des soi - disant Serviteurs du Bon DIEU , diablement profiteurs de l 'ignorance de leur communauté - fidèle en ce bas monde . L'éducation religieuse pure et dure, dogmatique séparatrice à l'intérieur des différentes communautés monothéistes judéo-chrétienne et islamiques confirme ce qu'a écrit Erasme en son temps: «On ne naît pas homme, on le devient». Malgré leur érudition, leur savoir philosophique, scientifique et théologique, les hauts dignitaires dogmatiques, purs et durs, ultra nationalistes, se comportent comme des «bêtes religieux moralement non libres», dont l 'origine fut plutôt diabolique que divine .Leur érudition interprétative , diablement serpentine, confirme cette prophétie écrite dès le XI è siècle, par Jean de Jérusalem (Livres des Prophéties ,Ed.J.C.Lattès,1994) :
"Lorsque commencera l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L'homme se croira Dieu alors qu'il ne sera rien de plus qu'à sa naissance
Il frappera toujours vaincu par la colère et la jalousie
Mais son bras sera armé de la puissance dont il se sera emparé
Et Prométhée aveuglé il pourra tout détruire autour de lui
Il restera un nain de l'âme et il aura la force d'un géant
Il avancera d'un pas immense mais il ignorera quel chemin prendre
Sa tête sera lourde de savoir
Mais il ne saura pas pourquoi il vit et il meurt
Il sera comme toujours le fou qui gesticule ou l'enfant qui geint"

Sans eaux et sans soleil, la vie terrienne donc l'homme n'existerait pas. Pour simplifier, il existe deux sources d'eau, l'une salée des océans et mers terrestres et l'autre l'eau douce venue du ciel ou mer céleste. Avant de pouvoir fabriquer des usines pour dessaler l'eau de mer, l'homme ne vit que grâce à l'eau douce d'origine céleste. L'eau coule toujours vers sa source d'origine en suivant un circuit fermé, mais je vous conseille de lire une encyclopédie sur le cycle de l'eau pour bien comprendre.

Le niveau d'eau salée le plus bas se trouve à la Mer Morte. C'était à cet endroit que siégea la «Mère de l'Abîme» antébiblique bien décrite dans des textes sacrés sumériens épars retrouvés à Assur concernant la «Glorification de Marduk». Nous allons retrouver le nom de Marduk (ou Mardouk) grâce à des témoignages parlant issus du «Technicien» bien enregistrés sur bande magnétique par le couple Luxembourgeois H.F.  et amis de François Brune, théologien et auteur du livre «Les Morts Nous Parlent» édition du Félin.

Comme toute créature issue directement de l'immolation d 'Alla par les dieux pour créer l'Homme, la Mère Abîme avait le pouvoir de créer. Il est écrit (Lorsque Les Dieux Faisaient L'Homme, de Jean Bottero et S.N. Kramer, Ed. Gallimard, 1989 ) :
« Pour machiner la guerre, la Mère Abîme qui avait tout formé, s'accumula des armes irrésistibles: Elle mit au monde des dragons géants, aux dents pointues, aux crocs impitoyables, dont elle emplit le corps de venin en guise de sang; et des léviathans féroces, qu'elle revêtît d'épouvante, et chargea d'éclat surnaturel, les assimilant ainsi à des dieux «qui les voit tombe en défaillance et qu'une fois lancés (dit-elle) ils ne reculent jamais!» Elle suscita encore des hydres, des dragons formidables, des monstres marins, des lions colossaux, des molosses enragés, des hommes-scorpions, des monstres agressifs, des hommes-poissons, des bisons gigantesques: tous brandissent des armes impitoyables et sans peur au combat. Leurs pouvoirs délégués démesurés, et eux irrésistibles ! En vérité, ces onze là, c'est bien tels qu'elle les fit ! »

La «Mère Abîme» , celle qui a tout formé ou «dame nature noire» ici-bas, symbolise la puissance de l ‘Esprit de l ‘Obscurité taoïste – Principe Féminin et Origine des racines du Ciel et de la Terre , qui a perdu la raison d’être suite aux meurtres commis par le monde des Dieux - « ceux qui ont immolés les deux Alla et le dieu Wê, ainsi que  Quingu , le Fils et époux unique de la Mère Abîme ». Le sentiment de haine et vengeance aveugla complètement l ‘essence – naturelle de la Mère Abîme . Elle représenta la reine maternelle de toute les natures vivantes, visibles avec les traces squelettiques des animaux préhistoriques de la planète Terre . Elle a suivi son instinct amoureux maternel et féminin , vis à vis de Son Fils élu et Unique époux ,Quingu. Elle représenta aussi l ‘ Esprit - Mère des nations peuples opprimés qui se révolta contre la tyrannie dogmatique du monde des hommes «humanité bête religieuse ordonnée et moralement non libre». Elle sera la "source-essence" de la vie de l'humanité salée ultra nationaliste communautaire et révolutionnaire, qui se révolta toujours contre les puissances étrangères,surtout celle céleste, d'où des conflits perpétuels entre le Ciel et l'Abîme et par l'humanité interposée, qui se laissa entraîner bêtement dans ses conflits meurtriers et inhumains.

L'histoire parabolique sur la source originelle de l'eau ou H2O, symbole du monde vivant humain d'ici bas, désigne l'existence de deux sortes d'hommes: "Homme salé" et "Homme doux". Par opposition extrême taoïste, je distingue deux extrêmes en l'homme : homme salé pur et dur, d'une pureté saline absolue, bien tapissée au fin fond de la mer morte et l'homme doux – pur , d'une pureté amour absolu. Ces deux traits de caractères extrêmes étaient présents en l'homme pur extrême qu'était Jésus-Christ.
L'homme salé pur de Jésus angélique s'emporta facilement. Il était intransigeant et coléreux caractérisé par son emportement incompréhensible vis à vis des marchands de colombes à l'intérieur du capharnaüm ( Mtt , 21 , 12-17). Il prononça bien cette phrase évangélique: « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi ». L'amour salé pur passion de Jésus était un amour passionnel terrestre et mortel. C'était un amour possessif et salé à l'extrême. Ce trait de caractère était la source de l'homme prophétique. Il annonça qu ' Il sera le diviseur du peuple - enfants de David. Sa mort sera la source de la division du monde terrestre (Mtt , 10 , 34 – 36 ; et Lc , 12 , 51 – 53 ) . Toute cette prophétie est confirmée par la suite, elle ne s'arrêtera qu'à la fin des temps avec la mise à mort de la Bête biblique 666 devant Dieu, l'Unique, Lui même et par la femme elle même, «Celle qui a tout formé ici-bas et humain».
L'homme doux pur de Jésus pardonna à tout le monde. Il alla jusqu'à donner sa joue droite si on Lui frappait celle de gauche. Il se sacrifia pour ses amis, frères et sœurs . Il donna tout ce qu'il possédait aux pauvres, c'est-à-dire Son Cœur , Son Âme et Son Esprit . Il condamna la suffisance hautaine du clergé et le fonctionnariat des prêtres juifs avec des dîmes, des rites, ... c'était un homme de cœur chevaleresque sans arme. La seule qu'il avait était sa foi et son amour pour son Père Céleste . Mais où se trouvait - IL, ce mystérieux Père ? Jésus ne le savait pas exactement de son vivant ici-bas. Il savait simplement que ce Père était en Lui et hors de Lui mais où ? Mystère, car c'était un esprit saint "Vérité", pur, invisible, inaudible et impalpable mais réel. Ce sera à nous de remuer nos méninges pour retrouver la trace de cet esprit saint mystérieux.(le Paraclet), partout et nulle part.
Entre ces deux traits caractères extrêmes en l'homme Jésus , nous pourrons imaginer toutes sortes degrés d'hommes différents avec chacun son dosage «doux - salé» pour trouver la dose infinitésimale harmonieusement diluée juste milieu taoïste. Ce sera au centre de ce milieu infinitésimal pur d'esprit que se trouve la trace du vrai divin, le bon dieu, l'unique Père céleste en l'homme et hors de l'homme selon les paroles évangéliques de Jésus-Christ. Si vous êtes un mauvais alchimiste spirituel, votre dosage sera explosif et mortel. Les mauvais exemples abondent avec par exemple le suicide collectif (?) des templiers du Soleil de Jean-Luc Jouret, le meurtre insensé à Hébron perpétré par le Dr Baruch Goldstein, médecin juif new-yorkais intégriste orthodoxe, à l'intérieur du caveau sanctuaire d'Abraham, etc.

Les philosophes modernes, jeunes, dynamiques en cette fin de siècle, des pays dits civilisés, sont à court d'idées. Ils écrivent des livres à succès avec synthèse et résumé de l'histoire de la philosophie depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Ces philosophes penseurs sans pensée précises, prétentieux par imprudence intellectuelle considèrent les scientifiques du monde de la parapsychologie comme des charlatans avides d'argent tel le monde de l'astrologie, du spiritisme ou de la science des ovnis. Nos philosophes penseurs sans pensée neuve prennent ainsi leurs désirs pour des réalités. Joster Gaardner, avec son livre philosophique à succès «Le Monde de Sophie» Edition du Seuil, fait parler son personnage central Alberto, philosophe magicien qui répond à une question de Sophie, son élève par courrier postal , lorsque celle-ci lui demande s'il ne considère  pas tout ce qui se rattache à la parapsychologie comme «Ce n'est que de la blague»; Alberto répond ainsi à Sophie: «Il serait indigne d'un vrai philosophe de tout mettre sur le même plan. Mais, d'après moi, tous ces grands sujets ne font qu'esquisser un paysage qui n'existe pas. C'est en tout cas truffé de ces « fœtus de l'imagination» que Hume aurait jetés au feu. Dans la plupart de ces livres, on ne trouve au départ aucune expérience réelle».
Pour écrire de telles choses, notre philosophe devra être sûr du trucage de ces « fœtus  de l'imagination ». Vous avez lu au moins ces livres et si oui lesquelles ? Vous avez des preuves du trucage ? Pourquoi mentent-ils « Les morts qui parlent » de F. Brune ? Et les identités cachées des témoignages des personnes ayant fait l'expérience de Near Death Experience dans  « La vie après la vie » du docteur Raymond Moody. De quoi ces témoins ont-ils peur ? Du ridicule ? Vous ne posez même pas cette question : pourquoi parlent-ils de leurs expériences personnelles ? Dans quel intérêt ? La plupart de ces philosophes modernes et occidentaux sont de confession religieuse chrétienne (catholique ou protestant) . Vous croyez bien en l'existence du "Serpent qui parle" , en les paroles évangéliques de Jésus, vous croyez en l'immortalité du Christ. Avez vous des preuves ? Vous croyez en Thomas d'Aquin, Augustin, Martin Luther et la prédestination de l'humanité pécheresse avant même d’être née . Ces théories théologiques sont en train de se lézarder partout. Pourtant vous les croyez encore !
Vos écrits sans preuves tangibles avec de telles affirmations me rappellent ceux de Thomas d'Aquin sur sa conception aristotélicienne de la Genèse magique du monde avec les quatre éléments (eau, air, terre et feu) et sa théorie de la génération spontanée de l’humanité pécheresse, donc la 1ère Femme. Vous croyez en l'existence des anges avec des ailes, avec ou sans sexe ? Vous cherchez le Savoir, la Vérité, en tant que philosophe ; vous vous faites brûler vos méninges par la "Fausse Lumière" de Lucifer, l'Egal du Très - Haut. Vous ne savez pas que (Dialogues avec l'ange) :
"Croisée des chemins .
L'insensé court vers la lumière et s'y brûle comme un papillon.
Le Sage , l'élu , demeure immobile dans l 'obscurité.
Il ne marche pas , il n'avance pas .
Il ne s'élance pas .
Et quand même la Lumière le trouve."

Savez-vous ce qu'en pensent les anges de vous tous , hommes savants - ignorants ? Je vous livre leur message connu dès 1944 (Dialogues avec l'ange) :
"Ne croyez plus !
Soyez Lui !
Que votre III è Œil  s'ouvre !
Etre Un avec Lui n'est encore qu'une possibilité.
Virtuellement seulement, le Très - Haut est Un avec vous."
Vous allez encore rigoler de ce foutu III è Œil , inconnu de vos méninges, et le considérez encore comme un "fœtus de l'imagination". Athéistes, et/ou agnostiques, vous croyez au Paradis communiste et fraternel de Karl Marx, le résultat fut des centaines de millions de morts dans des camps goulags psychiatriques ou autres ; monothéistes, vous croyez à la Sainte Trinité (Le Père, le Fils et le Saint) de Jésus-Christ, Dieu d'Amour et de Miséricorde, le résultat fut l'Apartheid sud-africain, le colonialisme, l'esclavagisme des noirs africains, etc. perpétués par vos rois et autres gouvernants soi-disant chrétiens socials démocrates et pratiquants.

Tels des poissons - philosophes, nos savants nagent bien en eaux troubles à l'intérieur d'un aquarium minuscule universel terrestre. Ils contemplent à la surface de cet aquarium l'immensité lumineuse cosmique sans trop comprendre pourquoi cette immuabilité. De temps en temps une quantité d'eau douce est déversée dans votre aquarium venue du ciel par la main de qui (?) et pourquoi tant ici jusqu'à l'inondation et pas ailleurs comme dans les déserts. La surface de l'aquarium ressemble à celle de la Terre avec ses irrégularités géographiques non uniformisés. Nous avions ainsi des poissons d'eau douce au sommet du toit de l'Himalaya croyant au Bouddha et non en Dieu créateur qui tournaient en rond leurs méninges à se faire réincarner ici bas cherchant à échapper à leurs conditions de vie de poissons végétariens purs et pêchés par des mains invisibles mortelles. Si nous descendions un peu vers les océans et les mers terrestres nous rencontrions des poissons du Nil croyant à Allah, Jésus... jusqu'au plus bas niveau de la Mer Morte nous étions là en plein dans le mille avec les poissons  pieux juifs base du monothéisme qui croyaient en Yahvé El et attendaient patiemment leur messie, dont l’« esprit saint planait à la surface des eaux ».

