Après l'échec de
"Jésus-Christ" ,le Crucifié en l'an 33 de l'ère chrétienne,
le Très Haut, Seigneur Eternel se manifesta au nom d'Allah. IL chercha à
faire parvenir à l'humanité croyant en Lui d'autres signes, messages par
l'entremise de l'Archange Gabriel. Le nom d'Allah existait bien avant la
Bible hébraïque. IL fut l'ancêtre du monde des Dieux sumérien
-akkadiens, donc la Triade des Grands Dieux "Anu, Enlil et Ea/Enki"
.De Alla (ou plutôt "deux Alla", symbole de l'Esprit céleste
– primordial – androgyne), il est écrit : "Alla créa Anu ;
Anu créa l'ensemble du Ciel ;
le Ciel créa l'ensemble de la Terre,
et la Terre créa le Ver"
(Texte retrouvé dans les débris d'un traité contre les maux dentaires,
une version très abrégée de Mythes et rites de Babylone, de Jean Bottéro,
p.282).
Le "Ver" de ce texte sacré sumérien est analogue au
"petit Ver" des Dialogues avec l'ange. En effet, il est écrit :
"Sont venus d'autres temps, est venu le Savoir .
La plus belle pomme, le plus beau fruit, le plus beau blé,
c'est l'homme qui les mange maintenant.
Il peint en rouge le fruit véreux et l'expose,
afin que tous voient que lui, il donne à Dieu.
Mais le Petit Ver , enfant de Dieu,
dans la pomme abîmée,
perce la couche peinte et rend visible la supercherie.
La pierre, le vent, l'eau, le feu, la plante, l'animal,
tous accusent l'homme,
car il peint la Terre en Rouge, et c'est du Sang".
Allah jeta ainsi son dévolu sur l'un des descendants d'Ismaël, fils
d'Abraham. Les Ismaélites sont des
arabes tertiaires. Ils se sont établis dans le Hedjaz (Arabie déserte).
C'est à cette race qu'appartiennent les arabes établis depuis un temps
immémorial autour de la Mecque et en particulier la famille des Koraïchites,
au sein de laquelle naquit Mohammed (ou Mahomet). Bien que les Arabes
aient de tout temps apporté le plus grand soin à conserver leur généalogie
, tous les efforts des historiens arabes ont été infructueux pour établir
la descendance directe depuis Ismaël jusqu'à Mahomet , à travers
l'espace d'une vingtaine de siècles ; mais on s'accorde généralement
sur sa généalogie jusqu'à Adn an , qui passe pour un descendant d'Ismaël
.En comptant la moyenne de 33 ans par génération, on arrive à fixer l'époque
d'Agnan à environ cent trente ans avant J.C. en sorte qu'il ne resterait
que quelques noms mentionnés par les historiens pour remplir tout le
temps écoulé entre Ismaël, fils d'Abraham, et Agnan, personnage si
voisin de notre ère.
D'après la tradition, Mahomet aurait dit "Je suis né sous le règne du roi Juste" (le célèbre Kesra
Anouchirvan ou Cosroës le Grand) vers 570 après J.-C.. Des phénomènes
surnaturels se produisirent au moment de la naissance du futur prophète
des arabes et le dernier du Seigneur :
- le palais des Cosroës à Crésiphon s'ébranla et 14 de ses tours s'écroulèrent.
- le feu sacré des Pyrées s'éteignit malgré la surveillance incessante
des mages.
- le lac de Sawa se dessécha.
- le Grand Moubed des perses rêva l'envahissement de la Perse par les
chameaux et chevaux arabes.
- Amina, la mère de Mahomet raconte à son beau-père que pendant sa
grossesse elle avait rêvé qu'une lumière extraordinaire se répandait
de son sein pour illuminer le monde.
- enfin Abdel Mottaleb (grand-père de Mahomet) en venant un jour voir son
petit fils, s'aperçut avec étonnement qu'il était né circoncis.
