Livre I - chapitre 4
Accueil ] Remonter ] Préface ] Table des matières ] Bibliographie ]

LIVRE I - CHAPITRE 4

LE SEIGNEUR ETERNEL, DIEU DE MISERICORDE ET D'AMOUR, LE "TRES - HAUT  ET MAHOMET, SON DERNIER PROPHETE TERRIEN

Après l'échec de "Jésus-Christ" ,le Crucifié en l'an 33 de l'ère chrétienne, le Très Haut, Seigneur Eternel se manifesta au nom d'Allah. IL chercha à faire parvenir à l'humanité croyant en Lui d'autres signes, messages par l'entremise de l'Archange Gabriel. Le nom d'Allah existait bien avant la Bible hébraïque. IL fut l'ancêtre du monde des Dieux sumérien -akkadiens, donc la Triade des Grands Dieux "Anu, Enlil et Ea/Enki" .De Alla (ou plutôt "deux Alla", symbole de l'Esprit céleste – primordial – androgyne), il est écrit : "Alla créa Anu ;
Anu créa l'ensemble du Ciel ;
le Ciel créa l'ensemble de la Terre,
et la Terre créa le Ver
"
(Texte retrouvé dans les débris d'un traité contre les maux dentaires, une version très abrégée de Mythes et rites de Babylone, de Jean Bottéro, p.282).
Le "Ver" de ce texte sacré sumérien est analogue au "petit Ver" des Dialogues avec l'ange. En effet, il est écrit :
"Sont venus d'autres temps, est venu le Savoir .
La plus belle pomme, le plus beau fruit, le plus beau blé,
c'est l'homme qui les mange maintenant.
Il peint en rouge le fruit véreux et l'expose,
afin que tous voient que lui, il donne à Dieu.
Mais le Petit Ver , enfant de Dieu, dans la pomme abîmée,
perce la couche peinte et rend visible la supercherie.
La pierre, le vent, l'eau, le feu, la plante, l'animal,
tous accusent l'homme,
car il peint la Terre en Rouge, et c'est du Sang
".
Allah jeta ainsi son dévolu sur l'un des descendants d'Ismaël, fils d'Abraham. Les Ismaélites sont  des arabes tertiaires. Ils se sont établis dans le Hedjaz (Arabie déserte). C'est à cette race qu'appartiennent les arabes établis depuis un temps immémorial autour de la Mecque et en particulier la famille des Koraïchites, au sein de laquelle naquit Mohammed (ou Mahomet). Bien que les Arabes aient de tout temps apporté le plus grand soin à conserver leur généalogie , tous les efforts des historiens arabes ont été infructueux pour établir la descendance directe depuis Ismaël jusqu'à Mahomet , à travers l'espace d'une vingtaine de siècles ; mais on s'accorde généralement sur sa généalogie jusqu'à Adn an , qui passe pour un descendant d'Ismaël .En comptant la moyenne de 33 ans par génération, on arrive à fixer l'époque d'Agnan à environ cent trente ans avant J.C. en sorte qu'il ne resterait que quelques noms mentionnés par les historiens pour remplir tout le temps écoulé entre Ismaël, fils d'Abraham, et Agnan, personnage si voisin de notre ère.
D'après la tradition, Mahomet aurait dit "Je suis né sous le règne du roi Juste" (le célèbre Kesra Anouchirvan ou Cosroës le Grand) vers 570 après J.-C.. Des phénomènes surnaturels se produisirent au moment de la naissance du futur prophète des arabes et le dernier du Seigneur :
- le palais des Cosroës à Crésiphon s'ébranla et 14 de ses tours s'écroulèrent.
- le feu sacré des Pyrées s'éteignit malgré la surveillance incessante des mages.
- le lac de Sawa se dessécha.
- le Grand Moubed des perses rêva l'envahissement de la Perse par les chameaux et chevaux arabes.