Quant aux philosophes poissons agnostiques et nihilistes, ils ne croyaient en aucune divinité. Erudits et savants, nos poissons philosophes se sentaient suffisants dans leurs savoir . Ils étaient à la surface des eaux douces et salés des « mers – océans », et autres cours d'eau ici-bas. Ils se sentaient fiers et puissants en savoir. Ils écrivaient plein de livres philosophiques tellement intellectuels que la masse des autres poissons n'arrivaient pas à les comprendre. Même entre eux, spécialistes des choses philosophiques, ils ne se comprenaient ni ne s'entendaient sur ce qu'ils écrivaient, comment voulez vous que les profanes les comprennent. Leur termes philosophiques savants n'étaient pas à la portée de tout le monde. Pourquoi ? Parce qu'ils sont mauvais enseignants et ne comprennent pas eux - mêmes ce qu 'ils disent. Malheureusement, savant, érudits, idiots ou autres, tous les poissons de cet aquarium devront passer à la casserole de Satan, l ' Enfant diable invisible, bien nourri avec les milliards de carcasses poissons à tête humaine. Lucifer la bête à tête humaine invisible manipule depuis longtemps nos poissons religieux dogmatiques moralement non -  libre et autres poissons élites nihilistes communistes à s'entre-tuer par leurs querelles philosophiques – théologiques, par leur quête de la suprématie spirito – eugénique . A la fin de leurs vies éphémères de poissons pieux ou pas, savants ou pas, ils ne savaient même pas pourquoi ils étaient à l'intérieur de cet aquarium minuscule. Etre l'égal du propriétaire, le divin Père Eternel Yéoshua, fils d'Allah, Dieu humain et sage, le Créateur et collectionneur de poissons philosophes savants à tête humaine, c'est bien mieux que d'être poisson savant, être pêché par le garnement diable Satan, fils de Lucifer créature Bête 666 à tête humaine de Dieu et être mangé par lui. C'est vraiment affreux comme fin.

Le temps est un seul corps, la pensée sphérique cosmos planétaire de Sri Aurobindo est bien plus vaste et plus profonde que celle des poissons philosophes modernes agnostiques. La pensée sacrée et cosmique de l'hindouisme se fond dans la conception d'un Suprême Universel sans temps, sans nom et sans forme. Tout est un bloc divin l'humanité terrienne fait ainsi partie intégrante de ce bloc d'essence divine. Quelle preuve ? Seule l'observation et l'expérimentation avec un entraînement assidu de notre 3è œil ou l'œil d'esprit pur pourra la faire.

Le temps biblique judéo-chrétien et Coranique musulman arrive ainsi à son terme en cette fin XX è siècle de notre ère. Le corps du Christ martyrisé est bien mort. Jésus ressuscite à la fin de son temps terrestre dans un nouveau corps de résurrection éternel à l'échelle cosmo - planétaire. Le corps lumineux christique éternel se place au centre infini petit de l'astre solaire. De ce corps de lumière, corps doublure de chaque être humain, frère et sœur du «fils de l'homme», je livre ici le cas expérimental, fortuit et personnel de l'écrivain William Gerhardi, cité dans le livre «Etranges révélations sur la vie après la mort» de Martin Ebon.
Ce cas, raconté en détail, de «projection astrale» ou de décorporation involontaire décrit dans son livre (Londres 1934), le cas donc de Gerhardi, est rapporté et collectionné par le docteur Robert Crookall, chimiste, botaniste, psychologue, chargé de cours botanique à l'université d'Aberdeen en Ecosse.
Le Dr Crookall était un collectionneur d'histoires expérimentales, paranormales. Il passa des décennies à ramasser des anamnèses de «projections astrales». Il en a rassemblé des centaines et les a publiées dans des livres tels « The study ans practice of astral projections, More astral projection et The technics of astral projection » (Moradabad, 1968) . Crookall pose cette question: « Le fait de ne pas savoir qu'on a un deuxième corps ne veut pas dire qu'on n'en a qu'un ».A sa propre question « Quelle importance », il répond: «Une grande importance! Si un homme peut sortir de son corps physique temporairement et continuer d'exister en tant qu'être conscient de son existence, on pourrait en déduire qu'au moment de quitter pour de vrai son corps physique, c'est à dire mourir, il continuera d'exister dans ce second corps ».

Le cas personnel de Gerhardi nous permet de connaître l'existence du « Cordon lumineux », « Cordon élastique », «Cordon de serpent» ou encore « Corde d'argent », c'est à dire « lien entre le corps physique et le corps non physique ». L'expérience de Gerhardi débuta de la façon la plus banale. Il avait allongé le bras pour éteindre une lampe, mais juste au moment de presser le bouton, il se trouva « suspendu entre ciel et terre ». Il était, raconte-t-il, tout à fait éveillé et, se dit «Voilà quelque chose à raconter». A ce moment là, il se sentit empoigné et mis sur ses pieds . « Si le monde entier s'unissait pour me dire que c'était un songe, je ne le croirais pas, dit Gerhardi ». Il poursuit : « J'étais dans le corps de ma résurrection. C'est comme cela que c'était ! Tout à fait inattendu! Je me rendis à la porte en chancelant. Je touchai la poignée mais je ne puis la tourner. Je me tournais et découvris un étrange appendice. Il y avait un rouleau de lumière. La face de l'oreiller s'en trouvait illuminée, comme si cette lumière était attachée à la face du dormeur. Le dormeur c'était moi.
« Qui aurait pu me dire que j'avais un corps de rechange à ma disposition, un corps adapté aux nouvelles conditions! Mais je n'étais pas mort; mon corps physique dormait là, paisiblement, au moment où j'étais apparemment sur mes pieds et en aussi bon état qu'auparavant. Maintenant, comment vais-je sortir ? Je réfléchissais. A cet instant, la porte passa au travers de mon corps, à moins que ce soit mon corps qui soit passé au travers de la porte. Je me trouvai dans le corridor, noir, mais illuminé d'une lumière douce émanant, semblait-il de mon corps. L'instant suivant, j'étais entré dans ma salle de bains et comme d'habitude, je fis le geste d'allumer la lumière, mais j'étais incapable de presser le bouton. Il y avait cet étrange ruban de lumière entre nous, comme le cordon ombilical par lequel le corps étendu sur le lit respirait ...» « Maintenant, sois scientifique ! me dis-je, tu as là une chance sur un million ! Tu dois te convaincre de manière à ce que rien, plus tard, ne te fasse penser que ce n'était qu'un rêve ! »  Je me dis ces choses tout en me déplaçant et en prenant note d'évidences telles que «la fenêtre est ouverte», «le rideau est tiré», «voilà la nouvelle chaufferette». J ' aperçus dans le miroir l'image familière de moi-même. «Qu'elle évidence ? Quelle autre évidence ? me demandais-je en passant d'une chambre à l'autre. Ici, je notai quelles fenêtres étaient fermées ; alors, j'essayai, sans succès d'ouvrir le placard à serviettes. Après, je regardai l'heure ... puis je volais au travers de la porte et je planais dans l'air, me sentant léger de cœur. Maintenant, je pouvais voler vers la destination de mon choix, New-York ou ailleurs, visiter un ami si je le voulais et cela ne prendrait qu'un temps. Mais j'ai peur de couper le lien qui me retenait à mon corps endormi.
"Que me fallait-il faire maintenant ? «preuve», me dis-je. Je voulais une preuve irréfutable pour me convaincre et convaincre les autres, «après mon retour dans mon corps» ... A qui pouvais-je rendre visite ? Soudain, j'eus une idée, je vais rendre visite à mon ami Max Fisher à Hasting. Encore une fois, je volais... Tout à coup, je marchais sur le gazon... Puis une pensée m'effleura! «Comment sais-je que je ne rêve pas?» Je me répondis: «Regarde le cordon de lumière derrière toi» je me retournai et il était bien là, très fin.
"Soudain un sursaut m'ouvrit les yeux. J'étais dans ma chambre. Pas un détail de mon expérience n'avait échappé à mon esprit; cette expérience avait aussi une autre qualité, celle de la réalité qui n'a rien à voir avec les rêves... Nous avons un double corps, tout entier, là prêt pour l'usage, une copie conforme, ou presque, de notre corps naturel. On aurait dit que pendant la première étape de la survie, nous avions déjà un corps emmagasiné comme un costume de plongeur, mais néanmoins bien plié dans nos corps de tous les jours, toujours à portée de la main en cas de mort ou pour un usage spécial... Je me levais et marchais dans les chambres, vérifiant les notes mentales que j'avais prises au sujet des fenêtres ouvertes ou fermées, des rideaux tirés ou pas; dans tous les cas, le tout était conforme.
Gerhardi raisonna comme suit : « Si mon corps de chair a pu projeter cet autre corps plus ténu, pendant que je pouvais garder ma chair allongée comme dans la mort, alors ce corps plus subtil, adapté à des usages plus subtils d'un autre plan, n'était qu'un costume ou un véhicule bon pour être à son tour rejeté ou remplacé par un autre... Fini la notion de repos éternel dans la mort ! ... Fini la notion d'une âme en forme de petit nuage laiteux! Ce corps jumeau était réel. Il serait peut-être pénible de penser que les «conditions de la vie après la mort soient différentes de ce qu'elles sont ici-bas; mais la surprise serait peut-être de constater qu'elles sont les mêmes ».
Gerhardi a fait ainsi une «projection astrale» ou «voyage astral» involontaire et extraordinaire grâce à son corps doublure lumineux purement spirituel et conscient ou corps de résurrection éternel . Ce corps astral est bien réel et invisible à nos yeux physiques . Ce corps est bien relié à notre corps physique visible par un cordon d'argent ou fil d'argent . Le monde populaire mondial clame souvent que « la vie ne tient qu'à un fil » . Dans cette phrase proverbiale, le fil désigne l'importance vitale du cordon d'argent . Tous les adeptes zen, initiés aux voyages astraux connaissent le danger mortel lors de la coupure totale de ce cordon, lien vital entre le corps astral et celui physique . A la différence des philosophes théologiens et autres savants et érudits, croyant tout savoir, bien remplis des vérités sacrées, écrites, le docteur Crookall, homme de science et parapsychologue, établit sa position : « Mon but n'est pas de convaincre les gens d'accepter des propositions telles la décorporation et la survie après la mort, mais de les amener à tirer eux-mêmes leurs propres conclusions, et plus important encore, à vivre en conformité avec leurs opinions . Après tout, notre exigence physique doit, pour une large part, déterminer la manière de vivre de  notre autre corps dans l'au-delà ».
Pour Crookall, « la connaissance impose des responsabilités. Rejeter les responsabilité, c'est s'exposer à en subir les conséquences ». Il croit fermement et grâce à ses études sur les centaines de cas de projection astrale que les gens « ne devraient pas tenter volontairement de se projeter hors de leur corps. Si une telle expérience survient tout naturellement, très bien ». Ici, il est catégorique : « Mais si elle est en quelque sorte forcée, elle peut et je connais des cas de ce genre, s'emballer. C'est une chose que d'ouvrir une porte sur l'inconnu mais une toute autre chose que de la fermer » ( Pour ma part, je connais beaucoup d'adeptes Zen, spirituellement peu élevés qui cherchent volontairement à faire ce genre de voyage et qui en reviennent fous avec parfois la mort au bout ).

Le monde dualiste extrême, celui des esprits vie – mort,  ne s'ouvre bénéfiquement qu'à des âmes humaines élevées, purifiées ayant réussies le test du Grand Djihad, c’est-à-dire ayant parvenues à dompter la force du Kundalini bien tapissée au tréfonds de l ‘être profond non souillé par l 'Esprit de la Mort bien ancré en chaque être humain ici-bas (homme salé pur et dur) . Crookall entreprit ses travaux sur la communication avec les entités désincarnées à la suggestion du philosophe français Henri Bergson (1859-1941) qui fut déjà président de la Society for Psychical Research de Londres. Crookall consigna le fruit de ces travaux dans son livre «The Supreme Adventure» (Londres, 1975).
Selon Crookall, certains individus subissent des décorporations particulièrement subtiles, tandis que d'autres n'en sont pas. «Ces différences, dit-il, reflètent l'ensemble de leurs conditions corporelles». «La plupart des gens, poursuit-il, sont dotés de corps vitaux solidement immergés dans leurs corps physiques mais la majorité d'entre eux, ne sont pas moralement ou spirituellement avancés. Leur âme super physique n'est pas constituée en un instrument de connaissance, d'où l'absence de projections satisfaisantes. Le petit nombre de personnes dotées de corps vitaux solides et qui les ont organisés par des sentiments, des pensées ou des actes moraux ou spirituels, ont tendance à ne projeter que l'âme dans le but d'entrevoir le Paradis mais comme il y a un grand fossé vibratoire entre leur âme immatérielle et leur corps physique, souvent ils se rappellent peu de chose sauf un sentiment de paix inexplicable ; de plus, ils n'ont pas connu les expériences décrites par ceux qui sont dotés de corps vitaux vagues, qu'ils projettent plus ou moins facilement, surtout s'ils sont malades ». Il ajoute un détail important : «quelques personnes ont un corps vital vague, ce qui leur permet de se projeter plus ou moins aisément, particulièrement s'ils sont fatigués, malades, sous l'effet de sédatifs ou d'influences semblables . Comme le corps vital constitue le pont entre l'âme et sa contrepartie physique, le double qui en sort est de nature composite : il consiste (a) en une partie du corps vital qui enveloppe (b) l'âme super physique. Cependant, presque toujours ce double composite se dépouille de son élément vital passe à travers la seconde «mort» et l'âme est libérée ».
Crookall définit le «double» comme «le corps non physique»... qui est «une réplique, un double physique». Il emploie le terme «âme» pour décrire quelque chose d'une nature «super physique», tandis que «le corps vital par lequel l'âme prend contact avec le corps physique est semi-physique». Ces définitions et d'autres sont contenues dans son livre «The Interpretation of Cosmic and Mystical Experiences» (Londres, 1969). Dans ce livre, il écrit également : «La mort physique, crainte par tant de personnes, n'est qu'un incident dans un procédé bien ordonné et bénéfique et n'a besoin que d'être comprise pour être acceptée avec gratitude».
Notre «doublure lumineuse» ou «corps de résurrection incomplet» est souvent entre aperçu par ceux ou celles qui ont connu l'expérience de la mort imminente ( Near Death Experience ) . Le docteur Moody avec son livre « La Vie Après La Vie » a recueilli des centaines de témoignages de gens qui, après avoir été «cliniquement morts» ont pu être réanimés. Ce qu'ils disent de leur expérience de « l'autre côté » est stupéfiant. L'église catholique romaine, aidé par nos « poissons philosophes modernes savants – ignorants » reste sourde devant ces témoignages pourtant très précieux pour nous – « êtres – humains – immortels » . Etant de toutes confessions religieuses, les témoins du docteur Moody parlaient sous anonymat de peur d'être considérés par leurs proches comme des fous aliénés.
Je cite ici trois extraits de ces témoins anonymes :
1/ « J'ai entendu les médecins dire que j'étais mort, et c'est à ce moment là que je me suis senti dégringoler, ou plus exactement comme si je flottais dans cette obscurité, qui était comme un endroit clos . Je ne trouve pas de mots pour exprimer çà. Tout était très noir, sauf que dans le lointain j'apercevais cette lumière. C'était une lumière très, très brillante, mais pas très grande au début; elle augmentait à mesure que je m'en approchais. Je faisais des efforts pour rejoindre cette lumière parce que j'avais le sentiment que c'était le Christ, et je voulais arriver jusqu'à Lui. Il n'y avait rien là d'effrayant c'était même plutôt agréable. Parce que, comme chrétien, j'avais naturellement établi une relation entre la lumière et le Christ qui avait dit : « Je suis la Lumière du Monde ». Je me disais : Si c'est vraiment la fin, si je dois mourir, alors je sais quel est celui qui m'attend, là-bas, dans cette lumière ».
2/ « Je me suis levée et je suis sortie dans le couloir pour aller boire quelque chose, et c'est à cet instant, on l'a su plus tard, que je me suis fait une perforation de l'appendice. Mes forces m'ont lâchées et je suis tombée sur le sol. Je me suis mise à dériver, je me sentais comme si j'avais été tantôt dans mon corps et tantôt en dehors, et j'entendais une musique très belle. Je flottais au long du couloir, dépassant le seuil jusqu'au portique dont les battants étaient fermés. Là, ce fut comme si des nuages, ou plutôt un brouillard rose, s'amassaient autour de moi ; j'ai continué à flotter au travers des battants du portique, comme s'ils n'avaient pas existé et de là vers cette lumière de pur cristal, une lumière blanche qui rayonnait; une lumière très belle, très brillante, irradiante. Mais elle ne faisait pas mal aux yeux. On ne peut comparer cette lumière à rien de ce qui existe sur Terre. Je ne peux pas dire que j'aie vu une personne dans cette lumière, mais il m'a paru certain qu'elle possède une identité, c'est indéniable. Imaginez une lumière faite de totale compréhension et de parfait amour. Une pensée a été dirigée vers moi : «M'aimes-tu?» Cela ne m'est pas venu sous la forme d'une question, mais je crois bien que ce que la lumière voulait me dire était ceci: «Si tu m'aimes, retourne sur tes pas, achèves ce que tu as commencé». Et pendant ce temps, je me sentais tout enveloppé de compassion, et comme écrasé d'amour... »
3/ «  Je savais que j'allais mourir et que je n'y pouvais plus rien, parce que personne ne pouvait plus m'entendre... J'étais sorti de mon corps, j'en suis sûr, puisque je voyais ce corps étendu là, sur la table d'opération. Mon âme l'avait quitté! J'ai été d'abord très bouleversé, mais c'est alors qu'est intervenu cette lumière brillante. Au début, elle m'a paru un peu pâle, mais tout à coup, il y a eu ce rayon intense. La luminosité était prodigieuse, rien à voir avec un éclair d'orage, une lumière insoutenable, voilà tout. Et cela dégageait de la chaleur, je me suis senti tout chaud. C'était d'un blanc étincelant, tirant un peu sur le jaune mais surtout blanc. Cela brillait formidablement, je n'arrive pas à bien le décrire. Cela éclairait tout alentour, mais cela ne m'empêchait absolument pas de voir tout le reste, la salle d'opération, le docteur et les infirmiers. J'y voyais très distinctement, sans être aveuglés. Au commencement quand la lumière est arrivée, je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait; mais après, la lumière m'a demandé enfin, c'était comme si elle me demandait si j'étais prêt à mourir. C'était comme quand on parle à quelqu'un, seulement il n'y avait personne. C'était la lumière qui me parlait, elle avait une voix. J'imagine maintenant que cette voix qui me parlait à dû constater que je n'étais pas du tout prêt à mourir. Elle voulait simplement me mettre à l'épreuve sans plus. Et cependant, à partir du moment où elle a commencé à me parler, je me suis senti délicieusement bien protégé et aimé. L'amour qui émanait de la lumière est inimaginable, indescriptible. Et par dessus le marché, elle dégageait de la gaieté. Elle avait le sens de l'humour, je vous assure ! ».

