Livre III - chapitre 6
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LIVRE III - CHAPITRE 6

LE MYSTICISME SCIENTIFIQUE, TRILOGIQUE, MODERNE, ET NON DOGMATIQUE

Le mysticisme est une doctrine religieuse philosophique d'après laquelle la perfection spirituelle consiste en une sorte de contemplation intérieure profonde qui va jusqu'à l'extase et unit l'homme à la Divinité Manifestée et/ou Cachée ( = monde de l'Eternel pur d ' Esprit d'Amour et de Miséricorde, de Justice et de Paix, d'Egalité et de Fraternité, de Sagesse et de Vérité, de Compassion et de Tolérance, de Joie et de Bonheur félicité ) selon tous les Sages et prophètes monothéistes judéo-chrétiens – et – islamiques ( = Moïse,  Jésus-Christ, Mahomet, etc.) ou polythéistes brahmaniques. La quête de "Dieu", l'Etre Céleste - Créateur Suprême, l'Unique ou Allah ou Yahvé ou Chiang Ti ou Brahmâ ou Christ Père – Fils – et - Saint, etc. pousse l'humanité croyante, savante, érudite, mystique religieux ou non, sur des chemins tortueux, labyrinthes sans fin. L'Unique Père céleste, Celui dont parlait  Jésus - le "Fils de l'Homme - Dieu", devrait exister. Pourquoi se cachait -IL ? Et pour quelle raison ? Quelle était, est et sera Son Essence vital et éternel ? De quelle nature est-il exactement ?
Le mot "Dieu" ne désigne pas forcément Dieu, c'est tout simplement une expression humaine qui traduit notre admiration envers notre Créateur, c'est-à-dire Celui et/ou Celle qui est à la base de toutes vies animées, formelles, cosmiques et universelles, dont l'humanité terrienne fait partie intégrante judicieusement placée entre ciel et terre. Malgré toutes les tueries barbares, et toutes les injustices d'où qu'elles viennent ici bas, l'humanité pieuse, croyante, a toujours foi en Dieu ( ou plutôt en leur Ange gardien ). "Le miracle de la foi, c'est la foi elle-même qui constitue le miracle. Les eaux du Jourdain, celles de Lourdes... elles ne comptent pour rien. N'importe quelle flaque d'eau boueuse ferait aussi bien l'affaire si cette eau reflète le visage de Dieu"(un prêtre anglican).  Le Christ nous a bien laissé ce message que "Nous sommes tous frères et sœurs  devant Dieu". Lao - Tseu décrète : "Il y a de nombreuses religions ; il n'y a qu'une raison et nous sommes tous frères". Quant à Confucius, il nous rappelle la vérité absolue suivante : "Nos os peuvent pourrir et revenir au sol des champs, mais l'esprit s'échappe pour vivre sur un plan supérieur où tout est gloire et lumière. Dieu est le Père de tous les hommes". 
Plus près de nous, en 1995, le docteur Xavier Emmanuelli répond lors d'un interview ceci : "Plus je vieillis, plus je me dis que les enjeux des destinées humaines sont des enjeux métaphysiques. Mais à partir du moment où vous avez commencé cette analyse, vous allez le plus loin possible. Oui, je crois que nous sommes une espèce de champ de bataille cosmique pour faire aboutir l'univers, et je pense que le mal participe à l'économie du bien et fait partie du plan de Dieu".
Dans le mot "absolu" qui signifie entre autre "achevé" qui veut dire également "délié" d'où "absolution", l'abbé Pierre y trouve dans ce mot la négation du lien en même temps que la notion de surgere, la source. Ainsi la recherche métaphysique spirituelle de "l 'Etre céleste" Créateur Absolu, doté du "Libre – Arbitre ", est une recherche de la source originelle de la "pensée créatrice" de l'être humain. Descartes a écrit ceci "Je pense donc je suis". Le Coran nous rappelle : "Dieu est humain et sage".
Ainsi tous les grands penseurs, hommes sages possèdent donc en eux le grain d'esprit de "Dieu" ou "Fils de Dieu". Car tous les sages de l'humanité tel Lao  Tseu, Jésus-Christ, etc. nous rappellent que Dieu est le Père Céleste de tous les hommes et l'Unique.
Jésus-Christ, le "Fils de l'Homme", le messie Alpha, homme mystique, laïque par excellence a osé en son temps affronter seul, de front, la toute puissance des grands prêtres juifs pharisiens, scribes. Il étonna énormément ceux-ci par ses connaissances profondes, intuitives sur les textes de loi de Moïse. Il a passé seul avec succès le test céleste ou la Tentation du diable dans le désert de la Palestine.
L'Evangile de Saint Matthieu nous rapporte cet événement : << Alors, Jésus fut conduit au désert par l 'Esprit, pour être tenté par le diable. Il jeûna quarante jours et quarante nuits, après quoi Il eut faim. Et le tentateur, l'abordait, lui dit : "Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres se change en pain". Mais Il répliqua "Il est écrit :

l'Homme ne vit pas seulement de pain,
mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu
".
Il donnera pour toi des ordres à ses anges
,
et ils te porteront dans leurs mains,
de peur que tu ne heurtes du pied quelque pierre
".
Jésus lui dit : "Il est écrit encore :

Tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu
".
Le diable l'emmène encore sur une très haute montagne, lui montre tous les royaumes du monde avec leur gloire et lui dit : "Tout cela, je te le donnerai si tu tombes à mes pieds et m'adores". Alors Jésus lui dit : "Retire toi Satan ! Car il est écrit :

C'est le Seigneur, ton Dieu que tu adoreras,
c'est à Lui seul que tu rendras un culte
".
Alors le diable le quitte. Et voici que des anges s'approchent et ils le servaient >> (Mtt, 4, 1-7 ).
Après avoir été baptisé par Jean-Baptiste, Jésus commença sa vie de prêcheur, recrutant des disciples dont les 12 apôtres, qui le reconnaissaient pour le Messie, l'envoyé de Dieu attendu par les juifs. Parcourant la Galilée, le Christ dénonçait l'hypocrisie religieuse, le formalisme rituel, l'exploitation des pauvres, Il prêchait l'égalité et la justice, discours subversif qui inquiétait Sadducéens et Pharisiens. Le Christ est condamné par le couple Caïphe et Ponce Pilate à mourir crucifié.
Avec son sermon sur la montagne, le Christ a laissé deux commandements, les plus grands, semblables, clairs et nets à l'humanité croyante en Lui. Le premier de ces commandements "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, ton âme et ton esprit" et le second "Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimé".
Il prévint ses disciples de faire très attention, il prophétisa d'avance qu'Il sera la cause de dissension (Mtt, 10, 34-36) : "Pensez vous que je suis apparu pour établir la paix sur terre ? Non, je vous le dis, mais la division. Désormais en effet dans une maison de cinq personnes, on sera divisé, trois contre deux et deux contre trois : on sera divisé père contre fils et fille contre père, mère contre fille et fille contre mère, belle mère contre bru et bru contre belle mère".
A travers l'histoire sanglante, très meurtrière des différentes églises, temples judéo-chrétiens, il est ahuri de constater la véracité de cette prophétie. La haute hiérarchie cléricale des différentes églises, a commis erreur sur erreur par des "fautes sans nombre" et toujours au nom du Christ, Dieu d'Amour et de Miséricorde, en persécutant le peuple juif, leurs frères et sœurs, ainsi que les hommes et femmes mystiques religieux chrétiennement intuitifs.
La Sainte Eglise Romaine se laissait infiltrer depuis bien longtemps par l'Esprit de l'Ange de la Mort tout puissant qui cancérisait le cerveau de cette belle machine pensante à contresens de la chrétienté. Elle confirme, par leur politique soit - disant sacerdotal, ministériel, et évangélique à la hussarde, cette prophétie écrite, dès le XI è siècle par Jean de Jérusalem, moine - soldat du Christ ( Le Livre des Prophéties, le troisième millénaire, Ed. J.C. Lattès, 1994 ) :
"Lorsque commencera l 'An Mille après l 'An Mille
L'or sera dans le Sang
Qui regardera le ciel y contemplera des derniers

Qui entrera dans le Temple y rencontrera les marchands
Les Suzerains seront changeurs et usuriers
Le Glaive défendra le Serpent

Mais le feu couvera

Chaque ville sera Sodome et Gomorrhe
Et les enfants des enfants deviendront la nuée ardente
Ils lèveront les vieux étendards
"
(L'esprit Saint - diable a bien pénétré au sein de l 'Eglise romaine avec l'Opus Dei, la Pieuvre tentaculaire, qui fut derrière la Banque du Vatican,  l'offensive politique contre le mouvement des "Prêtres - théologiens" de la Libération, les groupes d'assaut contre l 'Avortement, perpétuant des meurtres et des agressions morales  contre les médecins et autres personnels soignants aux U.S.A., au Canada, etc. ; en Palestine, nous assistons à un combat entre David et Goliath à l 'envers, caractérisé par l'Intifada avec l 'armée des enfants avec des lances - pierres contre la Grande Armée de Tsahal, paumée et perdue avec crise de conscience aiguë).
Rudolf Steiner (1861-1935), mystique philosophe scientifique d'origine autrichienne et fondateur de l ' anthroposophie, lui, indique clairement que nous sommes composés d'un corps, d'une âme et d'un esprit. Il écrit ceci : "En 869 de notre ère se produisit un événement important, lourd de signification dont l'Eglise est entièrement responsable. Le Huitième Concile œcuménique, celui de Constantinople, fixa dogmatiquement ceci " l'ancienne doctrine de la trichotomie d'homme se composant d'un corps, d'une âme et d'un esprit est hérétique. L'homme ne se compose que d'un corps et d'une âme, celle ci dotée de propriétés spirituelles." Et ce fut dit d'une façon si catégorique que personne n'osa y contredire."
Pourquoi fut ce si important aux yeux de Steiner ? "Parce que, dit-il, d'une part la "conscience" de l'esprit disparut ainsi peu à peu de l'humanité mais que surtout allait désormais s'introduire dans les âmes humaines la conviction que le spirituel n'est pas l'élément divin à l 'œuvre  dans la marche en avant de l'évolution de l'humanité".
C'est en cherchant à comprendre pleinement comment Goethe regardait la nature que Steiner trouva le lien entre la nature et l'esprit, par une démarche tout à fait personnelle, lien que sa propre expérience lui avait toujours démontrée, mais dont il n'avait jusqu'à présent trouvé confirmation nulle part. Il écrit dans divers journaux, critiques théâtrales, exposés littéraires ou philosophiques, chroniques politiques, mais c'est la libre expression individuelle qui lui importe avant tout. Déjà tout jeune étudiant boursier à Vienne à l'école supérieure d'enseignement scientifique (équivalent à Polytechnique) durant les vacances qui précédent son entrée dans cette école, Steiner consacre tout son temps à la philosophie, étudiant Kant, Shelling, Hegel et surtout Fichte.
"Ce qui m'importait alors, dira- t – il, c'était de parvenir à exprimer sous forme d'idées parfaitement claires, l'impulsion vivante qui anime l'âme humaine. Mes efforts dans le domaine des concepts scientifiques précis, n'avaient finalement conduit à voir dans l'activité du moi humain, le seul point de départ possible pour toute vraie connaissance. J'avais à étudier les mathématiques et les sciences naturelles mais j'étais persuadé de ne pouvoir trouver de justes rapports avec ses sciences, sans avoir préalablement élaboré un fondement philosophique solide... Cependant, la contemplation du monde spirituel était pour moi une réalité : l'individualité spirituelle de chaque être humain se révélait à moi avec évidence, le corps physique et ses activités dans le règne sensible, n'en était que la manifestation".
Un fait extrêmement important pour Steiner, c'est sa rencontre avec le Christ, qui va alors devenir l'axe de sa vie. Quant au rôle du Christ dans l'humanité et à notre époque, il est la quintessence même de l'anthroposophie. Steiner a 35 ans. Depuis longtemps, il pratique la méditation qu'il considère comme un outil de connaissance par excellence. Jusqu'à présent, il l'a en quelque sorte toujours pratiqué pour confronter en lui "vérité scientifique" et " vérité spirituelle". Mais en intensifiant alors sa méditation, il réalise que "dans la nature humaine peut se développer un "être spirituel" qui totalement libéré de l'organisme physique, peut vivre, percevoir, et se déplacer dans le monde spirituel". Non seulement il en prend conscience, mais l'existence de cet "être" devient un fait d'expérience. Cet "être" n'est pas le Christ et Steiner n'a pas d'hallucination. Cet "être" n'est pas non plus un double imaginaire avec qui il va s'identifier. Cet "être" est "celui qui sait" en chacun de nous : impersonnel, inaccessible au sens et à l'intellect et cependant perceptible. Cet "être" est "l 'Esprit de Vérité" ou le "Paraclet" dont parla le Christ. Steiner n'arrivait pas de son vivant à communier mental à mental avec cet "être" dont il percevait intuitivement la présence en lui et hors de lui.
"Tant qu'une théorie, dira Steiner, impose au savoir de l'homme que les causes premières, les "choses en soi", sont situées au-delà des limites de la connaissance, elle rend cette connaissance inaccessible à l'homme". Mais il ajoute "Je n'accordais à vrai dire à cette "inaccessibilité" qu'une valeur provisoire : une chose est inaccessible aussi longtemps que l'homme n'a pas développé en lui cette "essence intérieure", apparentée à ce qui, auparavant, était inconnu et qui devient maintenant capable de s'y unir, grâce à l'expérience vivante de la connaissance". Par analogie, nous pouvons relier cette "Essence intérieure" steinérienne à la "Sagesse inhérente" du Maître Wei-Lang , le sixième patriarche de la secte Zen, qui enseigne et écrit ceci : " Prétendre que l'on ne peut pas atteindre l'illumination spirituelle si l'on n'y est pas aidé par les avis des gens vertueux et éclairés , est une erreur . C'est par la sagesse inhérente à nous-mêmes , que nous nous éclairons , et l'aide et les enseignements d'amis éclairés ne serviraient à rien si nous étions abusés par des fausses doctrines et des vues erronées " ( Texte cité par A.D. Néel ).
Allant plus loin dans ses recherches de l'absolu universel, Steiner considère la connaissance de l'univers comme s'élevant en trois étapes : de l'astronomie à l'astrologie et de l'astrologie à l ' astrosophie. "La science astronomique, nous dit-il, est de toutes les sciences celle qui a le plus de possibilités de mener au Divin. Cependant, l'astronomie scientifique manque de spiritualité. De l'astrologie, on peut dire qu'elle a conservé une part de spiritualité mais qui ne peut plus être transmise d'une façon convaincante à notre époque : c'est sur une astrosophie que doit déboucher la science du cosmos".
Qu'est ce que cette science du cosmos pour Steiner ? C'est une cosmogonie qui n'existe pas sans l'homme. Pour lui, le ciel, la Terre et l'homme forment un tout, une unité indissoluble. Mais ce "ciel", il fallait s'y attendre, n'est pas pour lui réduit à sa seule apparence physique, c'est à dire tel que les télescopes les plus modernes permettent de le voir. "Lorsqu'on perce le voile illusoire de la réalité physique, écrit-il, on est emmené à contempler les hiérarchies spirituelles qui s'élèvent au dessus de l'humanité en neuf degrés, toutes liées d'une manière quelconque avec le monde des astres".
C'est évidemment cette faculté que possédait Steiner de "percer le voile illusoire de la réalité physiques des choses" qui lui donne cette connaissance des hiérarchies mais surtout du rôle qu'elles jouèrent dans la Genèse de l'humanité. "Nous sommes tous fils des étoiles" aime à répéter Hubert Reeves, les astrophysiciens se référent par là à la découverte de la présence des six molécules originelles (6 quarks : haut, bas, étrange, charme, beauté et top) au sein du cosmos, dont l'assemblage fortuit apparemment aurait permis la vie sur terre donc la présence de l'homme. Mais ces astrophysiciens demeurent muets lorsqu'il s'agit d'expliquer "qui" a crée ces molécules "qui" les a assemblées et "pourquoi" le hasard déploya tant d'efforts pour "créer" l'intelligence humaine. Pour Steiner, l'homme est l 'œuvre des hiérarchies qui culmine dans l'émergence d'un Moi agissant dans l'incarnation physique. Ce Moi a pour vocation de poursuivre une évolution spirituelle, désormais individualisée, qui est en fait celle de la Dixième Hiérarchie encore en gestation (l'Hindouisme nous révèle la naissance en cette fin XX è siècle, d'un nouvel âge d'or sur Terre, le Satya Yuga qui doit succéder au Kali Yuga, grâce au Dixième avatar de Vishnou).
Selon Steiner, l'ange, l'archange et l'archaï (qui est l 'Esprit du Temps) sont immédiatement supérieurs à l'homme. Cet homme a été pensé par ses Hiérarchies. Nous sommes en quelque sorte "leurs œuvres" c'est à elles que nous devons la lente élaboration de notre corps physique, passant de l'état gazeux à l'état solide, puis de notre sensibilité grâce au développement du système sensoriel, ensuite l'apparition de nos sentiments et enfin notre faculté de penser grâce au cerveau. Le corps physique a atteint sa perfection mais le moi ultime de cet homme tel qu'il est destiné à devenir, c'est à dire entièrement conscient et spiritualisé n'existe pas encore sur Terre. Il est vrai que si nous nous donnons la peine de relire la Genèse avec cet éclairage, les Sept Jours sibyllins de cette "création" à laquelle auraient participé de mystérieux "Fils de Dieu" appelés Elohim, sont alors compris différemment. Et pour Steiner, cette interaction des Hiérarchies est entièrement motivée par le "sacrifice" et le don à ce qui est inférieur à soi.
La Bible nous révèle : "Dieu dit : Faisons l'Homme à notre image, selon notre ressemblance" (Genèse I, 26). Commentant ce verset de la Genèse, le Midrash nous rapporte les faits suivants (Genèse Rabba, VIII, 5) :