L'enfant, nommé Mohammed, par son grand-père (il fut le premier qui
porta ce nom parmi les arabes), fut confié par sa mère à une nourrice bédouine,
Halima, qui l'emporta au milieu de sa tribu dans le désert. A 25 ans,
Mohammed se chargea d'un voyage commercial en Syrie pour le compte d'une
riche veuve, Khadîdja, fille de Khoweïlid, issu comme Mohammed de Kossaï.
Khalidja offrit sa main à Mohammed. De ce mariage, Mohammed eut un fils
qu'il nomma El-Kacim. Il eut encore deux autres fils qui moururent tous en
bas âge et quatre filles de Khadîdja à 40 ans, Mahomet se sentit appelé
à prêcher aux arabes une nouvelle religion. De son temps, la race arabe
ne formait pas une seule nation ; les Perses et les romains exerçaient
une souveraineté, en grande partie nominale, sur les tribus arabes les
plus rapprochées des provinces de la Perse et de l ‘Empire Romain ; les
arabes du désert vivaient dans une indépendance complète et sans aucun
centre d'autorité nationale. Ils ne professaient pas non plus tous la même
religion ; la religion chrétienne s'était répandu parmi les arabes des
villes, quelques tribus également établis dans les villes professaient
la religion de Moïse, telles étaient les tribus de Koraïzan, de Nadhir
habitant à Yathrib (Médine) et à Khaïber ; mais l'immense majorité
des arabes était vouée à l'idolâtrie.
La Kaaba passait pour avoir été jadis le séjour d'Abraham et du culte
unitaire, était devenu le centre de tous les arabes idolâtres ; chaque
tribu avait une divinité, une idole particulière. Les arabes du désert
ne connaissaient donc d'autres occupations que la guerre et d'autres
histoires que celle de leurs généalogies poussiéreuses. Les jeux de
hasard, l'usage immodéré du vin, la polygamie commune à tous les
peuples de race sémitique, les mariages réputés incestueux, les
commerces de la galanterie, les vengeances personnelles dégénéraient
souvent en guerres acharnées entre les tribus entières, l'usage
d'enterrer les filles vivantes pour se débarrasser d'autant de bouches
inutiles en temps de disette, le brigandage et la rapine s'alliant souvent
à l'hospitalisation et à un dehors de générosité, tels étaient les
passions et les usages des arabes du temps de Mahomet.
Sérieux et porté naturellement à la méditation, Mahomet errait souvent
dans les ravins voisins de la Mecque, dominé déjà par l'idée que Dieu
lui parlerait du sein d'une montagne comme à Moïse, dont il avait
entendu parler pendant son voyage en Syrie ou dans ses entretiens avec les
juifs et les chrétiens ou encore avec un arabe versé dans les Ecritures,
Waraka, fils de Nowfal, cousin de Khadîdja Il avait l'habitude de passer
dans la retraite le mois de Ramadan sur la montagne de Hira, voisine de la
Mecque. Une nuit, décembre à janvier de l'an 661 après J.-C., Mahomet
revint et raconta à Khadîdja : "Je
dormais profondément lorsqu'un ange m'apparut en songe, il tenait à la
main une pièce d'étoffe de soie couverte de caractères d'écritures ;
il me la présenta en disant :
Lis ! Que lirais-je ? Lui demandais-je. Il m'enveloppa dans cette étoffe
et répéta : Lis : Au Nom de Dieu qui a crée toute chose, qui a crée
l'homme du sang coagulé, Lui, par le nom de Ton Seigneur qui est généreux
.C'est Lui qui a enseigné l'écriture, Il a appris à l'homme ce qu'il ne
savait pas. Je prononçais ce mot après l'ange et il s'éloigna ; je m'éveillais
et je sortis pour aller sur le penchant de la montagne. Là, j'entendit au
dessus de ma tête une voix qui me disait :"Oh Mohammed , tu es
l'envoyé de Dieu et je suis Gabriel . Je levais les yeux et j'aperçut
l'ange ; je demeurais immobile, le regards fixé sur lui jusqu'à ce qu'il
disparaisse.".