- Amina, la mère de Mahomet raconte à son beau-père que pendant sa grossesse elle avait rêvé qu'une lumière extraordinaire se répandait de son sein pour illuminer le monde.
- enfin Abdel Mottaleb (grand-père de Mahomet) en venant un jour voir son petit fils, s'aperçut avec étonnement qu'il était né circoncis.
L'enfant, nommé Mohammed, par son grand-père (il fut le premier qui porta ce nom parmi les arabes), fut confié par sa mère à une nourrice bédouine, Halima, qui l'emporta au milieu de sa tribu dans le désert. A 25 ans, Mohammed se chargea d'un voyage commercial en Syrie pour le compte d'une riche veuve, Khadîdja, fille de Khoweïlid, issu comme Mohammed de Kossaï. Khalidja offrit sa main à Mohammed. De ce mariage, Mohammed eut un fils qu'il nomma El-Kacim. Il eut encore deux autres fils qui moururent tous en bas âge et quatre filles de Khadîdja à 40 ans, Mahomet se sentit appelé à prêcher aux arabes une nouvelle religion. De son temps, la race arabe ne formait pas une seule nation ; les Perses et les romains exerçaient une souveraineté, en grande partie nominale, sur les tribus arabes les plus rapprochées des provinces de la Perse et de l ‘Empire Romain ; les arabes du désert vivaient dans une indépendance complète et sans aucun centre d'autorité nationale. Ils ne professaient pas non plus tous la même religion ; la religion chrétienne s'était répandu parmi les arabes des villes, quelques tribus également établis dans les villes professaient la religion de Moïse, telles étaient les tribus de Koraïzan, de Nadhir habitant à Yathrib (Médine) et à Khaïber ; mais l'immense majorité des arabes était vouée à l'idolâtrie.
La Kaaba passait pour avoir été jadis le séjour d'Abraham et du culte unitaire, était devenu le centre de tous les arabes idolâtres ; chaque tribu avait une divinité, une idole particulière. Les arabes du désert ne connaissaient donc d'autres occupations que la guerre et d'autres histoires que celle de leurs généalogies poussiéreuses. Les jeux de hasard, l'usage immodéré du vin, la polygamie commune à tous les peuples de race sémitique, les mariages réputés incestueux, les commerces de la galanterie, les vengeances personnelles dégénéraient souvent en guerres acharnées entre les tribus entières, l'usage d'enterrer les filles vivantes pour se débarrasser d'autant de bouches inutiles en temps de disette, le brigandage et la rapine s'alliant souvent à l'hospitalisation et à un dehors de générosité, tels étaient les passions et les usages des arabes du temps de Mahomet.
Sérieux et porté naturellement à la méditation, Mahomet errait souvent dans les ravins voisins de la Mecque, dominé déjà par l'idée que Dieu lui parlerait du sein d'une montagne comme à Moïse, dont il avait entendu parler pendant son voyage en Syrie ou dans ses entretiens avec les juifs et les chrétiens ou encore avec un arabe versé dans les Ecritures, Waraka, fils de Nowfal, cousin de Khadîdja Il avait l'habitude de passer dans la retraite le mois de Ramadan sur la montagne de Hira, voisine de la Mecque. Une nuit, décembre à janvier de l'an 661 après J.-C., Mahomet revint et raconta à Khadîdja : "Je dormais profondément lorsqu'un ange m'apparut en songe, il tenait à la main une pièce d'étoffe de soie couverte de caractères d'écritures ; il me la présenta en disant :
Lis ! Que lirais-je ? Lui demandais-je. Il m'enveloppa dans cette étoffe et répéta : Lis : Au Nom de Dieu qui a crée toute chose, qui a crée l'homme du sang coagulé, Lui, par le nom de Ton Seigneur qui est généreux .C'est Lui qui a enseigné l'écriture, Il a appris à l'homme ce qu'il ne savait pas. Je prononçais ce mot après l'ange et il s'éloigna ; je m'éveillais et je sortis pour aller sur le penchant de la montagne. Là, j'entendit au dessus de ma tête une voix qui me disait :"Oh Mohammed , tu es l'envoyé de Dieu et je suis Gabriel . Je levais les yeux et j'aperçut l'ange ; je demeurais immobile, le regards fixé sur lui jusqu'à ce qu'il disparaisse.".