A travers ces trois témoignages de « Near Death Experience » collectionnés par le docteur Moody, nous sommes là devant une «lumière blanche sans forme qui parle» (Buisson Ardent parlant de Moïse). Contrairement à l'expérience de projection astrale involontaire de Gerhardi, les corps physiques des trois témoins sont «cliniquement morts», malades et sous sédatifs alors que celui de Gerhardi est sain.

L'Etre de Lumière, sans forme avec la voix n'était autre que le corps vital vague purement spirituel (corps d'esprit) qui existait en nous et hors de nous depuis le sacrifice rédempteur de Jésus . Selon nos croyances religieuses, cet être de lumière prenait des formes auriques de couleurs différentes . Les trois témoins du docteur Moody étaient de confession chrétienne, dont ils ont entre aperçu la lumière avec la voix, aura blanc, du Christ . Sri Aurobindo , grâce à son âme – « Pensée sphérique » élevée , travaillée et transcendante , a entendu la voix et entre aperçu la forme physique de Sri Krishna autre forme humaine du Fils de Dieu ou Yéoshua - l'Eternel . Spirituellement profane, pas trop élevé spirituellement, les trois témoins de Moody , n'ont pas pu visualiser la forme humaine de l 'Etre de Lumière Christ.
Grâce à ses recherches avec la sélection rigoureuse des centaines de cas plausibles comparés et analytiquement disséqués, le docteur Moody écrit ceci : « L'apparition initiale de l'être de lumière et ses interrogations muettes constituent le prélude d'un épisode d'une extrême intensité, pendant lequel l'entité présente au mourant une vision panoramique embrassant toute sa vie passée. Il ressort de façon évidente que l'entité elle-même possède déjà la connaissance de tous les détails de cette vie et n'a nul besoin d'en recevoir l'information . Son seul but est d'éveiller la réflexion » ; « car tout au long de cette rétrospective, l'être ne cesse de souligner l'importance de deux devoirs fondamentaux: apprendre à aimer le prochain et acquérir la connaissance » . Pour appuyer cette réflexion personnelle et neutre , le docteur Moody rapporte le témoignage d'une très jeune femme ayant connu elle - aussi, pareille expérience avec des détails troublants : « Dès qu'il m'est apparu, l'Etre de Lumière m'a tout de suite demandé : « Montre moi ce que tu as fait de ta vie , ou quelque chose d'approchant. Et aussitôt les retours en arrière ont commencé. Je me demandais ce qu'il m'arrivait, parce que d'un seul coup, je me retrouvais toute petite, et à partir de là je me suis mise à avancer à travers les premiers temps de mon existence, année par année, jusqu'au moment présent ( ...)
"Toutes ces choses m'étaient apparues dans l'ordre où je les avais vécues ; elles semblaient réelles. Les décors étaient comme quand on sort de chez soi et qu'on voit les choses avec tout leur relief, et ses couleurs . Et ça bougeait (...)
"Pendant le défilé des images, je ne voyais plus l'être de lumière; il avait disparu tout de suite après m'avoir demandé ce que j'avais fait, dès que les retours en arrière avaient commencé; néanmoins je n'ai pas cessé de la savoir à mes côtés, je savais aussi que c'était lui qui m'entraînait à travers mon passé; d'abord, parce que je sentais sa présence, et en plus il lui arrivait de faire des commentaires sur ce que j'avais fait, il le savait parfaitement; il choisissait certains passages de mon existence et les faisait revivre devant moi pour me les remettre en mémoire. Et durant tout ce temps, il ne manquait pas une occasion de me faire remarquer l'importance de l'amour (...)
"Il insistait aussi beaucoup sur l'importance de la connaissance. Il me signalait sans arrêt tout ce qui a rapport avec «apprendre». Il m'a dit que j'allais devoir continuer à apprendre, et que même lorsqu'il reviendrait un jour me chercher (parce que, entre-temps, il m'avait révélé que j'allais revivre), il y aurait toujours en moi un besoin de savoir. Il m'a dit que c'est un besoin permanent, d'où j'ai conclu que cela doit continuer après la mort. Je crois bien que son but, en me faisant assister à tout mon passé, était de m'instruire. Tout cela était vraiment très inattendu. J'étais là, je voyais réellement toutes ces scènes; je les parcourais effectivement, et tout allait si vite, en me laissant toutefois le temps nécessaire pour que je n'en perde rien. Pourtant dans l'ensemble ça n'a pas duré très longtemps. Du moins, je n'en ai pas eu l'impression. Il y a eu d'abord la lumière. J'estime que ça a pris en tout moins de cinq minutes, et probablement plus de trente secondes; mais je ne peux pas vous en dire davantage.
Le seul moment où j'ai eu vraiment peur, c'est quand j'ai cru que je n'allais pas pouvoir achever ma vie sur terre. Mais j'ai beaucoup apprécié l'évocation du passé, c'était plutôt amusant (...) ».

A travers cette expérience, les psychiatres et autres élèves de Freud et de Lacan, ont bien tort d'affirmer que l'être humain ne pourra pas s’auto psychanalyser. Cette femme involontairement certes, a pu le faire grâce à son être de lumière en elle et hors d'elle. Dans son expérience, son être de lumière est hors d'elle ou tout près d'elle.

Jésus-Christ -  le Fils de l'Homme, de son vivant, à force de jeûner ( 40 jours, seul dans le désert ) , a eu la même expérience de projection astrale .  N'a-t-il pas dit ceci : « Le Père et moi nous sommes Un » (Jean, 10 , 30) . Le corps astral pur d’esprit androgyne du Père de Jésus – le reflet de l ‘âme – paramâtma du Christ Universel a pu même projeter flottant ou marchant sur l'eau pour accompagner la barque des apôtres lors de la traversée d'un fleuve. Cette scène évangélique était bien réelle et vue avec l'œil physique des apôtres. Même après sa mort, le corps de résurrection du Christ s'est manifesté et apparu à Marie de Magdala (Jean, 20 , 11-18) et aux disciples (Jean, 20, 19-29) dès les 1er jours de sa mort . Tous l'ont bien vu apparaître au bord du lac de Tibériade. L'être de lumière, d'essence divine était donc au courant de tous nos faits, gestes et pensées d'enfants de l'Homme – Celui qui n’est pas encore formé. Il était en chacun de nous dès notre naissance sur Terre, lors de notre délivrance, à la sortie de la matrice maternelle. C'était notre doublure purement spirituelle - « esprit androgyne » en pleine transformation sexuelle. L'existence de l'être de lumière en l'homme et hors de l'homme, celui qui connaît tout sur nous, êtres humains, rend ainsi caduque la pratique confessionnelle rituelle de l'église catholique romaine.

Nous (notre âme vivante incarnée en notre corps physique poussiéreux) sommes observés et enregistrés depuis notre arrivée au monde terrestre par notre « être doublure lumineux » - Fils de Lumière pur d'essence « Ayn-Soph-Aur » christique, mystique , et androgyne  . De cet « Esprit – Etincelle de lumière christique » en chaque être humain vivant, Jésus dit ceci (Marc, 13 , 11) : « Et quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous préoccupez pas de ce que vous direz mais dites ce qui vous sera donné sur le moment : car ce n ' est pas vous qui parlerez, mais l ' esprit Saint »  . Ici, il faut comprendre que lors du jugement ultime, ce sera notre être lumineux, Esprit Saint et androgyne - Rapporteur et Dénonciateur, qui dévoilera tout sur nos vies incarnées terrestres devant Dieu – d’essence pur « Ayn-Soph-Aur », le Nouvel Eternel – Nouvel Enfant , le Maître de Justice et de l’Univers du système solaire.

De son côté, Socrate avait raison à son époque de conseiller à ceux qui l'écoutaient de « découvrir ce quelque chose de divin qui est en chacun de nous ». Malheureusement, le dualisme extrême taoïste nous apprend, s'il y a du divin en l'homme (lumière), il y aura aussi forcément en nous le diable satanique ( l'obscurité ténébreuse). Le Coran islamique confirme cette vérité dualiste, en mettant en garde les musulmans de neutraliser Satan, de le pourchasser sans répit et réussir le Grand Djihad . Comment faire pour discerner le divin (fils de lumière) et le satanique (fils des ténèbres) en nous, êtres humains, profanes et mortels ? Lao Tseu nous montre la solution. Il nous invite à suivre la voie du Tao (ch. I, Tao Tö King) : « C'est au plus profond de cette obscurité que se trouve la porte. La porte de l'Absolu, du Merveilleux. Le Tao ».
En effet, la force du Tao est inépuisable et insondable, « Eternellement il émousse ce qui est aigu, dénoue le fil des existences, fait jaillir la Lumière » ( ch. IV, Tao Tö King ). Nous sommes venus au monde ici-bas par la grande porte (vulve de la femme) nous devrons sortir de ce bas monde par la petite porte (notre âme et notre esprit quittera notre corps physique par le point Mo, le bregma , la grande fontanelle bien fermée – le plexus cervical ( le 7è Chacra – le lotus aux milles pétales ).

De l'autre côté de la plaque cylindrique et tournante de la planète Terre, des milliards d'entités spirituelles déjà incarnées ou non ici bas, cherchaient depuis toujours à prendre contact et renseigner le monde des vivants terrestre pensant et curieux d'esprit sur ce qu'ils ont connu dans l'au-delà . Beaucoup de moyens techniques de communication avec l'au-delà ont été réalisé grâce aux médiums (personnes intermédiaires entre le monde des hommes et celui des esprits et âmes errantes). Les médiums étaient souvent de sexe physique féminin. Grâce à leurs corps physiques attractifs intermédiaires des deux mondes ici-bas et l'au-delà, les médiums transmettent aux intéressés les messages de l'au-delà par les paroles verbales des morts ou les écritures automatiques.
Par les paroles verbales, les morts entrent en possession du corps du médium et communiquent à leurs proches ou non. Ce phénomène communicatif est trop subjectif. Beaucoup de médiums charlatans en abusent pour faire passer des messages bidons aux proches du mort. Pour ma part, j'avais la chance d'assister à ce phénomène grâce aux messages de mon frère 2, décédé à l'âge de 13 ans qui les fit parvenir à ma mère grâce au corps médiumnique de ma 4è tante, belle sœur de ma mère. Pendant la séance médiumnique, souvent involontaire, ma tante était en transe et transpirait beaucoup. Elle ne se rappelait pas de ce qu'elle a dit ou révélé à ma mère à la fin de la séance. Elle parlait à ma mère comme si c'était sa mère, son identité spirituelle était réellement celle de mon frère 2 (mon frère aîné ici-bas).
Par les écritures automatiques, le médium écrit sous la dictée de l'esprit du mort. L'écriture, prend des tournures, formes inquiétantes. François Brune,  dans son livre « Les morts nous parlent » écrit ceci concernant l'écriture automatique :
« D'abord, des formes spectaculaires: elles peut se faire à l'envers, entièrement ou en intervertissant seulement un mot sur deux; elle peut atteindre des vitesses incroyables ; enfin certaines personnes peuvent aussi écrire des deux mains en même temps, deux textes différents. Pis ou mieux encore, de même que le oui-dja (planchette ou verre peuvent parfois continuer à désigner des lettres une fois qu'on les a lâchés ), le crayon peut parfois continuer à écrire tout seul sans qu'on le tienne, c'est ce que l'on appelle l'écriture directe. ».