<< Rabbi Simon dit  : lorsque le Saint Béni Soit-il entreprit de créer le Premier Homme, les anges de service se formèrent en groupes. Certains disaient : "Qu'il ne soit pas crée", tandis que d'autres s'écriaient : "Qu'il soit crée". C'est ce qui est écrit (Psaumes, LXXXV, 11) : "La Grâce et la Vérité se rencontrèrent, la Justice et la Paix s'étreignirent". La Bonté dit : "Qu'il soit crée car il est porté à dispenser des bienfaits". La Vérité dit "Qu'il ne soit pas crée, car il est plein de mensonges". La Charité dit : "Qu'il soit crée, car il est capable de générosités". La Paix dit : "Qu'il ne soit pas crée, car il est plein de discorde".
Que fit le Saint Béni Soit-il ? Il prit la Vérité et la jeta à terre. C'est ce qui est écrit (Daniel, VIII, 12) : "Et la Vérité fut jetée à terre". Les anges de service plaidèrent alors devant l'Eternel : "Maître des mondes, pourquoi méprises tu l'ordre que Tu as fixé ? Que la Vérité monte de la Terre ! C'est ce qui est écrit (Psaume LXXX, 12) : "La Vérité germera de la Terre
". >>
Par ce geste, Dieu Eternel prouve ainsi Son amour passionnel pour Sa créature, l'homme parfait en Adam (ou Adam Kadmon , l 'Homme céleste primordial et Androgyne, selon les mystiques kabbales) et les Enfants d'Adam. Le Coran dit ceci : "Dieu ne vous commande de prendre ni les anges ni les prophètes pour maîtres..." (Sourate III, 74). Il mettra tous Ses espoirs en l'homme parfait et le plaça même affectueusement plus élevé que les anges. L'acte affectueux du Divin pour l'homme rendit jaloux les anges (couple Ange Noir Diable, Ange Blanc Fantôme déchu) qui complotèrent plus tard sur la planète Terre et incitèrent l'humanité moutons à deux pattes à honorer, glorifier l'Ange de la Mort et à s'entre-tuer bien pire que les bêtes pour plaire au Seigneur Dieu Diabolique.
La gloire du Seigneur, Dieu Eternel, Yahvé ou Allah ne sortira que plus grand si un des enfants d'Adam arrivera  à déjouer tous les pièges mortels ici bas tout en respectant le "Tu ne tueras point" et revenir vers l'Eternel.
La définition de Dieu d'Israël comme l’Etre même ne figure pas dans la Genèse, mais dans l'Exode, non dans le récit de la Création mais dans la relation d'une intervention manifeste de la divinité dans l'histoire des Hommes. Moïse envoyé vers ses frères captifs pour annoncer leur libération, interroge Dieu sur Son nom, c'est à dire sur Sa Véritable Essence ; on connaît la réponse de Dieu d'Israël (Exode III, 14) : "Je suis Celui qui est". Ce verset est interprété bien dans ce sens dans le Talmud (Berekot, 96) : "Je suis avec eux dans la détresse présente, comme je serai avec eux dans leur asservissement sous d'autres empires".
Yéoshua, Père Eternel, Dieu d'Israël, Dieu des Armées Célestes, accompagnait ainsi le peuple élu d'Abraham, d ' Isaac et de Jacob et se laissait martyriser ici bas par Ses deux frères angéliques (le couple Ange Noir Diable et Ange Blanc Fantôme déchu), qui hypnotisaient l'humanité de toutes les confessions religieuses fanatisées à l'extrême pour être comportées comme des armées de fous aliénés, suite à des appels aux meurtres, aux sacrifices - martyrs, à la souffrance rédemptrice, etc. très bien orchestrés et bien relayés par la voie médiatique ultra- moderne ou par des voix tonitruantes avec cassettes enregistrées de leur hiérarchie politique, religieuse , ultra - nationaliste , intégriste - "Aveugles guidant d'autres aveugles" trop esclaves de leur "Ego exacerbé". IL attendait patiemment Sa délivrance purement spirituelle grâce à l'aide de l'homme honnête, d'esprit Bouddha Amitabha,  le messie Bêta, la carte - dernière "joker" du Seigneur, Dieu Eternel - le Sans - Nom, PUR "AYN-SOPH-AUR" (= Le Silence Lumineux - Incréé ou l 'Essence Intérieure d'Adam-Kadmon).
La hiérarchie religieuse dogmatique et intégriste de toutes les églises est définie par Louis Massignon en ces termes : "Si la vérité, par manichéisme, cède à la tentation de dominer la brutalité matérielle et la corruption spirituelle par des ruses et des pressions spirituelles, exercées au nombre des idées plus nobles, elles en sont toutes travesties. Elles ne nous ont pas été données comme des armes, mais comme des hôtes, nues et désarmées, pour nous apprendre le dénuement qui nous identifie à elle. Et les êtres pervers qui nous incitent à des pressions spirituelles (paternalisme autoritarisme pédagogique) pour faire triompher la vérité sont des anges déchus". Quant à Krisnamurti, il nous définit ici ce qu'est le vrai homme religieux : " L'homme religieux ne cherche pas Dieu. L'homme religieux se sent concerné par la transformation de la société, c'est-à-dire de lui-même. L'homme religieux n'est pas celui qui observe d'innombrables rituels, qui se plie aux traditions, qui vit une culture morte, dépassée, qui explique sempiternellement la Gitâ ou la Bible, qui psalmodie interminablement, ou qui mène la vie de sannyasi - cet homme-là n'est pas religieux, il fuit la réalité des faits. L'homme religieux s'implique totalement, complètement, dans une démarche de compréhension de la société, qui n'est autre que lui même. Il n'est pas distinct de la société (....). L'homme religieux est responsable, il doit par conséquent se comprendre lui-même, lui qui est le produit d'une société qu'il a lui-même engendrée. Donc, dans sa quête de réalité, c'est ici même qu'il doit commencer, et pas dans un temple, et pas dans une image - qu'elle ait été ciselée par la main ou l'esprit. Sinon, comment pourrait-il rencontrer l'inédit total, un nouvel état ?". En résumé, selon Krishnamurti, "L'homme religieux, c'est celui qui n'appartient à aucune religion, à aucune nation, à aucune race, qui est, à l'intérieur de lui-même, complètement seul, dans un état de non - savoir, et c'est pour lui qu'advient la bénédiction du sacré ".
Tout comme Rudolf Steiner, Louis Massignon  a rencontré l ' "Etre Spirituel" en lui au cours d'un voyage d'étude topographique au Moyen-Orient, grâce à son "intercesseur" El Hallaj, un soufi martyr. A bord du vapeur turc  le "Burhaniyé", Massignon a connu une expérience mystique extatique en mai 1908 (du 1er au 8, jour de son réveil à l'hôpital de Bagdad). Il rapporte ce qu'il appelle la "Visitation de l'Etranger" par un récit d'une rare beauté : "L'Etranger qui m'a visité, un soir de mai, devant le Tâq, cautérisant mon désespoir qu'Il fendait, comme la phosphorescence d'un poisson montant du fond des eaux abyssales, mon miroir intérieur me l'avait décelé ; masqué sous mes propres traits, explorateur fourbu de sa chevauchée au désert, trahi aux yeux de ses hôtes par son attirail de cambriole scientifique, camouflage d'espoir, avant que mon miroir s'obscurcisse devant son incendie. Aucun nom ne subsiste alors dans ma mémoire (pas même le mien) qui put Lui être crié, pour me délivrer de Son stratagème et m'évader de Son piège. Plus rien ; sauf l'aveu de Son esseulement sacré reconnaissance de mon indignité originelle, linceul diaphane de l'entre nous deux, voile impalpable féminin du silence : qui le désarme; et qui s'irise de Sa venue : sous Sa parole créatrice.
"L 'Etranger qui m'a pris tel quel, au jour de Sa colère, inerte dans Sa main comme le gecko des sables, a bouleversé, petit à petit, tous mes réflexes acquis, toutes mes précautions, et mon respect humain. Par un renversement des valeurs, Il a transformé ma tranquillité relative de possédant en misère de pauvresse. Par un retournement "finaliste" des effets vers les causes, des intersignes vers les archétypes, tels que la plupart des hommes ne les réalisent qu'en mourant. Et cela m'est une excuse si je ne propose plus, ici, de chercher dans les biographies des mystiques un vocabulaire technique d'ersatz pour entrer en présence de "Celui qu'aucun nom à priori n'ose évoquer", ni "Toi", ni "Moi", ni "Lui", ni "Nous", et si je trouvais simplement un cri, imparfait certes mais poignant, de Rùmi ou le désir divin, essentiel, insatiable et transfigurant, jaillit du tréfonds de notre adoration silencieuse et nue, la nuit.
"Celui-là, dont la beauté rendit jaloux les anges, est venu au petit jour et Il a regardé dans mon cœur.
"Il pleurait et je pleurais jusqu'à la venue de l'aube, mais Il m'a demandé : "De nous deux, dis qui est l'amant"
Massignon, de son vivant, lui-même n'a jamais clairement répondu : qui est l'Etranger ? Il ne l'a jamais nommé autrement, sauf dans une lettre du 8 décembre 1960 où il évoque en paraphrasant Rùmi : "Cet inconnu dont le visage de beauté rend jaloux les anges". Cet "Etranger" d'essence divine n'était autre que Yéoshua, l'Eternel, fils naturel d'Allah, Dieu d'Israël et Dieu des Armées d 'Esprit Ange homosexuel et Androgyne, voulant devenir Père et ami de l'homme. Massignon, lui même était homosexuel, d'où cette rencontre entre "âme homosexuelle" de Massignon humain avec "l 'Être" d'esprit divin homosexuel de Rùmi.
Cette rencontre divine en terre d'islam a marqué à jamais la vie d'homme influent politique et religieux de Massignon plus tard. Spirituellement athée et homosexuel, Massignon se convertit au catholicisme pour mourir en tant que prêtre orthodoxe. Il a œuvré durant toute sa vie à rapprocher ses frères musulmans à ceux des judéo-chrétiens.
Tous les efforts de Massignon ont été anéanti par le Trio Père - Fils – et - Saint Diable qui cannibalisait les cervelles - méninges des Grands hommes politiques religieux, intégristes purs et tyranniques, pour les influencer et les manipuler à suivre instinctivement leur "Ego exacerbé" en consolidant leurs pouvoirs dictatoriaux sur des océans de sang humain et des larmes de l'humanité "moutons de Panurge" à travers tous les continents terrestres "Sodome et Gomorrhe". Ces hommes de pouvoir, intégristes, "Aveugles guidant d 'autres aveugles", ont confirmé ce qu'a écrit Montherlant : " Il n'y a pas de pouvoir, il n 'y a que l 'abus de pouvoir".  Sérieux, austères, autoritaires et pinces sans rires, ils ont perdu ce qui fut le propre de l 'homme, c'est-à-dire le "Rire et/ou Sourire", le billet le plus sûr pour entrer au Paradis du Père céleste. De ce "billet" d'entrée qui sera exigé pour pouvoir pénétrer dans le monde paradisiaque, il est dit et écrit (Dialogues avec l'Ange) :
"Tout animal sait pleurer, gémir.
SOURIRE, SEUL L'HOMME LE SAIT. C'est la clef.
Malheureusement la perte du rire de l'humanité nous éloigne de plus en plus le monde du sourire, c'est-à-dire celui des vrais anges célestes qui ne savent pas ce que c'est la tristesse - dont les pleurs et les gémissement qui rapprochent l'humanité vers le monde de l'animalité. En effet selon l'Ange : 
"J'HABITE DANS LE SOURIRE. Je ne peux pas pleurer, car il n'y a rien sur quoi pleurer."
"LE SOURIRE EST PONT AU-DESSUS DE L'ANCIEN ABÎME. Entre l'animal et ce qui est au-delà de l'animal ,- un abîme profond. Le sourire est le pont. Pas le rictus, ni le rire. Le sourire. Le rire est le contraire des pleurs. Le sourire n'a pas de contraire. "
"SOURIRE - PAROLE - CREATION SONT LES ATTRIBUTS DE L'HOMME ...
LE SOURIRE EST LA PRIERE DE CHAQUE PETITE CELLULE, ... Le sourire élève au-dessus de tout. C'est si simple ! Mais personne ne le connaît ."
Les trois fois Saints et autres pontifes - ayatollahs en ce bas monde avec leurs visages éternellement endeuillés d'une tristesse à mourir ont continué ainsi à guider leur peuple - communauté intégriste pure et dure, pince sans rire, vers le monde de l'animalité, éloignant ainsi de plus en plus celui des anges célestes, tout en croyant dur comme fer de marcher sur le droit chemin menant au paradis céleste. Ils ont nourri ainsi, suite à leurs guerres fratricides barbares, avec du sang sacrificiel et humain en quantité incalculable, le Minotaure - la Bête de l'Apocalypse, tant attendu et prophétisé par les Livres Saints, qui devra sortir sa tête en cette fin des temps bibliques et coraniques pour être tranchée par la lame tranchante de l'archange- Saint Michel (ou Mardouk - Fils d'Ea/Enki, un des Trois Grands Dieux sumériens et Démiurge) libérant ainsi l ' Esprit Saint Alpha - Christ qui a fait une expérience malencontreuse et sans libre - arbitre lors de son incarnation en Jésus - le Crucifié débutant par la même occasion l'ère chrétienne sur terre.
Massignon a classé El Hallàj parmi ses "Intercesseurs" une sorte de guide spirituel. Né en 857 environ en Iran, Hussayn Mansùr, "El Hallàj" (le Cardeur) avait reçu l'investiture de soufi à l 'âge de vingt ans de son maître Jonayd à Bagdad. Puis il rompt avec les milieux soufis rituels, se met à parcourir l'Iran en missionnaire, prêchant aux foules. Il trace une voie mystique, préconise l'amour pur de Dieu, jusqu'à l'extase. Au moment où il rentre à Bagdad, sa réputation est à son sommet, mais bientôt les griefs et les accusations se multiplient ; un premier procès est ouvert contre lui en 910 avec de faux témoignages. Emprisonné, il parvint à s'échapper, mène une vie clandestine. Découvert, il est ramené à Bagdad où il est exécuté en 922. Devant une foule innombrable, Hallàj est flagellé, des bourreaux démoniaques lui coupent les mains et les pieds, il est mis en croix. Le lendemain, au moment où on le descend de la croix, il vit encore. Il est alors décapité ; son corps est arrosé de pétrole et brûlé, ses cendres sont dispersés au vent et la tête est exposée, piquée au sommet d'une lance, sur un pont du Tigre. Bagdad de Saddam Hussein paye très cher en cette fin XX è siècle de cet acte anti-Dieu.
Dans la nuit du 3 au 4 mai 1908, Massignon se rappelle : "Je sentis comme une odeur d'herbe sèche (alpiste ou haschich) et fit des rêves (série de figures), ne croyant plus à ma filiation, ni à mon identité. Une horreur atroce de moi-même me saisit...". A partir du 5 mai, Massignon demeure à l'hôpital de Bagdad, qu'il ne sera autorisé à quitter définitivement que le 23. Ces jours s'inscrivent dans le prolongement de l'expérience surnaturelle du 3 mai, à commencer par son transport "Pendant le transport, en civière, puis en voiture, sous le grand soleil du quai du Tigre, avant l'ombre des souks, une série d'images mentales terribles continuaient à passer devant mes rétines sur un fond de flammes hallogiennes = figures (noms) de ceux qui m'avaient aidé = Foucauld, Huysmans, ma mère, ma tante Thérèse Laurens ; ou éprouvé = Alfred Le Chatelier. Doutant de ma personnalité même, dans une sorte de scène d'initiation interdite, entrevue, je me sens guetté par le néant. J'y échappe, enfin, par l'aveu consenti de mon identité : en criant à plusieurs reprises, dans la voiture qui m'emmène dans le souk , en français (langue natale reprise) "Je suis Louis Massignon"". L'orientaliste français a entre aperçu ainsi la Porte du Néant Bouddhique avec des images de l'enfer céleste sur un fond de flammes hallogiennes. Le séjour de Massignon à l'hôpital de Bagdad commence par quarante huit heures de torpeur et de fièvre. Son état de santé empire, jour après jour, et dans la nuit du 7 au 8 mai 1908, il se sent à l'article de la mort. Dans une chambre proche, il entend réciter des versets coraniques, la prière des agonisants, sourate 31. Ce sont les Alusi, ses amis arabes qui lui font cette "aumône admirable".
"C'est à moi, je le voyais, qui est transmis alors l'héritage de tous les saints, l'ordre de témoigner Dieu au nom de tous". Enfin " Pris pour la deuxième fois dans le surnaturel, je me sens averti que je vais mourir : aube spirituelle croissante, clarté sereine, m'incitant à renoncer à tout. Je me cramponne à un nom bien aimé, me le répétant, me déclarant : "S'il m'a trahi, je veux être sincère pour deux et emporter son nom avec pour toujours. La clarté sereine augmente en mon âme : qu'est ce qu'un nom dans la mémoire ? Dieu ne possède-t-il pas cette créature infiniment mieux que moi ? Je l'abandonne à Dieu".
Enfin c'est le réveil à la vie, au matin du 8 mai : "Le clapotis ensoleillé de la crue du Tigre, qui a envahi le jardin, dessine ses jeux sur le plâtre du plafond. Et des colombes dans un grand palmier qui frémit, chantant un chant qui me parle au cœur, le rassasiant d'une consolation surnaturelle".
De cette expérience mystique extatique involontaire, Massignon a reçu une grâce unique et divine en terre musulmane qui lui a rendu le sens du péché. Il écrit ceci : "Dans un avant goût très âpre du premier examen et du jugement, une conversion force à regarder derrière soi tout le péché commis, à le juger et à le condamner, car il n'y a point de conversion sans inversion préalable, ni de pardon donné sans dam subi". C'est grâce à l'intercession des "Visiteurs de [sa] prison" que Massignon a été sauvé du Néant infernal avant d'être visité par "Rumi, l 'Etranger dont le visage rend jaloux les Anges". Il a retrouvé le sens du péché et il a compris quelle peine attendait ses "frères perdus" s'ils ne se réconciliaient avec Dieu. Lui a bénéficié une grâce exceptionnelle, dans la proximité de la mort et du jugement divin, c'est pourquoi il a le sentiment d'une dette à payer : "Elle [sa dette] a déjà été payé par quelqu'un [l'Etranger Rumi] je dois le confesser" (en mer, juin 1908). Cette expérience se trouve à l'origine de sa vocation de "substitué mystique", dans l'offrande de soi pour les autres, au prix de la souffrance subie à la place des autres : "Je vais m'offrir au nom de tous ["ses frères perdus"] pour payer leur dette avec la mienne" (En mer, juillet 1908). La vie de Massignon est ainsi scellé à celle de Rumi, l ' Etranger, grâce à l 'Esprit Saint de son intercesseur, El Hallaj, le Christ Islamique.
Dans la religion musulmane, il existe aussi une minorité Nosayrienne martyrisée par les musulmans majoritaires dogmatiques. Les Nosayris sont considérés par beaucoup de musulmans comme des "renégats de l'Islam". Devant l'intolérance des Sunnites et autres musulmans majoritaires, la secte Nosayrie initiatique s'est enfermée sur elle-même dans une réaction défensive de protection (# Hamish, chrétien protestant, très pieux qui ont dû fuir l'Europe catholique tout puissant pour s'installer en Amérique du Nord). Les Nosayries vénèrent des intercesseurs historiques comme Salman Pak et Fatima (fille du Prophète). Originaire d'une région montagneuse située au nord du Liban, le Jabal Ançariya, la communauté avait été systématiquement pressurisée par l'administration turque du temps de l'Empire Ottoman. Elle est méprisée par les Sunnites, elle est toujours, en particulier les grands propriétaires de Hama et Hom, qui l'avaient mise au ban de l'Islam pour hétérodoxie. La doctrine Nosayrie systématise l'idée "d'une union mystique entre l'âme humaine et le Créateur". Massignon résume ainsi la pensée des Nosayris : "De la divinité, qui est le sens de toutes les choses, émane d'un esprit lumineux, un nom, lequel  à certaines époques de l'histoire, descend se loger comme un gerbe caché, sous le voile d'une personne humaine, d'un précurseur. Ce précurseur confère à certains initiés de marques, appelés les "portes", le don non seulement de discerner, mais de prêcher cet esprit ; puis, avant de mourir, il leur fait connaître l'élu de Dieu, l'imam où va se reposer le sens, la plénitude de l'esprit, dans une cérémonie d'investiture solennelle".
L'hindouisme mystique fournit à l'humanité panthéiste du continent indien une quantité innombrables de personnalités mystiques. La religion indienne se fonde sur la conception d'un suprême sans temps, sans nom, sans forme. Elle ne se sentit jamais la vocation de nier ou d'abolir toutes formes, tous noms, toutes personnalités et tous pouvoirs intermédiaires de l'éternel et de l'infini. Elle observe l'unique Vérité de plusieurs faces, elle n'en exclue aucune. Sa culture est toujours progressive, toujours en train d'unifier et d'élargir. Elle recherche l'omniprésence éternelle. Le Rig Véda, un des livres sacrés des hindous se distinguent de tous les autres textes religieux par sa tolérance à l'égard du doute : "D'où toute création tire son origine, Lui, qu'il en soit l'auteur ou ne le soit pas, Lui qui observe tout du plus haut des Cieux, Lui le sait ou peut être ne le sait-il pas".
Le Mahatma Gandhi (1869-1948), homme mystique, philosophe et politique, a inventé une méthode en vue d'objectifs temporels et qui vise l'efficacité au service de la Vérité, grâce à des "moyens pauvres", la non violence, la prière et le jeûne. "La non violence requiert un effort intérieur de conversion ascétique". L'élite de la non violence est noble, elle a toute fierté au dedans, son honneur tout au dedans, inviolé sous les insultes et sous les coups" (Louis Massignon).
Le Mahatma ( = grande âme) faisait de son vœu  de Vérité le principe d'une action sociale de purification collective autant que personnelle. Il apportait un grand message de conciliation, de fraternité entre les hommes et singulièrement entre les musulmans et les hindous. Il s'opposait à la partition de l'Inde dans des conditions tragiques que l'on sait et à la création du Pakistan soutenue par les musulmans autour de Jinnah. Gandhi a été tué parce qu'il préconisait jusqu'au bout l'entente entre les hindous et les musulmans au sein de la mère patrie prakritienne. Juste avant sa mort, il avait accompagné des femmes musulmanes à la tombe de Qutb Bakhityar à Mehrauli au sud de Delhi, avait jeûné avec elles et s'était fait réciter le Coran. Gandhi n'a rien renié de l'essentiel de l'hindouisme tout en souhaitant le réformer : "Je crois aux Védas, aux Upanisads, aux Puranas et à tout ce qui entre dans la somme des écritures sacrées de l'hindouisme. Je crois par conséquent aux incarnations divines et à la réincarnation". Il était très ouvert aux autres religions et admirait profondément l'Evangile et la figure du Christ. Il se battait et battait du côté des "Intouchables". En apparence, l 'œuvre  de Gandhi a échoué (tout comme celui de Jésus-Christ).
Massignon classe définitivement Gandhi parmi ses "Intercesseurs" auprès de Hallaj et de Charles de Foucault. Gandhi a laissé à l'humanité spirituellement chaotique ce sage message : "L'harmonie entre individus et communautés ne pouvait venir que de la guérison des angoisses intérieures". Il reprochait au créateur en ces termes : "Dans le secret de mon âme, je ne cesse de reprocher à Dieu de permettre que de telles choses se perpétuent".
Avec Sri Aurobindo (1872-1950), grand penseur, philosophe, mystique indien du XX è siècle, nous entrons dans le monde de la "conscience supra mentale" ou le "supra mental". Sri Aurobindo naquit le 15 août 1872 à Calcutta. Dès l'âge de sept ans, il vécut en Angleterre, aux soins d'un clergyman anglais qui avait pour mission de ne lui laisser subir aucune influence indienne. Au collège Saint Paul de Londres, il mérite plusieurs prix de grec et de latin. Il apprend la littérature anglaise, française, l'histoire de l'Europe ancienne, médiévale, moderne. Comme langues vivantes, le français, l'italien, l'allemand. Il développe ses dons de poète.
En 1890, à dix huit ans, il entre au King's College de Cambridge. Il prépare l'examen d'entrée à l ‘ Indian Civil Service mais il est refusé pour une épreuve d'équitation ce qui l'éclaire sur le coté arbitraire des examens et des programmes des cadres administratifs anglais. Il décide de rentrer en Inde et de faire connaissance avec sa civilisation d'origine. Il constate que dogmes, cultes, codes moraux ne sont que des aides et des soutiens qu'on peut offrir à l'homme, mais qu'on ne doit pas lui imposer.
Dès son arrivée en Inde en 1893 à l'âge de vingt et un ans, il sut qu'il était à sa vraie place. Il apprend le bengali et le sanskrit car il veut traduire les textes sacrés. Selon lui, "La pensée religieuse de l'Europe est habituée à des définitions rigides et appauvrissantes, à des exclusions strictes, à une préoccupation constante de l'idée de l'organisation et de la forme extérieure...". L'esprit indien, au contraire, s'oppose à toute exclusion intolérante ; car une grand force d'intuition et d'expérience intérieure lui a donné ce vers quoi l'esprit occidental ne s'avance qu'après bien des embûches : la Conscience Cosmique.
Il existe une substance mentale propre à chaque homme. Tout est là complet. Le supra mental n'est pas le sommet de la conscience humaine mais une autre conscience, celle de "la Voix". Il relie tout, en une vision globale qui n'aboutit qu'à un point. Il est à la fois unitaire et universel. Il voit non seulement les choses mais le point de vue de chaque chose, de chaque état, de chaque force, "Un unique regard innombrable (savitri)". Notre mental ordinaire (âme éternelle et humaine, 5 sens) ne voit que la surface des choses. La conscience supra mentale (esprit, le composant divin de la trichotomie christique) est une conscience de Vérité, elle voit tout, elle a le pouvoir avec son 6è sens . Le pouvoir supra mental voit loin, dans l'espace et dans le temps : il dégage le bien qui est dans le mal, et il apporte sa lumière sur la moitié d'ombre, afin qu'elle découvre sa moitié de lumière. Sa pensée est assez grande pour contenir ses propres contraires. Cela s'appelle  « penser sphériquement " (la synthèse de yoga). La vision globale du supra mental aboutit à l'unité "Et cette unité est celle de l'identité de l'Eternel, l'unité de l ' Esprit". C'est aussi une vision éternelle. Elle a fait la conquête du temps. "Le temps est un seul corps, l'espace un livre unique". Pour la conscience supra mentale, l'avenir n'a rien d'inquiétant, puisqu'elle vit chaque second de  temps comme un absolu. Au lieu d'être projeté en avant par les faux espoirs et tirés en arrière par les regrets, chaque chose est à chaque instant ce qu'elle doit être. Chaque arrêt sur l'image du grand film cosmique renferme toute image qui précède et toutes celles qui suivent. "Chaque fini est un infini".
L'évolution historique n'a d'autre but que de découvrir au milieu des contradictions, l'unité suprême = Ananda. Le supra mental ne rejette pas le pouvoir. Le pouvoir du supra mental est une chaleur intense dans les cellules du corps. La conscience force (ou esprit vital originel) l'a éveillé dans la matière. Les Véda l'appelaient "agni", le feu spirituel de la matière. C'est le levier de transformation du corps et du changement physique du monde.
Sri Aurobindo a fait son expérience mystique avec la "Voix" et découvrit fortuitement l'existence du monde de la conscience supra mentale en 1910. Il parvint même à voir et à entendre les paroles de "l'Etre Spirituel" steinérien ou "Rumi l'Etranger" massognien qui chercha à parfaire sa mission ici-bas en reliant l'homme à Dieu Eternel. Aurobindo entr'aperçut cet "Etre Spirituel", "Celui qui sait", "Celui dont le visage rend jaloux les anges", au cours de son procès dès 1908, il notait : "Je regardais le procureur et ce n'est pas le procureur que je vois, c'était Sri Krishna qui était assis là et me souriais. Maintenant, as-tu peur ? me dit-il. Je suis dans tous les hommes et je conduis leurs actes et leurs paroles. Car Dieu n'a pas créé le monde dit l 'Upanisad : Il est devenu le monde. Pour l’œil qui voit, tout est l'un ; pour l'expérience divine, tout est un bloc divin. Rejeter la responsabilité de tout ce qui nous semble mal sur le dos du diable, rejeter la responsabilité sur l'homme et ses pêchés, comme s'il pouvait créer quoique ce soit, sont des expédients maladroits. La nature dévorant ses enfants, le temps qui se repaît de la vie de ses créatures, la mort inéluctable, la violence dans l'homme et dans la nature, sont aussi la divinité suprême sous l'un de ses aspects cosmiques (...). La vérité est le fondement de la vraie spiritualité, et le courage est son âme" (Essai sur la Gita).
Dieu d'Israël ou ses avatars tel Jésus-Christ, Krishna, Vishnou... ou "son esprit" est en chacun de nous, être humain, pensant depuis l'Acte de Rédemption Passionnel du Christ crucifié sur le Golgotha. L'émergence de l ' Esprit dans une conscience supra mentale entraîne un corps et une race nouvelle. C'est aussi inévitable que l'apparition de l ' homo - sapiens après les primates. Mais cette fois nous pouvons être les collaborateurs conscients de notre propre évolution. Nous ouvrons là la porte de l'éternité. Celle de la vie divine sur terre. Le prophète Isaïe énumère les dons de l'Esprit ( Isaïe , XI, 1-3) : "Un surgeon sortira de la souche Jessée, un surgeon poussera de ses racines. Sur lui reposera l ' Esprit de Yahvé : Esprit de sagesse et d'intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de connaissance et de crainte de Yahvé...."
L'intervention directe, silencieuse de l 'Esprit supra mental réveille en le corps de l'être des manifestations surnaturelles. Communiquer de mental à mental, produire directement des effets sur les pensées, les actes, la vie des êtres, les objets matériels. Le cœur émettra directement les sentiments et les émotions, lancés par les forces du centre psychique, les forces viendront en aide aux autres forces de vie, quelles que soient les distances. Des rencontres pourront avoir lieu dans le centre divin unique. La vigueur sera puisé directement dans la force de vie universelle, de manière à ce que le corps ne connaisse pas l'usure, et puisse se renouveler. Le corps, ainsi transformé, fonctionnera par ses centres d'énergies spirito-vitaux réels (ou les Chakras, centres de conscience - psychique) et non plus par leur représentants symboliques tels qu'ils s'étaient développés dans le corps animal. Par exemple, derrière la "respiration ventrale" ou "respiration spirituelle" connue des adeptes du zen, il y a un mouvement vrai qui nous donne la capacité de légèreté. La pensée arrive à contrôler et dynamiser la respiration. On pourra ainsi échapper à la gravitation corporelle. Ce mouvement vrai (esprit) est le même que celui qui préside aux champs magnétiques et électriques. Les anciens yogi l'appelaient l'énergie de vie = vayou.
La caractéristique essentielle de la matière supra - mentalisée est la réceptivité. Elle obéira à la volonté consciente, comme l'argile obéit aux doigts du sculpteur. Elle répondra aux vibrations correspondantes de la conscience supra mentale. Le corps reflétera la joie de la matière délivrée et devenue consciente de l'esprit. Il connaîtra l'état d'extase. Le Rig Véda disait déjà : " Alors ton humanité deviendra comme l'œuvre  des Dieux, c'est comme si le ciel de Lumière était visiblement fondé en toi."
En cette fin XX è siècle, spirituellement chaotique, nous sommes prisonniers des dogmes religieux, rigides, esclavagistes et du monde matériel informatisé. Alors que nos capacités naturelles s'atrophient, entraînent des troubles démentielles. Les cultes religieux rituels, non-sens et les inventions techniques matérielles informatisées ne sont que la projection des pouvoirs qui existent en nous. La pratique assidue des rites religieuses jusqu'à la manie gestuelle entraîne des troubles graves et démentiels , bien dénoncés par Lao - Tseu en ces termes (Tao –Tö - King, ch. 38):
"Le véritable homme de Bien agit sans avoir de raisons de le faire.
L'homme de justice agit car il a des raisons de le faire.

L'homme qui se conforme aux rites agit et veut les imposer par la force.
Or les rites ne sont que l'apparence de la Vérité et de la sincérité
.