Depuis ce temps, Mahomet, rentré à La Mecque, recevait sans cesse
des révélations de Dieu par l'entremise de l'Ange Gabriel (Djebreil) .
La première chose que l'ange lui enseigna fut la prière précédée
d'ablutions.
C'est sur un ordre positif de Dieu que Mahomet commença à prêcher
ouvertement sa religion. Ses premières prédications n'excitaient d'abord
que des plaisanteries et des rires ; sa persévérance, son importunité,
sa hardiesse à prêcher la destruction des idoles donnèrent lieu bientôt
de la part des arabes à des insultes contre lesquelles il fut cependant
protégées par ses oncles, bien qu'ils
n'eussent pas encore embrassé l'Islam. On le menaçait de mort, quelque
fois la foule ameutée le poursuivait par des cris, par des huées, on le
traitait de menteur, de fou, d'imposteur, de possédé. Mahomet, toujours
refoulé dans sa ville natale se rendit à Taïf, ville rivale de La
Mecque mais ses prédications y rencontraient tout autant d'oppositions,
d'insultes et de haine. Mahomet retourna à La Mecque et mit plus de réserve
dans sa conduite. Il ne prêcha plus en public et s'abstient d'insulter et
de railler les idoles mais, son séjour à La Mecque devenait
insupportable à la mort d'Abou Talib, son oncle et de Khadîdja, sa femme
en 619, 620 après J.-C., il se trouva priver de leurs appuis.
Dans la 11ème année de sa mission, 12 personnages venus de
Yathrib (Médine) entrent avec Mahomet sur le mont Akaba colline voisine
de La Mecque, une assemblée dans laquelle il leur exposa les points
cardinaux de sa religion et les exhorta à le suivre. A cette époque de
sa mission, le prophète ne demandait pas encore à ses adeptes de s'armer
pour la défense de sa religion mais ils ne tardèrent pas à s'y engager
vu l'hostilité meurtrière des autres. Le pacte conclu avec les arabes de
Yathrib fut connu des koréïchites qui résolurent de se débarrasser de
Mahomet. Celui ci quitta La Mecque dans la moitié de juin 622 après
J.-C.. Cette fuite, Hidjret (Hégire) marqua le début de l'ère des Mahométans,
mais elle n'a été institué que 17 ans plus tard sous le calife Omar.
Mahomet arriva au début juillet 622, après avoir posé la première
pierre de la première mosquée musulmane à Koba, village situé à 2
miles d'Yatbrib. Quelques années après son arrivée à Médine, il se
forma une coalition de tribus arabes et juives principalement à
l'instigation des juifs de Médine formant la tribu de Koraïza . Dans la
VI è année de l'Hégire, Mahomet entreprit plusieurs expéditions contre
divers tribus arabes qu'il soumet d'abord et embrassent sans peine
l'Islam. Le 10 de ramadan de l'an VIII de l'Hégire (630 après J.-C.) à
la tête des An sar et des Mouhadjir, Mahomet partit de Médine et entra
victorieusement à La Mecque. Il pénétra à l'intérieur du temple de La
Kaaba et fit détruire les 360 idoles réunis du temple. Il prononçât
ses paroles : " La vérité
parut et le mensonge s'épanouit" lors de ces destructions.
L'an X de l'Hégire, l’œuvre de Mahomet (le Petit Djihad) était enfin
accomplie. Il se rendit au mont Arafat où il prononça une allocution résumant
les principaux préceptes
contenus dans le Coran ; elle inculquait la justice, l'humanité, la
bienveillance, la fraternité entre tous les musulmans, les bons procédés
envers les femmes, la probité dans les relations de la vie civile .