Autre technique de communication avec l'au-delà, bien connu des caodaïstes, secte religieuse vietnamienne qui honore l'esprit de Jésus-Christ, du Bouddha, de Victor Hugo ... est le oui-dja , appelé aussi «planchette» qui peut connaître différentes variantes : sur une planche d'assez grandes dimensions sont disposés les lettres de l'alphabet, les chiffres de 0 à 9 et «oui» et «non», plus quelques signes de ponctuation. Une petite «planchette» sur roulette ou un verre renversé est placé sur la planche. Deux ou trois personnes posent à peine un doigt sur la planchette ou le verre, qui va ainsi se déplacer de lettre en lettre en formant des mots.
En cette fin de XX è siècle, plein d'ingéniosité, le monde médico scientifico et philosophique de la parapsychologie, invente des moyens modernes et les utilise pour enregistrer les voix des morts sur bandes magnétiques, pour visualiser l'image des morts sur écran de télévision, etc. Ces techniciens de la communication avec l'au –delà, spirituellement libres et élevés, n'ont plus besoin de la présence physique d'un médium pour communiquer avec les morts. Une bande magnétique vierge ou un écran de télévision ne trichent pas. Un médium charlatan peut utiliser des subterfuges avec des images – techniques holographiques pour tricher mais pas une simple bande magnétique et vierge en échos – bruits sonores.

Pour ma part, fortuitement, je découvre que je possède un septième sens, c'est-à-dire communiquer de mental à mental avec le monde de l'au-delà purement spirituel et non aveuglé par le monde illusoire de Maya-prakriti , en lutte constante pour ne pas être anéanti à jamais par la puissance de l 'Esprit du Temps – « Alpha – Oméga – Oméga – Alpha » , dont le chef de file fut Lucifer – le Malin Porteur de Lumière et l ‘Egal du Très – Haut. Grâce à mon E.M.A.Q., sur une durée de 23 ans, j'ai réussi à transpercer les différentes voiles matérielles du monde illusoire de Maya-prakriti, parvenant finalement à observer et étudier de fond en comble le tréfonds de mon âme profane d’être – humain – et – authentique. De cette étude sur mon « Soi », j’ai pu réussir seul le Grand Djihad, tout en restant éveillé, émerveillé,  non aveuglé et sans peur face à la Bête « 666 » - le Kundalini en Moi et hors de Moi - la « Dame Abîme », dont l’essence naturelle n’est autre que l’Esprit de l’Obscurité taoïste – le Principe Féminin – Origine des racines du Ciel et de la Terre ( = le « Néant Primordial » - le « Chaos Primordial » ). De cette rencontre  harmonieuse au tréfonds de mon être – humain – et – authentique, mon âme individuelle, incarnée ( jivâtmâ) en l‘homme microcosme, profane et sexué « XY » ( = masculin), parvient à retrouver la trace de l ‘âme – conscience suprême, cosmique et universelle ( = paramâtma ) de l ‘Homme Macrocosme, d’essence pur « Ayn-Soph-Aur », et entrer en fusion alchimiquement non explosive avec elle. Toute cette opération se passe au centre du 3 è Chakra – « Nabhipadma-chakra » et grâce à la médiation de mon grain d ’Esprit Buddh , qui n’est autre que le reflet concentré de paramâtma , et qui se situe au carrefour où se rencontrent à l ‘état pur purusha et prakriti.
Ma propre recherche fondamentale du monde de l'esprit originel d'essence divino - humaine débuta en mai 91 suite à mes sept jours d'initiations à Montréal. Ensuite grâce à une médium parisienne, Claudine, qui, par l‘intermédiaire de son contact de l‘au – delà, dont le Padre Pio, m'a envoyé ces deux prières :
1/ « Dieu de Miséricorde et d'amour, lave ton fils de toutes ses connaissances acquises du passé. Daigne lui accorder un esprit neuf et pur afin de recevoir sa lumière et son amour, seuls véritables pouvoirs. Libère - le des chaînes de l'orgueil et garde le humble dans ta lumière. Qu'il rende aux ténèbres ce qui appartient aux Ténèbres et à Dieu ce qui est à Dieu. Par le saint esprit et les Élohim, que la mer s'ouvre devant lui. Paix sur l'humanité. Amen.».
2/ « Dieu Eternel, pardonne à ton fils égaré dans les ténèbres. Donne lui la force de Te retrouver; redonne lui la foi en Toi et en lui. Mère des dieux, écrase la bête avant que ses anneaux ne l'enserrent et ne l'étouffent. Donne lui l'amour et la paix et de comprendre qu'en voulant la perfection on finit par se perdre et sombrer dans l'abîme. Dissipe Dieu tout puissant, les brumes qui l'entourent par ton fils, Jésus - sauveur des hommes, Marie mère de Dieu et des hommes, Yéoshua - Père éternel. Pardonne le de ne plus comprendre le chant de la sibylle ; garde son âme dans Ta lumière. Amen».
Le contenu de ces deux prières énigmatiques et mystérieuses attira énormément ma curiosité d'homme - médecin scientifique formé à l’école occidentale cartésienne, de culture philosophique bouddhique, croyant mais sans peur en Dieu Bon – céleste - et Unique. Profane et laïc, je ne pratique aucun rite religieux. Ma femme est d'origine française et vendéenne, de confession religieuse chrétienne – catholique, baptisée et non pratiquante. Notre mariage s’est fait civilement et non devant un homme soit – disant de Dieu.
Etant non initié aux rites religieux , profane et n'ayant jamais lu les livres sacrés (Bible, Coran, Veda...) les termes de « Dieu d'amour et de miséricorde », « Elohim », « sibylle », « Dieu éternel », «Yéoshua », etc. n'étaient pour moi que du charabia. Poussé par une curiosité scientifique bien saine, je poursuivis ma recherche pour essayer de comprendre le sens profond des deux prières ci-dessus. Le résultat de ce travail est bien là avec la réalisation de ce « Livre évident » sur Dieu Eternel, le Très – Haut, Y.H.W.H., le « Sans – Nom » - « Sans – Forme »,  grâce au concours de personnes qui ont formé une chaîne pour que ce livre puisse voir le jour. L'écriture fixe la pensée et la rend concrètement vivante.

Parmi les nouveaux messagers de l'au-delà, je note beaucoup de messages venus des morts chrétiens bien collectionnés et étudiés par F. Brune dans son livre « Les Morts Nous Parlent ». La plupart de ces messages d'outre-tombe nous sont parvenus par écriture automatique avec l'identité réelle des morts.

Les messages de Pierre Monnier, mort le 8 janvier 1915 à 23 ans sur le front de l'Argonne. Sa famille était protestante, très croyante et pratiquante . Il parlait à sa mère par écriture automatique, de la forme que pouvaient prendre nos sentiments et nos pensées : « Je t'ai dit que vos pensées se prolongent en ondes vibrantes et animées, or ces effluves ont une composition analogue à celle de la matière, elle aussi vibrante et animée; ils agissent et se comportent de la même façon, ils contiennent la vie immanente. De ceci résulte que vos pensées vivent et propagent la vie. Il en est de même, je te l'ai dit, du regard ... du rayon envoyé par vos yeux... ce rayon est vivant, physiologiquement vivant, si je puis dire » . La pensée n'est pas seulement vie, mais intelligence et vie: « En effet, si vous admettez que la pensée est cette énergie vivante qui se transporte et se transmet, il ne peut plus être question ici d'une force, mécanique ou servile du fait qu'elle serait dépourvue de volonté, cette fois ,ce sont des décisions prises par une volonté colorée par une opinion personnelle due à la réflexion.» . Pierre Monnier explique à sa mère que les hommes sont des créatures vraiment extraordinaires , qui ont le pouvoir non seulement de faire naître d'autres âmes : «... mais aussi des "entités spirituelles" (émanation de leurs forces psychiques), des "énergies", qui prennent un corps, et peuvent être bonnes ou perverses... Il vous est parfois donné de les apercevoir: lorsqu'elles naissent d'impulsions élevées et pures, elles vous apparaissent sous forme d'étoiles, de flammes voire même des fantômes, subjectifs et passagers, mais elles peuvent aussi prendre l'aspect monstrueux de bêtes fantastiques, lorsqu'elles proviennent d'un sentiment vicieux ou pas. Ces "larves" dont les païens avaient fréquemment vérifié la positivité effrayante ne sont ni un rêve ni une hallucination . D'ailleurs même les forces cosmiques sont douées de vie et par conséquent, elles ont une mission (bien difficile à vous prouver)... elles doivent la remplir, pour éviter des défaillances solidaires qui pourraient avoir une importance capitale. Rien pourtant ne les oblige à cette obéissance...»

Dans une communication de P. Monnier reçue personnellement par Jean Prieur le 24 octobre 1968, la force du Mal - Satan, est évoquée en ces termes : « Satan ne peut-être une personne, mais un éggrégore du mal ayant de la conscience. C'est un centre de désagrégation, de destruction, un ventre intelligent . C'est pourquoi les hommes disent souvent qu'il existe comme personnalité ; on peut le considérer comme une personnalité, il peut même en prendre la forme . Plusieurs esprits du mal peuvent revêtir cette forme vis-à-vis des hommes. C'est un éggrégore humain. Ce sont des émanations du mental humain qui arrivent à condenser cette force! Les hommes le créent, il n'a pas de vie concrète. Il n'y a que Dieu qui vit et peut créer. Il n'y a que Dieu qui vit. Satan a une vie éphémère que les hommes pourraient anéantir à l'instant même, si seulement ils voulaient penser dans la pensée de Dieu. Le mal ne durera pas toujours tandis que Dieu existera éternellement..

J'arrive à penser dans la « Bulle –Pensée » de Dieu - le « Sans – Nom » d‘essence pur « Ayn-Soph-Aur » grâce à mon 7è sens. Satan ou son éggrégore humain - le produit vibratoire, vivant , et réel, issu des pensées - enseignements dispensés à tort et à travers par les hauts dignitaires religieux intégristes dogmatiques – « Aveugles guidant d’autres aveugles » , est cuit, après avoir pu faire un grand razzia démentiel à la surface de la terre. Une quantité incalculable de sang humain est offert en holocauste à Satan, grâce à l’œuvre des chefs dictateurs et tyranniques, qui déclenchent la Grande Tribulation prophétique et poussent leurs sujets – peuples moutons de Panurge à s’entre-tuer bêtement pour être martyrs de Dieu, héros de la Nation, etc. L’humanité ultra – nationaliste et religieusement intégriste, dont l ‘ « âme – conscience collective » fonctionne à l’envers, est hypnotisée jusqu’à la moelle osseuse par l‘éggrégore – conscience satanique, pour se comporter comme des zombies meurtriers et inconscients de leurs actes criminels non – sens . La puissance conscience de Satan n'est qu'un "Ventre intelligent", vide de sens vital et auto - destructeur; elle n ‘a survécu jusqu’à ce jour que grâce aux mensonges des hommes de pouvoir tyrannique et dictatorial, qui abusaient grandement leur pouvoir absolu, temporel et intemporel, qui imposaient leurs Secrets ( = d 'Etat , du Vatican, de la Diplomatie, …) tout en affirmant leur volonté de transparence politique chrétienne. A travers ces agissements contradictoires et dualistes extrêmes , nos gouvernants ont commis en un siècle et demi, des fautes sans nombre avec crimes contre l’humanité et de façon impunie . Ils instituent des rites – cérémonies avec  cultes des morts, des martyrs, des statues, des symboles , des idoles, des rites initiatiques sado - masochistes jusqu'à l'institution du Sacrement de la Pénitence , etc. et entretiennent ainsi la haine et la guerre dans le monde des éggrégores – celui de la Puissance Conscience satanique, qui excelle dans l’art de manipuler les esprits , et les âmes faibles, seules ou groupées en communautés d’armes d ‘une violence surnaturelle.

P. Monnier l'avait dit d'ailleurs déjà à plusieurs reprises, bien des années auparavant, dans des lettres qu'il inspirait à sa mère : « Le diable ! ... symbole », disent les esprits forts de votre siècle! Oh non pas! ... Satan est une entité spirituelle de haute puissance, que chacun de vos manquements fait vivre : le résidu de vos fautes est sa nourriture et c'est votre péché qui l'alimente ».

Les messages de Paqui Lamarque : c'était une jeune fille morte prématurément comme P. Monnier. Elle est morte à Arcachon en 1925. Ces messages nous sont adressés par Madame Yvonne Godefroy, catholique pratiquante qui ne s'était jamais occupée de spiritisme ou de littérature. La rencontre de Madame Godefroy, médium malgré elle et l'âme éternelle de P. Lamarque, était vraiment bouleversante. A la mort de la jeune fille en 1925 et pendant les deux années qui suivirent, ce fut d'abord un ami qui perçut ses messages et les écrivit. Mais le plus curieux, c'est qu'à partir du 1er janvier 1928, ce fut une inconnue qui prit le relais . Au cours de l'été 1926, M. et Mme Godefroy, qui étaient en villégiature à Arcachon, se rendirent au cimetière afin de prier sur la tombe de leur jeune hôtelier qui venait de mourir. Ils furent attirés par une chapelle toute neuve, style 1925, qui dominait parmi les pins toutes les autres sépultures.» Impressionné par le portrait de la jeune fille, par les textes qui l'entouraient, par les fleurs et par toute l'atmosphère de cette chapelle, Mme Godefroy chercha à faire la connaissance de la famille Lamarque. Une amitié se noua, au fil des séjours de plus en plus nombreux que la famille Godefroy firent à Arcachon en partie pour des raisons de santé. Le 1er janvier 1928, à onze heures du soir, à l'hôtel où ils étaient descendus, Yvonne Godefroy ressentit l'urgence d'écrire ce que lui dictait une voix intérieure impérieuse et douce qui venait du monde invisible. Elle prit un crayon et se mit à tracer d'une très grande écriture penchée, qui n'avait aucun rapport avec la sienne, des mots qui venaient sans effort, sans rature, d'un seul jet, sous l'influence d'une sorte de musique émanant de son cœur .
Cela donna finalement six mille pages, dont cet extrait concernant le monde des pensées invisibles : «Toutes les pensées, bonnes ou mauvaises, forment des ondes qui s'en vont dans l'espace. Selon leur nature, elles se rejoignent, s'assemblent et constituent des légions qui se heurtent les unes contre les autres. Comme dans toutes les batailles, l'issue de la rencontre dépend du plus fort. Si l'élément mauvais triomphe de l'élément bon, c'est tout le mal qui retombe sur la terre. Au contraire, si c'est la force bienfaisante, le bonheur, la paix descendent sur les hommes. Les sentiments de jalousie, de vengeance, d'orgueil, à plus forte raison de haine, créent des tourbillons qui expliquent ce qui se passe en ce moment sur la terre... Peuplez de pensées pures, de rayons charitables les champs de bataille spirituels des troupes ailées ...».