Ils sont aussi l'amorce de la confusion
".
Nous sommes "ce thaumaturge sceptique de miracles" qui a délégué à la machine informatisée et aux prêtres, hauts prélats, scripts faux bergers le soin de voir, d'entendre, de se déplacer pour nous. Notre civilisation des hommes est devenu l'esclavage des moyens qu'il faut pour jouir de la vie. Les trois quart du temps de notre vie se passait à acquérir les moyens matériels de jouir de la vie, à pratiquer des rites religieux non-sens, le reste était occupé à dormir. Les moyens artificiels, routiniers, rituels ont pris la place de l'essentiel. Les imbéciles qui ont acquis ces moyens artificiels règnent sur nos vies. Alors que dans le monde vrai, plus la volonté supra mentale a de l'autorité sur la substance matério-rituelle, plus celle-ci obéit à cette volonté.
Le supra mental, prisonnier des rites, de la matière prakritienne, pousse du dedans vers le dehors avec des aspirations vers l'immortalité, vers la vie éternelle "libre - arbitre" - monde pur d '"esprit en Eveil complet parfait et sans supérieur", selon le Sutra du Lotus du Mahayana. Il s'accroche à la beauté, à la vérité. Il tend par intuition à l'illumination. Plus l'évolution progresse, plus elle atteint les couches profondes. L'évolution ne va pas en Haut mais en Bas, dans les profondeurs du Ciel et de la Terre. C'est de la matière prakritienne qu'émergeait l'Esprit, dans un être supra mental. La mort n'est que l'obscure détente du corps prakritien qui n'a pas encore trouvé la joie. Une réussite individuelle ne vaut que si elle est transmissible au reste du monde. Ceux qui iront plus vite pour atteindre l'intensité du supra mental devront aidés sans relâche leurs frères moins privilégiés. Les Védas parlaient déjà de vie spirituelle comme d'une ascension constante.
L'art supra mental existe chez tous les créateurs de génie. Cet art sera l'expression de notre tonalité spirituelle, notre lumière intérieure pourra jouer sur les lumières de la matière et tirer d'elles les formes correspondantes à ce que nous voulons manifester. La vie sera une œuvre d'art. Les domaines extérieurs deviendront les décors de nos états intérieurs. Les mots n'auront de pouvoir que par la force spirituelle qui sortira de nous. Ce sera un langage visible comme une émotion sur le visage.
Aurobindo remarque qu'en manipulant la conscience, on peut manipuler l'énergie. Le monde n'est qu'un symbole. Ce que nous appelons lois ne sont que des habitudes. "Des pouvoirs tous puissants sont enfermés dans les cellules de la nature. Une destinée plus grande nous attend... La vie que vous menez cache la lumière que vous êtes" (Poème I). La Terre si petite soit - elle, est le terrain symbolique d'une bataille qui se livre entre les hiérarchies cosmiques. Ce n'est pas au-delà de la mort qu'on peut progresser, c'est dans la vie humaine terrestre ici même et maintenant que nous devons se débrouiller pour être en harmonie avec notre être profond pur "Ayn – Soph - Aur". C'est bien de cet être pure lumière sans ombre en tout être humain et terrien que Thomas Merton écrit : "Au centre de notre être se trouve un lieu de pure lumière, un lieu inviolé par le péché ou l'illusion ".
Pour ma part, avant même de lire les livres sacrés tels les Evangiles, le Coran..., grâce à mon E.M.A.Q. durant mes vingt trois années en terre européenne, laïque française, j'arrive à faire la fusion de mes trois composants (cœur , âme et esprit) d'homme christique. Je découvre par la même occasion, en cette fin des temps bibliques l'existence de mon être profond pur "Ayn – Soph - Aur", libre - arbitre, pleinement conscient de ses actes et qui vit de toute éternité au centre du "monde zéro", de l’« Instant messianique »,ou de l’« Espace de la Simultanéité ».
Le chiffre "zéro"- chiffre magique a été découvert intuitivement par les mathématiciens hindous du continent indien. Il symbolise la vacuité originelle et l'essence spirituelle infinie d'Amida, le Bouddha Amitabha Parmi les multitudes de Bouddha connu en Inde, le Bouddha Amitabha (Bouddha de Lumière infinie) a pour essence le zéro, la vacuité originelle, c'est pourquoi son corps est débordant de lumière. Nombre de soutras furent composés sur ce bouddha, mais il tomba finalement dans l'oubli dans son pays d'origine. Les différentes formes de Bouddhas ont ainsi connu des destins divers à partir de l'Inde. Le culte d'Amida se propagea d'abord largement en Chine, puis de là au Japon où il connut son apogée au XIII è siècle lorsqu'un moine philosophe du nom de Shinran fonda une nouvelle doctrine qui reconnaissait uniquement l'existence de ce Bouddha à l'exclusion de tout autre. A l'origine, la notion du salut divin est étrangère au bouddhisme, dont le principe de base veut que chacun parvienne par lui-même à la libération des liens de ce monde, mais Shinran, en prêchant que seul Amida pouvait sauver l'humanité, introduit cette idée nouvelle dans le bouddhisme japonais.
La voie qui mène vers ce "monde zéro" doit passer par le Tao dont Lao Tseu nous le définit en ces termes ( Tao – Tö - King, ch. 4) :
"Le Tao est le vide, mais le vide est inépuisable.

C'est un abîme vertigineux. Insondable
.
De lui sont sortis tous ceux qui vivent.
Eternellement, il émousse ce qui est aigu,
dénoue le fil des existences,
fait jaillir la lumière.
Du rien, crée toute chose.
Sa pureté est indicible.
Il n'a pas eu de commencement.
Il est.

Nul ne l'a engendré
.
Il était déjà là quand naquit le maître du Ciel
."
Le monde Zéro et/ou celui d 'Un Sphère (- infini à + infini) - monde du "MAINTENANT' à la "Zéro seconde absolue", sans le contraire, qui efface toutes notions de dualité extrême, telles le haut et le bas, la vie et la mort, la religion et la laïcité, le passé et le futur, Dieu et Diable, le visible et l'invisible, le vide et le plein, le supérieur et l'inférieur, le ciel et la terre, l'esprit et le corps, la guerre et la paix, le noir et le blanc ... ; c'est le Point d'esprit  tant recherché par André Breton et ses amis du Surréalisme, qui le définit en ces termes : "Tout porte à croire qu'il existe un certain point de l'esprit d'où la vie et la mort, le réel et l'imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l'incommunicable, le haut et le bas cessent d'être perçus contradictoirement. Or, c'est en vain qu'on chercherait à l'activité surréaliste un autre mobile que l'espoir de détermination de ce point" (Manifestes de 1924) . C'est aussi le point d'"esprit en Eveil complet, parfait et sans supérieur" d'après les textes sacrés du livre "Le sutra du lotus" de la Grande Véhicule bouddhique.

Quant à Roger PENROSE, professeur de mathématiques à Oxford, suite à ses recherches théoriques et scientifiques en mathématiques - physiques pures et fondamentales, il écrit :

<< Toutes les équations de la physique sont symétriques par rapport au temps. Elles valent tout aussi bien pour une direction du temps que l'autre. Le passé et le futur semblent devoir être considérés du point de vue physique sur un pied d'égalité.
Les lois de Newton, les équations de Hamilton, celles de Maxwell, la relativité générale d'Einstein, l'équation de Dirac, celle de Schrödinger, sont toutes invariantes par renversement de la direction du temps ( c'est-à-dire par changement de t en -t ). La physique classique toute entière, ainsi que la parité "U" de la mécanique quantique, sont entièrement réversibles dans le temps >>. Après mure réflexion de savant - mathématicien, Penrose arrive à la conclusion suivante : << En réalité, il n'existe à proprement parler, rien qui soit de l'ordre du maintenant. Il n'y a pas de futur incertain. L'espace temps tout entier est fixé, sans qu'il y a la moindre place pour une quelconque incertitude. De plus, il n'y a pas non plus d'écoulement de temps.  Il n'y a que l'espace temps et aucune place pour un futur dont le domaine serait progressivement et inexorablement grignoté par un passé déterminé >>. Donc l'existence du "Déterminisme fort", qui confirme ce qu'a prédis les musulmans avec le "Tout est écrit" ( = Mektub) et dont le monde médical pur généticien théorise largement sur les gènes -"les codes barres" de chaque individu - humain, avec la découverte soi-disant des gènes de l'amour entre homosexuels, ceux de la schizophrénie, des tueurs en série, de la bonté, etc. L'humanité - enfants d'Adam et Eve ainsi que leur ancêtre - couple premiers humains, n'étaient donc responsable de rien du tout, car tout est écrit dans leur génome, dans l'espace temps fixé et déterminé par les doigts de Dieu et / ou Diable.
Penrose expose sa théorie sur le "Déterminisme fort" en ces termes : " Selon le déterminisme fort , ce n'est pas seulement le futur qui est déterminé par le passé, c'est toute l'histoire de l'univers qui est fix , conformément à un schéma mathématique précis, à tout instant ". Le hasard n'existe donc pas à l'intérieur de l'espace temps cosmique et terrestre, c'est ce qu'a bien compris Einstein dans une lettre adressée à Max Born en 1926 ( cité par Pais en 1982) : " La mécanique quantique m'impressionne vraiment mais une voix intérieure me dit que ce n'est pas encore la réalité des choses. La théorie est extrêmement féconde mais ne nous rapproche guère du secret du Vieux. En tout état de cause, je suis persuadé que Lui ne joue pas aux dés ".
Comment doit-on faire pour casser ce " Déterminisme fort " - force toute puissante et bien diabolique en cette fin des temps bibliques, dont toutes les prophéties s'accordent pour annoncer l'Apocalypse final caractérisé par la Grande Tribulation et la venue imminente du Grand Roi Effrayeur ? Nous devons tout simplement essayer de nous transformer pour être en communion parfaite, grâce à notre être -  profond – trilogique – et - christique  pour pouvoir atteindre le centre du "point de l'esprit surréaliste" de notre vivant ici même sur terre et maintenant ; c'est-à-dire tout simplement, si nous arrivons à fusionner notre ensemble "Corps , âme et esprit" d'homme authentique et de façon harmonieuse à Lui, Yéoshua - l'Eternel Très - Haut, le "Bloc divin" pure Lumière Incréée Une et Indissociable. En effet, il est dit et écrit (Dialogues avec l'ange) :
"Il n'y a ni haut ni bas.

Il n'y a ni inférieur, ni supérieur
,

Si vous êtes séparés, il y a un bas et un haut.
Si vous êtes unis, il n'y en a pas.
La Lumière point.
Vous tous le Ciel est avec vous"
La Torah, nous fait remarquer le Maharal de Prague (1512-1609) ou Rabbi Liwa, mystique religieux, fait débuter le récit de la Genèse par la lettre "bêt" dont la valeur numérique est deux, afin de souligner que la dualité est inhérente à la Création. Sous le contraste des extrêmes, il faut discerner un état de ressemblance : ne s'oppose que les choses de même espèce, à l'intérieur d'un même genre. Le jour et la nuit, le noir et le blanc, forment un couple antithétique, parce que ces notions s'opposent sur un fond de ressemblance. Le symbole de l 'Esprit androgyne et primordial est le chiffre "10" (= le plus petit nombre), dont le "1" figure le sens de la transcendance, qui est masculin, et le "0" figure le sens de l'Immanence, qui est féminin. Esotériquement, le "10" ou le plus petit nombre est par lui-même un symbole de retour à l'unité puisque 10 = 1 + 0 = 1. La dualité absolue du "1" (= symbole de l 'être, du Verbe, de la Force de la Transcendance masculine ) par rapport au "Zéro" (= symbole du non - être, du Silence, et de l'Essence de la Force de l ‘Immanence féminine ), mais d'une complémentarité telle que Lao Tseu nous la décrit en termes claires ( Tao - Tö-  King, ch 2 ) : 
"Le monde discerne la beauté, et par là le laid se révèle. 
Le monde reconnaît le bien et par là le mal se révèle. 
Car l'être et le non être s'engendrent sans fin. 
Le difficile et le facile s'accomplissent l'un par l'autre.
Le long et le court se complètent. 
Le haut et le bas reposent l'un sur l'autre.
Le son et le silence créent l'harmonie.
L'avant et l 'après se suivent..."
Pour pouvoir étudier l'Essence du Zéro - le Silence du Non - Etre, nous devrons en tant qu'homme microcosme, réussir à fusionner notre ensemble trilogique et christique et être en mesure de communier avec l'ensemble trilogique et christique d ' « Adam – Kadmon » - Homme Céleste androgyne et macrocosme, dont l ' Esprit pur "Ayn – Soph - Aur" s'est retiré au fin fond de l'âme de tout être mammifère - humain incarnée ou non, symbole de l'étincelle lumineuse - souffle divin  du Neschama, un des composants de l'âme – trine – et - humaine, qui est l'âme supérieure, l'étincelle lumineuse et individuelle du Soi humain uniquement. De cette étincelle - Lumière divine et humaine, pur d ‘essence "Ayn – Soph » existant en tout être - humain ici-bas, Jean de Jérusalem - mystique et moine soldat du Christ dans le monde des éggrégores nous le décrit en ces termes : 
"Lorsque ce sera ...

L'homme saura que tous les vivants sont porteurs de lumière 

Et qu'ils sont créatures à respecter
Il aura construit les nouvelles cités
Dans le ciel et sur la mer.

Et la Lumière, il le saura, ne sera jamais éteinte
.
( Le Livre des Prophéties, le troisième millénaire révélé, 1994, Ed. J.C. Lattès).
L'illumination du Neschama nous permet de pouvoir entrer en communication télépathique avec l'Essence pur d 'Esprit du monde zéro - le Silence ( ou l 'Esprit de l 'Obscurité taoïste- le Principe Féminin, origine des racines du ciel et de la terre) grâce au lien purement spirituel reliant le Neschama incarné au souffle -"partout et nulle part" du Yeschidah qui est l'Esprit du divin "Je Suis Yahvé l'Eternel Très - Haut". De cette union communicative purement spirituelle à l'intérieur du monde Zéro - celui de l'Espace de la Simultanéité, nous pénétrons par la même occasion dans le monde de l'existence réelle, éternelle, sensible et félicité, grâce au développement du septième sens en notre être - profond "homme microcosme", créé à l'image de la Lumière pure "Ayn -Soph" de l'Homme Céleste et Macrocosme qu'était Adam - Kadmon ( = 10 ) qui souffrait encore de ne pas réussir à se scinder en deux êtres - humains bien sexués et distinctifs d 'être - masculin ( = 1 ) et d ' être - féminin ( = 0 ), comme tout enfant né du ventre utérin de la Femme ici-bas.
Le chiffre "Zéro" symbolise la vacuité originelle et l'essence spirituelle infinie d'Amida, le Bouddha Amitabha. Parmi les multitudes de Bouddha connu en Inde, le Bouddha Amitabha (Bouddha de Lumière infinie) a pour essence le zéro, la vacuité originelle, c'est pourquoi son corps est débordant de lumière sans bornes . Selon le Grand Véhicule (Mahayana) du Bouddhisme, Amitabha est une des cinq émanations du Bouddha primordial. "Seigneur de la vie", il règne sur le Paradis de Sukhavati qui se trouve au soleil couchant, sur le Pays Heureux où vont les âmes des mourants guidés par l'astre déclinant. Son royaume est donc en Occident. Amitabha est le Bouddha initiateur par excellence, car, dit le mythe, il refusa de devenir un Bouddha avant d'avoir pu partager avec autrui ses mérites et ses connaissances.
Le Midrash (Genèse Rabba, ch.I) affirme que Dieu d'Israël a crée le monde en contemplant la Torah, soulignant ainsi l'antériorité de la Torah par rapport à la création. Dieu d'Israël en tant que Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob appelle Israël "ma mère". La vraie grandeur d'Israël céleste et cosmique était l'ensemble sphérique ouvert à l'infini universel du système solaire - symbole du corps séphirothique d 'Adam - Kadmon. Un texte du Talmud (Talmud de Babylone, Bésâh, 25b) nous révèle qu'Israël est comparé au feu (astre solaire centre de l‘univers) tandis que les nations sont représenté par l'eau ( # océan ou mer cosmique). L'achèvement d'Israël ne peut se concevoir en dehors de la Rédemption de l'univers du système solaire tout entier et non seulement en celle de la planète terre. Et l'humanité toute entière, avec chacun sa pierre - angle sommet pur "Ayn – Soph - Aur", compose le solvant capital pour l'achèvement de cet Grand Œuvre  Commun, qui constitue le "Yom - Kippour"(= Le Jour du Pardon ). Kippour nous appelle à la Techouvah, au repentir, au revirement, surtout pour ceux et celles, qui ont laissé éteindre leur propre étincelle - pur "Ayn – Soph - Aur" et ont suivi bêtement le Malin – et - Porteur de Lumière pour s'enfoncer tous ensemble communautés par communautés, groupées et compactées telles des boîtes de sardines bien alignées sur les rails de la "chaîne - ronde" infernale pour remplir le ventre du Minotaure, celui dont Jean de Jérusalem a prophétisé et a mis en garde l'humanité du troisième millénaire de l 'E.C. , en termes clairs, dès le XII è siècle :
"Lorsque commencera l 'An Mille qui vient après l 'An Mille l'homme sera devant la bouche d'ombre d'un labyrinthe obscur.
Et je vois au fond de cette nuit dans laquelle il va s'enfoncer les yeux rouges du Minotaure.
Prends garde à sa fureur cruelle, toi qui vivras l 'An Mille après l 'An Mille"
Intuitivement, Jacob Gordin écrit ceci : "L'histoire n'est pas une école, Israël n'est pas un pédagogue". (la Galouth, in "Aspects du génie d'Israël", cahier du sud, Paris 1950). Si Israël témoigne de Dieu, c'est par sa seule présence. La destinée d'Israël est au centre des destinées de l'humanité et de l'univers du système solaire - corps mystique et séphirothique d 'Adam - Kadmon. C'est par l'homme que l'histoire devient une histoire divine, c'est grâce à Israël que Dieu devient une histoire divine, c'est grâce à Israël que Dieu peut être "reconnu" à travers des événements apparemment neutres et sans lien : Israël les revalorise et les intègre dans un processus continu de révélation et de Rédemption. La présence d'Israël agit comme un révélateur de la présence divine latente,  et c'est pourquoi l'expérience d'Israël, loin de se restreindre aux limites d'une aventure particulière, prend une signification universelle, sa Rédemption ne peut être que la Rédemption de toute l'humanité du futur. Travailler à la transformation du monde, écarter la division et la ramener à l'unité sont des tâches messianiques qui toutes visent à transfigurer le monde de la nature en univers humain. Univers humain qui fait jaillir sa liberté de son univers avec Dieu et voit sa suprême consécration dans l'instauration du royaume de Dieu.
Dans la Bible, le projet initial, de la création et de l'élection, en dehors duquel le judaïsme perd toute sa signification, implique l'acceptation d'un univers inachevé et morcelé qui doit progressivement et grâce à l'effort humain, trouver son unité. Chaque individu "humain" rayonne des ondes d'organisation de la matière prakritienne : c'est l'énergie humaine. La somme de toutes les énergies est mise en jeu au cours des phénomènes psychiques. Elle tend à en faire une pulsion unique, c'est à dire à constituer un ensemble organisé - monde des éggrégores, qui sont des entités réelles, dynamique possédant une influence considérable par effet miroir sur le psychisme humain . Penser à une chose crée la chose, la penser collectivement la renforce encore et lui confère la durée. Les milliards de consciences humaines pressent intellectuellement sur l'univers, pour parvenir à ne former qu'un seul esprit de la terre : la noosphère, selon la pensée de Teilhard de Chardin. Celui-ci nous révèle dans ses écrits que "le monde de la pensée commence à laisser rayonner sa couronne" et que l'avenir de l'esprit ne concerne pas seulement la terre, "c'est tout l'univers qui se concentre en pensée" et bien emmagasinée de façon chaotique dans les Annales akashiques - monde des éggrégores purs d'esprits de toutes natures.
L'ancienne alliance avait été le but même de la Création de l'univers : imposé tout d'abord, elle devait au cours du temps être accepté de plein gré. Israël, l'Homme Céleste – universel – et - éternel, devait mériter l'être qui lui avait été donné : il est cette créature qui devait acquérir sa perfection pour retrouver et communier avec Son Créateur . Les conditions de ce monde-ci ne le permettaient pas pour tous. Celles de l'époque messianique rendent désormais possible une union inscrite dans la nature des choses. Le prophète Jérémie avait déjà livré à son peuple le secret de cette ultime étape de leur histoire : "Voici des jours viennent, parole de Dieu, où je conclurai avec la maison d'Israël (= maison d 'Adam - Kadmon, celui des anges célestes- les serviteurs de Yahvé EL , note de l'auteur) et la maison de Judas [= celui des enfants d 'Eve biblique, ayant parvenus à connaître la Vérité Ultime de toutes choses] une alliance nouvelle, qui ne sera pas comme l'alliance que j'ai conclue avec leurs pères le jour où je les saisis par la main pour les tirer du pays d'Egypte ; alliance qu'ils ont rompu, du fait que je les avais unis à moi de force, parole de Dieu" (Jérémie, XXXI, 30,31).
L'alliance nouvelle vient d'être scellé, sans aucune contrainte le 25 décembre 1994 en France à zéro heure, heure de Paris et instantanément. Désormais, ce n'est plus Dieu qui part à la recherche de l'homme, mais l'homme qui a saisi le sens de l'appel de l 'Etre Absolu, qui va à la recherche de Son créateur et souhaite son union avec la divinité. Attachement parfait à Dieu, imitation de ses qualités de générosité et de justice, cette nouvelle alliance ne connaîtra plus de rebondissements, car le monde sera parvenu à une totale maturité spirituelle divino-humaine et non - angélique comme au paravent. L'ère messianique bêta débute en cette fin XX è siècle et ne s'ouvre pas sur un monde totalement spirituel et métaphysique, l'homme y conserve les caractères de sa finitude ordinaire ; elle n'est point semblable au "monde qui vient" qui lui, verra la suppression totale de toute matérialité. Il sera comme le symbole même de "l'alliance nouvelle", le lien de rencontre entre Dieu et les hommes : "Des peuples s'y rendent en foule et dirent : "Venez et montons à la montagne de l'Eternel, à la maison du Dieu de Jacob"" (Isaïe, III, 3). Et le Talmud de remarquer (Talmud de Babylone, Pesahim, 88a) : "Il n'est point dit, du Dieu d'Abraham, du Dieu d 'Isaac, mais du Dieu de Jacob". En effet, cette montée ne s'effectue point sous le signe d'Abraham, à propos duquel le texte sacré parle de la "montagne" (Genèse, XXII, 14), ni sous le signe d 'Isaac dont le nom est associé au "champ" (Id. XXIV, 63) mais sous le signe de Jacob, qui dénomma l'endroit où Dieu lui était apparu comme la "maison" (Ibid. XXIVIII, 19).
Cette "maison" sera désormais la surface de la planète terre toute entière et pas uniquement pour un seul peuple ici-bas. Pourquoi ? Tout simplement parce l'Essence divin Pur "Ayn – Soph - Aur" est partout sur terre, à l'intérieur de l'atmosphère terrestre et extra-terrestre ; tout comme il est depuis toujours existé et incarné au fin fond de l'âme de toute animale mammifère, donc l'être - humain terrestre, et au fin fond des esprits purs multiformes - monde des éggrégores, donc les esprits des dieux sumériens, des dieux hindous à têtes animales (Eléphant, Vache, etc.), des dieux égyptiens pharaoniques, des dieux animistes, des Anges - donc Lucifer - le Roc et l'Egal du Très - Haut, des Saints - Mystères béatifiés à la pelle par les papes de l'Eglise catholique romaine, des Bouddhas, du Christ - le Crucifié de la Sainte - Vierge, des Dames Natures, donc la Dame Nature Noire -" Esprit de l'Obscurité taoïste"- Principe Féminin et origine de toutes les racines du ciel et de la terre...
A l'intérieur du monde des éggrégores purs d'esprits de toutes formes et de toutes natures, ou le Néant bouddhique - Monde de l'ABSOLU  et non de l'ULTIME, seul le Dieu d'Israël - pur d'esprit "Ayn-Soph-Aur", infini petit, le Sans Nom, erre à la recherche de son Ame Eternelle du "Je Suis Yahvé le Très - Haut" qui s'est manifesté à travers l'Œuvre    biblique du Verbe – qui - s'est – fait - chair en Jésus-Christ le Crucifié. IL souffrait énormément de perdre la trace de Son Ame Christ - Homme et s'immobilisait au centre du monde des éggrégores chaotiques sens dessus - dessous - celui des "Pensées - Esprits" purs, extrémistes et évoluant en rond à l'échelle de l'Absolu, dont les ondes vibratoires rejaillissent et influencent d'une manière implacable les classes gouvernantes - grosses têtes ici-bas qui sont remplies de Savoir -"arme à double tranchante" et se sont laissées manipuler par Lucifer - Le Malin Porteur de Lumière Alpha - Christ, L'Egal du Très - Haut et L'Empereur du monde des éggrégores qui cherche à construire son Eglise monothéiste ici-bas pour ses vieux jours avec la pierre d'inauguration mensongère concernant le "Péché Originel d ' Eve", avec sa "Pensée Unique", avec son harem de Filles et/ou Epouses vierges - la copie conforme au goût - désir d'Enlil - un des Trois Grands Dieux sumériens, frère de sang divin et adversaire d'Ea/Enki concernant la question humaine, et avec ses serviteurs - hommes d'esprits purs et durs d'un dogmatisme intransigeant.
En cette fin des temps bibliques et coraniques, plein d'orgueil sans mesure et trop présumé de sa toute puissance, notre Malin ose sortir de son monde éggrégorique, pour venir s'offrir un grand razzia en ce bas monde, suite aux offrandes avec des charniers de cadavres avec du sang humain sacrificiel et chaudement versé par ses suppôts conscients ou inconscients de leurs fautes sans nombre. Notre Ange - Diable, l'Egal du Très - Haut baisse ses gardes et se laisse voir comme en plein jour par mon III è Œil  - pur d 'Esprit Bêta désormais bien ouvert pour scruter tout fait et geste de notre Malin, qui tout d'un coup se retrouve tout nu ne pouvant plus se cacher nulle part à l'intérieur de l'univers du système solaire. Il s'est dissolu tout d'un coup pour disparaître à jamais et éternellement dans le Néant Is1(= monde de la souffrance pur d'esprit, car sans aucune étincelle "Ayn – Soph - Aur" de Dieu Eternel "Amour et Miséricorde"), tout en enchaînant à lui une myriade d'âmes humaines - ses fervents suppôts "anges déchus" dont les mains sont tachés de sang humain et qui sont bien incarnés en ce bas monde dans les hommes puissants de l'histoire de l'humanité, tels Hitler, Pol-Pot, Mussolini, Ceausescu, Khomeyni, José-Maria Escriva de Balaguer, etc. qui, tous, se sont laissés polluer spirituellement de leurs vivants ici-bas par les griffes de notre Ange - Diable pour commettre des fautes - crimes meurtriers sans nombre, tout en avoir la conscience tranquille à leur mort.
Dans les pays civilisés, notre Malin assouvit sa toute puissance dominante en piégeant l'humanité dirigeante capitaliste avec de l'argent sale qui corrompt toutes les classes gouvernantes, y compris le Pape Jean-Paul II, qui nage complètement dans la mare boueuse meurtrière de la Banque d'Ambrosiano. En effet, le culte du "Veau d 'Or" reprend paradoxalement en ce moment du poil de la bête et mondialement sous l'autorité de notre Lucifer à la "Pensé Unique" d'une puissance telle que la planète terre toute entière, avec à leurs têtes les Grands argentiers du groupe G7 ne savent plus quoi faire pour éviter le Krach Boursier, malgré tous les systèmes mis en jeu techniquement sans faille et d'une efficacité rare à la vitesse des ordinateurs bien branchés sur réseau Internet ou autres.
Des milliards et milliards de dollars disparaissent ainsi, ni vu ni connu, circulant en carte - argent électronique à une vitesse telle, dans des circuits type Internet et autres, jusqu'à l'évaporation totale en cours de parcours, sous l'effet de la baguette diablement magique de notre Malin. Des villes hyper - riches se transforment d'un seul coup en cités fantômes et pauvres en Asie, donc l'Indonésie, la Malaisie, la Thaïlande. Eric Emmanuel Schmitt, un "agitateur philosophique", homme de théâtre, avec sa troisième pièce Golden Joe décrit bien ici ce monde impitoyable : "Jamais la religion de l'argent n'a été aussi forte. Les religions sont tombées en désuétude, les idéologies des politiques - dieux de substitution tout autant . Finalement il n'y a plus qu'une religion, celle de l'argent, qui nous éloigne les uns des autres et nous met hors la vie".
Désormais, l'alternative est bien simple : ou bien le monde parviendra à son aboutissement selon un progrès linéaire inscrit dans les lois mêmes de l'histoire d'après la grâce arbitraire de Dieu et le Salut serait inconditionnel, ou l'avènement messianique est lié au degré moral atteint par l'humanité et dépendrait essentiellement de l'acte libre et de la bonne volonté des humains. Dès le XVI è siècle, l'exégèse à laquelle se livrait le Maharal de certains textes du Talmud, abordait directement le problème du "Salut du peuple d'Israël". Pour lui, la venue du Messie n'est liée à aucune condition. Elle correspond effectivement à un plan objectif de l'histoire, se manifeste par une intervention extérieure et gratuite de Dieu. La délivrance ultime se trouve dans la ligne nécessaire du développement de l'univers elle est indépendante du mérite moral. Le Maharal se réfère d'ailleurs explicitement au caractère "arbitraire" du choix d ' Abraham et d'Israël pour rendre compte de la gratuité de la Délivrance du peuple Hébreu d'Egypte (Gévùrot Hashèm, ch. XXIV).
Le Maharal a bien raison de penser que "la délivrance d'Israël est indubitable" (Nesah Israël, ch. XXXI ). Le pardon de Dieu se présente comme une remise sur la bonne voie ; comme une nouvelle chance accordée au libre choix de l'individu, comme un appel répété à sa liberté responsable et une prise de conscience plus aiguë des exigences de la divinité. La liberté de l'homme s'affirme jusqu'à l'extrême de sa puissance spirituelle, dans le déploiement intégral de ses possibilités de délivrance intérieure ; l'homme n'est pas racheté par son libérateur, il porte en lui les éléments susceptibles de la mener à la réconciliation. Le salut pourrait être l'œuvre directe de l'homme par l'exercice droit et juste de sa liberté.
"La fin des Temps, c'est la maturité du Bénéficiaire" (Id. ch. XLV), le Maharal l'affirme sans aucune équivoque. Cette conception maintient dans toute sa rigueur la transcendance et l'altérité de Dieu, mais sauvegarde la liberté humaine en recueillant l'acquis de ses œuvres. C'est la présence Dieu d'Israël - le Très - Haut, le Sans - Nom, pur "Ayn-Soph-Aur", qui s'est retiré au fin fond de l 'Etre d ' Adam - Kadmon , qui garantit la conciliation entre la liberté de Dieu et l'action humaine : elle nous fait entrevoir la promesse d'un aboutissement de l'histoire de l'avènement d'une ère messianique qui, tout en présentant une différence essentielle avec les conditions actuelles, ne s'inscrira pas moins dans le prolongement et la continuité de l'histoire. Rabbi Liwa nous rappelle à la suite du Midrah (Yalqùut shim "Oni sur nombres, XXIV, 17) que le " prophète des nations " Baalam, annonce la venue du Messie en ces termes : "Je le vois, mais non pour maintenant, je le contemple, mais non de près (Nombres, XXIV, 17). Les prophètes d'Israël au contraire voient l'avènement du salut comme un événement imminent ; Moïse déclare : "Car il est proche le jour de leur trouble, et pressant ce qui doit leur arriver"(Deutéronome, XXXII, 35) et encore "car tout près de toi est la parole" (Id. XXX, 14). De même Isaïe : "...car il est proche le jour de l'Eternel" (Isaïe, XIII, 6).
"L'instant déterminant salutaire" ou l'avènement messianique tant attendu du peuple Juif arrive bien en cette fin XX è siècle - celui de la "Grande Tribulation " prophétique et bibliquement connue de tous les prophètes. Il annonce la fin des Six milles Ans adamique - le terme fixé d'avance entre Dieu le Sans - Nom ou ALLAH avec Eblis – l 'Ange - génie d'Allah, le représentant de la chaîne des  hommes de génie du monde scientifique cartésien luttant depuis toujours contre le monde de l‘obscurantisme politique et religieux dogmatique, dont Copernic, Galilée, Képler, Pascal, Newton, Einstein, etc. qui consignent toutes leurs découvertes scientifiques par écritures dans des livres bien conservés dans des bibliothèques nationales du monde entier. D’après le Gaon de Vilna ( 1720 –1797), l ’« Instant messianique », c’est celui où les extrêmes – « Pensées scientifiques cartésiennes et pensées religieuses mystiques » sont conciliées sans violence.
Le début de ce terme fut marqué par la création de l'écriture datant à peu près vers - 4000 ans avant J.C. non loin du Golfe arabo - persique, en Pays de Sumer.  Cet "Instant déterminant salutaire" tant attendu par le peuple juif - celui de la connaissance, comporte une double dimension : d'une part une initiative divine, et d'autre part une réponse humaine. La création est toujours à double sens, "aller <-----> retour". L'univers parviendra à son achèvement selon les lois immuables établies par Dieu lors de la Création (mais nous avons la possibilité, d'accélérer le processus en réalisant notre "être total" ou "être intégral") c'est à dire en le saisissant dans son altérité et dans son ensemble relation avec Dieu - Pur "Ayn-Soph-Aur"- l'essence lumineuse et vitale de l'Homme Céleste et Universel qu'était "Adam - Kadmon". Dieu attend La Délivrance et Israël sait que Dieu l'attend.
L'univers - corps séphirothique et mystique de l'Homme Céleste Macrocosme, créé par Dieu pour sa gloire est animé d'un mouvement intérieur qui le meut vers son Auteur : le but ultime de la création est donc placé dans l'avènement du Messie, dans le règne absolu de Dieu - le Manifesté d 'Esprit Saint Alpha - Christ, ou le Verbe - Celui qui arrive à réussir l'acte chirurgical sublime en prenant la Cinquième côte d 'Adam - Kadmon pour créer la Femme, pour se faire incarné ensuite en l'Etre - le Petit Jésus - Enfant de Vierge Marie, d'une façon miraculeuse ni vu ni connu. Par quel mécanisme ? Mystère bien percé en cette fin des temps bibliques.