De cette allocution, on retient ceci : " Je vous laisse une loi qui vous préservera de l'erreur, une loi claire
et positive, un livre envoyé d'en
haut " ; Mahomet termine en criant "O
mon Dieu, ai je rempli ma mission ? ". Avant de mourir, se
sentant trop faible pour quitter le lit, Mahomet dit tout à coup aux
assistants "Qu'on m'apporte de
l'encre et du papier, je vais vous donner un écrit qui vous préservera
à jamais de l'erreur ".
Mais Omar empêcha qu'on exécute cet ordre. " Le prophète est en délire, dit-il, n'avons nous pas le Coran pour nous guider ". Ce fait navrant
sera la source des malheurs du peuple musulman plus tard ; en effet, Omar
et d'autres chefs ont abusé de leurs pouvoirs temporels se comportant
comme la bête inhumaine semant du sang humain partout au nom de Dieu
"Allah" avec la "Guerre Sainte" plus tard . Mahomet
expia sur les genoux d'Aïcha le lundi 8 juin 632 après J.C.. Son tombeau
est à Médine avec un épithète de "monewwereh", l'illuminé.
A sa mort, il ne laissa aucun enfant mâle ; il épousa en tout 15 femmes.
Neuf de celles ci survécurent à Mahomet mais comme il avait interdit aux
musulmans de les épouser après sa mort, aucune d'elles ne se remariera.
Le Coran tel est la reproduction aussi fidèle que possible de
l'exemplaire original qui avait été confié par le premier Khalife
Abouberk à la garde de Hafsa, fille d'Omar et veuve de Mahomet. Dans la
crainte que le livre sacré ne se perde, Abouberk nomme une assemblée
composée de Kourra (lecteurs de Coran) et des Ashab (compagnons de
Mahomet) les plus instruits qui recueillirent tous les fragments du livre
et en formèrent un ensemble. Cette réunion de portions éparses du Coran
porte évidemment les traces d'une main autre que celle de Mahomet et
l'ordre chronologique des révélations n'y est nullement observé. Ceci
était la base des malheurs du peuple musulman car la Bête Inhumaine (prakriti)
profita à chaque occasion de détruire l'œuvre
créatrice du Seigneur Eternel le Très Haut, Dieu de Miséricorde
et d'Amour. Cette Bête a déjà fait crucifier Jésus-Christ, le seul
vrai messager du Seigneur ; elle n'a pas pu tuer Mahomet le dernier prophète
de Dieu "Allah", l'unique. Elle a pu par contre détruire l'œuvre
créatrice du Seigneur par la suite grâce à l'aide actif de ses
hommes de main d'esprit diaboliques, sataniques et inhumains. Le malheur
était que la masse de moutons musulmans à deux pattes a suivi
fanatiquement ces chefs politico religieux, avides de pouvoir absolu, pour
mener la "Guerre Sainte"
et semer du sang humain innocent sur leur passage au nom
d’"Allah".
Ainsi tout comme Jésus-Christ, Mahomet, le dernier prophète de Dieu, a
raté sa mission. La Grande Djihad des mahométans a pris une tournure
meurtrière et à contre - sens , transformant la Terre en un
"Caillot de sang coagulé" (Matière sans mémoire et amnésique),
dont l'humanité qui s'accroche à sa surface tels les vampires , ivres de
pouvoirs et assoiffés de sang chaud rituel . Les combattants d'Allah ,
esclaves du Dieu ancien "Œil pour
œil et dent pour dent"
- le Terrifiant, ne savent pas que ,selon le Maître Jésus des Visions
Esséniennes : « En vérité, cette Matière doit retrouver la mémoire car elle est amnésique
et l'humanité est l'élément activateur de cette mémoire .Elle est - et
vous avec elle - poussière ainsi que les Ecritures le disent ...mais
poussière d'étoiles ! Vos atomes proviennent de tous les horizons de
l'univers et leur flamme de toutes les dimensions de la Vie .Ainsi êtes-vous
fils et filles de la Liberté absolue, par essence enfants promis à la
Libération, artisans inéluctables de toutes les résurrections .. et de
l ' Ascension ».