Dans ce même ordre d'idée, P. Monnier a dit à sa mère: «Les batailles formidables dont vous êtes témoins ne sont qu'une répercussion de celles qui se livrent entre les esprits. Je n'entends pas exclusivement les esprits des sphères extraterrestres ... Je parle aussi des esprits qui vivent dans la chair humaine ... Les forces rivales et ennemies de l'amour, qui avaient provoqué la bataille s'organisaient et se comptaient. Ces forces émanaient des régions invisibles aussi bien que des régions terrestres; les uns et les autres se dressaient dans les deux camps. Chère maman, la victoire doit appartenir aux armées du Christ.»

Messages de Roland de Jouvenel. Roland est le fils de Bertrand de Jouvenel, philosophe, économiste, puissante personnalité un peu marginale, et de Marcelle de Jouvenel, romancière et journaliste. Beaucoup de célébrités côtoyaient ce couple: Maurice Leblanc, Jean Rostand, Maurice Maeterlinck etc. La romancière décrivait un Paris mondain un peu conventionné. La journaliste ne reculait pas devant des enquêtes assez hardies: à la prison pour enfants de la Petite Roquette, au Rio de Oro en pleine guerre de conquête espagnole, en Ethiopie peu avant l'assaut final des troupes de Mussolini. De l'intelligence, du courage, mais rien de mystique. Les Jouvenel ne pratiquaient aucune religion. Le mariage avait été civil. Roland, leur fils, retrouva seul le chemin de Dieu . Il pressentait sa fin prochaine. Plusieurs phrases lui échappèrent qui le prouvent. Il allait prier dans les églises en particulier à l'église Saint Roch à Paris, située près de chez sa mère. En 1946, il tomba malade . On attendit le nouveau remède miracle (la streptomycine) qui ne fut commercialiser que quelques années après sa mort . Le 2 mai 1946, alors qu'il n'avait pas encore quinze ans, Roland, émerveillé, voyait venir à lui sa grand-mère, morte deux ans auparavant et qui venait l'emmener.

Bertrand et Marcelle étaient déjà séparés, Mme de Jouvenel se retrouve complètement seule. Le désespoir, la révolte, la pensée du suicide, puis une lente remontée. Elle fait dire une messe pour son fils et y communie. Alors commencent les signes. Puis sur les conseils d'une amie, elle finit par essayer de prendre, elle aussi, un crayon malgré ses réticences. Un frisson parcourut sa main et les mots se formèrent sur le papier. Comme pour Pierre Monnier, les messages, d'abord quotidiens vont peu à peu s'espacer. Le tout dernier message date du 16 février 1969 avec cette simple phrase: « Maman, on se nourrit de ce qu'on donne aux autres ». Roland le disait bien souvent à sa mère: « La survie prend naissance dans les êtres dès leur naissance ; cette survie est ce double qui vit dans le corps et qui éclôt à la mort ... C'est parce que l'âme se développe comme une plante que vous devez cultiver vos climats intérieurs » « Tu ne te préoccupes pas assez de ce deuxième personnage qui est pourtant attaché à toi aussi étroitement que ton ombre. La construction psychique de ton double, tu dois la façonner avec des doigts d'un sculpteur. Jamais tu ne prendras assez de soins pour parfaire ton être invisible » « Tu prends trop à la légère les constructions de ton double. Pierre à pierre, vous devez bâtir la demeure de votre éternité ...».

La construction de notre corps doublure pur d'esprit « Christique – Buddhi » sera donc possible dans cette vie sur Terre. Grâce à mon E.M.A.Q. sur une durée de 23 ans, j'arrive en cette fin XX è siècle à réaliser la construction complète de mon corps lumineux aurique éternel . Ce corps doublure fusionne à jamais en mon corps physique poussiéreux temporel. D'où ma communication mentale à mentale avec le monde de pensées conscientes de l'au-delà. Ce monde invisible – « vie éternelle » ne s'ouvre qu'à des esprits dotés de corps lumineux auriques et éternels . A l'intérieur de ce monde divino - humain, d'essence spirituelle pur, les entités – « fils de lumière » se communiquent par télépathie et s'entraident spirituellement. Leurs connaissances communes associées à celles de l'humanité consciente de ses responsabilités pourront  transcender l 'ensemble de l 'univers du Grand Tout  jusqu'à Dieu le Très Haut, le « Bon Dieu » et non le Dieu - Diable rempli de rites superstitieux sado - masochistes .

Roland de Jouvenel avait d'ailleurs annoncé à sa mère qu'un jour ce genre de communication deviendrait possible entre Ciel et Terre. Mais quand et par quels moyens techniques ? Il n'en savait pas trop. Il laissait ce message daté du 3 novembre 1949 : « L'occultisme et la métapsychique deviendront une science expérimentale basée sur le réel ; une table qui se soulève est un phénomène d'ondes; des conversations médiumniques sont des contacts avec des esprits encore voisins de la Terre. Là est le phénomène d'interpénétration d'un plan dans un autre, mais cette zone est incommensurablement éloignée du royaume. Ces incursions d'un plan dans un autre deviendront par la suite aussi familières que l'aviation est devenue courante . Pourtant ce n'est pas parce que les hommes se sont construits des ailes qu'ils sont devenus des anges, ni parce qu'ils atteignent de hautes altitudes qu'ils se rapprochaient de Dieu. Vous arriverez à communiquer avec l'invisible, mais cet invisible est aussi loin de la Divinité que vous l'êtes vous-mêmes d'une étoile. Ces réservoirs d'esprits voisins de votre univers ont atteint un degré supérieur au vôtre, mais ne sont encore qu'à la première des marches qui conduisent au septième ciel. Un jour viendra où, scientifiquement, ce monde sera en relation avec votre monde. Les études dirigées vers ce plan ne peuvent en rien être une profanation envers le Divin, car les rayons célestes ne pénètrent guère plus en ces régions que dans la vôtre. Les êtres qui y circulent n'ont de plus que vous-même qu'un sens: le sixième. Un jour viendra ou vous capterez les vibrations de ce plan, comme vous avez capté l'électricité, et elles vous seront perceptibles. Mais Dieu n'est toujours pas là ... L'expérience mystique ou spirituelle est tout autre ...» ( Grâce au Septième sens, l ‘homme trilogique et christique peut facilement communiquer avec les êtres d’esprits – fils de lumière avec leur sixième sens, et par télépathie instantanée, directe et sans intermédiaire, grâce au fil du Tao pur d‘essence « Ayn-Soph-Aur »).

Autres messages révélés par des morts anonymes ou non :
* Un jeune soldat tué en 1942 par les Japonais ; il tombe en pleine jungle en plein combat . Hors de son corps de chair, il essaie d'abord, bien en vain, d'aider encore ses camarades . Devant l'inutilité de ses efforts, il abandonne et se promène dans la forêt . En quelque pas, il se trouve dans une paix merveilleuse, c'était bien toujours la jungle que malgré les circonstances il avait appris à aimer mais dans une beauté indescriptible que ses yeux de chair n'avaient jamais pu percevoir. Au milieu de ce bonheur lui parait une forme brillante et belle qui l'invite à venir avec elle à l'aide de ses compagnons mourants. Il hésite un peu à quitter ce lieu merveilleux, « celui qui brille » ainsi nomme-t-il la forme lui explique alors pour le rassurer qu'il «suffirait d'évoquer ce lieu et d'y souhaiter retourner pour y revenir ». Il se décide donc à le suivre : «C'est avec regret que je le suivis. Nous avons en quelque sorte transité ou plutôt non, il n'y eut point de transit, notre environnement s'effaçait et un autre prenait sa place . La jungle bougeait et se dissolvait, et un autre type de jungle apparaissait, celle-là remplie d'hommes criant des ordres et hurlant de douleur. Tout d'abord, cela me parut insoutenable mais « Celui qui brille » me dit: «Viens te mettre au côté de cet homme, il va venir à nous » . Une seconde après, une balle déchirait son estomac, et il se recroquevillait à nos pieds en geignant . «Celui qui brille» se pencha vers lui et toucha sa tête et ses yeux . Ses gémissements se turent instantanément, et je vis son esprit abandonner son corps torturé . Il nous rejoignit, pâle et ahuri, dans la dense végétation de la jungle. Avant que je puisse comprendre ce qui s'était passé, nous étions de retour dans la merveilleuse jungle; ce fut magnifique » . Plus loin, l'auteur ajoute : «Je comprends qu'il n'y a pas d'endroits différents , tous correspondent à nos états d'esprits . C'est comme ce que l'on nous avait appris quand nous étions enfants : le royaume de Dieu est en vous. Bonne nuit ».
*Un des naufragés du Titanic, en 1912: Il est arrivé à communiquer le récit de ces aventures dans l'au-delà à sa fille, par l'intermédiaire d'un médium. Le naufragé s'appelait William Sted. Il raconte d'abord sa stupéfaction de trouver soudain prés de lui des gens qu'il savait morts depuis longtemps : « A cela j'ai compris pour la première fois le changement qui était survenu. Je compris brusquement et j'eus peur. Après un moment de trouble, je cherchai à me ressaisir. Mon désarroi ne dura qu'un instant et je réalisai avec émerveillement que tout ce que j'avais appris était vrai. Oh ! Si j'avais eu un téléphone à ce moment là pour envoyer des nouvelles à tous les journaux ! Ce fut ma première pensée. Puis me vint une réaction d'inquiétude. Je pensais aux miens. Ils ne l'avaient pas encore appris. Que dire à mon sujet? Comment le communiquer ? Mon téléphone ne marchait plus. Je voyais tout sur terre car j'étais encore très près de notre planète. Je voyais le bateau coulé, les naufragés, et cela me donna de l'énergie; j'avais la force d'aider ... et, de désespéré, je devins capable de secourir. En peu de temps tout était joué et nous attendions seulement la fin de la catastrophe. C'était comme si nous avions attendu un départ. Finalement les sauvés furent sauvés et les noyés, vivants. Alors, ceux de la seconde catégorie, c'est-à-dire nous, tous ensemble nous changeâmes de scène et de direction. Pour nous tous alors commença un étrange voyage et le groupe que nous formions était lui-même étrange: personne ne savait où nous allions. Cette scène était d'un tragique indescriptible. Beaucoup, comprenant ce qui était arrivé avaient une terrible inquiétude, autant pour leur famille qu'ils avaient laissées qu'au sujet du sort qui les attendait. «Qui veillera sur nous ? disaient-ils. Va-t-on nous conduire auprès du Très Haut ? Et quelle décision va-t-il nous annoncer ?» D'autres paraissaient indifférents à tout, mentalement absents. Vraiment une étrange troupe d'âmes humaines attendant leur immatriculation dans le monde nouveau.
"Ce fut l'affaire seulement de quelques minutes, et voici des centaines de corps, flottant dans l'eau morts; des centaines d'âmes emportées à travers les airs, vivantes; et beaucoup d'entre elles même très vivantes. Beaucoup, en effet, ayant réalisé qu'elles étaient mortes, étaient furieuses de ne pas avoir la force de sauver leurs objets précieux. Elles luttaient pour sauver les objets auxquels, sur terre, elles avaient accordé de prix. Le spectacle du naufrage était effroyable. Mais ce n'était rien en comparaison de celui des âmes arrachées à leurs corps bien malgré elles . La scène était déchirante . Nous attendions d'être tous rassemblés ... et quand tout fut prêt, nous nous ébranlâmes vers d'autres horizons.
"Ce voyage fut curieux, bien plus que nous ne l'aurions imaginé. Nous montions verticalement dans l'espace à très grande rapidité. Nous déplacions en groupe comme si nous avions été sur une très vaste terrasse, projetée en l'air avec une puissance et une vitesse gigantesques; et pourtant nous n'avions aucune crainte pour notre sécurité. Nous avions un sentiment de solidité. Je ne sais combien de temps dura notre voyage, ni à quelle distance de la terre nous nous trouvions lorsque nous arrivâmes. Mais ce fut une arrivée tout à fait merveilleuse. C'était comme lorsqu'on sort de l'ennui d'un hiver britannique pour arriver dans l'éclat rayonnant d'un ciel méridional. Nous l'avions vu de loin en nous approchant ; tous ceux d'entre nous qui avaient quelques connaissances sur ce sujet pensèrent que nous étions envoyés dans ce lieu d'accueil en raison de notre séparation brutale d'avec la vie terrestre. Le malheureux néophyte était soulagé en arrivant. Un certain sentiment de fierté nous remplissait, en trouvant que tout était léger, resplendissant et, de plus, aussi matériel et solide à tous égards que tout ce que nous venions de quitter dans ce monde. Notre arrivée réjouit beaucoup d'amis et de parents qui nous étaient très chers lorsque nous étions sur terre. A notre arrivée, nous tous qui venions du naufrage, nous fûmes mis à part. Nous pouvions à nouveau disposer librement de nos énergies, bien que chacun d'entre nous fut accompagné d'un ami personnel, trépassé depuis des années
».

De ce voyage de retour à travers l'espace de l ‘instantanéité, Roland de Jouvenel relate une expérience un peu semblable avec des analogies et des différences : « Quand nous quittons la Terre nous arrivons tout de suite dans une sorte de bulle close. Après notre dernier soupir humain, nous n'entendons plus rien . Sans ligne de conduite, ayant perdu le sens de l'orientation, nous volerons dans les nuées, toujours sans rien connaître. Ceci est notre première étape. Puis peu à peu, nous apprenons à discerner les courants divins; et des routes célestes s'ouvrent à nous . La première couche, qui surplombe le monde et par laquelle nous devons passer, est comme un ciel entier à parcourir. Cet espace est sillonné de comètes. Nous sommes tout dépaysés dans l'inconnu de cet univers. Sans ailes ou presque, nous voltigeons dans cet éther aussi maladroitement que des oiseaux nouveau nés. Enfin, des rayons de plus en plus clairs nous apparaissent, et nous reconnaissons les voies triomphales qu'il s'agit d'emprunter pour arriver jusqu'à Dieu » .
Parlant de la mort de la lumière au crépuscule, Roland de Jouvenel ajoute: «Cette agonie du jour dans l'ombre est une réplique de ce que nous éprouvons au moment de la mort . La terre devient ténèbres ; nous ne distinguons plus le créé , nous traversons ensuite une région ténébreuse comparable à la nuit. Nous sommes emportés dans l'espace comme des nuages dans l'ombre d'un soir obscur, puis l'aube céleste se lève enfin pour nous; mais nous sommes encore loin de Dieu, aussi loin que le soleil est loin de la Terre. » « Pour ne pas avoir trop froid lorsque tu quitteras la Terre, il faut que ta vie intérieure soit torride, les steppes de glaces dans lesquelles tu seras prise fondront si ta ferveur est chaude comme un brasier: ta ferveur dissoudra le gel ...»
Ainsi grâce à ses connaissances propres, Roland de Jouvenel, âme humaine pure chrétienne et mystique de l'au-delà a passé sans dégâts la zone de ténèbres célestes, le néant Is1 des bouddhistes non croyant en Dieu créateur ou l'Enfer Céleste, le congélateur cosmo – planétaire  zone de froid glacial sans lumière « Ayn-Soph-Aur » mystique (# - 3 K ) . Or malgré son âme chrétienne pure, grand mystique de l'au-delà, Roland reste toujours encore loin de Dieu «Aussi loin que le soleil est loin de la Terre» . Pourquoi ? Tout simplement parce que Dieu – le « Sans – Nom » d‘essence pur « Ayn-Soph-Aur » ou plutôt son esprit saint  - « Lumière Incréée » était en nous – « Homme Trilogique et Christique »  doté d'un cœur, d'une âme et d'un esprit , depuis la mort sacrificielle de Jésus-Christ .