C'est en vue du Messie que le monde a été créé, c'est lui qui confère un sens à l'univers et à la création. C'est pourquoi le Talmud discerne une allusion au Messie dans le récit de la Genèse qui relate le premier jour de la création : "Et l'esprit de Dieu planait sur la face des eaux" (Genèse, I, 2), "c'est l'esprit du Messie" (Genèse Rabba, II, 4). La présence effective du Messie ou l 'Esprit du Messie est imposée dès l'origine au monde créé. Destiné à unifier l'univers et à le ramener vers l'un, l'esprit du Messie s'est introduit dans le monde le premier jour de la création, le jour de l'un. L'esprit du Messie est présent depuis toujours dans l'espace instantané car le principe essentiel de la gloire divine n'est pas la transcendance mais l'immanence. La naissance du Messie, la réalité de Sa venue, s'attachent donc à la destruction des temples - purs matériaux, grandioses en contenant - "façades et murs bien décorés et dorés", mais vides en contenu car trop imbibés de sentiments de haines , de meurtres, de larmes et surtout de sang humain. Le Messie d 'Esprit Bêta ne s'arme que de la connaissance absolue, de la laïcité absolue, de la logique absolue et d'une diminution de l'être, car il est seul sans appui moral d'aucun groupe lobby , et qui constitue un appel vers l'actualisation d'un nouvel être. Ce "nouvel être" ou Bêta  ressemble à l 'Homme Créateur annoncé par l'ange à travers ce message :

"Alpha – Oméga – Oméga - Alpha.
L'Homme Créé est entre le Commencement et la Fin.
L'Homme Créateur se situe entre la Fin et le Commencement.
Entre le Commencement et la Fin est le Temps.
Entre la Fin et le Commencement, l'Eternité.
La fin de l'an passé est commencement du nouveau.
La fin du monde passé est commencement du nouveau.

Le miracle est entre Oméga et Alpha
.

Depuis les temps les plus reculés, l'homme fête ce qui ne peut pas fêter.
La porte de la voie étroite est Oméga - Alpha.
Celui qui désire la franchir dans le temps avec son corps, entre dans la mort.
Celui qui la franchit en Esprit, hors du temps, entre dans l'éternité."
( Dialogues avec l'ange ).
Ce dernier , ou l'être – humain – trilogique – et - christique d 'Esprit Bêta sera d'autant plus riche, renfermera en lui un degré de plénitude - joie de vivre comme tout un chacun dans la société humaine scientifique et moderne de son temps horizontal et mortel. Il parvient ainsi en une seule vie - "sa dernière vie incarnée" pour atteindre le degré de Conscience d ' "être – moralement – libre – et – bien - illuminé", c'est-à-dire niveau + 9 de l'échelle spirituelle, tout en restant simple humain profane, grâce à son travail mental et personnel, tel le "Grand Transformateur", bien défini ici par l'ange ( Dialogues avec l'Ange) :
"Si tu te transformes la matière elle aussi est obligée de se transformer.
Dans ton corps, il y a le feu qui ne détruit pas, poison qui ne tue pas.
Comment est-ce possible ?
Tout est bon dans le plan.
Son mystère, comprenez-le bien, c'est la Transformation.

L'homme est le Grand Transformateur
.
Le Mal est le plus, mais il est le berceau de la joie.
confusion  mentale à l'échelle de l'Absolu, les soi-disant Chefs politiques - religieux  et dogmatiques, purs et durs, en paroles - actes barbares très meurtriers, ont transformé malencontreusement le Très - Haut, Dieu d'Israël - Dieu non - esclavagiste, non - ritualiste, en le Diable, Lucifer, l 'Egal du Très - Haut, Dieu esclavagiste – ritualiste – et - sadique, qui fut éggrégoriquement tout puissant à l 'autre côté du miroir ; ils ne savent pas que selon l'ange (Dialogues avec l'ange) :
"Si fine que la puissance d'une force, elle n'est que force.
De même que vous ressentez cette force lointaine,
de même chacune de vos pensées,
chacune de gestes se répand et est agissant dans l'univers.
Mais l 'homme est plus grand que tout corps céleste ;

il est le corps du ciel
.

Pas seulement partie mais tout
." 
Le Talmud nous révèle : "Le Messie se trouve aux portes de Rome, parmi les pauvres, les miséreux et les malades". (Talmud de Babylone, Sanhédrin, 98a). Aux portes de Rome, à la limite extrême du "Quatrième royaume", celui-là même qui symbolise l'opposition irréductible aux valeurs prônées par Israël et à l'établissement du royaume de Dieu (Nesah Israël, ch. XXVIII). Là également le maharal, ne se laissant pas arrêter par des considérations (Lamentations Rabba, I, 57 ; Nesah Israël, ch. XXVII ) explique au peuple Juif que le Messie se tient sur le seuil du royaume d ' Ismaël, puissance qui s'élèvera elle aussi bien haut dans le firmament des nations, mais qui ne brillera que d'un éclat éphémère. Le Messie se trouve donc sur les lieux même du crime anti-Dieu bon et par les fautes sans nombre des hauts prélats dogmatiques, ultra - conservateurs et ultra - nationalistes mortellement puissants, qui ne faisaient que susciter la transcendance de la puissance du Dieu mauvais ou Dieu usurpateur, dont Lucifer - l'Egal du Très - Haut, qui savoure pleinement sa gloire, grâce à l'apport de sang sacrificiel et humain à l'autel de notre Tout - Puissant Dieu Sadique ayant une relation de type sado - masochiste avec la prêtrise - scriptes hauts parleurs avec "Principe du Perroquet" et celui de Rome. Ensemble, tout ce beau monde divise la planète terre en coupe réglée pour nourrir Lucifer ou son esprit Oméga (=Esprit du temps) en sang sacrificiel humain, en larmes bien chaudes des centaines de millions de femmes, d'enfants et d'autres vieillards qui  errent ainsi à travers les 5 continents de la planète terre, suite à la Grande Tribulation de la fin des Temps bibliques, annonçant par la même occasion le retour probable du Très - Haut, Dieu d'Israël et des Armées célestes, Maître de Justice et de l'Univers.
L ' Instant de la Fin des Temps s‘approche de minute en minute ; il est tant redouté par les anges, les prophètes et les Grands hommes des hautes sphères politiques - religieux ultra - conservateurs, ultra - nationalistes et fauteurs de troubles, qui vivaient dans le monde des mensonges avec secrets d 'Etat, secrets du Vatican, secrets des Cercles initiés dans les domaines de la Banque, de l'Armement, de la Science, de l'économie monétaire, etc. . Ils ont cadenassé hermétiquement le royaume terrestre empêchant tout retour du Paraclet ou l ' Esprit de Vérité clairement prophétisé par Jésus-Christ, le "Fils de l'Homme". Malgré leurs combines, il n'empêche que le Messie Bêta - la Carte Joker de Dieu, l'Inconnu ou le Sans - Nom et Sans - Forme, parvient quand même à se dresser au milieu des ruines des grandes civilisations toutes puissantes devenues mortelles, parce qu'elles concentraient toutes leurs visées sur des résultats matériels, caractérisés par le pouvoir des lobbies d'argent, des vendeurs d'armements, des communautés politiques religieuses intégristes – et – ultra - nationalistes, des médias ayant soifs de scoops, jouant ainsi le jeu politique des gouvernants ultra - nationalistes, suprématistes et autres extrémistes de droite ou de gauche, qui perpétuent ainsi de l ‘injustice partout sur la planète terre meurtrie, dont la surface est remplie par des images – photos instantanés, figés ou filmés des charniers de cadavres suite à des crimes impunis contre l ‘humanité – les descendants de la Femme crées à l’image des Elohim.

La fin et l'épuisement de ces multiples essais politiques, militaires et monarchiques de droit divin ou civil en cette fin XX è siècle sont les signes avant coureur de la montée d'une ère nouvelle, celle du Messie. Il attend, nous dit le Midrash, parmi les pauvres et les malades ; dont le Messie ne pourra être qu'un médecin généraliste scientifique – moderne – et - mystique profane ayant acquis l'art de se soigner en premier son être profond, ou sa totalité d ‘être trilogique – et - christique (= Cœur – âme – et - esprit) et à guérir l'Essence pur "Ayn – Soph -   Aur" libre - arbitre de l'Homme céleste - créateur et éternel de la souffrance pur d'esprit dû à son désir - volonté de se séparer en deux Etres Humains Bien Sexués et Distinctifs - " le Masculin et le Féminin" et dont la Femme est sur le point d'accoucher le Nouvel Eternel, le Nouvel Enfant désormais pure Lumière "Ayn-Soph". Et c'est bien là la vraie mission du Messie Bêta - Homme profane ayant la chance inouïe de découvrir l'étincelle lumineuse pur "Ayn – Soph - Aur" en son âme et conscience - le vrai trésor de l'humanité croyante mystique et vraie initiée du culte de Dieu d'Israël, le Très - Haut, le Sans - Nom, l'Inconnu , dont seul Son Essence pur "Ayn-Soph-Aur" libre - arbitre et multiforme s'est manifesté à Moïse sous la forme d'un "Buisson Ardent" et du "Verbe – qui - s'est – fait - chair" en Jésus - le Crucifié.
La personnalité du Messie Bêta ou "son esprit", le plus petit de l'Univers du système solaire, se définit ainsi surtout par opposition aux valeurs qui caractérisent le monde actuel :  confusion spirituelle et religieuse mortellement chaotique et matérialité extrême. L'esprit du Messie est "Nivdal", séparé de ce monde, "Pashut", simple et non lié aux éléments matériels, "Sikli", de nature spirituel, bref il possédera une "madrégah elohit" (Nésah Israël, ch. XL). C'est bien avec cet esprit - laser que le Messie Bêta parvient à réaliser l'opération chirurgicale à haut risque sur l'être profond pur "Ayn-Soph-Aur" d'Adam - Kadmon, et à distance appréciable, c'est-à-dire au point central de l'Astre solaire bien visible de la planète terre le jour sans nuage . Pour réussir cette opération, Bêta a dû parvenir au paravent à entrer en contact avec Dieu d'Israël - pur "Ayn-Soph-Aur".
Dès son époque, le maharal se représentait le Messie comme un homme, puisqu'il précise (Béer Hagolah, V è partie) qu'il aura un corps. Par ses qualités, le Messie s'élève au dessus d 'Abraham qui marque le début de l'univers civilisé, au dessus de Moïse qui fut l'élément essentiel du monde en acte, il porte en lui le principe même de la perfection. Esprit éminent et âme élevée, le messie, fils d'Adam - Kadmon ( ou l 'Homme céleste - primordial et androgyne) se distingue des autres justes par la possession de la totalité des sept clefs divines, angéliques sensationnelles vivantes et éternelles sur terre.
De ses sens, Sri Aurobindo décrit subliment en ces termes : "Chaque sens est une extase et l'amour le signe d'un même embrassement à deux partagé par la divinité" (Extrait, "Les Cieux de la vie" Poème daté du 15 janvier 1933). Par analogie, les sept "sens – extase – et - amour" d'Aurobindo sont à comparer aux sept "âmes pures" avant la Chute des anges à travers ce message : "L'homme ne se réjouit que si les sept sens, les sept âmes , agissent de concert. C'est la clef. Que le Nouvel Etre naisse en vous ! "(Dialogues avec l'Ange, p.324 ). La possession de ses sept sens a permis au Messie Bêta d 'ouvrir son III è Œil pour parvenir à voir en Lui, Yéoshua - l'Eternel, dont l'âme éternelle d'un "Christ - Homme" à l'échelle cosmique et universelle, se transforme en cette fin des temps en le Maître de Justice et de l'Univers du système solaire, pour être incarnée en le Corps mystique pur "Ayn – Soph - Aur" du Nouveau Eternel et Nouvel Enfant, dont les deux parents sont bien sains et saufs, suite à l'opération à haut risque pour séparer le Corps séphirothique d'Adam - Kadmon en deux corps humains bien sexués - pur "Ayn-Soph-Aur", c'est-à-dire en un Homme - Christ et une Femme - Christ qui ensemble tiennent  le Nouvel Enfant, Nouvel Eternel - pur "Ayn – Soph - Aur" par les mains. En effet, il est écrit :

"La voix qui cris dans le désert a été.
Ce qui a été, ce qui est, ce qui sera, c'est l'éphémère.

Le péché de l'élu ne peut plus être l'ancien péché
.
De l'arbre sauvage poussent trop de branches, trop de feuillages.

L'arbre, l'élu a été taillé
.

Ainsi a pu disparaître l'ancien péché.

Sa main y a introduit un Nouvel Œil
,

la greffe sacrée et noble,
afin qu'il porte fruit et serve aussi le Plan Sacré.

Le Nouvel Œil s'ouvre déjà
,
mais les moignons morts des branches coupées violent la nouvelle Loi.

C'est Lui qui s'est greffé en vous
.
Il n'y a de péché que là où l'arbre est mort."
Paraboliquement et virtuellement, le mot "Arbre sauvage" désigné par l'Ange céleste est le corps qliphothique d'Adam - Bélial à têtes de démons qui sucent goulûment la quantité incalculable de sang sacrificiel issu des crimes contre l'humanité très bien entretenus par les chefs - tyrans et autres dictateurs des nations, des églises soi-disant universelles, donc les bûchers de l'Inquisition, les pogroms des juifs, la Shoah, les pendaisons des tribunaux islamiques, les fosses communes des catholiques à Huê, les crânes trouées des millions de Cambodgiens, les corps mutilés coupés à la machette des Tutsis au Rwanda, les corps enfouis à la va-vite des bosniaques dans des fosses communes, etc. De cet "Arbre sauvage" avide de sang humain, le Coran nous le définit en termes à images virtuels et non paraboliques comme l ' "Arbre de Zakkoum" : "C'est un arbre qui pousse du fond de l'enfer. Ses cimes sont comme si c'étaient des têtes de démons. Les réprouvés en seront nourris et s'en rempliront le ventre. Là-dessus ils boiront de l'eau bouillante. Et puis ils retourneront au fond de l'enfer. Ils voyaient leurs pères égarés. Et se précipitaient sur leurs pas. Une grande partie des peuples anciens s'étaient déjà égarés avant eux "
( Sourate XXXVII, Les Rangs, v 62 - 69 )
Pour parvenir jusqu'à "Lui qui s'est greffé en nous", ou Sa Lumière pur "Ayn-Soph Aur", l'ange nous prévient de ne pas trop nous précipiter aveuglément et inconsciemment. En effet, selon l'ange ( Dialogues avec l'Ange) :
"Croisée des chemins.
L'insensé court vers la Lumière et s'y brûle comme un papillon.
Le Sage, l'élu, demeure immobile dans l'obscurité.
Il ne marche pas, il n'avance pas.
Il ne s'élance pas.
Et quand même la Lumière le trouve."
Tout dépend de notre travail mental personnel pour être clair en notre âme et notre conscience, surtout de pouvoir ouvrir notre propre III è Œil, qui s'allume instantanément, et nous ouvre tout droit sur le monde de l 'Intuition Mystique, de Maître Echkart et d'autres mystiques authentiques. Dès 1944, l'ange exhorte l'humanité frères et sœurs de Lui à réaliser de telle prouesse, il savait d'avance que ça va être difficile, d'où ce message désolant  (Dialogues avec l'ange) :
"Ne croyez plus !