Depuis ce temps, Mahomet, rentré à La Mecque, recevait sans cesse des révélations de Dieu par l'entremise de l'Ange Gabriel (Djebreil) . La première chose que l'ange lui enseigna fut la prière précédée d'ablutions.
C'est sur un ordre positif de Dieu que Mahomet commença à prêcher ouvertement sa religion. Ses premières prédications n'excitaient d'abord que des plaisanteries et des rires ; sa persévérance, son importunité, sa hardiesse à prêcher la destruction des idoles donnèrent lieu bientôt de la part des arabes à des insultes contre lesquelles il fut cependant protégées par ses oncles, bien  qu'ils n'eussent pas encore embrassé l'Islam. On le menaçait de mort, quelque fois la foule ameutée le poursuivait par des cris, par des huées, on le traitait de menteur, de fou, d'imposteur, de possédé. Mahomet, toujours refoulé dans sa ville natale se rendit à Taïf, ville rivale de La Mecque mais ses prédications y rencontraient tout autant d'oppositions, d'insultes et de haine. Mahomet retourna à La Mecque et mit plus de réserve dans sa conduite. Il ne prêcha plus en public et s'abstient d'insulter et de railler les idoles mais, son séjour à La Mecque devenait insupportable à la mort d'Abou Talib, son oncle et de Khadîdja, sa femme en 619, 620 après J.-C., il se trouva priver de leurs appuis.
Dans la 11ème année de sa mission, 12 personnages venus de Yathrib (Médine) entrent avec Mahomet sur le mont Akaba colline voisine de La Mecque, une assemblée dans laquelle il leur exposa les points cardinaux de sa religion et les exhorta à le suivre. A cette époque de sa mission, le prophète ne demandait pas encore à ses adeptes de s'armer pour la défense de sa religion mais ils ne tardèrent pas à s'y engager vu l'hostilité meurtrière des autres. Le pacte conclu avec les arabes de Yathrib fut connu des koréïchites qui résolurent de se débarrasser de Mahomet. Celui ci quitta La Mecque dans la moitié de juin 622 après J.-C.. Cette fuite, Hidjret (Hégire) marqua le début de l'ère des Mahométans, mais elle n'a été institué que 17 ans plus tard sous le calife Omar. Mahomet arriva au début juillet 622, après avoir posé la première pierre de la première mosquée musulmane à Koba, village situé à 2 miles d'Yatbrib. Quelques années après son arrivée à Médine, il se forma une coalition de tribus arabes et juives principalement à l'instigation des juifs de Médine formant la tribu de Koraïza . Dans la VI è année de l'Hégire, Mahomet entreprit plusieurs expéditions contre divers tribus arabes qu'il soumet d'abord et embrassent sans peine l'Islam. Le 10 de ramadan de l'an VIII de l'Hégire (630 après J.-C.) à la tête des An sar et des Mouhadjir, Mahomet partit de Médine et entra victorieusement à La Mecque. Il pénétra à l'intérieur du temple de La Kaaba et fit détruire les 360 idoles réunis du temple. Il prononçât ses paroles : " La vérité parut et le mensonge s'épanouit" lors de ces destructions.
L'an X de l'Hégire, l’œuvre de Mahomet (le Petit Djihad) était enfin accomplie. Il se rendit au mont Arafat où il prononça une allocution résumant les  principaux préceptes contenus dans le Coran ; elle inculquait la justice, l'humanité, la bienveillance, la fraternité entre tous les musulmans, les bons procédés envers les femmes, la probité dans les relations de la vie civile .