La force des pensées créatrices et destructrices cosmiques, planétaires et sphériques était telle qu'elle vibre et concentre tout autour de la planète Terre . De ces entités d’Esprits lumineux avec Sixième Sens, il est écrit : « Toutefois, il existe aussi des esprits admirables des esprits lumineux, dont les vêtements blancs resplendissent comme la neige sous le soleil, et qui ne sont pas des anges, bien qu'ils n'aient jamais vécu dans la chair. Ils planent au-dessus des nations comme un éléments protecteur, ils sont nés des grandes pensées qui ont germé dans le cœur et le cerveau des peuples ... Dieu accorde le souffle de vie (je veux dire une âme) à cette énergie sortie de l'humanité. Elle devient, en vérité, une force indépendante, qui a pour personnalité celle de ses parents innombrables et elle est chargée de veiller sur le lieu qui fut son berceau et sa patrie...» ( Dialogues avec l'Ange).

Toutes ces « entités – égrégores – esprits » lumineux des peuples – grandes et petites nations hégémoniques ici-bas, finissent par former d'immenses armés, d'amour ou de haine . C'est alors, dans le monde invisible, une immense bataille qui se répercute forcément sur l'humanité marionnette de pouvoir dictatorial pécheresse à l'extrême et bien soutenue par les hauts dignitaires religieux monothéistes, panthéistes, dogmatiques et ultra-nationalistes. Malgré leur intelligence, leur savoir universel, leur érudition, tous ces hommes soi disant « représentant de Dieu » se faisaient piéger spirituellement par les égrégores esprits lumineux des nations prakritiennes – « Bêtes sanguinaires » assoiffées de sacrifice, d’holocauste à base de sang animal mammifère ( donc l’espèce humain) et autres volatiles (= coq, poulet chez les Vaudous). Ils évangélisent, ils coranisent leurs peuples, zombies et autres soi - disant «infidèles» à Dieu par les armes et le sang, nourrissant ainsi l 'éggrégore humain de SATAN.

François Brune nous donne ici son avis personnel sur le refus intransigeant des dignitaires «spécialistes» ecclésiastiques de reconnaître la réalité des témoignages des vivants (N.D.E.) et des morts sur la question "La Vie après la Vie" ou "La vie après la Mort": « Alors prudence et discernement, mais pas de refus absolu . De même, je ne peux pas accepter les réserves du Père Jean Vernette sur des communications comme les lettres de Pierre, les ouvrages de Roland de Jouvenel ou même ceux de Jean Prieur. Je crois même que la critique n'est pas entièrement honnête. L'auteur fait comme si les reproches souvent faites à l'église par Jean Prieur, mais aussi par Pierre Monnier et depuis par bien d'autres, de ne plus assez croire à la vie éternelle ou d'en présenter trop souvent une vision ridicule, n'étaient pas justifiées. Il prétend, à l'inverse, qu'à lire ces auteurs et "à leur porter foi, on s'éloigne peu à peu du christianisme. Dieu y est étrangement lointain, Jésus-sauveur n'apparaît guère". Jean Prieur a signalé de nombreux ecclésiastiques, et non des moindres, qui n'étaient pas du tout du même avis. Pour ma part, étant aussi un peu théologien, je dois avouer que ce serait plutôt en lisant Saint Augustin et Saint Thomas d'Aquin, sans parler d'un très grand nombre de "théologiens" contemporains, que j'aurais pu perdre la foi. On aura déjà vu, au contraire, et on le verra bientôt encore davantage, tout ce que je dois à la lecture de ces grands "témoins de l'invisible", comme les appelle Jean Prieur. Ce que dit ici le père Vernette d'un Dieu "étrangement lointain", me paraît assez vrai et parfois même très juste de toute la littérature du courant spirite. Mais il ne faut pas tout confondre ! ».

Les religieux purs et durs, mauvais évangélistes, dogmatiques et moralistes, considèrent les témoignages des rescapés de la mort et des morts à âmes chrétiennes comme irrationnels et démoniaques. Or la présence de Dieu est bien ressentie et décrite par ceux-ci. J-C Hampe rapporte ici le témoignage de l'un des rescapés de la mort : « Depuis ce temps là, Dieu représente pour moi une source fondamentale d'énergies, inépuisable, intemporelle, elle rayonne sans cesse en énergies, absorbe aussi de l'énergie dans une pulsation continuelle ... Elle est l'harmonie parfaite ... différents mondes se forment à partir des différentes vibrations, les fréquences font les différences. C'est pourquoi différents mondes peuvent exister en même temps, au même endroit ...». Pierre Monier, de l'au-delà où il est parvenu, nous dit la même chose : « Il y a en toutes choses des parcelles de Dieu (que vous pourriez appeler plus correctement des "énergies") ... Les énergies divines répandues dans la création sont en réalité "l'influence" de Dieu, qui s'exerce en vie, en pensée, en individualité …» ; «Dieu vous a donné "son influence", ce courant impondérable qui va de son "noyau dynamique" jusqu'aux hommes. Ce que j'appelle de ce mot barbare, appelez le, pour mieux comprendre la production d'amour, "un cœur", le cœur de Dieu, foyer brûlant et lumineux qui anime tout l'univers ».
Ce "cœur de Dieu", Fils qui voulait être Père -"Yéoshua, l'Eternel" était au centre du magma terrestre et symbolisait l'esprit saint alpha, qui représente la première identité divine, incarné en Jésus. C'était la descente en « Enfer Souterrain » de l'esprit saint alpha – christ, pour parfaire son expérience de Dieu vivant – le « Verbe – qui – s’est – fait – chair » dans le royaume des morts . Jésus, d'esprit saint - fils et père androgyne cherchait ainsi à parfaire sa mission d'évangéliser le monde des morts ténébreux souterrains et sataniques, ses "frères – anges déchus" pécheurs. Ses paroles évangéliques restaient pourtant lettres mortes en ce monde infernal qui arrive même à contaminer sournoisement en "mal" et  "bien" destructif, le monde des hommes à la surface de la Terre bien paumés, sens dessus dessous.
Ce «cœur de Dieu» - producteur de sentiment d 'amour vient d'être transféré à sa vraie place centrale, divine, cosmique, et universelle, c'est-à-dire, au centre de l'astre solaire "foyer brûlant et lumineux", qui anime tout l'univers du système solaire, selon J. Képler. La puissance de l'amour sans aucun intérêt de l'esprit saint et père androgyne de Jésus – le « Fils de l ‘Homme », se répandra désormais à travers l'univers du système solaire tout entier. Elle chassera et dissipera la force des ténèbres lucifériennes. Elle sauvera le monde des hommes pensant et moralement libre – les descendants de la Femme – Eve ( ou Celle – qui – a – croqué - avec – raison – la pomme – de – la – Connaissance – pour – que – ses – descendants – vivent – éternellement – et – ne – meurent – pas – idiots – comme – des Saints – Mystères ) à l'aube du III è millénaire.

Parmi les «morts qui nous parlent», il existait des messages venus des morts à âmes chrétiennes dont Verro et son expérience spirituelle de l'au-delà : « Il faut évidemment méditer, mais vous pouvez méditer des années et ne rien sentir . Il faut, je crois, avant tout, aimer car c'est l'amour qui est la voie royale qui conduit au divin. Il faut aimer et oublier tout le reste dans cet amour. Il faut laisser de côté tout ce qui n'est pas l'adoration mystique et incompréhensible que vous laisse justement sentir et percevoir le divin en vous. Il faut sentir cet amour vibrer jusqu'à ce que la joie vous inonde, vous identifier à cette joie et à cet amour, à tel point que vous ne soyez plus qu'amour et joie et qu'amour et joie soient vous-mêmes ! » ; « Ce n'est qu'aux âmes déjà bien avancées qu'est donné d'aimer l'impersonnel et l'incréé ». Pour être "bien avancée" dans le vrai sens du terme ici bas, l'âme d'une vie humaine ne pourra jamais visualiser jusqu'à aimer l'impersonnel et l'incréé . Il faudra forcément plusieurs vies ici-bas à l'âme humaine qui désire consciemment et librement aimer l'impersonnel et l'incréé qui s'est incrusté au tréfonds de l'âme humaine, individuelle, et éternelle.
Beaucoup de ces âmes chrétiennes peu avancées et issues des morts qui ne croyaient pas à la réincarnation, erraient ainsi en ce bas monde parmi leurs proches ou leurs objets fétiches ... De ce phénomène existentialiste des âmes, Georges Morranier, un jeune homme qui après une longue recherche intellectuelle et spirituelle, s'était aventuré tout seul dans le yoga royal  se faisait piéger par le "feu serpent" – le Kundalini  et avait fini par se suicider, témoigna auprès de sa mère par écriture automatique : « Dis toi bien que nous ne vivons pas "là-haut" dans un endroit indéterminé, mais que nous vivons avec vous, dans vos demeures » ; « Je voudrais t'expliquer ce que beaucoup de terrestres ne comprennent pas, c'est que nous vivons avec vous. Vous avez tellement l'habitude de répondre aux enfants qui s'inquiètent d'une personne décédée elle est dans le ciel, elle est près de Dieu, que vous nous croyez flottant dans l'atmosphère au milieu des nuages. Il faut revoir cette opinion. Nous vivons ici-bas et non là-haut. Nous vivons dans vos appartements et vos maisons, nous nous allongeons sur vos lits quand cela nous convient et quand vous n'y êtes pas ... Nous asseyons dans vos fauteuils ou sur vos chaises, et nous tenons de joyeux conciliabules surtout pendant que vous dormez, ce qui nous laisse toute liberté d'agir ... Nous vous écoutons discuter, nous vous regardons vivre avec une joie sans mélange ... Nous vous aidons par la pensée, parfois par une intervention inaperçue de vous, mais effective. C'est notre rôle, mais c'est aussi une véritable joie ...»

Malheureusement, à côté de ces bonnes âmes, il existe aussi beaucoup d'âmes démoniaques issus des morts nazis, Khmers rouges, tueurs – martyrs musulmans intégristes chiites khomeynistes , palestiniens , algériens ..., des chrétiens intégristes pétainistes    Ces âmes tueuses nées, bien ordonnées par l'âme suprême de leurs chefs diablement dictateurs, tels Hitler, Staline, Pol Pot  Pinochet  Khomeyni  Mao – Tse – Toung, etc. semaient ainsi des actes de tueries barbares parmi les jeunes skinheads allemands  les jeunes tueurs suicidaires palestiniens du Hamas  etc. Individuellement, toutes ces âmes devront rendre leur compte devant Dieu le Très Haut, surtout leurs chefs bien protégés ici-bas. Car, il est dit et écrit : « Toute âme ne fait des œuvres que pour son propre compte : aucune ne porte le fardeau d’un autre. Vous retournerez à votre Seigneur , qui vous déclarera ce sur quoi vous étiez en désaccord les uns avec les autres » ( Le CORAN , Sourate II, v. 164).

Un détail intéressant à savoir sur l'âme fantôme, c'est que selon Georges Morannier, si le corps spirituel : «... passe à travers les murs, les portes et tous les objets du monde terrestre, par contre et cela est curieux, il ne passe pas à travers les êtres vivants de la terre ...» . Ce phénomène est bien simple à comprendre, dans l'être vivant humain, il existe le troisième élément christique ou « l'esprit » . Le sanctuaire de cet esprit est le corps vivant de l'être humain . Malgré sa faible puissance, celui-ci interdit l'accès de son sanctuaire à l'âme fantôme. C'est une sorte de guerre de tranchée invisible entre l'esprit incarné et l'âme fantôme externe. Parfois cependant, si l'être vivant pense beaucoup au mort, l'âme fantôme du mort est attirée ; et l'âme incarnée du vivant fusionne alors l'âme du mort et souvent de façon dysharmonique et dont le résultat devient irrespirable pour la personne hantée et ses proches. Parfois la force commune de plusieurs âmes démoniaques arrive à chasser l'esprit de l'être vivant pour prendre le sanctuaire corporel de celui-ci . L'être vivant sans esprit sera fortement possédé (cas des personnes possédées), les exorcistes exaltent, menacent et chassent les âmes des démons à abandonner le combat et quitter le corps du possédé. Parfois, les âmes démoniaques acceptent d'abandonner le combat et ce sera la guérison avec le retour à l'état normal de la personne possédée ; mais parfois, par leurs rituels sadiques, nos exorcistes arrivent à vaincre les âmes démoniaques en commettant un acte meurtrier sur le corps du possédé, c'est ce qu'on appelle « le malade possédé est guéri mais mort ». A la mort de celui-ci, les âmes démoniaques se séparent de ce corps tout en enchaînant l'âme du possédé guéri mais mort à leur groupe. Leur force démoniaque augmente ainsi en intensité spirituelle pour aller chercher d'autres victimes ici-bas . Pourquoi cet enchaînement spirituel ? Tout simplement seule et isolée ,  l'âme errante souffrait énormément ; enchaînées ensemble , elles souffrent moins mais malheureusement, une fois enchaînées, ces âmes errantes lourdement chargées et puissantes avaient besoin d'exprimer leur existence à travers les phénomènes de la "Possession".

Le phénomène de séparation de l'âme et de l'esprit du corps mort pouvait être observé par certaines personnes dotées d'un don médiumnique extralucide. Le docteur Robert Crookall dans son ouvrage «Out of The body Experience» en donne une vingtaine d'exemples dont deux sont cités par K. Ring . Estelle Roberts décrivit ainsi la transition de son mari : « J'ai vu son esprit quitter le corps. Il est sorti par sa tête et s'est peu à peu modelé en une réplique exacte de son corps terrestre. Il est resté en suspension à environ trente centimètres au-dessus de son corps, étendu dans la même position horizontale et relevé à la tête par une corde. Puis la corde s'est brisée et la forme spirituelle s'est éloignée en flottant et a traversé le mur ».