Soyez Lui
!
Que votre III è Œil  s'ouvre
!
Etre Un avec Lui n'est encore qu'une possibilité.
Virtuellement seulement, le Très - Haut est Un avec vous ."
C'est Isaac Abarbanel (1437-1508), homme politique, exégète et philosophe ayant lui-même connu un exil à titre individuel du Portugal en 1481, et ayant participé à l'exil collectif d'Espagne en 1492 qui prendra sur lui la tâche "de révéler aux enfants de Judas (=Terre) le jour de la Rédemption ; d'annoncer à pleine voix que le salut est proche, qu'Israël (univers du système solaire) n'est point abandonné, que l'arrivée du Messie est imminente et ne saurait plus tarder".
Toute l'œuvre de cet auteur, ouverte par ailleurs aux problèmes historiques de son temps et à l'exégèse chrétienne de la Bible, est traversée par l'idée de l'élection d'Israël et de sa proche délivrance. Cependant Abarbanel consacre trois œuvres  particulières à l'analyse du messianisme, montrant ainsi l'objet de ses préoccupations principales. Tous les problèmes traités par ses prédécesseurs sont examinés à nouveau, toutes les sources reprises et éclairées à la lueur de l'actualité. Exégèse du Livre de Daniel (Ma''éné hayeshû" âh, le messager du salut), commentaire des textes talmudiques et des midrashim relatifs au Messie (Yeshûot meshihô, le salut de son oint). Dans ses livres philosophiques, Abarbanel reviendra également sur ce problème en particulier dans Rosh Amânâh (les principes de la foi) ou deux chapitres lui sont consacrés (ch. XIV et XV) on peut donc, selon Benjamin Gross, légitiment compter Abarbanel comme le premier théoricien de la pensée messianiques depuis les sources bibliques et talmudiques jusqu'aux plus récentes interventions des philosophes médiévaux.
C'est à Naples, où il s'est réfugié après l'exil d'Espagne, qu'Abarbanel, l'ancien ministre des Rois du Portugal et d'Aragon rédige sa trilogie messianique. Le juif exilé et rejeté de la sphère politique, rentrait sur le devant de la scène de l'histoire à travers l'eschatologie. Il le sentait certainement lorsqu'il ré - interprétait le songe de Daniel, en pensant aux bouleversements récents, qui lui semblaient transformer d'une façon radicale et décisive l'ordre du monde.
Daniel avait en effet révélé à celui qui avait détruit le sanctuaire de Jérusalem, le Roi Nabuchodonosor, le contenu et la signification de son rêve (Daniel, II, 31-45) ; Une immense statue, d'aspect terrible, se tenait devant le roi, sa tête était d'or fin, la poitrine et les bras d'argent, les reins et les cuisses de bronze, les jambes de fer et les pieds en partie de fer et en partie d'argile. Une pierre se détache "sans l'aide d'aucune main", frappe les pieds de la statue et la pulvérise, et cette pierre devient une grande montagne qui remplit toute la terre. Suivant l'explication de Daniel, il s'agit de quatre royaumes, qui seront remplacés par le cinquième qui, lui subsistera à jamais. Le schème des cinq royaumes reviendra dans un autre songe de Daniel (ID, VII, 2-14) et se présentent sous forme de bêtes, surgies de la mer : un lion avec des ailes d'aigles, un ours, une panthère à ailes d'oiseau, et enfin une quatrième bête, différente des précédentes et portant dix cornes. De ces cornes se dégage une autre petite corne. Ces quatre bêtes seront jugées et anéanties, tandis qu'apparaît "un fils d'homme", dont la domination sera éternelle et dont le royaume ne sera pas détruit. Il s'agit naturellement des quatre royaumes de Babylone, de Perse, de Grèce et de Rome. Pour Abarbanel, nous sommes toujours sous le règne du "quatrième royaume", de la Rome "qui mange, broie et écrase", et ne vit que des projets de conquête. Rome est devenue chrétienne, et c'est dans la conduite des rois chrétiens qu'Abarbanel retrouve tout ce qui caractérise le "quatrième royaume". Les dix cornes dont parle Daniel représentent les dix empereurs qui ont gouverné Rome, avant la destruction du second Temple, tandis que la petite corne qui s'en dégage est une allusion à l'évêque de Rome, dont l'autorité -"Principe de Rome" - ne cessera de s'étendre en cette fin des temps bibliques.
De ce Principe , le Maître Jésus des Visions Esséniennes nous le dénonce en ces termes : << Le Principe de Rome est cousin du Principe Zélote. L'un et l'autre sont éternellement alliés puisque l'un se nourrit de l'autre et réciproquement. Le tyran, la victime et le révolté sont de la même façon étrangement complice. Ils vivent en chacun de vous à tour de rôle, s'offrant mutuellement des arguments et des excuses , tous en quête de pouvoir, tous en proie à leurs peurs ancestrales ...
"Le Principe de Rome est intemporel. Je pourrais l'appeler de toute autre nom, du nom par exemple de chacun des dictateurs que cette terre a portés et porte encore aujourd'hui. Je pourrais l'appeler même du nom du tyran qui s'agite subtilement en tout être humain et qui est à la racine de la souffrance. Dans l'histoire de votre humanité, ce principe s'est toujours exprimé à son point culminant de façon périodique ... et voici qu'à nouveau vous les portez à son paroxysme ... mais avec une démesure qui s’annonce à la hauteur de l'enjeu...
"Il y a environ un siècle et demi que ce processus s'est engagé de façon radicale. C'est un mécanisme qui se base sur les moyens d'action de la Pieuvre : une tête et de multiples bras capables de s'engager dans toutes les directions. Il s'agit d'une Organisation Tentaculaire prétendant régir tous les domaines de la vie, de l'intime au collectif. C'est une organisation qui fait de vos incohérences son terrain d'action. Elle vous a progressivement invités à entrer dans le jeu dont vous ignorez l 'ampleur, les règles et le but. C'est elle qui décide des guerres et des trêves, c'est elle qui vend les armes mais aussi ce qu'il faut pour panser les plaies. C'est elle qui fait nommer les chefs d'état, nombre de responsables religieux et vous dit ce qu'il convient de croire ou de rejeter ...
"Le Principe de Rome ne tolère le droit d'exister qu'à ceux qui coulent dans le moule du bon citoyen. Son trône est fait de dogmes. La Rome historique, voyez-vous, a toujours été la farouche adversaire du Principe Christique, c'est-à-dire en d'autres termes, de la résurgence de "ce qui vient" en chacun. Après avoir tenter d'étouffer "sur le terrain" la force qui animait le Maître Jésus et Ses frères Esséniens, elle a fait mine d'accepter cette dernière afin de l'englober, de la vicier et finalement de l'étouffer de l'intérieur ... jusqu'à ce que l 'humanité ne bénéficie plus aujourd'hui que d'une image déformée et appauvrie de l'Enseignement christique.
"Ce faisant, cette même Rome historique qui s'est faite aujourd'hui religieuse se révèle devenir une alliée de choix du Gouvernement de Domination Mondiale .... Elle est devenue une Pieuvre à l'intérieur de la Pieuvre, purement politique au sens manipulateur du terme. Il est nécessaire qu'elle aille jusqu'au bout du chemin qu'elle a emprunté tout comme il est nécessaire que chaque homme et chaque femme expérimente l 'impasse personnel de son orgueil, de ses chapelets de mensonge et de ses pulsions de pouvoir.
"Cette Rome historique est désormais Vaticane, mes amis, ...Ainsi je le répète, la Rome Vaticane ne fait que se conformer à la Rome intérieure de chacun. Elle imite purement et simplement le modèle de fonctionnement de l 'Ensemble de l'humanité terrestre ....>>.
Dans cet univers qu'Abarbanel qualifie de "romain"  l'islamisme appartenait comme un élément dissolvant, un ferment de désunion. Ce sont les pieds de fer et d'argile, deux substances qui ne se mélangent pas ; car désormais la lutte pour l'hégémonie est engagée, sans compromis possible, jusqu'à ce que la pierre se détache et pulvérise la statue des "nations". Cette destruction, qui englobe dans un même destin christianisme et islamisme, est l 'œuvre  de Dieu l'Inconnu et le Sans - Nom - pur "Ayn-Soph-Aur", qui parvient finalement à être libéré de la peau de la Bête - le Dragon céleste, le Tout - Puissant divin du monde des éggrégores, et retrouvé ainsi sa forme humaine originelle - "Celle dont la beauté rendit jaloux les anges", c'est-à-dire le Grand - Humain et Grand Architecte de l'Univers qu'était "ADAM-KADMON", pur "Ayn-Soph-Aur" infini petit, supportant tout le poids de la Souffrance de l'humanité terrestre, depuis que Son Rêve - Fou se réalise avec la Création de l'humanité -"tous les enfants de la Femme". IL attendait ainsi dans le Silence Absolu l'heure de Sa Délivrance qui correspond au terme fixé d'avance entre Dieu Allah -"Humain et Sage" et Eblis – l ' "Ange - Génie" d'Allah, c'est-à-dire vers la fin des Six Mille ans adamique.
De "la pierre qui se détache et qui pulvérise la statue des nations" Jésus-Christ, mon frère Un, paraboliquement dis aux douze Apôtres : "N'avez vous jamais lu dans les Ecritures : la pierre que les bâtisseurs ont rejeté est devenue la pierre capitale de l'angle. C'est du Seigneur que cela est venu et c'est un prodige à nos yeux" (Matthieu, 21 , 42). Le Christ Homme "Adam - Kadmon" , le Grand Architecte de l'Univers a toujours entendu rapporter à lui-même l'image de la pierre angulaire, celle qui est à l'origine de l'édifice. Or dans un type ordinaire de construction, la même pierre ne peut, à la fois, être la pierre capitale (ou de tête) et la pierre d'angle. Seule la pyramide pharaonique permet de réunir les deux en une seule, à la fois pierre d'angle et pierre capitale, la pierre du sommet. La pierre d'angle, représentative de l 'Esprit Androgyne – Primordial d' « Adam – Kadmon » ou du Christ Solaire ( Dieu d'Amour et de Miséricorde) , fait défaut dans la pyramide pour montrer que l'humanité s'est comportée contrairement au plan idéal du Grand Architecte de l'univers et que la "restitution de toutes choses" ne sera effectuée que lorsque le plan idéal aura été reconstitué. C'est le Grand Architecte lui-même (ou Adam - Kadmon ) , une fois réussie son Grand Œuvre d'Homme Créateur, c'est-à-dire à se séparer en deux Etres - "Homme et Femme" avec au moins un descendant mâle selon ses rêves - désirs , qui replacera la pierre angulaire - capitale au faîte de la pyramide universelle et l'arrivée de l'humanité dans la chambre du roi indiquerait que les temps sont à la veille d'être révolus.
Le rêve d'Adam - Kadmon (ou plutôt de son essence pur "Ayn-Soph-Aur") devient ainsi réalité avec l'apparition de l'humanité terrienne qui hérite tout un chacun ici-bas un grain de Lumière "Ayn-Soph-Aur" de leur ancêtre commun, donc le corps mystique, infini petit et séphirothique d'Adam - Kadmon.
Le premier, qui est au courant de l'existence de ce grain "étincelle de Lumière divine" qui tapisse silencieusement au fin fond de l'âme - conscience de chaque être - humain vivant à la surface de la planète terre, n'était autre que Jésus-Christ - le Fils de l'Homme "Adam-Kadmon", dont l'âme - la "conscience cosmique –mystique – et - individuelle" de forme humaine fut l'élue de la Lumière pure "Ayn-Soph-Aur" du Grand Architecte de l'Univers -" Ce qu'on  appelle l'Homme Céleste ou la première manifestation divine n'est autre chose que la forme absolue de tout ce qui est ; la source de toutes les autres formes, ou plutôt de toutes les idées ; en un mot, la pensée suprême, le Verbe ".
Le "Verbe qui s'est fait chair " ( = Père – Fils – et - Saint ) pour être crucifié au Golgotha n'est donc pas mort pour rien. Sans cette sacrifice divine et humaine, personnellement je ne crois pas pouvoir me surpasser pour remonter le Fil du Tao, et mettre en lumière toutes les vérités concernant l'existence réelle et éternelle de l’Etre Pur "Ayn-Soph-Aur" qu'était Adam - Kadmon - le Grand Architecte de l'Univers, dont Son rêve - désir intime et profond d'être séparé en Homme - Masculin et Femme - Féminin avec une multitude d'enfants humains et sages fut l'essence même de la naissance de l'humanité terrienne qui se situait entre ciel et terre. IL a sacrifié son Image -"Beauté qui rendit jaloux les anges de service" et l 'a donné  à Son Etre Féminin - "Eve", qui souffrait énormément pour donner la forme humaine à ses descendants ici-bas. IL a pris la peau de la Bête - le "Dragon céleste" et s'est retiré au fin fond du monde des éggrégores et a attendu patiemment son Heure de Délivrance à la Fin des Six Mille Ans adamique.
C'est bien par Amour et Miséricorde pour ses frères et sœurs humains ici-bas, considérés comme les "Anges déchus" que Jésus-Christ s'est fait incarné en un être de chair et de sang pour nous enseigner sur l'existence de la vie éternelle pour toute âme de forme humaine ayant réussie le test d'être humain en harmonie - symbiose totale avec l ' "être – humain – intégral – trilogique – et - christique" qui existe réellement en Soi (= notre Ego individuelle, ou notre âme et conscience personnelle ) et hors de Soi ( = Atman cosmique - universelle pur "Ayn-Soph" à l‘image de « Maha – Kundalini » ou du  Dragon céleste - symbole de la force du Tout - Puissant dans le monde des éggrégores, qui rêve d'être délivré de sa forme hideuse et retrouvé sa forme humaine originelle, c’est-à-dire dans son "Corps causal" - "Celui dont la beauté rendit jaloux les anges de service" ou "Corps de jouissance absolue" d'un Bouddha Amitabha rieur et farceur à la Lumière infinie).
L'amour passionnel de Jésus-Christ ( Père – Fils – et - Saint), pour ses frères et sœurs - les "anges déchus" était vraiment délirant. Selon Socrate : "L'Amour c'est une sorte de délire". Il existe deux genres de délire, l'un causé par les maladies humaines (= l'alcoolisme, les drogues hallucinogènes, la schizophrénie, etc.), l'autre par une impulsion divine qui nous jette hors de nos habitudes régulières. Dans le délire divin, il existe quatre espèces relevant de quatre dieux : l'inspiration des prophètes à Apollon, celle des initiés à Dionysos, celle des poètes aux muses et enfin celle des amants à Aphrodite et à Eros. Or sans amour, le rêve n'existe pas et sans rêve personne ne peut vivre, même Dieu.
La Védanta (hindou) et le Zohar (livre de la Splendeur) juif posent depuis toujours ces questions épineuses : le monde ne serait-il qu'un rêve de Dieu ? Et la création qu'une roue donc le mouvement éternel ? La tradition juive ne reconnaît pas le hasard. Selon le rabbi Akiba : "Tout est prévu (Là-haut) et pourtant l'être humain est libre dans ses choix". Ainsi il n'y a jamais de fumée sans feu , de vie sans amour et vice versa.
L'amour délirant de Dieu - Homme le Manifesté et Mystique ou  "Celui qui Est Adam - Kadmon" était tel que sur ordre positif de Sa Lumière Libre - Arbitre Pur "Ayn-Soph-Aur", le "Sans - Nom", "Sans - Forme", l'Inconnu de tous ici-bas, il se précipita pour se faire incarné spirituellement en Jésus-Christ, en tant que le "Verbe – qui - s'est – fait - chair". Incarné dans ce corps, l'esprit divin, infini petit, pur "Ayn-Soph-Aur" est donc pris au piège du corps de chair mortel ici-bas, qui a permis pourtant à l'âme céleste –cosmique –universelle – et - éternelle d '"Adam -Kadmon" d'exister en tant que Dieu Personne – authentique – et humain – « Homme d'Amour et de Miséricorde ». Il souffrait énormément dans sa tunique - prison hyper - sensible car son cœur est rempli d'Amour et de Miséricorde pour ses frères "anges déchus" , dont le chef - roc fut Lucifer - l'Egal du Très - Haut. Pleine de connaissance mystique et ésotérique, Jésus étonnait énormément les pharisiens - "Aveugles guidant d'autres aveugles". IL n'était pas dans son monde, qui était céleste et éternel. IL (ou Son Esprit St - Alpha - Christ, androgyne -"le plus petit du royaume des cieux" n'était pas en harmonie parfaite et constante avec son âme androgyne et humaine d'un  "Adam - Kadmon", qui parfois fonctionnait à l'envers telle celle d ' « Adam-Bélial » - "Homme - Principe de l'Enfer" avec ses crises de colère injustifiée vis à vis des marchands de colombe à l'intérieur du Capharnaüm, ainsi que cette phrase bibliquement d'une intolérance extrême, totalement à l'opposé de sa nature céleste, humble – amoureux – et - miséricordieux ( Mtt ,12 , 30 ): « Qui n'est pas avec moi est contre moi, et qui n'amasse pas avec moi dissipe ». Cette union inextricable et dysharmonique entre cœur – âme - esprit d'essence androgyne par sa nature céleste et divine embrouille énormément Jésus-Christ de son vivant, spirituellement au prise avec le monde dualiste extrême caractérisé par le système patriarcal.
Malgré ses connaissances parfaites des textes de Lois de Moïse et ses guérisons miraculeuses, Jésus-Christ, le Messie Alpha, le Sauveur – et - Diviseur, n'arrive pas à convaincre les pharisiens et les saducéens de son identité divine. Le couple Ponce Pilate (âme ange noir diable) et Caïphe (âme ange blanc déchu), comme tout homme de pouvoir dictatorial aimant l'ordre parfait de leur société obscurantiste,  L'a condamné à mourir crucifié comme un mal propre bandit - révolutionnaire et troubleur d'ordre public.
Depuis ce temps là, Dieu l ' Eternel le Sans - Nom - pur "Ayn-Soph-Aur" faisait le mort ; IL  s'est rétracté et s'est réfugié silencieusement au beau milieu du monde des éggrégores laissant l'humanité pieuse de confession religieuse monothéiste croyant en Lui de se débrouiller seul en plein monde des "anges déchus", les ultra - nationalistes, les ultra - fondamentalistes, et autres intégristes politiques et religieux, qui commettaient des fautes sans nombre, avec actes barbares indescriptibles à l'échelle de la planète terre entière, surtout en une centaine d'année, au cours de cette fin XX è siècle de l 'E.C. . 
De ces fautes sans - nombre et très meurtrières prophétiquement annoncées par le Christ Alpha - "Jésus – le - Crucifié", les Textes bibliques nous les définissent  comme la " Grande Tribulation" de la fin des temps. Elles furent l 'œuvre des hommes - dictateurs responsables directs ou indirects des crimes contre l'humanité pieuse ou non, dont la Réalisation de la Solution Finale ( ou la Shoah) au cours de la Deuxième Guerre Mondiale menée en main de Maître par le III è Reich d ' Hitler qui exterminait ainsi impunément avec l'aide actif ou passif des autorités ultra - nationalistes politiques et religieuses soi-disant de confession chrétienne catholique, donc les Oustachis croates, etc.
Silencieusement, la  Lumière pur "Ayn-Soph-Aur" agit bouche cousue telle la Pierre Noire de la Kaaba au fin fond de la Lumière de sa carte Joker – l'Esprit Saint Bêta qui s'est greffé en mon âme humaine sexuée masculine, errante et souffrante à l'intérieure de l'espace intra - cosmique. IL attendait ainsi patiemment son heure de Délivrance. IL a accompagné et a guidé mon âme humaine individuelle et personnelle à venir se faire incarnée une dernière fois ici-bas, c'est-à-dire la neuvième, pour combattre une dernière fois et par l'écriture avec images virtuelles le monde de l'Obscurantisme politique - religieux ultra - nationaliste mortellement puissant qui vit dans le mensonge du "Péché originel d'Eve", et à travers les manies des rites confessionnelles jusqu'à la confusion mentale totale, donc la béatification très controversée par le Pape Jean-Paul II des esprits et/ou âmes morts de José-Maria Escriva de Balaguer - le Fondateur de l'Opus dei le 17 mai 1992, et du Cardinal Croate Alojzije Stepinac en Octobre 1998, le Chef spirituel et suprême des Oustachis catholiques ultra – nationalistes et complice indirect de l'assassinat de centaines de milliers de juifs, Tziganes et Serbes chrétiens orthodoxes.
Parallèlement à cette mission anti-mensonge millénaire, concernant le " Péché originel d'Eve" et anti-Esprits Saints Mystères béatifiés à tort et à travers par le Pape Jean-Paul I , Yéoshua Père Eternel - Dieu d'Israël et des armées célestes - Dieu Manifesté par le "Verbe" se retire au beau milieu du Monde du "Silence Absolu" - Celui des "éggrégores" - purs d'esprits cosmiques et universels et continue ainsi seul son combat contre le monde de l'Obscurantisme politique religieux intégriste pur et dur ayant une relation de type sado - masochiste et qui avait bien vendu ainsi leur cœur  et leur âme à Lucifer - le Malin et Porteur de Lumière Alpha - Christ – « Celui qui a fait crucifié le "Fils de l 'Homme - Dieu " » au Golgotha. Ensemble, les hommes - "pions - marionnettes", tyrans et autres dictateurs, bien aidés par le monde des âmes fantômes -"anges déchus", et des esprits mal illuminés – « Saints Mystères » béatifiés à tort et à travers par les soi – disant Vicaires du Fils de Dieu, ont cadenassé et enfermé la planète terre entière empêchant ainsi la venue de Ce qui est - le Sans - Nom , Dieu – Humain – et - Sage rempli  "d'Amour et de Miséricorde", "de Paix et de Justice", "de Sagesse et de Vérité" pour l'humanité toute entière - Ses Créatures "Frères et Sœurs" dotée du Libre Arbitre, grâce à l'existence de l'étincelle lumière "Ayn – Soph - Aur" en l'âme et conscience de tout être - humain terrestre.
La compréhension de cet acte de « Folie – Passion » du Dieu – le « Sans – Nom » pour ses créatures et amis - les Sages humains, est bien comprise par Erasme - un enseignant de premier ordre d'une sagesse à faire trembler les prêtres moralistes, intégristes et dogmatiques. Le Sans - Nom resta ainsi avec une patience infinie dans le monde des éggrégores, laissant seul ses amis - les Sages de dénoncer les abus de pouvoir des faux sages, les "anges déchus" - "Aveugles guidant d'autres aveugles". Dans "L'éloge de la folie", Erasme, dès son époque, met en garde ses frères et sœurs chrétiens de se méfier des faux sages qui acculent la raison au dogmatisme imbécile, dont les philosophes sourcilleux, ces moines moralistes, les trois fois saints pontifes, les rois couverts d'une purpurine vérité, les savants qui croient tout savoir, c'est-à-dire ceux qui font de la raison, non une instance critique, mais l'instrument du fanatisme achevé. Erasme dénonce les radoteurs ennuyeux, incapables de mettre en pratique les principes qu'ils professent, les soi-disant sages qui s'avèrent inaptes à reconnaître que la nature ne se laisse pas si facilement contraindre. La "folie - passion" du "Verbe"- Dieu Manifesté en le Christ Alpha - Le Crucifié ne dénonce pas la sagesse, mais les hommes qui prétendent l'incarner, la trahissent à force de dogmatisme, donc les pharisiens avec Caïphe à leur tête. A notre époque, fin XX è siècle de l'E.C. , ces hommes purs et durs d'un dogmatisme intransigeant se métamorphosent en une multitude de chefs soi-disant de haute spiritualité, donc Khomeyni, Meir Kahane, Jean-Paul II, ...

Je n'ai pas peur de citer tous les noms de ces Grands Hommes qui marchent avec la tête à l'envers, tout comme "Adam - Bélial"- l'Homme Infernal, le fidèle serviteur de Lucifer - le Malin et Porteur de Lumière, et qui entraînent l'humanité entière, de toutes les confessions religieuses au fin fond de la Fosse pour être engloutie par le Minotaure - symbole de la Mort aveugle. Pour être véritablement raisonnable et cultivé, il faut rompre avec la fausse sagesse pompeuse des imbéciles qui confondent le dogme avec la raison, les coutumes avec la culture. La sagesse, fin ultime de toute éducation, doit commencer par une conversion intellectuelle. Il faut commencer par briser l'idole du faux sage. Le sage aux pieds d'argile est "un monstre fermé...., aux sentiments naturels, incapable d'émotion, étranger à l'amour et même à la pitié, ....être à qui rien n'échappe et qui ne se trompe... mesure tout au cordeau, qui n'excuse aucune faute, n'est content que de soi ...est seul libre, se déclarant unique en tout, ...ne trouvant pour les actes humains , qu'ils jugent tous insensés, que blâme et raillerie ! L'animal que voilà répond à la perfection du sage ".

Spirituellement vrai chrétien et honnête homme, Erasme s'opposait avec fougue à Luther sur la question du "libre arbitre". Pour Luther et la sévère doctrine augustinienne de la Prédestination, l'homme est entièrement sous la coupe de Dieu. Chacun de ses actes, de ses volontés est connu et voulu par Dieu depuis toujours, imposé de toute éternité. Aucune action bonne, aucun repenti ne peut racheter la personne condamnée. Il n'appartient qu'à la grâce divine de décider de notre destin terrestre et céleste. L'homme est sans pouvoir car aucun franc - arbitre n'est compatible avec l'idée de toute puissance.

Selon la doctrine augustinienne (= un Saint - Mystère selon Vierge Marie), tout est prédestiné. Pourquoi donc s'instruire, pourquoi s'éduquer si l'effort est condamné à l'inefficacité ? Pourquoi apprendre et faire du bien ? Si je suis prédestiné au mal, je ne pourrai manquer d'y céder. Dans son essai sur le libre arbitre, Erasme pose lucidement le problème : si on conçoit un Dieu si tyrannique qu'il ne laisse aucune liberté à l'homme, alors l'éducation est inutile car vaine. Son résultat est donné d'avance. Pour que l'éducation puisse avoir un sens, il faut que l'action propre de l'homme sur lui-même ait une part d'efficacité possible. Il reproche avec raison à Luther son "non nihil" par trop radical. Il insiste donc sur l'ambiguïté de l'argumentation de Luther : si tout dépend, comme le prétend ce dernier, de la grâce divine, les actions bonnes comme les pires sont indifférentes à Dieu et donc indiscernables en valeur. Non seulement faire le bien n'a aucun sens, mais "faire" ne signifie plus rien. Pourquoi dans ce cas, prêcher la révolte ? Si ce n'est pour avoir droit d'être chef suprême sans supérieur et pouvoir tondre ses propres brebis, les moutons – à – deux - pattes, pour offrir leur sang et leur chair bien tendre au Seigneur Dieu Sadique - Esclavagiste qui ne donne aucune chance à  l'humanité non - prédestinée, non - élue, et non - baptisée chrétienne ; car le nombre des places au paradis céleste est fixé d'avance par le Seigneur Dieu augustinien, qui écarte d'office, interdisant l'entrée de son royaume céleste - le plus petit, aux sages hindous, juifs, musulmans, bouddhistes, animistes et autres indiens peaux rouges non convertis au christianisme.