De cette allocution, on retient ceci : " Je vous laisse une loi qui vous préservera de l'erreur, une loi claire et positive, un livre envoyé d'en haut " ; Mahomet termine en criant "O mon Dieu, ai je rempli ma mission ? ". Avant de mourir, se sentant trop faible pour quitter le lit, Mahomet dit tout à coup aux assistants "Qu'on m'apporte de l'encre et du papier, je vais vous donner un écrit qui vous préservera à jamais de l'erreur ".
Mais Omar empêcha qu'on exécute cet ordre. " Le prophète est en délire, dit-il, n'avons nous pas le Coran pour nous guider ". Ce fait navrant sera la source des malheurs du peuple musulman plus tard ; en effet, Omar et d'autres chefs ont abusé de leurs pouvoirs temporels se comportant comme la bête inhumaine semant du sang humain partout au nom de Dieu "Allah" avec la "Guerre Sainte" plus tard . Mahomet expia sur les genoux d'Aïcha le lundi 8 juin 632 après J.C.. Son tombeau est à Médine avec un épithète de "monewwereh", l'illuminé. A sa mort, il ne laissa aucun enfant mâle ; il épousa en tout 15 femmes. Neuf de celles ci survécurent à Mahomet mais comme il avait interdit aux musulmans de les épouser après sa mort, aucune d'elles ne se remariera.
Le Coran tel est la reproduction aussi fidèle que possible de l'exemplaire original qui avait été confié par le premier Khalife Abouberk à la garde de Hafsa, fille d'Omar et veuve de Mahomet. Dans la crainte que le livre sacré ne se perde, Abouberk nomme une assemblée composée de Kourra (lecteurs de Coran) et des Ashab (compagnons de Mahomet) les plus instruits qui recueillirent tous les fragments du livre et en formèrent un ensemble. Cette réunion de portions éparses du Coran porte évidemment les traces d'une main autre que celle de Mahomet et l'ordre chronologique des révélations n'y est nullement observé. Ceci était la base des malheurs du peuple musulman car la Bête Inhumaine (prakriti) profita à chaque occasion de détruire l'œuvre  créatrice du Seigneur Eternel le Très Haut, Dieu de Miséricorde et d'Amour. Cette Bête a déjà fait crucifier Jésus-Christ, le seul vrai messager du Seigneur ; elle n'a pas pu tuer Mahomet le dernier prophète de Dieu "Allah", l'unique. Elle a pu par contre détruire l'œuvre  créatrice du Seigneur par la suite grâce à l'aide actif de ses hommes de main d'esprit diaboliques, sataniques et inhumains. Le malheur était que la masse de moutons musulmans à deux pattes a suivi fanatiquement ces chefs politico religieux, avides de pouvoir absolu, pour mener la "Guerre  Sainte" et semer du sang humain innocent sur leur passage au nom d’"Allah".
Ainsi tout comme Jésus-Christ, Mahomet, le dernier prophète de Dieu, a raté sa mission. La Grande Djihad des mahométans a pris une tournure meurtrière et à contre - sens , transformant la Terre en un "Caillot de sang coagulé" (Matière sans mémoire et amnésique), dont l'humanité qui s'accroche à sa surface tels les vampires , ivres de pouvoirs et assoiffés de sang chaud rituel . Les combattants d'Allah , esclaves du Dieu ancien "Œil  pour œil  et dent pour dent" - le Terrifiant, ne savent pas que ,selon le Maître Jésus des Visions Esséniennes : « En vérité, cette Matière doit retrouver la mémoire car elle est amnésique et l'humanité est l'élément activateur de cette mémoire .Elle est - et vous avec elle - poussière ainsi que les Ecritures le disent ...mais poussière d'étoiles ! Vos atomes proviennent de tous les horizons de l'univers et leur flamme de toutes les dimensions de la Vie .Ainsi êtes-vous fils et filles de la Liberté absolue, par essence enfants promis à la Libération, artisans inéluctables de toutes les résurrections .. et de l ' Ascension ».