L'autre récit provient d'un médecin du XX è siècle le docteur R.B. Hout qui nous décrit la mort de sa tante : « Mon attention fut attirée ... juste au-dessus de son corps physique, par quelque chose en suspension dans l'atmosphère à peu près à une soixantaine de centimètres au-dessus du lit. Je n'ai tout d'abord distingué rien de plus que le vague contour d'une substance brumeuse semblable à du brouillard. Il semblait n'y avoir là, en suspension, qu'une brume immobile. Mais comme je regardais, peu à peu cette vapeur inexplicable prit du volume, devint plus dense, compacte, et se condensa sous mes yeux. Puis je fus ahuri de voir se dessiner des contours précis pendant que cette substance brumeuse prenait une forme humaine. Je compris rapidement que je voyais un corps ressemblant au corps physique de ma tante ... Le corps astral (le terme est de Hout) restait en suspension horizontalement à moins d'un mètre au-dessus de sa contre partie physique ... j'ai continué de regarder et ... le corps de l'esprit (ce terme est aussi de Hout) me sembla devenu complet. Je distinguais nettement ses traits ils étaient similaires à ceux du visage physique mais rayonnant de paix et exprimaient la vigueur au lieu de la vieillesse et de la douleur. Les yeux étaient fermés comme sur un sommeil paisible et une luminosité paraissait irradier du corps de l'esprit .
"Tandis que j'observais le corps de l'esprit en suspension, mon attention fut attirée, de nouveau intuitivement, par une substance argentée qui ruisselait de la tête du corps physique vers celle de l'esprit du double. Puis je vis la corde de liaison entre les deux corps. Et, tout en regardant, je me disais intérieurement, la corde d'argent! J'en comprenais la signification pour la première fois. Cette corde d'argent était le lien de connexion entre les corps physique et spirituel, de même que le cordon ombilical unit l'enfant à sa mère... La corde était attachée après chacun des corps à la protubérance occipitale, juste à la base du crâne. A son point de liaison avec le corps physique, elle s'épanouissait en éventail et de nombreuses brindilles séparées se rattachaient séparément à la base du crâne. Mais, en dehors de ses points d'attache, la corde était ronde et d'un diamètre d'environ deux centimètres et demi. Sa couleur était celle d'un rayonnement lumineux translucide et argenté. Elle semblait vibrer sous l'effet d'une énergie intense. Je voyais des pulsations lumineuses la parcourir depuis le corps physique en direction de l'esprit du double. A chaque pulsation, le corps de l'esprit prenait vigueur et densité tandis que le corps physique paraissait plus apaisé et inerte ... A ce moment, les traits devinrent très distincts. Toute la vie se trouvait dans le corps astral ... les pulsations de la corde s'étaient arrêtées ... Je regardais les brindilles de la corde qui s'ouvraient en éventail à la base du crâne. Chacune d'elles claqua ... la séparation finale était imminente . Un double processus de mort et de naissance allait s'ensuivre ... la dernière brindille de connexion de la corde d'argent craqua et le corps de l'esprit fut libre.
"Le corps de l'esprit, qui se trouvait jusque là en lévitation (étendu sur le dos) se redressa ... les yeux fermés s'ouvrirent et un sourire éclaira les traits rayonnants, elle m'adressa un sourire d'adieu et disparut. J'ai été témoin du phénomène ci-dessus comme d'une réalité entièrement objective. J'ai vu les formes de l'esprit par mon regard physique. »

Grâce à son « don » médiumnique extralucide ou le sixième sens, le docteur Hout a pu voir avec ses yeux physiologiques le monde de l'esprit frontière entre « vie incarnée » et « vie désincarnée ». Il décrivit avec talent la reconstitution étape par étape « l'arbre de la vie éternelle » échappant ainsi de la carcasse osseuse de sa tante tel un papillon, sortant du cocon de soie de la chrysalide.

Techniquement parlant, comment faire pour communiquer avec le monde inaudible de l'au-delà et le rendre audible. François Brune nous cite les expériences de Jürgenson et Raudive (pionniers de l'enregistrement de la voix des morts). L'histoire de Jürgenson, peintre et chanteur nordique, a commencé le 12 juin 1959 dans les environs de Stockholm. Ayant entrepris d'enregistrer des chants d'oiseaux, il a eu la surprise d'entendre des voix qui voulaient lui parler (voix d'homme parlant norvégien). Plus tard, il enregistra d'autres voix. Le sachant polyglotte, les voix mêlaient dans la même phrase des mots de toutes les langues, lors d'une émission de radio, elles cherchaient à se faire reconnaître par tous les moyens. « Ce qui se produisait ici, se répétait quotidiennement et se précisait lentement, écrit Jürgenson, avait la force explosive de la pure vérité qui s'appuie sur des faits. C'était la vérité, la réalité qui allait peut-être déchirer en mille lambeaux le rideau de l'au-delà et, du même coup, réconcilier ce monde ci avec l'autre en jetant un pont au-dessus de l'abîme. Il ne s'agissait en aucun cas de sensationnel. J'étais seulement chargé de cette tâche, grande mais difficile, de la construction de ce pont entre l'ici-bas et l'au-delà . Si je me montrais à la hauteur, alors peut-être, l'énigme de la mort serait résolue par la technique et la physique.»
Pour se convaincre Jürgenson commença à s'entourer de témoins et de collaborateurs pour continuer ses expériences. Ce furent d'abord le parapsychologue suédois J. Björkhem et Arne Weisse de la radio suédoise avec cinq autres observateurs, cette première en public fut en partie enregistrée plus tard sur le disque qui accompagnait l'ouvrage de Jürgenson . Dès 1963, il travaille avec l'institut de parapsychologie de l'université de Fribourg, dirigé par Hans Bender; puis ensuite avec le Deutsches institut für Feldphysik à Northeim et l'institut Max Planck à Munich .
L'histoire de Constantin Raudive était aussi curieuse et fortuite que celle de Jürgenson. Né en Lettonie en 1909, il quitte son pays à l'âge de 21 ans. Après des études à Paris, Salamanque, Londres et un long séjour en Espagne, il se fixa définitivement en 1944 à Upsal. Polyglotte, grand traducteur de littérature espagnole en letton, c'était aussi un romancier et un philosophe profondément spiritualiste. Il était hanté par le drame du chaos tragique qui avait submergé l'Europe .Comme Jürgenson, c'est tout à fait par hasard qu'il découvrit cette possibilité fantastique de communiquer avec les trépassés. Vers la fin de 1964, il fut obligé de sortir de chez lui à l'improviste ... quand il fut de retour, il s'aperçut qu'il avait laissé son magnétophone en marche. Il voulait écouter le début de la bande ... Soudain, il eut la stupéfaction d'entendre: «Kosti, Kosti! ...» c'était la voix de sa mère qui l'appelait en lui donnant, comme la mère de Jürgenson l'avait fait pour son fils, le diminutif affectueux de jadis» Ayant entendu parler des expériences de Jürgenson dès 1965, il l'invita aussitôt à Upsal où ils purent confronter leurs résultats. Dès lors, jusqu'à sa mort, en septembre 1974, Raudive ne cessa d'enregistrer. Jean Prieur nous affirme qu'il capta ainsi plus de 70000 voix.
Mais Raudive eut toujours le souci d'améliorer ses méthodes et de faire vérifier son travail. Il fut en relation avec le physicien Suisse Alex Schneider, avec le théologien catholique Gebhard Frei, le prélat Ptleger, les techniciens de radio et de télévision Théodor Rudolph et Norbert Unger. En 1969, il publiait un livre intitulé «Unhörbares wird hörbar» (L'inaudible devient audible).
François Brune, par ses recherches a pu entrer en contact avec des nouveaux amis H.F. à Luxembourg . Avant d'accepter de le recevoir, ceux-ci ont d'abord consulté leurs correspondants habituels dans l'au-delà, à savoir Constantin Raudive, qui aujourd'hui, de l'autre côté, il n'a pas abandonné sa vieille passion . "Raudive mort" poursuit patiemment la même œuvre, dans le même dessein spirituel, pensant que cette communication avec l'au-delà finira par changer un peu nos cœurs et donc, notre ici-bas. Il soutient les recherches de plusieurs groupes à travers le monde, et notamment de ce couple J.F. luxembourgeois et de leur ami J-P S. ingénieur à Luxembourg.
Un autre interlocuteur intervient aussi régulièrement, quelqu'un qui affirme n'avoir jamais vécu sur notre planète, n'avoir jamais été incarné. Comme le couple H.F. l'avait un jour pressé de se présenter, il refusa de leur donner un nom, mais leur dit, très poétiquement : « Je suis comme l'un de ceux qui, invisibles, suivent les petits enfants quand ils passent sur le pont » . Il ajouta : «Vous pouvez m'appeler le Technicien, le Bibliothécaire, l'Archiviste. Je suis un peu tout cela pour la planète Terre » . De fait, c'est surtout le «Technicien» qui leur a donné les conseils nécessaires pour améliorer la communication. Il fit peu à peu faire au couple Luxembourgeois, une série d'appareils capables de fournir des ondes de toutes les longueurs. Il les a aussi guidés pour la position de ces appareils. Il précise parfois la place de chacun des participants doit occuper dans une pièce consacrée aux communications. C'est un vrai petit laboratoire aujourd'hui; avec des lampes à ultraviolet, un clignotant, un appareil émettant des ondes à haute fréquence, un téléviseur noir et blanc branché sur un écran blanc avec bruit de fond, un petit poste de radio, très important ce poste car c'est par lui que nous entendons les voix de l'au-delà en direct. Par ses conseils techniques communicatifs, le «Technicien» spirituellement ressemble énormément à Enki le Prince (un des trois grands dieux Sumériens antiques, voir le chapitre précédent). Le «Technicien» dont l'âme vibratoire parlante d'essence pure de l'au-delà devait être la doublure de l'esprit du prince Enki ou son ombre doublure céleste jamais incarné ici-bas. L'âme céleste du «Technicien» a été créée par les prêtres et autres scriptes initiés de l'antique Sumer . Elle archivait et enregistrait systématiquement toutes les pensées vibratoires actives du monde des esprits incarnés – celui d’Alpha christ, etc. et ceux désincarnées des différents mondes environnants proches ou lointain de la terre, mais faisant partie intégrante de l ‘Univers du système solaire.

En cette fin XX è siècle, le monde céleste et divin se met à la même longueur d'onde vibratoire avec celui terrestre . F. Brune a pu ainsi entendre la voix radiophonique du «Technicien» chez ses deux amis Luxembourgeois. D'abord en allemand ; plus aiguë, plus rapide et plus hachée groupant les mots. Soit enfin une longue citation de Saint Paul un des grands textes de l'écriture sur la Résurrection «Première Epître aux corinthiens, annonce le «Technicien», chapitre XV, verset 35-45 : « Mais quelqu'un dira : comment les morts ressuscitent-ils ? Et avec quels corps reviennent-ils ? Insensé ! Ce que tu sèmes ne reprend pas vie si d'abord il ne meurt ... Toute chair n'est pas la même chair, mais autre est la chair des hommes, autre celle des oiseaux, autre celle des poissons. Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres. Mais l'éclat des corps célestes est différents de celui des corps terrestres. Autre est l'éclat du soleil, autre l'éclat de la lune, autre l'éclat des étoiles. Et même, une étoile diffère en éclat avec une autre étoile. Il en est ainsi de la résurrection des morts. Le corps sème dans la corruption, ressuscite dans l 'in corruption. Il est semé dans le mépris, il ressuscite dans la gloire. Il est semé dans l'infirmité, il ressuscite dans la force. Il est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il ressuscite corps spirituel ». Puis le «Technicien» ajoute une citation de l'Epître de Saint Jacques, ch. I, verset 12: «Heureux l'homme qui endure la tentation, car, après qu'il aura été mis à l'épreuve, il recevra la couronne de vie que Dieu a promise à ceux qui L'adorent.» Enfin, la voix grave et lente de Raudive reprend : « Chers amis, quelle preuve pourrions-nous vous donner que nous ne cherchons pas à vous duper ? Aucune, sinon la certitude intime, absolue, d'un rapprochement, d'un échange, d'un toucher de l'âme. Chers amis, à moi-même, il m'a fallu de longues, voire de hautes luttes pour consentir à me mettre à l'unisson de cette présence que je sentais aux frontières de moi-même, à l'écoute de cette voix qui cherchait à pénétrer jusqu'à ma conscience. Alors, j'ai appelé et il m'a été répondu. Chers amis, vous entendez des voix. A vous d'en faire ce que vous jugez nécessaire » .