A la différence d'A.D. Néel et André Comte Sponville qui ne croyaient pas du tout à l'existence du "libre arbitre" en soi et hors de soi, Erasme pose et répond avec finesse à cette question : Quel sens aurait la vie des hommes si Dieu agit sur eux comme le potier sur l'argile ? Il existe en l'homme de par la volonté de Dieu, une volonté libre dont la raison est l'organe (= Cœur) et qui permet soit de tendre vers la perfection, soit de choisir le mal. Cette volonté ployable en tout sens, même contre Dieu, s'appelle libre arbitre. L'homme est donc libre, de par la volonté divine d’essence pur "Ayn – Soph - Aur", de choisir contre Dieu. Il existe une liberté pour le mal, qui nous rend responsable de nos actes. Qu'est ce qu'être responsable ? Etre responsable, c'est être autonome, ne pas avoir peur, discerner, être dans l'amour de soi et de l'autre. C'est se prendre en charge dans la vérité de ce que l'on est, dans ses désirs, sa créativité, sa santé, sa spiritualité. L'activité de l'homme sur la terre, de sa naissance involontaire (= sa non - volonté de naître ou la volonté du couple parent "père et mère" ou de la fille – mère vierge et seule, conscients ou inconscients de cette naissance) à sa mort volontaire (= auto - suicide) ou involontaire (= par maladies, par la vieillesse, par l‘injustice des chefs dictateurs politiques, religieux, intégristes et moralement non – libres, qui sont, tous responsables, esclaves de leurs pouvoirs, et causes des guerres barbares et inhumaines sur terre), est marquée par sa responsabilité ou son irresponsabilité. L'irresponsabilité, c'est la maladie, le cancer, le chômage, les viroses, les guerres, la famine, etc., c'est-à-dire tout ce qui échappe à notre propre volonté à l'échelle individuelle et humaine. Se responsabiliser, c'est avant tout, regarder la vie différemment, ne plus s'enfermer dans un rôle de victime ou de bourreau. Etre responsable, c'est aussi sur le plan individuel, reconnaître l'incarnation que nous nous sommes choisie, accepter que nous sommes le moteur essentiel de chaque chose qui nous arrive, renoncer à voir dans l'autre ou l'univers entier la cause première de ce qui nous accable.
Selon Erasme, l'homme est le seul animal de la nature à qui il incombe de réaliser sa nature. C'est précisément dans cette distance à soi, cette faille, que l'éducation apparaît comme liaison nécessaire. L'homme est au bout de l'éducation et celle ci est entre ses mains ( Nous devons nous éduquer nous-mêmes sur le plan purement spirituel ). Mais c'est aussi le seul être de la création dont la liberté peut s'affirmer contre le créateur lui-même, s'en éloigner comme choisir de s'en approcher. Ici encore, c'est l'éducation de combler la distance. A l'homme reste le choix de tendre vers l'humanité ou vers l'animalité, voire même l'inhumanité. Comment serait-il "à l'image de Dieu" s'il ne possédait cette part de liberté de choix.
Il n'y a donc pas de conflit encore moins de contradiction entre la philosophie de la nature et celle de la religion dans le système d ' Erasme. La place importante, pour ne pas dire centrale, qu'il laisse à l'éducation repose sur la théorie de la liberté qu'elles impliquent toutes deux. Le modèle éducatif érasmien est souple, tendre et joyeux, tout le contraire de celui des moines, casuistes religieux. Dans sa "Déclamatio" , Erasme annonce : "L'âge tendre doit être confié à un maître qui l'encourage avec douceur, non avec cruauté. C'est l'époque où les enfants apprennent avec joie les choses conformes à leur esprit d'enfant, plus en jouant qu'en travaillant vraiment. Toutefois, le jeune âge n'est pas si faible ; il est capable de supporter la fatigue quand il n'en prend pas conscience ".
Foncièrement contre les règles rigides de l'éducation religieuse moraliste, Erasme pose cette question fondamentale : " N'est - il pas plus avantageux à cet âge de jouer en s'instruisant que de s'occuper de sornettes ? ". Le résultat de toutes les "sornettes"- cours religieux au "Principe du perroquet" , avec lecture chantante et mélodieuse jusqu'à la confusion mentale des enfants dès leur jeune âge, est bien là avec l'accouchement des "Fous de Dieu - Allah" (les Talibans afghans, les Pasdarans iraniens, les F.I.S. algériens ), les Commandos anti-avortement moralement – non – libre – et - intégriste qui citent les textes bibliques sans en connaître un traître mot sur le sens vrai de l'Amour, de la Miséricorde, de la Liberté (ou du libre arbitre) jusqu'à commettre des meurtres sur le personnel soignant des Centres de Planning familial aux U.S.A. . Sans souplesse d'esprit, et moralement non - libre, les "fous de Dieu" et autres intégristes politiques et religieux se font piéger depuis belle lurette par le Malin Porteur de Lumière - le "Pêcheur Noir" ou Lucifer qui est surveillé de très près par les anges célestes - les "non - déchus" et sauvés par l'acte sacrificiel et rédempteur de Jésus-Christ. Dès 1944,  le monde des anges célestes exulte l'humanité - "moutons de Panurge" à se méfier du "Pêcheur Noir"; il nous parle en termes clairs et non paraboliques :
" Je vous enseigne : La pensée est matière, pesante, chancelante, aveugle, qui attire vers le bas, serpent qui mord sa propre queue. Ainsi son signe est-il la roue. La roue qui tourne autour d'elle-même, sans maître - machine ou chariot. Tournant autour d'elle-même, fumée terrestre qui ne s'élève pas, et l'âme chancelle et s'évanouit, elle erre, elle tourne, elle tourne sans arrêt.

"Dans la main du "Pêcheur Noir" , l'hameçon
. L'appât : les pensées humaines. Ne l'avale pas, poisson, sinon ta bouche se déchire ! Le poisson meurt et le "Pêcheur Noir" sourit. Son sac se remplit, son butin y est entassé. La roue tourne, l'âme s'assombrit, le cœur  se serre
." (Dialogues avec l'Ange).
De telles erreurs - les "fautes sans nombre" cycliquement et historiquement bien perpétuées par nos dirigeants politiques, religieux  intégristes, ultra – nationalistes, purs – et - durs (ou "anges déchus" selon Louis Massignon), les copieurs d ' « idées – pensées » autrui pour appâter leurs sujets "moralement – non - libres" avec des idéologies pompeuses telles "Les martyrs de Dieu", "Viva la Muerte" ,"Le Grand Bond en avant" , "La Grande Révolution culturelle", "La Sainteté" ,"La Révolution Islamique" ,"Le Socialisme ou la Mort" , "Le Jour du Pardon", etc. ont beaucoup fait souffrir l'Essence pur "Ayn – Soph - Aur" de l'Homme Céleste qui souffre dans le Silence absolu au centre du monde des éggrégores, et qui se fait tout petit dans son monde coffré et cadenassé hermétiquement par les mains des suppôts de Lucifer - les "Anges déchus" et mauvais démiurges caractérisés par leur inhumanité sentimentale. Cette souffrance diablement inhumaine peut être comparée à celle de Birger Sellin, un autiste écrivain de génie qui s'exprime dans son livre "Une âme prisonnière" en ces termes terrifiants : "le déchirement de la personne sans moi", "les êtres insulaires dans une mer violente", "son existence en coffre". Ce jeune allemand de 19 ans, grâce à l'ordinateur explique son tragique dilemme : se désintéresser du monde ou tout comprendre mais ne pouvant participer à la vie, car paralysé de terreur, par les rapports sociaux. "Il y a deux forces en moi qui n'arrivent pas à se rencontrer" avec tristesse l'autiste préfère rester dans " sa prison de haute sécurité" incompris de tous ici bas.
De son côté, Elie Wiesel traduit les pensées profondes de Yéoshua - l'Eternel, le "Sans - Nom" et « Sans – Forme » en ces termes : "A force de vouloir faire partie de l'homme, être comme les hommes, avec les hommes, je restais toujours à l'écart. Ma mère seule était mon soutien, mon alliée. Elle seule me comprenait. Pourtant, je ne lui offrais jamais de cadeau."
Du fin fond de son trône, monde de l'Immanence, la Très Haute -"Adam-Kadmon" ou La Mère de l'Humanité - pur "Ayn – Soph - Aur" et la Mère des dieux, donc le « Très – Haut », le "Sans - Nom", observe avec tristesse le monde terrestre déshumanisé, robotisé qui ne voit et ne jure qu'à travers leur découverte purement matérialiste, dont leur "carte - génome" - le support matériel, la carte - mère du puzzle qu'est  l'homme intégral et trilogique "Cœur – âme – et - esprit". Le monde de l'humanité scientifique et terrestre perd ainsi son âme humaine en soi et hors de soi, libre - arbitre, pour se faire piéger par le monde des esprits purs matérialistes extrémistes, dont les économistes – banquiers - gouverneurs du Fond Monétaire International, qui par leur politique, entraînent des famines à travers les continents pauvres en connaissance économique - système érigé par eux-mêmes, etc. . Tous ces hommes d'élite - "Grosses têtes" sont pour la plupart, des fervents croyants et pratiquants de confessions religieuses monothéistes. Ils ont mis ensemble leur service pour parachever le Grand Œuvre du Seigneur- Dieu d'Amour et de Miséricorde, de Vérité et de Justice, d'Egalité et de Fraternité  sur la planète terre. Or des contenus - enseignements révélés et venus du monde céleste et divin, politiquement parlant nous n'en voyons point. Des guerres et des meurtres fratricides continuent à se perpétuer en terre Sainte d'Israël, des crimes contre l'humanité se perpétuent cycliquement et de façon impunie au Cambodge, en Bosnie-Herzégovine, au Rwanda, etc. . Des injustices flagrantes se répandent partout à travers le monde avec l'exploitation du travail des enfants surtout dans les pays pauvres et surpeuplés, celle de la chair tendre et vierge des enfants pour assouvir les désirs inhibés des hommes - pédophiles de toutes les classes sociales et de toutes les confessions religieuses, surtout dans les pays civilisés riches soi-disant chrétiens qui pratiquent l'angélisme pur et dur. Tous ces faits et gestes ignominieux, cycliquement répétitifs, bien programmés et perpétués par les hommes - dictateurs, avec leurs peuples – moutons à deux pattes, à l'Ego exacerbé, conditionnés par le "Déterminisme fort" du Malin – et – Porteur – de - Lumière , ont été observés et bien notés par Jean de Jérusalem - "moine - soldat" du Christ Alpha, qui du fin fond de son monde éggrégorique, les a prophétisé, dès le XI è siècle, en ces termes :
"Lorsque commencera l 'An Mille qui vient après l 'An Mille

L'homme sera entré dans le labyrinthe obscur

Il aura peur et il fermera les yeux car il ne saura plus voir
Il se défiera de tout et il craindra à chaque pas
Mais il sera poussé en avant car aucune halte ne lui sera permise
La voie de Cassandre sera pourtant haute et forte
Il ne l'entendra pas
Car il voudra toujours plus posséder et sa tête sera perdue dans les mirages

Ceux qui seront ses Maîtres le tromperont
Et il n'y aura que des mauvais bergers
"
(Des "mauvais bergers", je peux en citer plein, donc Khomeyni - le responsable meurtrier des milliers de personnes par pendaison ; Meir – Kahane, le chef intégriste orthodoxe juif anti-paix en Israël ; Jean-Paul II - celui qui béatifie, canonise à tort et à travers des esprits et/ou âmes des morts "oustachis" - les Saints - Mystères et qui est responsable indirect des actes vandales des commandos anti-avortement, des groupes para - militaires d'extrêmes droites dans les Pays d'Amérique latine,... ; le Dalaï-lama - le XIV è - celui qui s'est sauvé de son trône du Haut - Himalaya, tout en conseillant à son peuple de se faire une sorte de Hara-Kiri collectif en se faisant massacré sans défense par l'armée rouge du Peuple chinois - le Dragon rouge lâche et bête, tout en sachant que son essence spirituel devra redoubler ici-bas lors de son réincarnation future. L'esprit éveillé du Dalaï-lama - le XIV è n'est pas bien logique en acte avec la Grandeur d'âme humaine cosmique et universelle du Mahatma Gandhi, qui œuvre de son vivant par la non-violence cherchant à terrasser et faire plier bagage le Lion britannique, tout en essayant de combattre l'obscurantisme hindou en élevant le caste des Intouchables à la dignité humaine et en rapprochant ses frères hindous à ceux de l'Islam minoritaire sur le Continent Indien. Quant aux "Maîtres – qui – trompent – ses - sujets", je cite quelques noms bien connus, dont Milosevic, Karadzic, Pol-Pot, Clinton - le Président des U.S.A. qui a le malheur de prêter serment sur la Bible, le Livre Saint qui a annoncé la venue prochaine et imminente du Paraclet -  l '"Esprit Saint de Vérité" ).
L’éducation inhibitrice par refoulement de désir sexuel et condamnée par les psychiatres des écoles de Freud , accouche bien en cette fin du 20è siècle de l‘ère chrétien, des hommes – pédophiles monstrueux qui abusent largement des « enfants de Manille », donc les prêtres moralistes , les éducateurs spécialisés, les médecins, les industriels, etc. Jean de Jérusalem nous décrit ce monde bestial inhumain qui guette à chaque coin de rue tout enfant isolé et lâché seul par leurs parents dans les villes - lumières avec la « Loi de la Jungle », dont les fauves sont des êtres intelligents au – dessus de tous les soupçons :
"Lorsque commencera ....

Il faudra avoir peur pour l'enfant de l'homme

Le poison et le désespoir le guetteront
On ne l'aura désiré que pour soi et non pour lui ou pour le monde

Il sera traqué pour le plaisir et parfois on vendra son corps

Mais même celui qui sera protégé par les siens
Sera menacé d'avoir l'esprit mort

Il vivra dans le jeu et le mirage

Qui le guidera puisqu'il n'y aura plus de maître
Personne ne lui aura enseigné à espérer et à agir ".
(La prostitution infantile se développe à une vitesse grande "V" à travers les cinq continents avec les "Enfants de Manille" ... et même sur réseau Internet pour nourrir le commerce du sexe et de la chair fraîche et vierge au goût bestial instinctif des hommes riches, socialement haut placés, qui perpétuent des voyages du sexe par vol aérien – classe de luxe ou en charter, des pays civilisés vers ceux sous – développés ).
"Lorsque ....
Le regard et l'esprit des hommes seront prisonniers
Ils seront ivres et l'ignoreront

Ils prendront les images et les reflets pour la vérité du monde
On fera d'eux ce que l'ont fait d'un mouton

Alors les carnassiers viendront

Les rapaces les mettront en troupeau pour mieux les guider vers l'abîme
Et les dresser les uns contre les autres

On les écorchera pour prendre leur laine et leur peau

Et l'homme s'il survit sera dépouillé de son âme
".
(Les différents chefs soi-disant de haute spiritualité, intégristes, purs et durs se comportent tels des "rapaces" - "aveugles guidant d'autres aveugles" ; ils ont bien attroupé leur troupeau moutons – à – deux - pattes en rang discipliné pour mieux les guider vers l'abîme, après les avoir bien dressés les uns contre les autres. Ils sont responsables d'un Liban à feu et à sang, d'une Bosnie-Herzégovine meurtrie, d'un Israël spirituellement chaotique, etc. Suite à tous ces drames meurtriers et barbares pas possible, ceux et celles qui survivent après tels événements, seront dépouillé de leurs âmes qui seront empêtrées dans le monde de la haine et de la mort. Par ailleurs, le monde scientifique cartésien purement matérialiste, suite à leur découverte du génome humain avec sa cartographie, "a pris les images et les reflets pour la vérité du monde", donc la fausse vérité sur les gènes de l'homosexualité, de la bonté, de la longévité, de la schizophrénie, des tueurs en série, de l ‘obésité, etc. Pour nos généticiens, l ‘être humain n ‘a point d’âme ; ils pensent à cloner des êtres parfaits et autres zombies - « donneurs d’organes » pour régulariser le commerce des chirurgiens greffeurs ).
L'âme divine, humaine, et cosmique du "Sans - Nom" – l ‘ami des Sages souffre et pleure en silence. Un verset du prophète Jérémie, selon lequel Dieu dit : "Je pleurais en silence". Un Midrash raconte : "Lorsque Dieu voit la souffrance de ces enfants terriens dispersés parmi les Nations. Il verse deux larmes dans l'océan, en tombant, elles font un tel bruit que l'on entend d'un bout à l'autre du monde". Yahvé Dieu Eternel souffrait ainsi en silence, solitairement au fin fond de l'âme immortelle, souffrante, et errante de chaque "juste", martyrisé par l'humanité de pouvoir politique – religieux – intégriste – ultra - nationaliste et mortel ici bas. Sa mémoire d‘âme humaine et divine se rappelle de toutes ces horreurs perpétuées à travers le temps horizontal ici-bas.
Elie Wiesel n'oublie jamais les horreurs de la Shoah. Il résume bien la pensée profonde de "Dieu Eternel" en écrivant ceci :" Se souvenir c'est quoi ? C'est vivre dans plus d'un monde, empêcher le passé de s'éteindre, appeler l'avenir pour l'illuminer. C'est faire revivre des fragments d'existence, sauver des êtres disparus, éclairer visages et événements d'une lumière blanche et noire, c'est faire reculer le sabre qui recouvre la face des choses, combattre l'oubli, rejeter la mort". L'écrivain juif, prix Nobel de la Paix a bien fait de penser « qu’une société est jugée selon son attitude envers les faibles, les éternelles victimes de la vie et des hommes, c'est à dire les enfants malheureux, les enfants massacrés. Je sais que le monde s'est condamné lui-même : il ne connaîtra pas la Rédemption".
Chez les Viking (entre VIII et XIII è siècle) leur mémoire soi-disant barbare se rappelle de l'existence du Très Haut et Son Verdict Ultime. Il est écrit dans les "Maximes du Très Haut" des Vikings ceci : "La richesse meurt, les familles meurent, et tu mourras aussi ; mais je connais une chose qui ne meurt jamais : le verdict rendu sur chaque mort"(Texte cité par Théodore Zeldin). En effet, bibliquement,  il est bien dit et écrit ceci : " Justice ! Justice ! Voilà ce que Tu poursuivras afin que Tu vives " (Deut., XXXIII, 26 ).
La justice divine, infaillible de Yahvé – l ‘Eternel sera équitablement appliquée pour toute âme humaine immortelle. La tradition juive a bien raison de nier la culpabilité collective. Le Coran, pour sa part, nous a laissé ce message :"... Toute âme ne fait des œuvres que pour son propre compte : aucune ne portera le fardeau d'une autre. Vous retournerez à Votre Seigneur, qui vous déclarera ce sur quoi vous étiez en désaccord les uns avec les autres"(Sourate VI – v.164).  Jean-Paul II a bien tort de vendre de faux espoirs de Rédemption divine à ses ouailles appartenant aux commandos anti-avortements "pro life" mortel ou autres extrémistes intégristes soi-disant laïques de l'Opus Dei, qui pratiquent les rites confessionnelles assidûment , prouvant par la même occasion que leur Dieu ne connaît absolument rien du tout sur les actes et les pensées de l'âme incarnée de l'humanité - ses créatures.
Purs et durs, vous vous faîtes piéger par la Bête « 666 » ( ou le « Kundalini » ) qui se cachait bien au tréfonds de l ‘âme de chaque être – humain depuis la nuit des temps. Cette Bête symbolise l ‘Esprit de la « Vie – Mort » ou l ‘ Esprit du  « Temps biblique et coranique », dont « Alpha » qui correspond à celui du début du temps, et « Oméga » - celui de la fin des temps.
En soi – âme de l ’« être – humain », c ‘est la « kula – Kundalini», hors de soi c’est la « maha – Kundalini », qui est connue et très redoutée par les Sages hindous, dont l ‘analogie est frappante avec la Bête « 666 » ou la « Bête de l ‘Apocalypse » de Saint Jean. C’est la Bête cosmique et universelle, qui  ne se nourrit que de la nourriture impérissable et éternelle, dont les grands esprits savants des Académiciens Français considérés comme des Immortels, et les petits esprits « Saints – Mystères » qui sont béatifiés à tort et à travers par les soi – disant Vicaires du « Fils de Dieu ».
Elle est la Créature première, vivante, intelligente et parlante de Yahvé EL ( ou Yéoshua – l ‘Eternel ) ; sa venue au monde des vivants – le Jardin d’Eden était bien antérieure à celle du couple « Adam et Eve » biblique. Comme tout être vivant, parlant et connaissant le langage humain, la Bête possède une « âme éternelle » à la « Pensée cosmique et sphérique » dotée du libre – arbitre pareillement que celle du premier couple – ancêtre de l ‘humanité terrienne.
Suite à la malédiction lancée par Yahvé EL, dès le Cinquième jour de la Genèse, la Bête et la Femme sont condamnées à se battre par leurs descendants interposés sur la planche théâtrale de la planète Terre jusqu’à la fin des temps. Ceux de la Bête cherchent à viser le talon de la Femme, ceux de la Femme cherchent à écraser la tête de la Bête.
Concrètement comment faisons – nous pour savoir où se cache la tête de la Bête ? Et qui sont les descendants de la Bête – ceux qui rampent sur leur ventre et d’une discipline martiale pour frapper encore et encore le talon de la Femme ? Honnêtement et sans risque de me tromper, en tant que descendant de la Femme, je peux désigner comme « descendants de la Bête » tous les dictateurs – tyrans ayant commis directement et indirectement des crimes contre l ‘humanité – les descendants de la Femme,  tout en admettant le principe du « Péché originel » de la Femme comme base de leur croyance politique et religieuse.  Quant à savoir où se cache la tête de la Bête, il nous suffit de mettre en lumière - l ‘image virtuelle de l‘âme humaine avec tête en bas et jambes en l ‘air. Cette tête est bien celle d‘« Adam – Bélial » ( ou « Homme Infernal » ), qui symbolise l ‘image de la Mort omniprésente en tout être humain intégriste, ultra – nationaliste, bête, méchant et dont les mains sont entachées de sang humain, la bouche est remplie de paroles tristes, moralistes, illogiques et de jugements insensés, ne collant pas du tout à la réalité de la vie simple, joyeuse caractérisée par le rire – le seul trésor et propre à l‘homme – descendant de la Femme.
La tête de la « Bête 666 » trône ainsi depuis plus d’un siècle, au sommet des églises, temples, pagodes et autres mosquées. Elle a accouché Satan qui régna en Maître Tout Puissant sur l ‘humanité – moutons à deux pattes, qui lui offrait en sacrifice du sang humain frais en quantité incalculable, avec l’aide actif des hommes – dictateurs, les descendants de la « Bête » assoiffés de pouvoir sans partage, et absolu, donc Hitler, Staline, Ceausescu, Pol – Pot, Mao – Tse – Toung, Khomeyni, Sadam Hussein, Pinochet, Jean – Paul II,  etc. Indirectement, les hommes d’église marchent bêtement dans les combines sataniques, par leurs lâchetés devant les faits accomplis et leur silence de complice.  Depuis bien longtemps la puissante église romaine a reçu des messages d'avertissement du Haut Monde, dont le " Secret de Fatima " où Vierge Marie - la "Reine céleste", a laissé trois messages à l'humanité. Le troisième message de Fatima, celui du 13 Juillet 1917, a été tenue caché arbitrairement par l'église romaine car, il est peu flatteur pour ceux qui auraient dû le divulguer. En voici le teneur : " Un grand châtiment tombera sur le genre humain, non pas aujourd'hui, ni demain, mais dans la seconde moitié du XX è siècle. Il n'y a d'ordre dans aucune partie du monde et Satan règne sur les plus hautes places d'où l'on détermine la marche des choses. Effectivement, il réussira à s'introduire jusqu'au sommet de l'église. Il séduira même les esprits des grands savants, lesquels inventeront des armes terribles avec lesquelles il sera possible de détruire en quelques minutes une très grande partie de l'humanité. Il aura en son pouvoir les puissants qui gouvernent les peuples et il les incitera à fabriquer d'énormes quantités de ces armes. Et si l'humanité ne devait pas s'opposer à cela, je serai obligée de laisser libre le bras de mon Fils. Alors on verra que Dieu châtiera les hommes avec une plus grande sévérité qu'il ne l'a fait au temps du Déluge (....). Pour l'église également viendra le temps de ces grandes épreuves : des cardinaux s'opposeront aux cardinaux, des évêques aux évêques. Satan marchera au milieu de leurs files et à Rome il y aura de grands changements. Tout ce qui est pourri s'écroulera, et tout ce qui tombera ne s'élèvera plus. L'église sera affligée et le monde bouleversé par la terreur. Il y aura un temps que nul roi, empereur, cardinal ou évêque ne croira à Celui qui cependant viendra punir les hommes selon les desseins du Père Céleste. Une grande guerre se déchaînera dans la seconde moitié du XX è siècle. Feu et fumée tomberont du ciel ; les eaux des océans deviendront bouillantes et d'immenses vagues s'élèveront en bouleversant et en enfonçant tout. Millions et milliards d'hommes périront sur l'heure, et ceux qui resteront en vie envieront ceux qui seront morts. De toutes parts où se trouvera le regard des humains, il n'y aura que de l'angoisse, misère et ruine dans tous les pays. Le temps avance toujours plus, et l'abîme s'élargit sans aucun espoir. Les bons périront avec les méchants, les grands avec les petits, les princes de l'église avec leurs fidèles et les régnants avec leurs peuples. Il y aura mort partout, à causes des erreurs commises par les insensés et les partisans de Satan qui, cependant ne régnera que pendant ces seuls temps. En dernier lieu, ceux qui survivront à tout événement et seront encore en vie, proclameront à nouveau la grandeur et la bonté de Dieu, et le serviront comme aux temps où le monde n'était pas si perverti ".
Toute cette prophétie - "Déterminisme fort", fonctionne à merveille et toujours par les fautes sans nombre des différents castes dirigeants "Aveugles guidant d'autres aveugles" qui ont abusé de leur pouvoir suprême et ont suivi bêtement Satan pour perpétuer à grande échelle des crimes contre l'humanité, tout en élevant leurs voix hypocrites et leurs manifestations pour défendre les soi-disant « droits de l ‘homme ».
Observateur privilégié des phénomènes miraculeux, le Vatican en ce début de l'an 1995 est embarrassé par un miracle morbide qu'il le classe sans suite. Celui d'une Vierge qui pleure du sang. L'Italie connut déjà la Madone pleureuse de Potenza en mai 1991, celle de l'image du Christ en 3 dimension sur le maître d'autel de la basilique Sainte Christine à Bolsema en mars 1994, les larmes rosâtres sur les joues d'un portrait du Padre Pio, le 19 août 1994, sans oublier nombre de vierges lacrymales. Cette fois-ci, ce fut à Civitavechia, où le prêtre d'une paroisse locale rapporta la statue d'une vierge achetée à Medjugordjie, dans un bazar, pour la famille Grégori. Miracle ! Le 2 février 1995, jour de la chandeleur ( fête de la Présentation de Jésus au Temple et de la Purification de la Vierge) alors que la famille Grégori se prépare à partir à la messe, la petite Jessica appelle ses parents : "Viens, papa, viens ! La Madone pleure, papa cours ! Elle pleure du sang". Evidemment, les fidèles accourent du canton, de la région, du pays, voire du monde entier par avion. Devant un tel phénomène, l'évêque de Civitavecchia dit : "Une Madone qui pleure des larmes de sang aux portes de Rome, au cœur de l'Italie, au seuil de l'An 2000, ce serait un message dramatique".