En conclusion, le vrai, et Grand Djihad se passe en réalité en nous-mêmes,
c'est-à-dire au fin fond de notre être profond et intime, jusqu'à
l'harmonisation suprême, " l'état d'extase active qui grâce à une
rupture ontologique de niveau, suspend la condition humaine, régénère,
restitue le souvenir, réintègre l ' Être", c'est-à-dire il
"s'agit en somme de corporer l'esprit et de spiritualiser le corps en
un seul et même acte" ( La Tradition hermétique , de Julia Evola,
Ed. Traditionnelles, Paris ). La réussite de cette réalisation
harmonieuse ne peut se faire que grâce à l'existence de notre âme
(Ego), qui est l'intermédiaire entre notre esprit (Super Ego) et notre
corps grossier - le support dur d 'Esprit de l'Obscurité taoïste (eo)
dont la Lumière "Ayn-Soph" spiritualise et vibre à l'intérieur
de chaque atome structuré en molécule protéique basale qui compose la
carte génome ("carte-mère" - mémoire) caractérisée par
l'A.D.N. (Acide Désoxy- Ribonucléique ) - une protéine personnalisée
et individualisée , base du logiciel avec programmation pré - déterminée
pour donner forme à chaque "être - humain" unique et spécifique.
L'Hermétisme, doctrine moniste, dans lequel la Terre, qui est en bas ,
joue un rôle prépondérant puisque c'est par elle que la forme infinie
du Télesme est rendue entière. Bibliquement, il est écrit (Ps., LXXX,
12) : "La
Vérité germera de la Terre",et non du ciel. En conséquence,
l'homme intégral avec sa trilogie christique(cœur, âme et esprit) détient
tout le pouvoir du Principe Supérieur, car ce pouvoir est
"ici", c'est-à-dire dans l'homme même et sur la terre. Point
n'est besoin de se libérer de la prison du corps, il suffit de séparer
les principes, de dégager le subtil de son ancrage pour pouvoir atteindre
jusqu'au fond de Soi (le Propator ou l'Abîme divino - lumineux de l'Ayn -
Soph kabbale ,qui s'est retiré au fin fond de l'Être d 'Adam – Kadmon,
en tant que "Lumière Incréée" et sans ombre, qui n'attend
qu'au moindre occasion propice pour rejaillir et être au devant de la scène
vitale harmonieusement équilibrée, dans une Vase Non brisée, de forme
humaine bien vivante et moralement libre , dotant du Libre
Arbitre).L'importance vitale de notre Trilogie christique, "Vase non
brisée", est confirmée par le Maître Jésus des Visions Esséniennes,
qui nous l'enseigne en ces termes : « Les
donneurs de leçon font "la Une" des médias à chaque jour qui
se lève. Ils continuent de réciter la philosophie dans laquelle votre
univers s'enlise depuis des centaines de millénaire . Ne vous livrez plus
à eux pieds et poings liés . C'est votre cœur , votre âme , votre
esprit qui ont toute puissance sur votre vie. Vous êtes nés pour
apprendre, répandre et enseigner l'Amour. Ainsi, tous les passages à
niveau auxquels votre monde vous faire croire ne peuvent avoir de prise
sur vous dès l'instant où vous en percevez le dessein hypnotique et la
vanité ». Enfin, concernant le devenir éternel de notre âme,
il est dit et écrit (Gichtel, Théosophia Pratica ) : « Nous ne
recevons pas une nouvelle âme avec la régénération mais bien un
nouveau corps... (Ce corps) est spirituel plus subtil que l'air, semblable
aux rayons du Soleil qui produit tous les corps, aussi différent de
l'ancien corps que le Soleil resplendissant l'est de la terre obscure ».
Dernière mise à jour le mercredi 05 septembre 2001
|