Pourquoi ces entités de l'au-delà tricheraient-elles ? Ici-bas, tous les chefs dictateurs, politiques, religieux, militaires ou civils, trichent avec leur art rhétorique et leurs promesses non tenues.
Le 24 janvier 1967, le couple Luxembourgeois en présence d'autres personnes, avait demandé au «Technicien» de prendre position sur la question du « Péché Originel ». Voici sa réponse: « La plus grande partie de ce que l'on raconte sur ce sujet ne correspond pas à la vérité . Il n'est pas vrai que l'homme doit regagner quelque chose qu'il aurait perdu. Les hommes n'ont rien perdu. Ils sont sur la voie de l'évolution. Il n'y a pas de chute loin de "Dieu"; les hommes sont au contraire en train de devenir ce qu'ils appellent des "dieux", c'est-à-dire l'idéal qu'ils atteindront un jour ».
Cette réponse doit faire sursauter les hauts dignitaires dogmatiques purs et durs de l'église catholique romaine. Leur verrou basal, Nouveau Testament, et leur enseignement sur le Péché Originel d'Eve sont explosés d'un coup. François Brune, théologien, par contre, admet avec circonspection, en écrivant ceci : « Je dois préciser en tant que théologien, ce texte n'a rien pour me choquer. Dès le IV è siècle, Saint Grégoire de Nysse pensait que le Paradis terrestre n'avait jamais vraiment existé; qu'il n'était que l'expression imagée d'un état de bonheur que l'homme aurait pu atteindre s'il ne s'était pas éloigné de Dieu. Mais le «Technicien» va ici plus loin dans un sens très Teilhardien où je ne le suivrais pas. ».
Le 9 novembre 1989, nouveaux messages du «Technicien» : «Les hommes de la planète Terre sont venus d'un autre monde appelé «Eden». Quand les hommes sur terre meurent, leur âme retourne sur l'Eden (appelé aussi Mardouk) ». L'Eden ou le royaume de Mardouk se situa au niveau du V è Ciel avec Adam et Eve Protoplasme. Ce royaume a été mis sens dessus dessous avec le combat titanesque entre Satan et Yéoshua - l’Eternel, l ' « Enfant Dieu » ou « Mardouk », avec la victoire sans meurtre de celui-ci. L'existence de Mardouk ( # Marduk) est confirmé dans «Mythes et Rites de Babylone» (p. 113 - 162 ) sous le titre « L'épopée de la Création ou les Hauts Faits de Marduk et son Sacre », des textes cunéiformes épars, retrouvés et exhumés à Assur sont traduits par les assyriologues concernant la glorification de Marduk. De lui, il est écrit : « Là même, il établit sa chambre nuptiale, où Ea, avec Damkina, son épouse, siégèrent en majesté, dans ce sanctuaire aux destins, cette chapelle aux sorts, fut procréé le plus intelligent, le sage des Dieux, le Seigneur: au milieu de l'Apsu le mit au monde Ea son père, et accoucha de lui. Sa mère Damkin . Il ne téta jamais que mamelles divines : la nourrice qui l'élevait le fit s'emplir d'une vitalité formidable. Sa nature était débordante ; son regard fulgurant; il était homme fait de naissance en pleine force dès l'origine. » Marduk était donc le fils de Dieu Ea/Enki et la dame Damkina. Sa morphologie divino humaine exalte le monde divin et céleste du niveau V è ciel : « Ses formes sont inouïes, admirables : impossibles à regarder. Quatre sont ses yeux, et quatre ses oreilles. Lorsqu'il remue les lèvres, le feu flamboie ! Quatre oreilles lui ont poussé, et ses yeux, en pareil nombre, inspectent l'univers ! C'est le plus haut des Dieux, suréminent par sa stature : sa membrure est grandiose il est suréminent de naissance ! Mon enfant est un Utu (soleil) !... Le vrai soleil des Dieux ! Il est enveloppé de l'état surnaturel de dix dieux, il en est subliment couronné et cinquante rayonnements terrifiants sont accumulés sur lui »
La poussière biblique a été créée par Marduk. Il est écrit : « Et Marduk fabriqua la poussière qu'il fit emporter par la tempête; et, ayant provoqué la houle, il troubla Tiamat.» Dans son royaume, il exista le Haut et le Bas . Le monde créé du Haut perturba énormément le monde du Bas supportant très mal les bruits incessants venus du Haut. Les dieux fils de Tiamat supportaient très mal les coups de vent venus du Haut. Il est écrit : «Nuit et jour s'agitaient et ses dieux sans relâche supportant les coups de vent ayant donc machiné du mal en leur esprit à Tiamat, leur mère: «Lorsqu'on a mis à mort  Apsu ton époux, tu ne l'as pas assisté tu es resté muette! Et maintenant Anu ayant produit ces quatre vents terribles ton intérieur est grandement troublé et nous ne dormons plus ! » De ces quatre vents pour le Bas il est écrit : « Anu produisit alors et mit au jour les Quatre vents qu'il offrit à Marduk afin que mon enfant s'en amuse ! »
Marduk s'en amuse avec de la poussière qu'il a fabriquée, d'où le monde houleux instable de ce monde. Ce fait troublant provoqua la guerre entre le Haut et le Bas. D'autres dieux comploteurs allaient mettre leurs langues de vipères pour déclencher la guerre. Il est écrit : « Or, d'autres dieux étaient venus là dedans qui avaient aussi conçu du mal contre les dieux leur progéniture ! Dressés en cercle auprès de Tiamat, furibonds, complotant sans relâche, nuit et jour, se poussant au combat trépignant enragés, ils tinrent un conseil pour machiner la guerre. » Pour être en paix, les dieux comploteurs meurtriers d 'Alla préparaient la guerre avec Tiamat - la mère Abîme, il est écrit : « La Mère Abîme, qui avait tout formé; s'accumula des armes irrésistibles (...) Après quoi, parmi les dieux, ses rejetons, qui avaient tenu conseil avec elle, elle exalta Quingu, lui conférant, entre eux, le plus haut rang, la marche en tête de l'armée, la direction du conseil de guerre, le lever d'arme pour l'engagement, la conduite de la bataille l'autorité sur les combattants : Elle lui mit tout cela en main et elle l'installa sur le siège d'honneur, disant «J'ai proféré pour toi la formule et je t'ai fait prépondérant en l'Assemblée des dieux; je t'ai offert la principauté sur eux tous! Sois le plus grand ! Sois mon époux unique ! Qu'on exalte ton nom sur tous les Anunnaki !» Et elle lui remit la tablette aux destins, qu'elle fixa sur sa poitrine: «Qu'irrévocable soit ton ordre! Que ta parole se réalise ! » . L'armée du Bas allait ainsi affronter celle du Haut, bien dirigée par Marduk. Le pouvoir céleste de Marduk est résumé dans ce texte : « Ils lui édifièrent l'estrade royale sur laquelle, face à ses pères, il s'installa en monarque. Toi seul (lui disaient-ils) tu prédomines parmi les grands dieux ! Ton destin est inégalé, ton commandement souverain ! O Marduk, seul, tu prédomines parmi les grands dieux ! (...) Dorénavant irrévocables seront tes ordres ! Elever ou rabaisser sera en ton pouvoir ! Ce qui te sort de la bouche se réalisera, ton commandement ne sera jamais trompeur ! Nul, parmi les dieux n'outrepassera tes bornes ! Et comme nos lieux de culte ont besoin d'un curateur, tu auras la place assignée en tous nos sanctuaires ! O Marduk, à toi seul, notre vengeur, nous avons conféré la royauté sur la totalité de l'univers entier ! Ta parole l'emportera lorsque tu siégeras en l'assemblée, et tes armes, infailliblement, mettront tes ennemis en pièces ! O Seigneur sauve la vie de ceux qui se confient à toi, mais de quiconque a conçu le mal, verse le sang !» Ayant alors suscité au milieu d'eux une constellation unique, ils adressèrent ces mots à Marduk, leur rejeton : «Si ton destin, Seigneur, contrebalance en effet celui des autres dieux, ordonne que se réalisent disparition puis réapparition ! Un mot de ta bouche, et que cette constellation disparaisse; et derechef, un ordre, et qu'elle se retrouve intacte !» D'un mot, il commanda, et la constellation disparut; puis, il donna un nouvel ordre, et la constellation fut reformée ! Lorsque les dieux, ses pères, eurent constaté l'effet de ce qui lui sortait de la bouche, ils le saluèrent allègrement: «Marduk, seul est le roi ! Et lui remirent à la suite sceptre, trône et bâton royal. »

Un contraste conceptuel extrême séparait ainsi le monde de l'abîme où la force brute, physique se prévalait avec Tiamat qui choisit au hasard parmi ses rejetons, Quingu, celui qui avait du muscle pour diriger son armée du Bas. Le monde du Haut a choisi et testé la capacité du «Verbe» de Marduk, le roi céleste .
Un combat titanesque et féroce s'est déroulé entre les deux armées Haut et Bas. Les hommes de ce monde n'étaient que des minus, peureux serviteurs des grands et petits dieux. Ils étaient ahuris d'assister à ce combat du monde des dieux jusqu'à oublier leur condition de vie esclaves des dieux et rêver d'être forts comme eux. De ces rêves humains, nous avons créé Superman, Batman, Hercule, Goldorak ou encore les Power Rangers entre autres. Tous ces personnages existent réellement en ce moment dans le Haut monde. Ils sont en train de casser les monstres forces du mal venus du monde de l'abîme . Leurs combats titanesques se répercutent jusqu'en ce Bas monde. D'où des conflits meurtriers d'hommes marionnettes ici bas.
Comme dans toute histoire écrite sacrée ou non, la force du Bien gagne toujours sur celle du Mal. La victoire finale revint à Marduk et à son armée céleste. La gloire pacificatrice de Marduk se répandit partout à travers l'univers. Ce fait historique est bien archivé par le «Technicien», le correspondant de l'au-delà du couple Luxembourgeois. Marduk a ramené ainsi la paix universelle dans son royaume. Il est glorifié de partout. Il est écrit : « Qu'il soit seul notre dieu ! Epelons donc ses cinquante noms pour démontrer la gloire de sa personne, et pareillement de ses œuvres ! ». Ainsi pour éviter de perturber et bien aérer son royaume, Marduk continua l'œuvre de son père Ea/Enki en créant l'humanité docile occupant des tâches de ménage. Celle-ci a été créée pour travailler et embellir la terre ou le Bas monde à la place des dieux contestataires et comploteurs.

L'histoire écrite et sacrée de l'humanité continue avec Yahvé/El, Dieu d'Israël et des Armées célestes anti - esclavagiste qui cherchait à libérer l'humanité, peuple d'Abraham, du joug de l'esclavage des dieux pharaoniques. Les textes sacrés nous racontent la Genèse de l'origine du monde avec le couple Adam et Eve (voir chapitre correspondant ).

Par leur expérience spirituelle personnelle pure dans le monde dit de l'au-delà, «les morts chrétiens qui parlent» nous interpellent et nous incitent à «apprendre» et à «aimer autrui». Ils nous affirment que «le royaume de Dieu est en nous humains». Le dualisme naturel et taoïste nous enseigne de prendre et suivre la voie du Tao pour dompter et harmoniser les deux forces extrêmes dualistes complémentaires en nous. Cette voie du Tao amènera l'homme au monde de l'immortalité de l 'âme humaine, incréée en le "Grand - Humain" que fut Adam - Kadmon, l'"Homme célesto - primordial et Androgyne ", qui parvient quand même à se scinder en deux "êtres - individus" distincts, sexuellement opposés mais complémentaires, donc la Femme (ou Eve ). De la "Femme de la Fin des temps", il est dit et écrit ( Le Livre des Prophéties, de Jean de Jérusalem , Ed. J-C  Lattès , 1994 ) :
"Lorsque ce sera le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L'homme ne sera plus le seul suzerain
car la Femme viendra saisir le sceptre
Elle sera la grande maîtresse des temps futurs
Et ce qu 'elle pensera elle l 'imposera aux hommes
Elle sera la Mère de cet An Mille qui vient après l 'An Mille
Elle répandra la douceur tiède de la Mère après les jours du Diable
Elle sera la beauté après la laideur des temps barbares
L 'An Mille qui vient après l 'An Mille se changera en temps léger
On aimera et on partagera
On rêvera et on enfantera les rêves "

Quant à la naissance du "Grand Humain", l' "Homme Céleste - Primordial et Androgyne" (Adam - Kadmon), Jean de Jérusalem prophétise en ces termes :
"Lorsque ce sera  le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
Les hommes auront enfin ouvert les yeux
Ils ne seront plus enfermés dans leurs têtes ou dans leurs cités
Ils se verront et s 'entendront d 'un point à l 'autre de la terre
Ils sauront que ce qui frappe l 'un blesse l 'autre
Les hommes formeront comme un grand corps unique
Dont chacun d 'eux sera une part infime
Et ils constitueront ensemble le cœur
Et il y aura une langue qui sera parlée par tous
Et il naîtra ainsi, enfin le Grand Humain."

Concernant l'HOMME, le "Grand Humain", de la bouche de l'Ange même, nous apprenons ceci ( Dialogues avec l'Ange) :
"La connaissance de l'homme - elle n'existe pas encore.
Car l'HOMME n'est pas encore.
L ' HOMME EST TELLEMENT GRAND
QUE MOI NON PLUS,
JE NE LE VOIS PAS ENCORE."

Les multitudes courants - fleuves de connaissances scientifiques, spirituelles et universelles de l'humanité - « Grand Humain » déversent et transcendent ainsi en une vibration houleuse continue d'idées bien ordonnées, non chaotiques pour être harmonieusement fusionnée à la source originelle de la pensée de Dieu Eternel, le Sans Nom, pour former les contenus denses et définitifs du Livre Unique de l'Espace Immanent et Eternel de l'univers cosmique et planétaire incréés.

Tout comme Erasme qui écrit : « On ne naît pas homme, on le devient », je peux affirmer sans risque de me tromper : « On ne naît pas homme et femme, on le devient ». Le Père Céleste de l 'humanité (Adam- Kadmon) vient de naître intégralement à la fin de son ère, c'est à dire à la fin des 6000 ans de l'ère adamique, en même temps que sa part féminine en "Eve", la Mère de l'Humanité, la "Grande Maîtresse des temps futurs". De cette Résurrection à deux, en couple humain uni et amoureux, pour la vie éternelle, Drewermann l 'a bien compris en écrivant ceci : « Seul l 'Amour croît en l 'Immortalité. Cela nous ne pouvons l'apprendre qu'aux côtés d 'une personne qui nous aime comme nous l'aimons. On ne peux accéder, au ciel qu'à deux ( .....) " ( Sermon pour le temps Pascal, p. 94 ).

Je vous livre ici, une petite conversation entre ces deux "êtres humains divinement amoureux l 'un et l 'autre", le couple ancêtre de l 'humanité terrienne, très jeune d'esprit , d 'âme et de cœur, grâce à leur amour sans borne pour Yéoshua - l'ETERNEL, enfin libérés de tous les péchés de leurs parents ascendants. La Femme (Eve) dit à l 'Homme (Adam) à la sortie de leur monde "Lumière incréée et sans péché", mais "coffré" : « J'ai voulu comme toi retourner tout simplement dans le mutisme et le calme de notre monde d'autistes digne et pas hypocrite; c'est totalement fatiguant dans le monde normal des personnes. Je ne peux pas vivre sans les gestes sots habituels dans nos mondes des bêtises ; mais j'ai l'espoir de devenir réellement comme un être normal parce que je ne supporte plus la vie d'un être coffré. En ce moment, j'examine toutes les possibilités pour savoir comment nous pouvons ressortir de notre monde uniforme de valeurs et d'êtres.» ( Birger Sellin ).

Enfin, pour finir, en commun accord avec les Etres de Lumière – pensants – et - vivants du monde d'en haut, c’est-à-dire de l’autre côté du miroir – « Lumière sans ombre » pur d’esprit « Ayn – Soph – Aur », celui de la Vie - Félicité éternelle, j'affirme avec preuve écrite et expérimentale à l'appui , l'existence de la réincarnation spirituelle en ce bas monde. La Bible ne nous a - t - elle pas dit que Noé a vécu 600 ans sur terre ? ( Son âme fut bien incarnée Six fois sur terre ). De cette notion, "une âme humaine et plusieurs vies incarnées terrestres" (ou la Métempsycose des brahmanistes, des bouddhistes, des Pythagoriciens, des Cathares, des Druses libanais, etc..), il fut dit et écrit par Jean de Jérusalem en ces termes :
"Lorsque ce sera le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
L ' homme saura que tous les vivants sont porteurs de lumière
Et qu'ils sont créatures à respecter
Il aura construire les nouvelles cités
Dans le ciel sur la terre et sur la mer
Il aura la mémoire de ce qui fut
Et il saura lire ce qui sera
Il n'aura plus peur de sa propre mort
Car il aura dans sa vie vécu plusieurs vies
Et la Lumière, il le saura, ne sera jamais éteinte
."
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Dernière mise à jour le mardi 15 février 2000
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Textes, dessins et photos restent la propriété de l'auteur, le docteur DANG T. L., être humain authentique et trilogique, profane, médecin, laïc, père de famille et croyant, sous l'inspiration de l'Esprit Saint de l'Eternel "Sans Nom", Y.H.W.H., le Très Haut (Mai 1991)