La sommité religieuse romaine, toute puissante, continue à faire la sourde  oreille  se comportant tel un aveugle qui guide d'autres aveugles malgré les avertissements répétitifs du Haut Monde. Assoiffés de pouvoir suprême intemporel ici bas, les hauts prélats dogmatiques des trois religions monothéistes et autres sèment la zizanie guerrière très meurtrière dans le monde. Satan règne bien à côté de ses hommes de pouvoir tout puissant qui guident leurs moutons à deux pattes sur le chemin des cimetières tout en croyant dur comme fer le chemin droit au Paradis céleste. Ces hommes avec leur "art rhétorique" à contre sens parlent de l'amour de Dieu, de la patrie, de la justice, de l'ordre, de la famille... pourtant ils ne connaissent pas le sens réel du mot "Amour".
Les Taoïstes ont bien raison de considérer l'activité sexuelle amoureuse comme "un art de vivre simplement et joyeux sans aucune idée que celle de vivre". Selon Socrate, Eros mérite d'être le plus grand des Dieux. Ibn Hazn (994-1064) de Cordou, disait c'est que l'Amour renouvelait la vie, rendait généreux les avares, gracieux les rustres, sages les idiots, transmuant magiquement les défauts en qualités. Et le sexuel était un constituant nécessaire, "complétant le circuit et permettant au courant de l'amour de couler librement dans l'âme". Quant au docteur Leleu, écrivain et médecin généraliste français, il résume ici le sens de la vie ou le vrai sens du mot amour en disant ceci "Quand vous faites l'amour vous n'allez pas défiler ou taper sur d'autres gens. Quand on fait bien l'amour, on est bien dans sa peau, on a envie d'embrasser et d'aimer tout le monde. On a envie de donner des conseils pour que tout le monde puisse s'épanouir. Nous sommes à un moment désespérant de notre histoire : le christianisme n'a jamais été appliqué, le communisme n'a pas marché, le matérialisme ne nous rend pas heureux. Il nous reste à inventer autre chose. Personne ne propose ce que moi je propose : faire une révolution complète, effacer, supprimer ce système patriarcal qui nous étouffe pour revenir non pas à un système matriarcal mais à des valeurs féminines".
Ainsi à cause de "l'amour du pouvoir", les hauts prélats et autres ayatollahs des deux églises dites universelles (catholiques et islamique) ont tué l'esprit de "Dieu d'Amour et de Miséricorde", première identité sur terre de Yéoshua - l'Eternel - le "Sans - Nom" qui s'est manifesté à travers l'Acte - Passion de Jésus-Christ - "Le Verbe – qui - s'est – fait - chair". Ces hommes de pouvoirs religieux, dogmatiques - "Aveugles guidant d'autres aveugles" étaient depuis toujours jaloux des humbles mystiques, fils et filles de l'Homme - Dieu "Adam - Kadmon" tel Jésus-Christ, El Hallaj, Maître Echkart , Sœur Eugénia, etc. qui sont souvent persécutés par leur église voire même martyrisés par une mort lente et atroce, donc Jésus-Christ et El - Hallaj.
Trois types de jaloux sont à distinguer, dont l'un relève seulement de la pathologie. Tout d'abord, les personnes dont le sentiment de jalousie ne se manifeste que lors de la situation où le doute est justifié. Il s'agit là d'une jalousie normale et universelle. Puis les individus ayant un tempérament jaloux, qui ont tendance à soupçonner leur partenaire ou leur serviteur de manière systématique, ils peuvent être raisonnés cependant si la preuve de l'innocence est apportée. Enfin, les personnes présentant des délires de jalousie sont totalement tyranniques. Leur jalousie n'est pas fondée. Le moindre détail est l'objet d'interprétation. Ce comportement relève de la psychose passionnelle. Ainsi des écritures bien simples telles que "Aimez vous les uns les autres comme Je vous ai aimé", " Ne jugez personne car vous serez jugé ", "Dieu est humain et sage", "Pointe de contrainte en religion",... n'ont pas du tout compris par la haute hiérarchie cléricale des deux églises universelles , dont l ‘âme est bien polluée et malade de "l'amour du pouvoir absolu" et de "délires de jalousie" diabolique. Pour justifier leurs actes insensés et meurtriers, les sommités politiques et religieux appuient sur les connaissances, fausses vérités issues de leurs saints mystères. De ces hommes savants, théologiens, anthropologues chrétiens dépendant de l'église romaine, Jean-Jacques Rousseau les définit en ces termes : " Ils étudiaient non pour se connaître ; ils travaillaient pour instruire les autres, mais non pour s'éclairer en dedans". Ces hauts prélats, ayatollahs, prêtres dogmatiques, les soi-disant serviteurs – et - hommes de Dieu et lecteurs perroquets des Livres Sacrés ne pourront jamais se comporter comme de bons guides spirituels car "c'est la force et la liberté qui font les excellents hommes. La faiblesse et l'esclavage n'ont fait jamais que des méchants" (Jean Jacques Rousseau).
"Comment faire pour libérer le Seigneur Dieu d'Israël - le Sans - Nom, l'Inconnu - Pur "Ayn – Soph - Aur", qui est prisonnier de Lui-même et des actions des "Anges déchus" - mauvais démiurges et des humains - ses créatures, dont les soi-disant Sages – Serviteurs – de - Dieu, les trois fois Saints pontifes et autres Marchands d'illusions de paradis céleste pour tous les croyants et pratiquants monothéistes?".
Pour répondre à cette question posée par Elie Wiesel, il nous faut un très bon chirurgien - Docteur en Médecine trilogique et christique, doté d'un cœur, d'une âme et d'un esprit assez solide et harmonieusement stable pour pouvoir oser s'aventurer au beau milieu du monde des éggrégores purs d'esprits sans se faire avaler tout cru par la "Bête 666" - Corps qliphothique d'un Adam - Bélial, le gardien de ce monde et pouvoir ainsi effectuer l'acte de « Transformation – Métamorphose » de la Bête en un « Adam – Kadmon » avec son âme humaine virtuellement bien en place, qui cherche depuis la nuit des temps à être séparé en trois "Etres – Humains - Individuels", purs "Ayn – Soph - Aur" dotés tous du Libre arbitre, donc l '"Homme - Masculin", la "Femme - Féminine" et le "Nouvel Enfant"- "Nouvel Eternel".
Cet Enfant se situe au centre du sacré cœur  de la Bête, il constitue le lien sacré et éternel de ses deux parents distinctifs - le couple "Grand Humain" - Homme Masculin et Femme  Féminin avec chacun son Feu - Lumière "Ayn-Soph-Aur" respectif, enfin réunis côte à côte après avoir été séparés, isolés et passés un sacré bout de temps dans les entrailles de la « Bête » - symbole de la Mort ou de la Dame Nature Noire – d ' Esprit de l'Obscurité lumineuse taoïste -" le Principe féminin des origines et dont  les racines du ciel et de la terre s'élancent de sa porte mystérieuse". Du "Nouvel Enfant" et "Nouvel Eternel", il est écrit :
"LUI est le Nouvel Enfant.

Son corps est matière glorifiée, transparente, sensible.
Son âme est le rayon qui croît et se répand, et qui porte fruit
.

Tout ce qui a poussé sauvagement jusqu'à présent
sur la friche n'est que litière.

Au-dessus de LUI plane l'armée des Anges, et elle L'adore
.
Pour Lui sont tous nos chants.

C'est un petit Enfant , force toute-puissante
,

C'est Lui l'âme de "Celui qui mesure".

Sa voix est le Silence, et c'est Lui le Rayon Eternel
..."
(Dialogues avec l'Ange).
Pour sa part, Jésus-Christ, dès son époque, nous évoque  la puissance de l ' Enfant - "Nouveau - Né" et "Nouvel Eternel", en répondant à cette question posée par ses disciples - apôtres "Qui est le plus grand dans le royaume des cieux". Pour répondre à cette question épineuse, le Christ -"Fils de l'Homme" appelle un petit enfant, le place au milieu des 12 apôtres et dit : "En vérité, je vous le dis, si vous ne retournez à l'état des enfants vous ne pourrez entrer dans le royaume des cieux. Qui donc se fera petit comme cet enfant là, voilà le plus grand dans le royaume des cieux " ( Mtt, 18, 1 - 4 ).
Quant à Lao - Tseu, il nous enseigne comment faire pour être dans le "Rayon Eternel" du "Nouvel Enfant" ainsi défini par l'Ange :
"Accorder le corps et l'âme
Afin qu'ils voguent à l'unisson
Et ne se séparent pas.
Concentrer sa force vitale
Et la rendre docile 
Comme celle du nouveau-né.
Au-delà du réel,
Scruter le miroir poli par le regard de l'âme
Et se laisser aspirer par la lumineuse obscurité ".  (Tao – Tö - King, ch. 10 ).
Grâce à l 'E.M.A.Q.( = Entraînement Mental Actif et Quotidien) durant mon séjour en terre française laïque, c'est-à-dire en l'espace de 23 ans - temps horizontal, sur le sol de la République française, dans le Sud - Ouest, l'ancien pays des Cathares, j'arrive à réaliser ce qu'a préconisé Lao - Tseu en laissant la lumineuse obscurité taoïste aspirer mon âme - trine ( Neschamah – Ruach – et – Néphesch ), qui s’est unie à elle, en une fusion harmonieuse touchant jusqu’au tréfonds de mon être humain - d’essence pur "Ayn – Soph - Aur" indivisible. De cette union fortuite sensationnelle, plénitude et félicité, j'arrive à entrer en contact télépathique et conscient avec la Lumière Incréée d ‘essence pur "Ayn-Soph-Aur" d'Adam - Kadmon qui tapisse silencieusement et de façon absolue au point central, infini petit du monde des éggrégores. De même essence divine, humaine, et non - angélique, nous nous comprenons parfaitement au centre du monde du Silence absolu, pur d ' "Esprit en Eveil parfait, complet et sans supérieur".
De telle opération a été possible et réalisable grâce à l'ouverture totale de mes 7 Chakras (ou Centres de conscience psychique ) et à la transformation - métamorphose des Trois Feux (= Le "Feu Masculin", le "Feu Féminin" et le "Feu du Serpent") d '"Adam - Kadmon" en Trois Etres - Humains, pur "Ayn-Soph-Aur", donc la Femme, l'Homme et le "Nouvel Enfant". Pour pouvoir pénétrer jusqu'au centre cardiaque - "âme - trine" d'Adam - Kadmon" pur "Ayn-Soph-Aur", mon âme a dû œuvrer pour retrouver la trace de l 'Esprit Saint Alpha - Christ (ou le Yeschidah  du "Fils de l'Homme" ) et se faire guidée ensuite par Ce qui est, pour passer sans encombre les multitudes obstacles - pièges qui jalonnent dans les méandres de la grande circulation - souffle cosmique et universelle, sans être perturbée et déstabilisée par les puissants courants purs d'esprits des dieux, des titans, des saints mystères, des diables, etc. pour aboutir finalement au centre - "Cœur - Lumière" d ' « Adam – Kadmon », dont la définition est :
"La Lumière ouvre grand ses bras.
Elle attend.
Elle enferme dans son cœur et pourtant chacun est libre.

Au cœur de la Lumière, il n'y a pas de serrure
.

Il n'y a pas de sentiment qui lie.

Le Cœur - Lumière embrasse tout, rayonne partout
.

IL AGIT
" (Dialogues avec l'Ange, p. 301).
Le lien sacré qui relie l'homme microcosme, trilogique avec son cœur simple humain au "Cœur - Lumière", de même essence pur "Ayn – Soph - Aur", de l'Homme – Macrocosme "ADAM-KADMON" est d'une importance telle, pour le salut de l 'humanité - Vie éternelle, qu'il est dit et écrit :
"Le DIEU VIVANT est né en vous. - LUI qui est sans manque et sans tache. L'Unité vibre ( ...). L'espace sans espace est l'éternelle Vie, et ce n'est ni anéantissement, ni vide, mais Vie, vibration intense, accomplissement. Quelque part bat le cœur de Dieu, et nous tous vibrons avec LUI. La vibration fine rejoint la  plus dense. Si l'enchaînement est continu, il n'y a plus de mort. SON cœur bat. Nous le transmettons, le battement, transmettez-le, vous aussi, toujours plus loin ! C'est le seul enseignement. Servez - LE dans la JOIE ! Car la mort est déjà morte." (Dialogue avec l ‘Ange).
Plus explicitement, l'Ange céleste dénonce les fausses lumières des faux bergers intégristes, dogmatiques, monothéistes et mortels, dont "Dans une maison habitent, béats, les aveugles" (= les catholiques de l 'Opus - Dei), "Dans une autre pleurent ceux qui cherchent" (= les Ultra - orthodoxes juifs, les faucons anti-paix en Israël ), "Dans la troisième, ceux qui agissent sans rien entendre" (= les Islamistes intégristes, soi-disant martyrs de l'Islam pur et dur aux actions barbares en Algérie, en Iran, en Afghanistan, en Egypte, au Soudan, etc.). Il nous invite à accéder jusqu'au Cœur - Lumière, seul vrai lieu de refuge pour l'humanité de la fin des temps, paumée, seule, perdue et sans point de repère devant le labyrinthe obscur - le sanctuaire  du Minotaure qui observe attentivement nos moindre faux pas. En effet, il est dit et écrit :
"Le bon berger a beaucoup de troupeaux.
Dans une maison habitent, béats, les aveugles.
Dans une autre pleurent ceux qui cherchent.
Dans la troisième, ceux qui agissent sans rien entendre.
Un seul berger, mais beaucoup d'enclos.
Le Temps détruit et blanchit de nouvelles maisons.
La seule maison où vous devez habiter,
ce n'est plus une maison, plus une façade blanchie,
éternellement prêt est le Ciel,

SON Cœur, le Cœur - Lumière, le Grain,
la seule Demeure
" ( Dialogues avec l'Ange, p. 305-306 ).
Ce "Cœur - Lumière" existe réellement en notre Soi (= notre âme et conscience) et hors de Soi, c'est-à-dire en l 'être Grand - Humain d 'Adam - Kadmon - Celui qui a donné son ensemble d'être - humain aux anges et à l'humanité terrestre toute entière, pour endosser la peau de la Bête "666", supportant seule la souffrance inhumaine dans le Silence Absolu du monde des éggrégores, dont la mesure est visible à travers le volume infini petit et l'intensité lumineuse d'essence pur "Ayn-Soph-Aur". Plus la souffrance de l'humanité augmente, plus le volume de l'"Ayn – Soph - Aur" se réduit et plus son intensité lumineuse augmente en puissance Apocalyptique et Prophétique. De cette "flamme - lumière" nous apprenons un peu plus sur sa composition, son origine divine, angélique et  éternelle :
"Chaque degré de vie est flamme, feu. Ils sont unis par leur essence. Toujours autre est le nom du feu, toujours autre sa lumière, toujours autre sa chaleur. A l'Homme est donnée la flamme qui unit les Sept. Le Cœur - Lumière, en qui sont unis toute Lumière et tout Feu. Que ce soit feu terrestre, flamme céleste, amour terrestre ou amour céleste. Un corps vierge n'est pas nécessaire lorsqu'il y a flamme pure, passion sacrée. La nouvelle Lumière ne peut venir que si vous allumez les Sept, l'un après l'autre. Toutes les lumières sont en vous, tous les feux !( ....) N'ayez pas peur ! La destruction peut faire son œuvre  partout. La terre et le ciel peuvent être détruits. Tout cela n'est rien, si le Feu Nouveau est allumé. Aimez la VIE, aimez les Sept ! Or si une flamme manque, c'est l'horreur, la rupture, la fin. Mais si les Sept sont Un, matière et Ciel unis, c'est le Verbe, le DONNE. Sept âmes de Dieu, sept flammes, sept degrés, Brûlez ! Chaque individualité ne peut être que plénitude, les Sept ensemble ." ( Dialogues avec l'Ange, p. 368 ).
Politiquement parlant, d'un obscurantisme flagrant, d'une subtilité manipulatrice, et d'une fausse humilité, les chefs religieux intégristes – dogmatiques – purs – et - durs, ont divisé les "Sept âmes de Dieu, sept flammes, sept degrés", en Sept grands systèmes politiques et religieux ( = L'Animisme, le Judaïsme, l'Hindouisme, le Bouddhisme, le Christianisme, l'Islamisme, et le Communisme), dont les caractéristiques principaux sont l'abandon de la Justice et les pratiques rituelles extrêmes jusqu'à la confusion mentale, confirmant par la même occasion ce qu'a décrété Lao - Tseu ( Tao – Tö - King, ch. 38 ) :
"L'homme de haute vertu est au-dessus de la vertu, c'est pourquoi il est vertueux.
L'homme de moindre vertu, se dit vertueux c'est pourquoi il ne l'est pas.
L'homme de haute vertu la pratique sans y penser.
L'homme de moindre vertu l'utilise pour atteindre un but.
Et pourtant il ne l'atteint pas.
Le véritable homme de bien agit sans avoir de raison de le faire.
L'homme de justice agit car il a des raisons de le faire.

L'homme qui se conforme aux rites agit et veut les imposer par la force
.

Ainsi, si l'on oublie le Tao, il reste la vertu.

Lorsqu'on abandonne la justice on recourt aux rites
.

Ils sont aussi l'amorce de la confusion
."
Depuis la Shoah, le seul refuge pour l'humanité croyante et authentiquement monothéiste est le "Cœur - Lumière", "le Grain, la seule Demeure possible et éternellement prêt est le Ciel ". Pour y parvenir, chaque Individu – Humain – et - Trilogique devra être capable de réussir l'harmonisation absolue entre son être – intégral – et - profond (= homme microcosme), à celui du corps séphirothique d'Adam - Kadmon (= Homme Macrocosme, céleste – primordial – et - androgyne), grâce à l'existence de son étincelle lumineux de même nature que celui du "Cœur - Lumière" d'Adam - Kadmon d ‘essence pur "Ayn–Soph-Aur".
La réussite d'une telle intervention à très haut risque, demande une attention - vigilance très particulière à chaque instant ; je laisse la parole au Dr. Jean-Paul Cachera, chirurgien cardio-vasculaire français, qui exprime à ma place, cette gratitude de Démiurge humain, en cet instant - sublime privilège de l'homme sain de cœur, d’âme et d’esprit humain, dont je suis : << Je suis un bon artisan. Je ne conçois pas l'exécution de la chirurgie dans un climat surexcité et hagard, toute mon attention mobilisée, toutes mes facultés étroitement concentrées, je ressens une sorte de paix des grandes profondeurs, le silence et le calme m'entourent, la concentration du maître est contagieuse et chacun sait ce qu'il doit faire. Peu de paroles ; pas de gestes trop saccadés, trop précipités. Pas d'inquiétude excessive ni de "stress" inutile ; il faut avoir avant l'intervention, réfléchi aux détails pour ne pas être surpris et improviser le moins possible. Ainsi, mon esprit est calme et heureux, les battements de mon cœur tranquille. J'ai l'extrême privilège de pénétrer à l'intérieur d'un corps humain : ceci est à chaque fois pour moi un moment de respect et de recueillement, un peu comme à l'entrée d'un temple. Surtout ne pas nuire... Surtout respecter aux mieux ce qui est encore sain... Surtout être discret dans cette discussion à l'intérieur de mon semblable, tout remettre en ordre nettement avant de s'en aller... Car véritablement, je n'ai aucun droit sur ce corps entrouvert, mais seulement des devoirs >>.
J'arrive ainsi, tel le docteur Cachera, à pénétrer jusqu'au "Cœur - Lumière" pur "Ayn – Soph - Aur" d'Adam - Kadmon qui supporte depuis la nuit des temps tout le poids de la souffrance martyre et inhumaine de l'humanité terrestre entière. Grâce à mon œil - loupe de "l'Homme authentique" sain de cœur, d ‘âme et d’esprit humains, j'arrive à sélectionner et sectionner le composant sensitif (# nerf sensitif) du "cordon du serpent" ou "corde d'argent" reliant le Super - Soi d ' "Adam -  Kadmon" – Homme Macrocosme, aux multitudes âmes humaines souffrantes incarnées ou non à l ‘intérieur de l ‘univers du système solaire. Cette chirurgie pur d 'esprit "Ayn-Soph-Aur" libère désormais l'Homme Céleste, qu'est Adam - Kadmon, de toute souffrance issue de l'humanité terrienne.
Le Grand - Humain retrouve ainsi sa toute puissance d 'Homme Créateur avec son libre arbitre androgyne, céleste et primordial. IL va  pouvoir juger le monde des hommes - "Aveugles guidant d'autres aveugles", les trois fois Saints pontifes qui béatifient à tort et à travers les Esprits morts et Saints - Mystères. Concernant la réalité de l'existence du "Grand Humain", dès le XI è siècle, Jean de Jérusalem - Moine soldat du Christ et mystique dans le monde des éggrégores, l'a déjà entre - aperçu. Il nous le décrit en ces termes ( Livre des Prophéties, le troisième millénaire révélé) :
"Lorsque ce sera le plein de l 'An Mille qui vient après l 'An Mille
Les hommes auront enfin ouvert les yeux 
Ils ne seront plus enfermés dans leurs têtes ou dans leurs cités
Ils se verront et s'entendront d'un point à l'autre de la terre
Ils sauront que ce qui frappe l'un blesse l'autre