En conclusion, le vrai, et Grand Djihad se passe en réalité en nous-mêmes, c'est-à-dire au fin fond de notre être profond et intime, jusqu'à l'harmonisation suprême, " l'état d'extase active qui grâce à une rupture ontologique de niveau, suspend la condition humaine, régénère, restitue le souvenir, réintègre l ' Être", c'est-à-dire il "s'agit en somme de corporer l'esprit et de spiritualiser le corps en un seul et même acte" ( La Tradition hermétique , de Julia Evola, Ed. Traditionnelles, Paris ). La réussite de cette réalisation harmonieuse ne peut se faire que grâce à l'existence de notre âme (Ego), qui est l'intermédiaire entre notre esprit (Super Ego) et notre corps grossier - le support dur d 'Esprit de l'Obscurité taoïste (eo) dont la Lumière "Ayn-Soph" spiritualise et vibre à l'intérieur de chaque atome structuré en molécule protéique basale qui compose la carte génome ("carte-mère" - mémoire) caractérisée par l'A.D.N. (Acide Désoxy- Ribonucléique ) - une protéine personnalisée et individualisée , base du logiciel avec programmation pré - déterminée pour donner forme à chaque "être - humain" unique et spécifique.
L'Hermétisme, doctrine moniste, dans lequel la Terre, qui est en bas , joue un rôle prépondérant puisque c'est par elle que la forme infinie du Télesme est rendue entière. Bibliquement, il est écrit (Ps., LXXX, 12) : "La Vérité germera de la Terre",et non du ciel. En conséquence, l'homme intégral avec sa trilogie christique(cœur, âme et esprit) détient tout le pouvoir du Principe Supérieur, car ce pouvoir est "ici", c'est-à-dire dans l'homme même et sur la terre. Point n'est besoin de se libérer de la prison du corps, il suffit de séparer les principes, de dégager le subtil de son ancrage pour pouvoir atteindre jusqu'au fond de Soi (le Propator ou l'Abîme divino - lumineux de l'Ayn - Soph kabbale ,qui s'est retiré au fin fond de l'Être d 'Adam – Kadmon, en tant que "Lumière Incréée" et sans ombre, qui n'attend qu'au moindre occasion propice pour rejaillir et être au devant de la scène vitale harmonieusement équilibrée, dans une Vase Non brisée, de forme humaine bien vivante et moralement libre , dotant du Libre Arbitre).L'importance vitale de notre Trilogie christique, "Vase non brisée", est confirmée par le Maître Jésus des Visions Esséniennes, qui nous l'enseigne en ces termes : « Les donneurs de leçon font "la Une" des médias à chaque jour qui se lève. Ils continuent de réciter la philosophie dans laquelle votre univers s'enlise depuis des centaines de millénaire . Ne vous livrez plus à eux pieds et poings liés . C'est votre cœur , votre âme , votre esprit qui ont toute puissance sur votre vie. Vous êtes nés pour apprendre, répandre et enseigner l'Amour. Ainsi, tous les passages à niveau auxquels votre monde vous faire croire ne peuvent avoir de prise sur vous dès l'instant où vous en percevez le dessein hypnotique et la vanité ». Enfin, concernant le devenir éternel de notre âme, il est dit et écrit (Gichtel, Théosophia Pratica ) : « Nous ne recevons pas une nouvelle âme avec la régénération mais bien un nouveau corps... (Ce corps) est spirituel plus subtil que l'air, semblable aux rayons du Soleil qui produit tous les corps, aussi différent de l'ancien corps que le Soleil resplendissant l'est de la terre obscure ».

Dernière mise à jour le mercredi 05 septembre 2001
Copyright © 1999-2000-2001 Tous droits réservés pour tous pays.
Textes, dessins et photos restent la propriété de l'auteur, le docteur DANG T. L., être humain authentique et trilogique, profane, médecin, laïc, père de famille et croyant, sous l'inspiration de l'Esprit Saint de l'Eternel "Sans Nom", Y.H.W.H., le Très Haut (Mai 1991)