Les hommes formeront comme un grand corps unique

Dont chacun d'eux sera une part infime
Et ils constitueront ensemble le cœur 
Et il y aura une langue qui sera parlée par tous
et il naîtra, enfin le Grand Humain "
L'Enseignement sans parole du Grand Humain - pur "Ayn-Soph-Aur" m'a permis en 7 ans de travail - réflexion de solutionner et expliquer cette phrase populaire énigmatique vietnamienne affirmant que : "C'est le fils qui naît d'abord, le père ne naît qu'après" (Vu Ngoc Phan, "Tuc Ngu Ca dao dân ca Vietnam", Ha Nôi , 1978, p.475).
A travers les écritures des mystiques juifs kabbales et autres hermétistes, nous connaissons la réalité mythique de l'existence d'Adam - Kadmon, le premier homme crée par les Elohim ( = les 7 Fils de Dieu – Un, le Silence après avoir été le Verbe ) d ’essence pur "Ayn – Soph - Aur". L'humanité terrienne biblique et coranique de religions monothéistes glorifie et honore la mémoire du Dieu Unique le Très Haut. Elle cherche depuis toujours à communier avec Dieu Eternel et néglige complètement leur vrai ancêtre biblique ou "Adam - Kadmon"- Celui dont la beauté rend jaloux les anges, et qui a accepté de se laisser déchirer sa Cinquième côte pour créer la Femme, sans quoi il n'y aura pas de vie humaine et individuelle sur la planète terre.
Cette négligence spirituelle a empêché l ‘arrivée dans notre monde Adam - Kadmon - le "Père -et/ou – la Mère", d'essence divine et céleste de l'humanité terrienne, qui a sacrifié Son Etre Humain Androgyne – Trilogique – et - Intégral pour donner une partie de sa lumière « Alpha » à Jésus-Christ - Celui qui est consacré comme le "Fils de l'Homme" (ou "Fils de Dieu"), et dont la date de sa naissance marque le début de l ‘ère chrétienne sur terre.
Le "Fils de l'Homme" est donc né avant l 'Homme – « Adam – Kadmon » qui cherche pourtant, dans la souffrance atroce, à  être scindé en deux êtres – humains physiquement libres de tout mouvement, grâce au partage équitable de sa lumière « ayn – soph – aur », qui se mettait à diviser de façon exponentielle en nombre incalculable pour être perdu dans l‘immensité de l ‘espace et/ou le temps cosmique, planétaire et universel. Les vibrations vivantes et lumineuses du Verbe - d’esprit Alpha Christ, infini petit, et sublimé en tant que « Fils de l ‘Homme » jaillissaient partout et nulle part à l ‘intérieur de l ‘univers du système solaire.
Le Dieu – Un , le « Sans – Nom », « Sans – Forme » se manifeste en premier et bibliquement à Abraham – le premier patriarche , qui n‘était ni juif, ni chrétien, ni musulman. IL s‘est montré ensuite à Moïse sous la forme d ‘un « Buisson ardent ». C’était un Dieu non esclavagiste avec ses « Dix Paroles » et sa célèbre devise « Œil pour œil, et dent pour dent ». IL s‘est métamorphosé du tout au tout avec l‘élection de Jésus – Christ, comme  le « Fils de l ‘Homme » et payait ainsi ses dettes de sang, en assistant dans un Grand Silence de mort, sans pouvoir rien faire, à la crucifixion de son Fils élu au Golgotha.
En abandonnant son statut de Dieu « œil pour œil et dent pour dent » et par jeu, Dieu l ‘Inconnu, le « Sans – Nom » pur d’essence « ayn – soph – aur » s’est rétracté au tréfonds de l ‘âme humaine d ‘« Adam – Kadmon » - l ‘«Homme – Céleste – Macrocosme », après avoir élu Jésus – Christ comme « Fils de l ‘Homme ». Ce jeu de cache – cache est inconnu de tous, sauf à l ‘âme androgyne, pure, vierge et sans tache d‘« Adam – Kadmon » qui cherche de son côté à se scinder en deux âmes humaines distinctives et sexuées – « homme masculin » et « femme féminin ».
Le vœu pieu d ‘Adam Kadmon a bien du mal à se faire, suite au mouvement de rétraction ( = zimzum) de la lumière d ‘essence pur « ayn – soph – aur », une et indivisible du « Sans – Nom », qui s’est enchaînée à celle des dieux et des « anges déchus », avant d ‘ être parvenue à se retirer jusqu’au tréfonds de l ‘âme androgyne du « Grand Humain ».
En cette fin XX è siècle, personne au monde peut me dire, où, quand et comment est né Adam - Kadmon ? Or l'ère adamique touche à sa fin selon les Ecritures bibliques. Nous ne trouvons aucune trace corporelle et spirituelle d 'Adam - Kadmon , le "Verbe" mystique dont la définition est : "Ce qu'on appelle l'Homme Céleste ou la première manifestation divine n'est autre chose que la forme absolue de tout ce qui est ; la source de toutes les autres formes , ou plutôt de toutes les idées ; en un mot, la Pensée Suprême , le Verbe". De cet Homme Céleste - le "Verbe", intuitivement A.D. Néel l'a entre aperçu furtivement à travers ces notes dans une lettre datée le 14 Mars 1912 à Calcutta : " Toutes les voies sont vaines et folles ; l'homme est une bulle à la surface de l'océan ... une bulle qui pense et qui a, mesquine, l'orgueil de ses pensées ..."
Adam - Kadmon , le Père – et - Mère de l'humanité terrienne n'est donc pas encore né sur terre. IL et/ou ELLE endosse encore la peau de la Bête, à cause de la négligence mortelle des enfants du peuple d'Abraham, d'Isaac et d'Ismaël respectueux des rites non sens, qui s'entre-tuaient bêtement entre eux malgré leur crainte excessive de Dieu Un – d 'essence pur "Ayn-Soph-Aur", la Lumière Incréée d ' "Adam - Kadmon". Quant aux âmes des enfants d ' Eve (ou de la Cinquième côte d 'Adam – Kadmon ), elles préexistent bien avant que la Terre soit Terre. Par la suite, une fois que la Terre est formée, toutes ces âmes – les descendants de la Femme – « Eve protoplaste » ont fait l'expérience d'incarnations spirituelles depuis les grands mammifères marins en passant par les primates – singes avant de pouvoir se redresser sur ses deux jambes et sa colonne vertébrale bien droite pour être « homo – australopithèques » (vers – 5 millions d ‘années), « homo – habilis » ( - 3 millions d’années) , « homo – érectus » (- 1,7 millions ans), « homo – sapiens » ( - 700milles ans), puis le stade « Pré – homme moderne » ( - 30 milles ans), et enfin l ‘« Homme  moderne » ( vers – 4000 ans) qui s’organise en société avec les Cités – Etats , dont la première grande civilisation sumérienne qui invente en premier l ‘écriture cunéiforme sur des supports en tablettes d ‘argile.
L’apparition de l ‘écriture a complètement bouleversé l ‘existence de l‘humanité – les descendants de la Femme. Selon Jean Bottéro, << Les Sumériens étaient les anciens habitants de la Mésopotamie. Créateurs, au tournant du IV è au III è millénaire avant J.C., non seulement de la haute civilisation la plus antique connue à ce jour, mais du premier système viable d ‘écriture, seul procédé en mesure de nous représenter le passé en détail et avec certitude, leur situation géographique, sur cette sorte d’aire ouverte également à l’Orient et à l ‘Occident, en même temps que leur prépondérance intellectuelle et technique, leur ont permis de diffuser partout, des siècles et des siècles durant, les plus brillants acquis de leur culture. Ils ont inspiré de loin les auteurs de la Bible et, de plus loin encore, le vieux monde hellénique, puis hellénistique : les deux sources premières et essentielles de cette « civilisation chrétienne »>>.
L’écriture répond parfaitement au besoin ( qu‘éprouve tout individu vivant dans un groupe social avancé) de représenter visuellement et de fixer la pensée humaine qui est fugitive par son essence même. Elle constitue un remarquable moyen d’expression et de communication durable, donnant à chacun la possibilité de conserver un témoin permanent d ‘une ou de plusieurs paroles absentes. Elle est bien plus qu‘un simple instrument  selon C . Higounet, qui écrit : « En rendant la parole muette, elle ne la garde pas seulement, elle réalise, en outre, la pensée qui, jusque là reste à l ‘état de possibilité. Les traits les plus simples dessinés par l‘homme sur la pierre ou sur le papier ne sont pas qu‘un simple moyen, ils enferment aussi et ressuscitent à tout instant sa pensée. Au – delà d’un mode d’immobilisation du langage, l’écriture est donc un nouveau langage, muet certes, mais (…) qui discipline la pensée et l ‘organise en la transcrivant (…). L’écriture est non seulement un procédé destiné à fixer la parole, un moyen d’expression permanent, mais elle donne aussi directement accès au monde des idées ; elle reproduit bien le langage articulé, mais elle permet encore d’appréhender la pensée et de lui faire traverser l ‘espace et le temps ».
Le Coran nous révèle que c‘était Dieu qui a enseigné l ‘écriture à l ‘homme civilisé à travers ce verset  ( Sourate XCVI ; Le Sang coagulé, v . 1 – 5 ) : « Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé tout. Qui a créé l ‘homme de sang coagulé. Lis, car ton Seigneur est le plus généreux. C’est lui qui a appris ( à l ‘homme) à se servir de la plume ( de kalem) ; IL a appris à l‘homme ce que l ‘homme ne savait pas ». Selon ce texte sacré, Dieu Allah a donc enseigné en premier l ‘écriture aux sages de la civilisation sumérienne qui nous fassent connaître l ‘histoire du héros épique « Gilgamesh » - le Super Sage, le premier homme ayant parvenu à échapper au Premier Déluge punitif et parvenir à être un « Immortel » grâce à l ‘aide du Dieu « Ea/Enki » - Bon Démiurge, et adversaire de son frère – le divin « Enlil » - amateur des filles vierges, belles et humaines et le seul vrai responsable du Premier Déluge exterminateur de la race humaine – humanité « têtes noires » créée par le monde des dieux.
Les récentes fouilles archéologiques, en cette fin XX è siècle de l ‘ère chrétienne, sur l’antique territoire mésopotamien, ont permis aux spécialistes – assyriologues de remonter le temps et connaître mieux les pensées religieuses de la civilisation mésopotamienne antique. L’ère historique avec l’écriture sumérienne n ‘est daté que vers 3200 avant J.C. Ces documents vénérables ( tablettes avec textes en écriture cunéiforme) sont les plus anciens témoignages écrits du travail de pensées par lequel des hommes – les descendants de la Femme, ont tenté de répondre avec les moyens de leur bord , aux questions qui nous travaillent toujours devant cet univers démesuré autour de nous, devant notre propre existence, le sens et le destin de notre vie.
Le Père ANDROGYNE - "Adam - Kadmon" ne naît qu'après le fils d'"Adam - Kadmon". Cette phrase populaire énigmatique vietnamienne était donc bien vraie. En effet, la naissance et la vie de Jésus-Christ - le "Fils de l'Homme" (Homme ici désigne Adam - Dieu ou Adam - Kadmon), nous prouve que le Fils (Jésus-Christ) est né avant le Père ANDROGYNE (Adam - Kadmon), qui ne pourra venir au monde que lorsqu’il parviendra à se scinder en deux êtres distinctifs « Homme – Père » et « Femme – Mère » avec leur Enfant – « Nouvel Eternel », d’essence pur « ayn – soph – aur » - Frère et ami des Sages mystiques ayant conservés en état de marche leur étincelle – « Lumière Incréée », grâce à leurs âmes personnelles et éternelles du « Je Suis les descendants de la Femme ».
C'est bien de cette étincelle lumineuse – d ‘essence pur « ayn – soph – aur » qui existe en tout être - humain ici-bas que V.S. Naipaul l'a évoqué en écrivant : "L'accomplissement de soi passe par la découverte de l'étincelle divine qui est en chacun de nous. C'est une immense idée humaine, devenue cauchemar des religions révélées. Leurs sinistres prêcheurs voudraient nous enfermer dans les prisons de la foi comme les régimes totalitaires nous bouclaient dans celle de l'idéologie". Quant à Jésus-Christ, le "Fils de l'Homme", IL nous l'évoque en terme parabolique : "...La lampe de ton corps, c'est ton œil. Lorsque ton œil est sain, ton corps tout entier est aussi dans la lumière ; mais dès qu'il est malade, ton corps aussi est dans les ténèbres. Vois donc si la lumière qui est en toi n'est pas ténèbres ! Si donc ton corps tout entier est dans la lumière, sans aucun mélange de ténèbres, il sera dans la lumière tout entier, comme lorsque la lampe t'illumine de ses rayons "(Luc, 11, 33-36 ). Enfin, selon l'ange, c'est bien "A l'homme est donné la flamme qui unit les Sept" ; "L'homme ne se réjouit que si les sept sens, les sept âmes, agissent de concert. C'est la clef. Que le Nouvel Être naisse en vous !" ; et surtout "Un corps vierge n'est pas nécessaire", donc il est inutile de pratiquer la "chasteté" pour ceux et celles qui quêtent l'illumination de la lumière divine inhérente à soi.
Si nous poussons plus loin cette réflexion, nous pouvons répondre tout en éclairant en nous - même, sur le mystère du premier « Homme – androgyne » dont la forme humaine asexuée rend jaloux les anges de service, et dont les hommes de science se pose depuis toujours : " La poule et l'œuf, lequel des deux arrivent le premier au monde ? ". Je peux répondre ici sans risque de me tromper, aucun de ces deux éléments arrive le premier. En effet, de par sa nature, si la poule arrive la première au monde, toute seule, elle peut pondre autant d ‘œufs qu'elle veut, les œufs sortis d'elle seront inféconds. Il en est de même pour l'œuf, un œuf  tout seul reste toujours un œuf. C'est le coq - androgyne qui arrive le premier, en tant que le « Verbe » - la « Pensée suprême et céleste » avec son essence pur "Ayn-Soph-Aur" libre arbitre et volonté première de nature divine, qui rêve à avoir de la bonne compagnie avec des êtres multiformes agréables à voir. Avec sa cinquième côte, une main invisible du « Sans – Nom » réalise ce rêve et créer une poule. Bien avant l’arrivée du Coq androgyne sur la scène de la haute – cours ( à bien différencier avec la basse – cour), le « Sans – Nom » a créé le Serpent – le Malin qui parle et qui respecte les « lois – paroles » du Sans - Nom. Notre Malin est en quelque sorte le gardien des Paroles du Sans – Nom, qui est à la base de tout. De ce rêve est né la femme poule, qui a accouché une multitude d'œuf, dont le coq – androgyne moins sa cinquième côte réussit à réaliser l'acte de fécondation amoureuse in - vivo, grâce à son divin "sperma".
De cet acte à deux au beau milieu du Jardin d’Eden – monde de la Haute – Cour vierge de tout péché, sont nés une multitude d'œufs fécondés, dont certains sont fertiles et d'autres non. Selon les descendants de la Bête – les soi – disant gardiens des lois divins ici – bas ( = monde de la basse – cour ), la poule avant d’être mère a le malheur de pécher par gourmandise en goûtant au fruit interdit sur l’Arbre de la Connaissance. De ce péché mignon, le Jardin d’Eden s ‘est évanoui et le décors se métamorphosait en celui de la basse – cour terrestre avec la terrible malédiction du « Sans – Nom » qui s’abattait sur la poule – mère et ses descendants, ainsi que ceux du Serpent – le Malin et gardien des « Lois – Paroles » du « Sans – Nom ».
Les œufs  fertiles arrivent à donner naissance sous la chaleur amoureuse de la poule - mère à des poussins. Seule la poule accompagne et nourrit ses poussins. Quant au coq – androgyne, il reste invisible en se cachant par jeu. Un des poussins - l'élu du Roi - soleil de la basse-cour, sans le libre arbitre, ayant reconnu la toute puissance du Père céleste, est venu ici – bas pour  évangéliser le monde superstitieux, ritualiste extrême, indigne d’être élu par le Sans – Nom, et se fit crucifié bêtement sur la croix au Golgotha par des renards et autres requins, les descendants du serpent "beau - parleur", qui guettent par ruse et par la loi du silence à bien viser le talon de la poule - mère et mettre tous les péchés du monde sur son dos et celui de ses descendants.
Le poussin - élu, en tant que « Fils de l’Homme » et grâce à sa trilogie christique attend patiemment son heure pour renaître de ses cendres tel un phénix. Beaucoup de ces poussins sont atterris sur la terre, devenus sauvage. Le résultat de cette dispersion à travers le monde fut que, sans défense, les poussins se laissent ainsi dévorer par des renards, des vipères, des aigles et autres rapaces faux bergers avec l'art rhétorique non sens. Des milliards de ces poussins oublient même le nom Adam - Kadmon du coq - androgyne à la base de la Genèse de l ‘humanité terrienne, se mettent à honorer, à glorifier les esprits des dieux sanguinaires guerriers et immortalisés par leurs idéologies extrémistes, intégristes, dogmatiques et unificatrices par le feu des armes, le sang et les larmes des faibles sans défense. Ils vendent même leur âme éternelle et humaine pour devenir renards, vipères, aigles, requins et inhumain pour être tout puissant, mortel et éphémère ici bas. Ces poussins diablotins blessent, martyrisent même le phénix jusqu'à le mettre sur la croix au Golgotha . Ils pratiquent assidûment la pratique d’eucharistie avec le « manger du corps , et boire le sang du Poussin – Phénix » tels des vampires pour pouvoir vivre éternellement. Beaucoup de ces poussins fils élus régressent avec le temps horizontal jusqu'à devenir des asticots : "Nous ne sommes que des asticots sur une grosse pomme nommée Terre" (phrase extraite du livre "Etranges révélations sur la vie après la mort" de Martin Ebon.
La sagesse populaire vietnamienne déclare sans ombrage à ceux qui auraient tendance à ne voir dans la parenté qu'une association d'intérêts : "On est parent à cause des ancêtres et non à cause de l'argent et du riz". De cette recherche de ma filiation parentale originelle, j'arrive ainsi à retrouver la trace mythique réelle de mes deux parents "Adam" et "Eve" spirituellement parlant, qui ne font qu'un en "Adam - Kadmon" - le Grand Architecte de l'Univers cosmique et planétaire, grâce à son essence pur « ayn – soph – aur » du « Sans – Nom » qui s’est caché par jeu au fin fond de leur âme humaine et commune, dont la « Pensée cosmique et sphérique » a fait des merveilles.
Du Christ ( Père – Fils – et Saint Alpha), le Phénix, mon frère Un sur terre, le Coran dit : "Jésus est aux yeux de Dieu ce qu'est Adam. Dieu le forme de poussière puis Il dit : Sois et il fut" (Sourate III, v.52).  Jésus, le "Fils de l'Homme" avec son corps humain est donc un enfant - fils d'Adam - Kadmon comme tout être humain, mystique , frère et sœur  du Christ Alpha. Devenu "Phénix", le Christ se fait crucifier par les poussins intégristes ayant vendus leurs âmes éternelles à des renards diables ici bas. Le sacrifice passionnel du Christ, mon frère Un, m'est très utile dans cette recherche de la filiation réelle et divine de l'humanité fils et fille d'Adam - Kadmon. Nous sommes tous frères et sœurs  devant le Christ Alpha – le Fils élu du « Grand – Humain » - le Grand Architecte de l'Univers, qui a beaucoup souffert pour être dans le monde. C'était bien Lui, qui nous a enfanté tous et dans la souffrance de l'accouchement. C'était bien Lui, le Dieu d'Amour et de Miséricorde. Sa nature d ‘Homme androgyne ( ou « Eunuque »), d’essence pur « ayn – soph – aur » est paraboliquement rapporté par Jésus ( Mtt, 19, 12 ) : « Il y a , en effet, des eunuques qui sont nés ainsi du sein de leur mère, il y a des eunuques qui le sont devenus par l’action des hommes, et il y a des eunuques qui se sont eux-mêmes rendus tels en vue du Royaume des Cieux. Comprenne qui pourra ! »
Les sommités politiques, religieuses, et monarchiques de droit soi-disant divin  ou civil, tyranniques et dictatoriales ne savent pas que : "Lorsqu'on n'a pas enfanté, on ne sait pas aimer. Quand on n'est pas de même sang, on ne sait pas avoir pitié" (Vu ngoc phan, Tuc – ngu ca – dao dân ca Vietnam, p.410). Cette sagesse populaire vietnamienne nous montre bien le pourquoi des actes barbares des hommes gouvernants dictatoriaux, tyranniques, sans âmes humaines, et soi – disant « Pères des Nations et des Eglises », qui ne voient et ne jugent qu‘à travers leur lien de « sang – génome » - « poussière tu resteras poussière ». Ils sont sans pitié envers leurs victimes et leurs opposants, dont l ‘Inquisition, les bûchers, les Tribunaux révolutionnaires islamiques, les Tribunaux révolutionnaires communistes et prolétariats, etc.  Tous ses hommes dictateurs œuvrent depuis toujours pour perpétuer la « mémoire – grandeur » de l ‘Esprit de la Mort ( = Esprit du Temps horizontal à la « Pensée unique »), symbole de l ‘ordre parfait maintenu en main de maître par le Malin – Lucifer ou l ‘« Egal du Très – Haut », qui manipulait les trois mondes - celui des dieux, des anges déchus et des hommes et qui menait depuis la nuit des temps un combat sans merci contre Yéoshua – l ‘Eternel, le Très – Haut et Divin Démiurge, qui a cédé son image humaine et son grain d ‘esprit – pur d’essence – « lumière incréée » sans le libre arbitre à Jésus – le « Fils de l‘Homme » pour se rétracter et endosser seul la peau de la Bête « 666 » grâce à son âme cosmique, éternelle – celle du Christ solaire et universelle d’un « Je Suis Ce qui est ».
En l ‘absence de la présence de l ‘Eternel – Très – Haut et Christ Solaire, notre Malin a institué le mensonge monstrueux concernant le « Péché originel d ‘Eve », inventé de toute pièce par le monde des dieux et des « anges déchus ». De telle couleuvre mensongère a traversé l ‘espace et le temps pour atterrir sur la planète terre, pénétrant inconsciemment dans les méninges de la prêtrise des églises soi – disant universelles, dont le catholicisme papal et l’islamisme, purs et durs, qui ont accouché ensemble à travers leurs politiques ultra – nationalistes et hégémoniques, des régimes monstrueux tels l ‘esclavagisme, le colonialisme, le nazisme, le communisme et le capitalisme. qui sucent en un siècle et demi le sang, les larmes et les misères des centaines de millions, voire le milliard d ‘êtres – humains, les descendants de la Femme, et qui perpétuent les rites superstitieux en adorant des statues de toutes formes et matières, les pièces d ‘or ou en lingot, les billets – dollars verts et autres, en sacralisant des icônes, etc.

Ainsi jusqu'à ce jour, seul le "Fils de l'Homme" est né et mort crucifié (corps et esprit Alpha ) sur le Golgotha. L’âme éternelle, humaine, cosmique et solaire du « Fils de l’Homme » - le lien entre son corps de lumière et de son esprit « Alpha – Christ » pur d ‘essence « ayn – soph – aur », échappe à tout enfermement doctrinaire politique et religieux papal ou autre sectaire. Quant à l ‘ « Homme » ou le « Grand – Humain » d ‘essence pur « ayn – soph – aur », IL vient de naître en cette fin des temps, confirmant les écrits prophétiques de Jean de Jérusalem. Suite de quoi, IL quitte ainsi sa peau monstrueuse – « Bête de l ‘Apocalypse » se dévoilant sa vraie nature humaine en Trois êtres, dont l ‘ « Homme – Père » avec son « Feu Masculin » d ‘un « ange – génie d ‘Allah » prénommé Eblis, la « Femme – Mère » avec son « Feu Féminin » d ‘Eve et le « Nouvel Enfant  - Nouvel Eternel » avec son « Feu Serpent » désormais bien  harmonieux, stable et en paix avec lui – même pour jouer son rôle de lien indissoluble entre ses deux parents – le couple « Grand Humain ».
Le « Nouvel Eternel » est désormais le Maître de Justice et de l ‘Univers du système solaire, d’essence pur « ayn – soph – aur ». Son cœur est celui d ‘ « Adam – Kadmon » - Dieu d’Amour et de Miséricorde, le Grand – Humain ; son âme divine et éternelle est celle de Yéoshua – l ‘Eternel ( ou Yahvé EL ) – Dieu Manifesté et Démiurge, et son esprit est celui du Christ Alpha ( ou Christ  solaire) – le plus petit du royaume des cieux, qui s‘immobilise dans le Silence absolu au point central de l‘astre solaire. C’est un Enfant de la Paix et du Bonheur partagé entre le Ciel et la Terre. IL hérite désormais la toute puissance de Dieu Eternel – le Silence du « Sans – Nom » et « Sans – Forme », qui parvient finalement à se faire incarné son Tout en le « Nouvel Eternel », tout en rêvant d ‘être l ‘Unique Père de l‘humanité terrienne.
Le vœu pieu de l ‘Eternel « Sans – Nom » - Dieu Inconnu et Infini est désormais possible, grâce cette formule initiatique, magique et hassidique, qui va être prononcée toute en chœur par les âmes lumineuses et éternelles de tous les Sages humains – frères et amis du « Nouvel Eternel » :  "Avenu malkenu, notre roi, notre père, je continuerai à t'appeler Père jusqu'à ce que tu le deviennes".

Finalement, "la clé de l'énigme n'est pas l'ascension de l'homme au ciel, mais son ascension ici-bas, dans l'esprit, et la descente de l'esprit dans son humanité ordinaire, une transformation de la nature terrestre... Une naissance nouvelle : l'aventure de la conscience" (texte extrait de Savitri, poème de 23813 vers écrit par Sri Aurobindo, racontant un épisode de l'épopée du Mahabharata où s'affrontent le monde du Haut et celui du Bas).
Déjà à son époque, dans "l 'Ecclésiaste", le Sage Roi Salomon a douté sur la transcendance de l 'Esprit – Souffle – de - vie humaine en posant cette question : << Qui peut savoir si le Souffle – de - Vie des hommes monterait en haut (à la mort) , tandis que celui des bêtes descendrait en bas vers la terre ? >> (Ecclésiaste, III  21 ) Toujours selon le Qohéleth, fils de David, roi à Jérusalem : << J'en ai conclu à part moi, touchant les hommes : "C'est que Dieu veut les maintenir loin et montrer qu'au fond ils sont pareils aux bêtes !". De fait, la destinée des hommes et celle des bêtes sont identiques : comme celles-ci meurent, ceux-là meurent aussi ; ils n'ont tous qu'un Souffle – de - vie ; et les hommes n'ont aucune supériorité sur les bêtes, mais tous ne sont que vanité. Tous se rendent au même endroit, tous ont été tirés de la poussière, tous retourneront à la poussière >> ( Ecclésiaste, III, 19-20 ).
En conclusion, je résume mes pensées mystiques - scientifiques – et - modernes, celles d ‘un homme ordinaire authentique – stade spirituel d‘un bouddha amitàbhà eschatologique, non dogmatique, ayant réussi la réalisation de l ‘« Instant messianique » en mon âme et conscience, en ces termes : "Je n'ai rien à dire qui n'ait été dit avant moi et ne suis pas un habile écrivain. C'est pour former mon esprit que je compose cet ouvrage" ( Shantidéva, bodhisattva indien XI è siècle après J.C. ) ; tout en citant un texte du « Sans – Nom » ou l ‘« Inconnu », qui instruit avec une patience infinie l ‘humanité – les descendants de la Femme, dans le silence de l ‘écriture (Trouvé dans une vieille église de Baltimore en 1692. Auteur inconnu) : 
<< Désirs

Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez – vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes. Dites doucement et clairement votre vérité ; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant ; ils ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l‘esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous. Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Soyez toujours intéressés à votre carrière, si modeste soit - elle ; c’est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires ; car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe ; plusieurs individus recherchent les grands idéaux ; et partout la vie est remplie d’héroïsme. Soyez vous-même. Surtout n ‘affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez cynique en amour, car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe. Prenez avec bonté  le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude. Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles ; vous avez le droit d’être ici. Et qu’il vous soit clair ou non, l’univers se déroule sans doute comme il le devrait. Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception de Lui, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisées, le monde est pourtant beau. Prenez attention. Tâchez d’être heureux
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Dernière mise à jour le mercredi 05 septembre 2001
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Textes, dessins et photos restent la propriété de l'auteur, le docteur DANG T. L., être humain authentique et trilogique, profane, médecin, laïc, père de famille et croyant, sous l'inspiration de l'Esprit Saint de l'Eternel "Sans Nom", Y.H.W.H., le Très Haut (Mai 1991)